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HELLECTROKUTTERS

L’an dernier, j’ai découvert ce fest un peu par hasard.. Heu par hasard, je veux dire que les STICKY BOYS y jouaient ! J’ai tellement apprécié ce fest en plein milieu d’un village, juste derrière l’église, que cette année j’ai suivi leur programmation. C’est un fest sur deux jours et ce dimanche, il y a HELLECTROKUTTERS ! Donc, pas de discussions, en route pour le Doubs.

C’est encore plus facile quand tu connais. Tu sais où c’est et où te garer. Bon, j’avoue, même avec tous ces atouts, j’arrive à la bourre pour le premier groupe… Ou pas car eux aussi sont un peu en retard. Je suis donc raccord ! Trop bon sur ce coup-là !! Les gars, déposez un brevet, vous allez faire fortune avec des mecs comme moi ! En plus, je tombe sur les HELLECTROKUTTERS qui montent leur stand de merch’. Ils me rassurent en me disant que d’après le running order, ils passent avant-derniers sur scène. Ouf, je ne vais pas partir comme l’an dernier à 2h du mat’.

PDF

Je les laisse tranquille et pendant que le premier groupe se prépare, je me dirige vers la buvette. Ben quoi, il faut bien prendre des forces avec la potion magique des fest !!! Heu non, pas la bière bien que (la Bellenium quel régal)… la merguez frites, le régal des diététiciens !!

Allez, c’est parti pour les PDF. Du punk de chez eux une avec des textes rigolos (quand tu n’as pas de 4×4, of course – mais allez écouter ce qu’ils font et vous comprendrez). C’est jeune, c’est punk mais bon, ça fait passer la merguez !!

Première pause hydratation et le second groupe de la soirée arrive déjà. Découverte totale pour moi les VENDANGERS. C’est du fucking rock’n’roll et c’est bien ! Les morceaux sont cool et dépotent bien, la voix est parfaite pour ce genre de compos. Le groupe a la pêche et une bonne présence scénique. Leur set n’est composé que de compos en plus ! C’est ça que j’aime dans les fest : découvrir des jeunes groupes qui n’ont pas encore de LP. Et là, c’est bonne pioche ! Un groupe à suivre.

VENDANGERS

Bon le set fini, arrive le moment où je me réfugie au bar. Comme l’an dernier, c’est le moment du tribute band de la soirée. Et les heureux gagnants sont un tribute aux ROLLING STONES. Heureux ou pas d’ailleurs car même si on ne fait pas de report sur les cover bands, là je vais trouver le temps long, voire très, très long !!! C’est plutôt du niveau baptême du petit dernier que grande scène d’un fest !! Comme l’an dernier, l’attente va être longue. Je souffre. J’hésite à aller jouer sur l’autoroute mais elle est trop loin !!!

Bon, mon calvaire prend fin. Et maintenant la question qui tue : qui passe maintenant ? Yes, les HELLECTROKUTTERS se préparent ! Ouf ! Il est plus de minuit et j’aurais eu du mal à tirer une plombe de plus.

HELLECTROKUTTERS

La musique se fait plus forte, les HELLECTROKUTTERS montent sur scène, yes !! Et ça part plein pot. Ils ne sont pas là pour faire bonne figure mais pour nous délivrer leur putain de fucking rock’n’roll !!! 

Ils sont déchaînés et démarrent comme un Jack in the box.

Le guitariste ne tient pas en place, c’est un vrai dingue. Une fois sur scène, il se livre à 200% ! BUTCHO est, comme toujours, royal. Que ce soit scéniquement ou vocalement. Le batteur et le bassiste sont eux aussi à donf’.

Leurs morceaux font oublier au public, encore présent en bon nombre, l’heure tardive. Comment penser à l’heure qu’il est quand tu as les cheveux qui bougent tous seuls et que tu fais le kangourou ?!! Les morceaux te pénètrent des pieds aux cheveux et te font chanter les refrains. Ca valait le coup d’attendre ! Leur show est vraiment top. Le public est aux anges et moi je prends encore une fois une grosse, grosse baffe.

HELLECTROKUTTERS

Ouah, je n’ai pas vu le temps passé. Le trou noir du concert tueur a frappé.

Allez, c’est déjà fini. Il est au moins 1h30 du mat’. Je suis désolé pour le dernier groupe mais là, je ne suis plus en état… d’autant plus que j’ai encore pas mal de route à faire. Donc le temps de dire au revoir aux copains et de remercier HELLECTROKUTTERS pour ce concert et hop, même plus là !!

Conclusion 

Ce fest est méga sympa mais mettre un tribute band en plein milieu de l’affiche, ce n’est vraiment pas une bonne idée. En début ou en fin, ce serait plus pertinent. C’est bêta de faire venir des groupes de loin pour que la majorité du public n’en profite pas car ils commencent trop tard… Encore que cette fois, les gens sont bien restés pour HELLECTROKUTTERS.

Voilà, maintenant c’est “long way to the top if you want rock’n’roll” !!!

HELLECTROKUTTERS

LIFE OF AGONY

La destination du soir est Villeurbanne et plus précisément le CCO. Et même en ayant prévu large et en tenant compte de la galère pour se garer là-bas et ben, je suis à la bourre ! Si, si, c’est vrai.

Pas de beaucoup, dix minutes, mais c’est déjà suffisant pour m’avoir fait louper le début de la soirée (je le sais car j’entends jouer au loin).

BLOOD RUNS DEEP

Bon, c’est confirmé, j’ai loupé le début du groupe de première partie,  les suisses de BLOOD RUNS DEEP. Je me précipite dans la salle pour en rater le moins possible et prendre des photos.

Heu… ambiance très stoner doom, très lourd, pesant. Des lights qui renforce cette impression. C’est bien fait, les musicos sont bons, la voix est claire et pourtant je n’arrive pas à rentrer dans leur univers. Ca m’oppresse même, pourtant je résiste parce que c’est très bien.

Enfin, je résiste, je résiste… pas jusqu’au bout quand même. Trop noir pour moi.

Allez, un petit tour en zone fumeur (heu… pour prendre l’air frais, bien-sûr !) et dire bonjour aux copains présents. En même temps, je repense aux BLOOD RUNS DEEP, c’est quand même bizarre, c’est dans un style que j’aime habituellement en plus c’était bien fait et je ne comprends pas pourquoi je n’ai pas accroché. Il faudra que j’écoute tranquillement leur CD. Pendant que je réfléchis (si, si, ça m’arrive !!), j’ entends à nouveau de la musique.

SECOND FUNCTION

Je n’y crois pas !!!! Je suis en train de louper le début du deuxième groupe SECOND FUNCTION ! Le changement de plateau a été méga rapide. 

Bon, même si eux-aussi sont suisses, le point commun avec le groupe précédent s’arrête là. Eux, ils sont plutôt dans le rock métal méga mélodique. Métal léger. Je rentre de suite dans leur musique. C’est mélodique, les morceaux passent tout seuls, les musicos sont bien scéniquement. Le public présent (200 personnes à vue de nez) apprécie. Ca passe tout seul. J’aime bien la voix du chanteur qui colle parfaitement à leur univers. Du coup, je me laisse porté par leur musique tout au long du set qui sera, comme pour les BLOOD RUNS DEEP, court.

LIFE OF AGONY

Bon, là je reste dans la salle. Je ne veux pas louper le début de la tête d’affiche, na ! L’attente ne sera pas longue. Le changement de plateau est rapide et donc c’est au tour de LIFE OF AGONY de rentrer sur scène. Et c’est parti à fond les manettes ! Putain, ça déménage grave ! Heu, tiens, c’est bizarre, c’est bien la voix du chanteur mais c’est une fille qui a le micro… J’ai du manquer un épisode, moi !! Ah oui, c’est ça, le chanteur s’est fait opérer et est devenu NINA (en clair, c’est un transexuel !).

En tout cas, NINA elle à la pêche ! Elle bouge et se démène comme une diablesse. Le public est aux taquets et, même si la salle n’est pas blindée, ce n’est pas faute des fans qui ont fait le voyage de très loin pour ce one shot en France. Et ils vont être servis ! Les morceaux du groupe sont des bombes en live et les morceaux du dernier LP trouve naturellement leur place dans la set list.

Moi qui avais peur de ne pas trop trouver mon compte du côté des anciens titres, mais non. Ceux qu’ils jouent ne sont pas trop typés hardcore. Bon, ça bouge mais même quand ça dépote, ça reste musical. Sauf que dans le public, certains en profitent pour se lâcher sans faire gaffe à rien, même à un gentil photographe qui finira le concert avec un gros cocard !! Il y a aussi le sempiternel spectateur qui prend la scène pour un plongeoir bien-sûr !

L’ambiance est super, le groupe méga en forme, le son méga bon, je ne regrette pas d’être là, moi ! LIFE OF AGONY en live, c’est énorme ! Court mais intense.

Voilà, c’est déjà fini. C’est passé à la vitesse de mère-grand en rollers électriques dans une descente ! Mais le truc cool, c’est qu’il est tôt et que je ne vais pas me coucher trop tard moi… pour une fois !!

Allez, un grand merci à toute l’équipe de Mediatone pour cette soirée ! Long live rock’n’roll, les gars  !!!

FURY AGE

FURY AGE est un groupe de la région Rhône-Alpes (plutôt côté Ain) composé autour de MARKUS FORTUNATO et ils font du hard-rock 80 comme on l’aime.

Leur 1er album “No tomorrow” est sorti à l’occasion de la soirée “Sur la route du Leym’Fest” et bien sûr, je n’ai pas pu résister à leur faire une petite interview !

RAKEL TRAXX

Report by SEB 747

En mai, fais ce qu’il te plaît ! Tu peux te rouler à poil dans un champ de muguet, faire un barbecue de sardines en bas de chez toi ou te décider de faire un concert au fin fond de l’Ain. Ces temps-ci, les concerts dans ma région ne poussant pas à foison, je me dis qu’une petite virée au Réservoir de Belley devrait faire l’affaire… D’autant plus, que la première option ne m’attire pas le moins du monde et que la seconde, très tentante – cela va de soi – ne me mettrais plus en très bon terme avec mes voisins.

Direction donc le Bugey, non pas pour visiter la centrale nucléaire, mais bien pour aller au concert.

Tout est au beau fixe, le temps, comme la route. Je pars tranquillement de bonne heure afin de ne pas rater un groupe. Manque de bol, le tunnel qui nous permet de traverser la montagne, est fermé jusqu’en Novembre. Va falloir prendre le chemin touristique dans la montagne. Sauf que je n’avais pas prévu de faire le touriste, moi ! Dur dur la vie d’un rockeur ! Heureusement que j’avais prévu large question trajet.

Bon, y’a pas de doute, question paysage, on est servi. C’est magnifique et ça ferait presque oublier pourquoi nous sommes sur la route, lol ! Mais l’appel du rock‘n’roll est plus fort et, après de longs virages en épingle sur une route où il ne fait pas bon croiser quelqu’un, j’arrive sans encombre au Réservoir. Ouf, ca c’est fait ! Reste plus que le retour, mais cà c’est une autre histoire.

Premier constat, une fois sur place, nous ne sommes pas très nombreux. Mais les copines sont bien là et les connaisseurs ont fait le déplacement. Ce soir, le Réservoir organise une soirée hard-glam avec les RAKEL TRAXX. De retour après une tournée en Italie, les marseillais sont venus faire une date dans l’Ain, histoire de finir de rôder leur show avant d’aller se frotter au Warm UP du Hellfest. Mais avant cela, il y a deux groupes pour chauffer la salle.

BLACKBURST

A peine le temps de dire bonjour aux copains et aux copines, qu’on nous annonce que ça va commencer. En plus, je viens d’apprendre que les BLACKBURST sont des invités de dernière minute. C’est cool, j’ai hâte de les revoir. Je les avais vus au Brin de Zinc et ils m’avaient déjà fait une forte impression. Je me dis donc que ce soir, cela devrait commencer sous les meilleurs auspices.

Les hostilités commencent donc avec leurs covers de FU MACHU (ce qui n’est pas courant, vous l’admettrez) et de MOTORHEAD, joués à leur sauce, bien entendu. Comme la dernière fois, les gars nous ravissent de riffs très rock et d’une voix écorchée puissante.
CYRIL arbore une jolie basse noire avec des cordes roses. BIRDY est comme à son habitude en train de faire voler les riffs de sa gratte et PHIL nous captive avec sa voix rocailleuse, sous les coups de butoir d’ALEX. Pauvre batterie, lol !

Après deux covers du groupe d’ORANGE COUNTY et une de MOTORHEAD tiré du dernier album en date, nous repartons sur du FU MANCHU. Je me dis que nous allons avoir droit au même set qu’à Barberaz étant donné que le groupe a moins d’un an d’existence.

BLACKBURST

Et là, une question se pose dans ma tête, quand est-ce qu’ils vont faire des compos à eux ! C’est « un jeune groupe de vieux » nous dira PHIL. Oui, mais tout de même !

Puis, un titre est interprété qui ne ressemble à rien de ce que j’ai déjà entendu. “The Chase” qu’il s’appelle. Wahou, c’est un de leur propre titre. Et c’est vraiment très bon. Dans la lignée d’un stoner revitalisé à la sauce MOTORHEAD. J’adore !

Tiens ? CYRIL prend la parole. Il nous annonce avoir une pensée pour MISTIF, le chanteur des MONKEY BIZNESS, décédé la semaine dernière. Il nous rappelle que c’est avec eux que les BLACKBURST avaient fait leur premier concert. C’est donc tout empreint d’émotion que le groupe nous interprète un “BLACKBURST” qui démonte tout sur son passage.

BLACKBURST

L’ambiance sur scène est géniale, tout comme le son d’ailleurs.
Et après avoir interprété encore un titre de leurs compos, nous finissons sur trois covers de MOTORHEAD. Quelle ouverture de show ! Ils nous l’ont dit après mais ils ont déjà un quatrième titre de composé et sont en train de bosser sur le cinquième. Qui sait, peut-être bientôt l’album ? En tous cas, c’était vraiment bien. Encore mieux que la dernière fois. Ils ont élevé leur niveau, non seulement musicalement mais aussi géographiquement. Ben oui, Belley c’est plus haut que Barberaz, mdr !! Je suis quasiment sûr que leur prochain concert se déroulera sur le Mont-Blanc si ça continue. !! Re-mdr.

Place maintenant, à PACO, le gentil organisateur de ce concert et son groupe de reprises de BON JOVI : NOW OR NEVER. Cependant, comme c’est un tribute band, bon ou pas, nous n’en parlerons pas ainsi que le veut la politique de W.T.R. Il faut tout de même reconnaître que PACO se démène toujours comme un beau diable pour organiser des concerts un peu partout dans la région. Et c’est tout à son honneur. Merci mister !

 

RAKEL TRAXX

Après être allé faire un tour au stand boisson et nourriture, revoilà les copines et les copains qui se ruent sur les premiers rangs. Une avalanche de décibels fait trembler le Réservoir. Le glam explosif et déjanté des RAKEL TRAXX est sur le point de démarrer.

L’entrée de “Can’t you see”, tiré de leur second album, donne le top départ de ce set. SHANON DOLLZ le chanteur est remonté comme un coucou. Il est brûlant comme du charbon ardent et le public lui mange déjà dans la main.

Et on continue avec “Prostitute night” de leur premier LP. Les deux gratteux ZANTOLO et SQUALL sont à fond. Ils balancent des riffs inspirés en triturant leurs cordes respectives. « Bonne mère ! ça remue dans les brancards » !

Ni une ni deux, voici qu’arrive “I need you honey” encore tiré de leur premier album. Le public hurle à tue-tête et réserve un accueil bouillonnant à SWYLDE le nouveau bassiste. Quel gros son de basse ! 4 cordes lui suffisent pour bouger dans tous les sens. Il assure vraiment le show et en plus il a une sacrée voix.

Les marseillais enchaînent parfaitement les titres de leur dernier album sorti en fin d’année dernière. “Red n’hot”, “Cry n’die”, “Lady got a gun”, “Hey hey”, que des tubes qui s’accrochent dans votre cerveau tel une moule sur son rocher. On est tous dingues de leur musique !

RAKEL TRAXX

SHANNON, particulièrement en verve ce soir, nous interpelle toujours en anglais. C’est sûrement dû à leur récente virée italienne, il ne doit pas s’en être encore remis !

Et voilà un petit medley, avec des extraits de TWISDTED SISTER, OZZY, GUN’S N’ROSES, POISON et MOTLEY. Le glam, très sleaze par moment, des RAKEL TRAXX emporte le public.

Sans coups férir, voici que le groupe libère le titre “Let me take”, tiré de “Bitches Palace”, leur premier effort, puis “You’ll never stop the game”, un autre titre du dernier LP.

LESTE, le batteur fou, insuffle un groove et une puissance sans commune mesure au groupe. Quel show explosif ! J’aimerai bien voir l’état des toms après ce concert !!

Les gratteux se répondent coup pour coup. SQUALL, avec son T-Shirt de DR HOUSE, casquette vissée sur la tête, se frotte au public. ZANTOLLO, torse nu fait apparaître ses tatouages, le visage enfoui sous son épaisse tignasse et fait riffer sa guitare. SWYLDE court régulièrement de long en large de la scène, comme s’il y avait le feu sur la Canebière. C’est parfait pour le style. Des larsens récurant sortent de la scène et gâchent un peu le show. Mais qu’à cela ne tienne, les RAKEL ont décidé de jouer coûte que coûte et ce n’est pas quelques petits problèmes de son qui va les empêcher de faire rocker le Réservoir.

L’intensité ne baisse pas d’un cran. Quel punch incroyable de ces cinq gaillards ! C’est l’éclate la plus totale.

RAKEL TRAXX

Après un “Together” de toute beauté, un nouvel hymne à l’actif du groupe retentit. C’est “I need your love tonight”. Joué depuis pas mal de temps dans leurs shows, ce titre est une vraie pépite. Il est bien rôdé et fait hurler les copines qui n’en demandent pas tant, tellement elles sont à fond.

Maintenant, le groupe balance en pâture aux spectateurs “Love me pretty baby”. Encore un hymne à l’actif du groupe. Les fidèles resserrés aux premiers rangs n’en perdent pas une miette. Les membres de BLACKBURST sont dans le public aussi, assistant avec ferveur au show des marseillais.

Le groupe tape juste entre les deux yeux d’un public aux abois. Les absents qui auraient pu combler les espaces vides ont eu tort, les RAKEL TRAXX assurent comme des bêtes. Et avec le sourire, s’il vous plait !

Le groupe nous assène le coup de grâce lorsqu’ils se décident à jouer “Give me your love”.

« Where are the girls? » demande SHANON. « Come on on stage! ».
Et c’est parti ! Les filles ne se font pas prier pour monter rapidement sur la scène. Elles sont très vite rejointes par tout le monde. L’ambiance devient complètement déjantée et je me demande comment font les musiciens pour jouer. La bouteille rose des RAKEL TRAXX coule à flots dans les gorges des copains et des copines. Elle est largement diffusée par le staff du groupe et les membres de BLACKBURST. Ça devient démentiel sur scène !!

“Cum’on feel the noise”, le titre de SLADE, repris en son temps par QUIET RIOT, dessoude la salle avant de renvoyer tout le monde à la maison. PACO est même venu chanter les refrains avec les marseillais.

RAKEL TRAXX

Le groupe a joué à plein régime et, malgré la route qu’ils auront à faire le lendemain, les RAKEL TRAXX n’hésitent pas à venir rapidement au stand merch’ pour signer autographes sur autographes, prendre des photos avec leur public et tailler la bavette. Des gens simples et super sympas.

Ce soir, les RAKEL nous ont filé une rouste et, comme on dit chez eux, « Oh, peuchère ! » !!!!

 

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