Category: Live reports

Report et Photos (portable) : Ti-Rickou

Lorsque j’ai vu l’affiche, j’ai immédiatement marqué la date sur mon agenda. Cool, un nouveau fest avec trois groupes que j’aime et un groupe à découvrir ! Bref, que des groupes connus et, clous sur le perf’, ça se passe dans une salle que j’aime, le Réservoir de Belley. Trop bien !!

Quelques temps après, j’apprends sur les réseaux sociaux que le fest est compromis car le Réservoir est en danger. La municipalité de Belley veut arrêter les concerts et donc fermer le Réservoir. Une drôle leçon de culture ; ce n’est pas rentable donc on ne donne plus d’argent ! Bref, ça ne sent pas bon pour ce fest… Mais finalement si, il se fera. La salle a un peu de répit car la résistance s’organise (pétitions, mobilisations). Ouah, ce n’est plus à un simple concert qu’on va ; c’est un vrai acte militant !

Donc je mobilise les copains et direction Belley. J’ai même convaincu mon ami Evil Dead de Kaosguards de venir. Lui qui veut découvrir WORRY BLAST, ça tombe bien, non ?! Et plus, il adore GALDERIA et il est toujours partant pour une bonne cause. En arrivant, au moment où je lui dis qu’on doit être sérieusement à la bourre car on n’a pas croisé Cyril de Rock Azylum sur le parking, je m’aperçois qu’il est juste devant nous ! Cool, on n’est pas en retard !

Heu… en fait si car lui aussi est à la bourre. Du coup, on a déjà loupé une grande partie du set de ROLLYWOOD mais ce n’est pas fini. Yes !… Sauf que je m’attendais à un groupe de sleaze… Là, le chanteur a un chapeau sur la tête et les autres musiciens n’ont pas non plus un look de glameurs. En clair, ils n’ont pas le look qui correspond à leur musique qui, elle, est plutôt hard glam !

En tout cas, c’est sympa et bien fait d’après le peu que j’en ai vu. J’apprendrai après leur show que le chanteur était malade. Il a assuré quand même. Bref, un groupe à revoir très vite en live.

Allez, j’ai le temps de dire bonjour aux copains pendant l’entracte et, ce soir, il y en a beaucoup. C’est cool, les gens sont venus pour dire que si les concerts ça attire du monde même si ce n’est pas un concert d’accordéon en matinée.

Bon, c’est au tour des marseillais de GALDERIA de monter sur scène. Mon pote Evil Dead est aux taquets et moi aussi. Je suis content de les revoir en live. Ca faisait longtemps ! Leur heavy metal est très efficace et les derniers morceaux qu’ils ont écrits sont excellents en live.

Le groupe a pris une tout autre dimension depuis la première fois où je les ai vus au Korrigan en première partie d’un petit jeune : BLAZE BAYLEY. Ils on trouvé leur son et bien-sûr leur prestation scénique n’a plus rien à voir. C’est une bien bonne baffe que les marseillais viennent nous mettre.

Je trouve ça malheureusement un peu court mais bon, il y a encore deux groupes à venir.

C’est au tour des grenoblois de AMON SETHIS de venir sur scène. Pour moi, c’est aussi l’occasion de les voir avec leur nouveau line-up car dans l’armée du pharaon, il y a eu du changement avec le remplacement du batteur et du bassiste. Maintenant, c’est une fille qui tient la basse. Tiens pas de mise en scène avec pyrotechnie (pas possible ds cette salle). On attaque direct dans le vif du sujet.

Bon alors moi, AMON SETHIS, je suis fan. J’aime bien leur univers, leurs morceaux, leur ambiance, la voix de Julien. Donc je suis u’ bon clien. C’est marrant d’ailleurs car eux-aussi, la première fois que je les ai vus c’était sur une première partie de BLAZE BAYLEY.

Je n’oublie pas que c’est leur premier concert avec cette formation. Il est donc normal que ce ne soit pas aussi carré et rôdé qu’avant. Mais bon, ça reviendra. En tous cas, AMON SETHIS est toujours là et j’en suis content.

Dernière pause papote avant de retrouver la salle pour les suisses de WORRY BLAST. Allez, c’est parti ! La distribution de grosses baffes à commencé et ce ne sont pas des baffes de fillettes ! Les premiers morceaux sont de purs brûlots hard boogy qui déchire sa mère-grand dans son Ehpad.

Scéniquement aussi ils déchirent tout ! Ils ont un putain de charisme, un jeu de scène naturel, une maîtrise et une foutue énergie. Evil Dead qui ne s’y attendait pas est déjà transformé en membre du fan club. Le reste du public aussi a les pieds qui bougent tous seuls et les cheveux qui volent. Bref, la mayo prend.

Moi, je me dépêche de prendre mes photos (au portable, j’ai réussi l’exploit d’oublier mon Reflex !!) pour pouvoir headbanguer comme les copains. Wouah, putain, c’est grand !! Que c’est bon ! ils ont encore progressé. C’est clair que toutes les scènes qu’ils ont fait avec NASHVILLE PUSSY, URIAH HEEP et que tous les fest qu’ils ont fait dans toute l’Europe les ont encore pousser d’un niveau !

Les copines sont aux anges quand le chanteur guitariste tombe le haut. Ils ont chaud mais il faut dire qu’ils se donnent à deux cent pour cent et que c’est aussi probablement pour ça que ça fonctionne autant. Ce n’est pas loin d’être la dixième fois que je les vois mais à chaque fois, je perçois ce petit truc en plus qui peut en faire des très grands – du genre à jouer dans des stades.

Quel fin de soirée mes aïeux ! Le Réservoir est au bord de l’ébullition !

Voilà, c’est fini. Mon pote n’est toujours pas redescendu et pourtant il en a vu d’autres ! Tout le monde se retrouve au stand merch’ pour papoter, faire des emplettes ou tout simplement pour essayer d’arrêter le temps de cette soirée pour que ça ne finisse pas.

En conclusion je dirais : mega bonne soirée, première édition réussie. J’espère que le message qui a été envoyé par le nombreux public présent à la municipalité a été clair : pas touche au Réservoir. Sans dec’, une salle comme ça ne peut pas mourir. W.T.R.*, soutien du Réservoir de Belley !!

Long live rock ‘n’ roll !! 

VOODOO SKIN @ le Brin de Zinc – Barberaz (73)

Report et Photos by SEB 747

Ce soir, c’est avec Hi’Twist que je me rends au Brin de Zinc. Ca fait quelques temps que je n’ai pas mis les pieds à Barberaz et ce soir, il y a un bon groupe qui y joue. Comme le rédac’ chef a fait une super chronique de leur premier album, je ne pouvais pas ne pas y aller !

Nous partons tranquillement pensant avoir le temps mais celui-ci passe plus vite que prévu et nous arrivons à la bourre. Comme quoi, le syndrome Ti-Rickou 2019 ne dure qu’un temps ! Mdr.

Lorsque nous ouvrons les portes, la première chose qui me frappe c’est que la salle est blindée. Ça ne va pas être simple pour s’approcher du devant de la scène et, en même temps, pour prendre des photos. Cependant, ce n’est pas à un vieux singe qu’on apprend à faire la grimace, et en deux coups de cuillères à pot, me voilà assez proche des planches pour shooter.

AFTER DARK @ le Brin de Zinc – Barberaz (73)

Le groupe franco-suisse, AFTER DARK la première partie de la soirée est déjà bien en place. Musicalement, nous avons affaire à des musiciens bien rodés. Et vocalement ? Eh bien vocalement, c’est une lionne à la voix chaude, une voix de velours. Moi, je suis immédiatement sous le charme.

Groovy, bluesy et rock ‘n’ roll avant tout le groupe me séduit. La chanteuse n’est pas une lyrique et cela me convient parfaitement. Sa voix chaloupée m’embarque facilement et les musiciens sont au top. C’est très bien fait et très agréable à écouter.

Malheureusement, à mon grand désarroi, c’est déjà fini. En tous cas, les titres que j’ai entendus ne m’ont donné qu’une envie : les revoir au plus vite et plus longtemps !

Petit à petit, l’oiseau faisant son nid, je réussis à me retrouver sur le devant de la scène. Je remercie d’ailleurs Alex, le photographe du groupe, de m’avoir laissé sa place. C’est cool, je vais pouvoir être au plus près pour apprécier le set de VOODOO SKIN.

VOODOO SKIN @ le Brin de Zinc – Barberaz (73)

FRANCOIS ROTA, le chanteur avec sa voix rocailleuse, GUILLAUME GIAZZY, le bassiste qui assure un deuxième concert d’affilée puisqu’il jouait déjà avec AFTER DARK, PHILIPPE ARBANTI et JEAN-CHRISTOPHE LAFARGE, les guitaristes, qui s’éclatent sur les planches à faire pleurer leurs guitares, LIONEL BOYRON, le batteur qui semble posséder plus de bras que nécessaire, sont une bande de potes qui se sont réunis pour jouer du rock des 70’s. Il faut dire qu’ils se connaissent bien, puisqu’ils font partie d’un tribute band bien connu dans la région. C’est cool qu’ils se soient décidés à composer après tout ce temps passé à faire des reprises ! C’est Ti-Rickou qui doit être content vu qu’il ne peut s’empêcher d’enjoindre ces groupes à faire leur propre musique !

Ce soir, c’est le premier concert de VOODOO SKIN et la salle est blindée. Comme quoi, la réputation des musiciens n’est plus à faire. Que ce soit de simples curieux ou des afficionados, voire des groupies comme le dira si bien FRANCOIS tout le long du concert, ils sont nombreux à être venus ce soir.

Les musiciens s’installent sur la scène et préparent leurs instruments. Ça y est, une intro démarre, les lumières s’assombrissent et le groupe nous tournent le dos. N’ayant pas encore eu l’occasion d’écouter leur premier LP, je ne sais pas trop à quoi m’attendre… même si je ne suis pas trop inquiet !

Dès “Better man”, le premier titre de la soirée, le Brin de Zinc s’enflamme. Même si on sent un léger stress, les musiciens assurent le show.

FRANCOIS ROTA, en véritable Monsieur Loyal, fait son numéro. Sa façon de bouger sur scène, son timbre de voix et, il faut le dire, son charisme, font que ça le fait grave. En vrai frontman, il sait charmer son public.

Cinq musiciens sur une scène de cette taille, la place est mince ; mais ça ne les empêche pas de prendre entièrement tout ce qui leur est disponible.

La musique de VOODOO SKIN est inspirée des plus grands du classic rock et elle fait mouche sur tous les titres interprétés. Que ce soit sur “Hey you”, ou “Bitch”, un morceau bien rentre-dedans, j’adhère immédiatement. Musicalement, c’est très bon. Leur bagout musical étant ce qu’il est, ce n’est d’ailleurs pas très étonnant. Moi, je prends mon pied !

LIONEL reprend les chœurs, ce qui n’est pas si courant de nos jours. JEAN-CHRISTOPHE, sur le côté droit de la scène et PHILIPPE sur l’autre côté, se renvoient la balle des riffs cinglants. GUILLAUME, lui est plus discret, mais cela ne l’empêche pas de faire ronfler sa basse à faire vibrer les murs du BDZ.

Après un “Addicted to pain” fort bien interprété, c’est l’heure de la reprise. FRANCOIS fait lambiner le public en fredonnant des morceaux d’AC/DC ou de DEEP PURPLE, mais ce n’est pas dans ce registre que cette cover s’inscrit. Même si une fan vend la mèche, la surprise est totale car c’est le titre “Calling you” de la B.O. du film Bagdad Café que les VOODOO SKIN nous jouent. Et autre bonne surprise, ça ne ressemble en rien au morceau d’origine. Personnellement, j’ai bien apprécié la version côté rock ‘n’ roll de ce titre que j’ai trouvé originale.

Les morceaux s’enchaînent rapidement et le public réagit à fond à chaque fois. Mais, comme le disent si bien les Danois : “Toute bonne chose a une fin, sauf le saucisson qui en a deux”, le groupe doit quitter la scène.

Cependant, FRANCOIS ROTA prend la parole et nous dit : “ Si vous êtes sages, nous restons sur scène pour vous faire un dernier petit morceau.”
Forcément, le public est ultra-content et se déclare sage comme une image. C’est donc sur “New Spirit” que le concert prend fin.

Les musiciens descendent immédiatement de la scène pour discuter avec les fans (et les groupies aussi. lol), signer des autographes sur leur album.

Bilan de la soirée :

AFTER DARK, est un groupe que je m’empresserais d’aller voir lorsqu’il passera pas très loin.
VOODOO SKIN a assuré pour un premier concert sous cette forme. Ca m’a vraiment plu. Je retournerais volontiers les écouter eux-aussi, notamment sur leur future tournée (qui arrive bientôt).

VOODOO SKIN @ le Brin de Zinc – Barberaz (73)

Report et Photos by Hi’ Twist

Etant arrivé sur leur dernier morceau, je passerai sur la prestation du premier groupe.

Et c’est sur la scène attenante au bar que les festivités continuent avec le groupe suisse DOWN TO THE BUNKER. Dès leur premier morceau, j’en prends plein les oreilles et je reste comme hypnotisé par le chanteur. Quelle présence et quel plaisir à jouer, chanter, bouger ; communier avec le public, en somme ! Final avec un gros pogo d’enfer ; exit et remerciements au public. Un groupe à suivre de près et dont j’avais déjà entendu parler dans le circuit rock & métal.

A peine remis de mes émotions, l’intro du set de MASS HYSTERIA résonne déjà dans la grande salle. Vite, j’accours ! Quelques touches de piano puis la grosse batterie annonce « Reprendre mes esprits », tiré du tout dernier album « Maniac ». Déluge de décibels et la voix de MOUSS qui harangue le public : « Allez, ça va… ». Quelle folle énergie, confirmée déjà par « Vae soli ». Transe hystérique. Le public suit.

Avec plus de vingt ans de scène au compteur, MASS HYSTERIA va explorer tout son registre à coup de gros riffs puissants et de samples bien foutus – marque de fabrique du groupe.

Dans l’hystérie collective, je me jette du quinzième rang dans le mouv’ et me retrouve au troisième. Cercle infernal et, après un coup de coude dans les lunettes, me voilà en plongée au sol pour récupérer mon bien précieux.  Bien difficile avec les brûlots enchaînés du dernier album « Chaman acide », « Se brûler sûrement », « Nerf de bœuf », « Derrière la foudre » de retrouver mes esprits. J’arrive finalement à me faire une place au milieu de la fosse… et au premier rang s’il vous plaît ! Je suis à nouveau à l’œuvre pour protéger un jeune (11/12 ans ?) qui va en fait monter sur scène pour un stage diving avant d’être récupéré par son père.

La messe n’est  pas encore dite et MOUSS enchaîne le concept album qu’est « Matière noire « (2015). Du pur métal indus avec « L’enfer des dieux », « Plus que du métal », « Tout est poison » et « Chien de la casse ».

Le public exulte, en redemande mais déjà le groupe serre des mains avant de quitter la scène. Mais ce ne sera que pour mieux revenir quelques minutes plus tard et encore plus fort !  S’enchaînent « Arômes complexes » puis trois morceaux de l’album « Contradiction » dont le titre éponyme, suivi de « P4 », titre donné en référence au service militaire . « Donnez-vous la peine » (grand classique) et « Furia » (à l’intro samba), achèveront un show de furieux.

La preuve est faite encore une fois des qualités scéniques du groupe avec ce son si reconnaissable et en perpétuelle évolution. Plus de vingt ans après le concert au Brise-Glace, que de chemin parcouru ! Ce soir, j’ai retrouvé une seconde jeunesse…

JOHN CORABI @ le Champmeslé – Carouge (ch)

Report et Photos by Hi’Twist

Quelques mois après le super concert des DEAD DAISIES au CCO de Villeurbanne, leur chanteur est de retour en Europe. Point G Productions fait venir JOHN CORABI pour un show acoustique en terres suisses,  la veille d’un autre show au Rock’n’Eat de Lyon.

GUMBOOTS, duo avec JEAN RIGO (le chanteur/guitariste des INFIDELES) et DIDIER GRIS (au violon) démarrent cette soirée dédiée à la guitare acoustique. Ils revisitent des titres comme « Is she really want to go ?» de JOE JACKSON, le « Billie Jean » de MICHAEL JACKSON, « Human nature », « Golden Brown » des STRANGLERS mais aussi des chansons et airs connus irlandais et québécois avant d’entonner le « Relax » de FRANKIE GOES TO HOLLYWOOD. Tout un registre qui a séduit le public, confirmé par des applaudissements soutenus.

Petit répit et voilà que JOHN CORABI arrive sur scène et se pose sur un tabouret avec sa guitare. Il nous annonce qu’il a bien une set list mais que chaque soir, c’est suivant l’humeur du moment.

JOHN a sévi dans le groupe UNION, de 1997 à 2005, juste après son éviction de MOTLEY CRUE, avant d’entamer « Love (I don’t need anymore) ».

Il va nous faire le lien par une petite histoire en rapport avec le titre puis, avant d’entonner «If I never get to say goodbye », il aborde la problématique des armes aux USA et de la violence subie par son manager de ce fait. Vient une histoire sur le fameux EDDIE KRAMER, producteur de cinq albums de HENDRIX, des Alive de KISS… mais aussi ingé son.

JOHN CORABI @ le Champmeslé – Carouge (ch)

JOHN CORABI attaque alors le registre de The Scream avec « Father, mother, son ». En préambule d’une cover d’AEROSMITH, « Seasons of wither », il nous parle alors de sa rencontre avec STEVEN TYLER, chanteur qu’il adule. C’était en studio où MOTLEY CRUE enregistrait en même temps qu’AEROSMITH. Chemin tout tracé vers le registre des DEAD DAISIES avec « Dead and gone ». JOHN s’étend un bon moment sur son intégration dans MOTLEY CRUE via TOMMY LEE, avec la présence des financiers du groupe chacun avec son attaché case. « Misunderstood » puis « Loveshine », tiré du seul album de MOTLEY (1994) auquel il a participé durant les cinq ans passés avec le groupe (1992/1997) s’enchaînent.  Quelle voix et pour un très bon album injustement mésestimé !  

Petit intermède à parler de l’écriture d’un titre avant d’aller dans l’univers du groupe UNION  avec « Robin’s song » puis les DEAD DAISIES avec « Something I said ». Il nous conte son adolescence et ses héros comme BOWIE, les WHO, les STONES mais aussi de ses tensions d’ado avec son père. Superbe version du « Lady stardust » de BOWIE.  

Ce qui est fabuleux dans cette configuration acoustique, c’est ce contact où JOHN voit presque chaque visage dans le public. Il repart chez les furieux de MOTLEY CRUE avec « Hooligan’s holiday ». Son set acoustique se terminera par « Man in the moon » de THE SCREAM.

JOHN CORABI @ le Champmeslé – Carouge (ch)

On se quitte après un superbe moment de partage, « comme à la maison ».  Le public est radieux et JOHN complète cette belle soirée en poses et en dédicaces autour d’un petit stand de merchandising improvisé. Les connaisseurs en plus d’un T-shirt vont raffler les quelques exemplaires du CD de THE SCREAM.

Ceux qui ne connaissaient pas l’artiste en solo auront découvert un chanteur et un musicien à la voix chaude et au talent indéniable. C’est aussi un homme attachant ; j’aurai  le privilège, en comité restreint, de passer le reste de la soirée avec lui, autour d’une bonne bouteille de vin, à parler musique mais aussi de Trump. Amusant et à la fois consternant sous l’angle du rocker américain !!!

JOHN CORABI @ le Champmeslé – Carouge (ch)

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