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SILVERTRAIN

Aujourd’hui, je suis content. Même triplement content. Premièrement, je vais en concert pas loin de ma base, dans une salle cool où je ne vais pas souvent, deuxièmement, je vais revoir mes copains de SILVERTRAIN que je n’ai pas vus avec leur nouveau line up et troisièmement, je vais enfin pouvoir revoir en live LOOKING FOR MEDUSA sans à avoir faire des heures de route ! Si Ti-Rickou ne vient pas à toi, viens à Ti-Rickou !!!

Bon, je vous imagine déjà penser que je vais quand même me démerder pour louper une partie du set de MEDUSA… Que nenni, bande de mauvaises langues ! Je suis même en avance !! Eh oui… J’ai donc le temps de dire bonjour aux groupes, de dire bonjour aux copains et copines et à RAPH et LAETITIA les patrons des Arts dans l’R qui nous accueillent ce soir.

LOOKING FOR MEDUSA

Le temps de s’installer confortablement sur une chaise – ou un fauteuil au choix – et LOOKING FOR MEDUSA arrive sur scène. Bien sûr, je n’en loupe pas une miette ! D’entrée de jeu, je sais que ça va le faire. Que ce soit sur leurs anciens morceaux ou sur les nouveaux (un nouvel album doit bientôt sortir), je m’éclate comme un petit fou. Il faut dire que j’ai eu un véritable coup de foudre pour ce groupe, aussi bien au niveau des compos que de l’interprétation ou de la voix d’OLIVIER, le chanteur.

Musicalement, on va dire qu’on est dans du hard-rock avec, suivant les morceaux, diverses influences. Mais de toute façon, ça passe toujours très bien. J’ai un petit bémol pour un morceau en français un peu dans le style de TRUST moderne (mais bon OLIVIER n’a ni chemise à fleurs ni bob sur la tête). Pas que ce morceau soit mauvais mais j’apprécie moins cette direction. Sinon, les nouveaux morceaux donnent vraiment envie d’avoir l’album.

LOOKING FOR MEDUSA

Scéniquement, les musiciens profitent de cette superbe scène pour pouvoir s’exprimer et malgré le fait que la salle ne soit pas blindée, l’ambiance est très bonne. Comme d’habitude, le public assis, ça fait bizarre ; ce n’est effectivement pas la même chose, mais perso je trouve que ça donne un côté “concert en famille” que j’apprécie beaucoup.

Les LOOKING FOR MEDUSA ont un coeur gros comme ça. Ils dédicacent une reprise du Thundertrucks” d’AC/DC (fait méga rare pour les MEDUSA qui font rarement des covers… sauf en les arrangeant totalement à leur sauce). Mais là, c’est spécialement pour PHIL YBORRA, le chanteur de SILVERTRAIN qui vient d’apprendre quelques heures avant le concert le décès de son père. Ils demandent au public de bouger et de se lever. PHIL vient sur scène pour chanter et les serrer contre lui. C’est un vrai moment d’émotion.

Les lumières se rallument pour le changement de plateau. Moi, j’en profite pour savoir où en est l’album de MEDUSA car effectivement, je suis impatient du coup ! Bien sûr, je chroniquerai cet album dès que je l’aurais !

SILVERTRAIN

C’est l’heure pour SILVERTRAIN de monter sur scène. Pour PHIL, quoiqu’il se passe, il joue. En parlant avec lui, il m’a dit qu’il n’avait jamais annulé un concert de SILVERTRAIN et vues les circonstances présentes, je lui tire un grand coup de chapeau… Surtout quand on sait que certains musiciens se permettent d’annuler un concert parce qu’ils sont mal lunés ou que leur copain a été méchant. Je ne sais pas vous, mais moi, ça renforce mon respect.

Allez, comme dit l’adage, show must go on, c’est parti ! La dernière fois que je les avais vus, le batteur et le bassiste actuels n’étaient pas les mêmes. Je suis donc curieux de voir le groupe en action et ce que ça va donner.

SILVERTRAIN

Et encore une fois, ça part fort !… Et ça le fait ! Les deux bougres, ils les ont bien trouvés ! SEBASTIEN HINDERSCHIETT, le bassiste est un vrai lapin Duracel monté sur ressorts. Moi, je suis un peu dégoûté parce que chaque fois qu’il saute (et il saute haut !), je n’arrive pas à le choper en photo ! Et putain, ça déménage !

Musicalement, rien à dire, ça le fait grave. En plus, avec son compère derrière les fûts (ALEX DUMAS), c’est une section rythmique très efficace. On s’en rend compte sur les nouveaux morceaux d’un album qui doit sortir très très bientôt, c’est parfait ! Le guitariste, lui je le connais ! FLORIAN MERINDOL maîtrise parfaitement son instrument et l’alchimie fonctionne à fond avec les nouveaux membres du groupe.

PHIL, avec ce sang nouveau, ça fonctionne aussi très bien. Bon, il faut avouer que moi, j’aime sa voix ! Après, sur les nouveaux morceaux, j’ai trouvé qu’il prenait une intonation un peu en voix de nez à la OZZY OSBOURNE et que sur ces morceaux, rien à dire, ça fonctionne. Surprenant le virage, mais ouais, ça le fait ! C’est à la fois moderne et hard et vraiment en live, ça dépote.

On va avoir la chance d’entendre pas mal de morceaux de leur futur album et quelques morceaux de leurs albums précédents. Eux aussi, tout comme les LOOKING FOR MEDUSA, sont méga heureux de jouer et PHIL est encore plus heureux de rejouer aux Arts dans l’R. Le public toujours bien installé n’en perd pas une miette. C’est vrai qu’on n’a pas trop l’habitude d’assister à un concert assis, mais quand c’est le cas, on apprécie bien.

Comme toujours dans ces cas-là, le temps file à la vitesse de ma grand-mère en overboard dans la salle de bain.

SILVERTRAIN et LOOKING FOR MEDUSA

Bien-sûr, SILVERTRAIN ne va pas clôturer le concert comme ça, ils font venir les MEDUSA sur scène pour faire une photo groupée avec eux. C’est ça SILVERTRAIN, une véritable générosité dans la musique et dans la vie.

Dès la fin du concert, on retrouve les deux groupes à leurs stands merch’ pour poursuivre la soirée. Pour l’after, je le garde pour moi !!!

Un grand merci à LAETITIA et RAPH pour avoir programmé et maintenu cette soirée. Un grand merci aux LOOKING FOR MEDUSA et SILVERTRAIN d’être venus jouer et bien sûr un spécial merci à DOM et PHIL.

Long live rock’n’roll my friends !!!

SILVERTRAIN

PARADISE LOST

Bon, quand deux jours avant la date, tu es en train d’hésiter sur trois concerts auxquels tu pourrais aller et que tu reçois un mail te disant que tu es accrédité pour un quatrième, le choix redevient forcément plus simple. En plus, ça fait un bout de temps que je n’ai pas mis les pieds chez nos voisins suisses à Genève et plus précisément à l’Usine. Bon d’accord, je ne vais pas vous refaire sempiternellement la blague sur ” Ti -Rickou à l’usine” ou celle où je vous dis que je suis obligé d’y aller car je n’ai plus de chocolat à la maison ! Mais si je ne vais pas voir PARADISE LOST à Genève, ce sera à Grenoble et pour se garer à Grenoble, c’est encore bien plus compliqué qu’à Genève !

Oups, vu qu’il y a trois groupes, l’ouverture est prévue plus tôt que d’habitude là-bas… Et ce n’est pas forcément la bonne heure pour y accéder facilement. Comme je suis un petit garçon prudent, je me prends une marge de trois quart d’heure, ça devrait être tout bon…

Heu… c’était sans tenir compte de la pluie diluvienne, des feux bicolores, de mon GPS qui décide de me faire visiter le centre-ville et des suisses taquins qui ont mis des blocs en béton là où j’ai l’habitude de me garer ! Du coup, j’arrive juste quand le deuxième groupe – sur une affiche de trois – se prépare à commencer.

PALLBEARER

A peine dans la salle, je me souviens que pour les photos, ça va être coton car la lumière, ce n’est pas forcément le truc que PARADISE LOST apprécie…

Et PALLBEARER me le confirme ! Bon, c’est une découverte pour moi. Je ne les connais absolument pas – le premier qui me dit que je n’ai pas travaillé mon dossier, je l’envoie jouer avec sa grand-mère sur une piste de bobsleigh, lol –  et donc, c’est la surprise totale. Le style, on va dire que c’est plutôt doom stoner. C’est bien fait, plutôt agréable et musicalement et visuellement, mais c’est le genre de groupe dont  je ne suis pas sûr de me rappeler dans quinze jours que je les ai vus en live. Mais bon, je ne regrette pas le moment et j’apprécie leur prestation tout comme le public de l’Usine, bien remplie ce soir.

Bon allez, c’est l’entracte. Comme d’hab’ à Genève, vous savez que pour nous, les français, c’est un peu “expensive”. Tu consommes donc forcément avec ton copain “modération”.

PARADISE LOST

Ce que j aime ici, c’est que l’attente entre les groupes est courte et donc, PARADISE LOST ne tarde pas à monter sur scène.

Le fait que je vienne voir PARADISE LOST doit en étonner quelques uns, mais je dois vous dire que j’ai toujours aimé ce groupe. Bon bien évidement plus sur certains albums que sur d’autres !! Je les ai vus à plusieurs reprises et je n’ai jamais été déçu.

Et là, ça fait pas mal de temps que je ne les ai pas vus en live. D’ailleurs, je suis très surpris du look qu’ils ont maintenant ! Le guitariste a carrément une coupe iroquoise et le NICK HOLMES, chanteur s’est coupé les cheveux !! Sinon au niveau lights et ambiance scénique, pas de surprise.

PARADISE LOST

Les morceaux de “Médusa”, leur dernier album passent très bien en live. La set list est bien équilibrée entre anciens morceaux et nouveaux. J’ai bien sûr mes préférences. Par exemple, je n’aime pas trop leurs morceaux un peu modernes et limite dansants avec un côté death, mais bon il en faut pour tous les goûts.

Le public de l’Usine est conquis et l’ambiance est méga bonne ; pas d’énergumènes qui slamment. Tout le monde s’éclate sans mettre ses voisins sur les nerfs.

Le groupe évolue sous des lumières et des fumigènes qui donnent une ambiance très tamisée. Cette ambiance convient parfaitement à leur musique très doom métal, goth, death.

Le voyage dans leur monde va se terminer d’un coup. Allez, c’est fini. Moi, je ne regrette pas du tout d’être venu ce soir. Très bon set des anglais avec un son très bon dans une salle que j’aime.

Bon, pas sûr qu’à cette heure, je vais trouver du chocolat, moi !

PS : merci à l’Usine pour cette soirée.

PARADISE LOST

SATAN JOKERS

Bon, la nuit a été courte et il faut que je me remette la tête à l’endroit vite car avant le concert SATAN JOKERS fait une dédicace chez Adipocère. J’avoue que j’ai déjà tout de signé mais ça me donne l’occasion d’aller dire bonjour aux copains et de jeter un oeil sur les CD de Christian. Heu… d’accord chérie, j’y vais sans ma carte bleue !!! Lorsque je débarque, il y a déjà un peu de monde ans le magasin mais RENAUD HANTSON et sa bande ne sont pas encore là. Ambiance entre potes aux magasin avant de pouvoir faire des photos, signer des disques, des CD ou des photos par un groupe qui se prête au jeu avec sourire et gentillesse. Le temps de papoter un peu et il faut que je reparte pour manger un bout quand même ! C’est méga cool de ne pas être loin de sa base : pas de saucisse-frites !!!

Comme je suis pas loin, je ne me presse pas et donc je vais finir par être, comme de juste, à la bourre… Surtout que quand j’arrive, je tombe sur un copain parisien et que devant la porte, il y a deux templiers en civil (la sécurité ce soir est assistée par la Maisnie du Chevalier Dragon qui ont participé au tournage du dernier clip de MESSALINE !).

Donc papotage et lorsque je finis par entrer dans la salle, SALHEM est en train de jouer !!! Du coup, je fonce vers la scène pour faire des photos. Les lumières sont cool, le son est bon et en plus j’arrive juste pour des morceaux que j’aime de leur dernier album. Ca tombe bien ! En plus, sans les effets sur la voix, c’est vraiment mieux !

SALHEM évolue dans de bonnes conditions et devant pas mal de monde. SALHEM joue à domicile ce soir et ça le fait !! Même le cover de LAVILLIERS passe bien. Dommage que j’ai loupé une partie de leur show car c’est vraiment la prestation que j’ai préféré du groupe.

Allez, c’est la pause. Papotage avec les copains copines dont une partie était avec moi hier soir – ou ce matin de bonne heure au BDZ. Retrouvailles avec DIDIER IZARD (le chanteur de H-BOMB) qui n’est autre que le père de JULIEN IZARD, chanteur guitariste de EXISTANCE.

MESSALINE

Je suis obligé de le laisser car MESSALINE monte sur scène. Pas de chasuble de templier pour ERIC MARTELAT mais elle est posée pas loin ! Allez, MESSALINE joue à domicile aussi et attaque à donf ce concert en terrain conquis.

La set list est issue de leurs différents albums, des morceaux que la majorité du public connaît. Et il le prouve en reprenant les refrains. Les morceaux de MESSALINE sont taillés pour ça. ERIC, JAIME, MICHAEL et JIMMY nous livrent un set très homogène. Ils sont méga heureux de rejouer dans cette salle. Ils bénéficient eux-aussi d’un son très bon ce qui contribue bien-sûr à la prestation du groupe.

Allez, petit enfilage de chasuble de templier pour ERIC “Chatos” qui interprète un morceau de leur dernier album. Et pour finir, je suis toujours content lors de leurs concerts de pouvoir chanter “Souffler dans le cul de Lucifer” !

Voilà, ça faisait un petit bout de temps que je ne les avais pas vus en live et je viens de m’apercevoir que ça me manquais. OK, j’avoue, je suis un peu fan quand même !

EXISTANCE

Allez, une petite pause papote avec les copains avant de retourner dans la salle pour EXISTANCE. Bon, EXISTANCE, je ne m’en cache pas, je suis fan ! Je les suis depuis le début et je ne manque pas l’occasion de les voir en live. Et comme l’occasion ne s’est pas présentée depuis le changement de batteur et de bassiste il y a deux ans à peu près, je suis aux taquets, impatient de voir le nouveau line up en action !

Et waouh, d’entrée de jeu, ça part fort ! Musicalement et scéniquement, EXISTANCE, c’est une grande baffe in the face et un putain de vent frais qui nous arrive. Visuellement, ça bouge grave, ça pose, mais c’est dans l’action donc pas cliché.

Le groupe n’a pas de points faibles, tous les musiciens sont raccords. ANTOINE POIRET est parfait à la guitare et JULIAN IZARD est bien sûr impérial. Je trouve qu’il a encore progressé dans ses montées vocales. Il me scotche grave dans ses nouveaux morceaux. 

EXISTANCE a eu un énorme coup de bol d’être tomber sur GERY CARBONNELLE (le batteur) et JULIEN ROBILLIARD à la basse), des musiciens qui s’intègrent comme ça au groupe. On a l’impression qu’ils ont toujours été là.

Je ne suis pas le seul à prendre une tarte, la salle headbangue comme un seul homme. Leur set est puissant et efficace, mené de bout en bout avec la fougue de la jeunesse et l’expérience de la scène que EXISTANCE pratique sans faille. Ceux qui les découvrent ce soir comprennent tout le bien qu’on dit de cette formation. Ils sont sans hésitation l’un des fers de lance de la nouvelle génération… et pas qu’en France !

Bon, je reprends mes esprits après leur putain de prestation. Ca prend un petit peu de temps… surtout lorsqu’on papote avec les copains de cette méga-prestation avant l’arrivée du nouveau groupe de la soirée à qui incombe de finir la soirée et bien-sûr de passer après ces jeunes fous furieux.

SATAN JOKERS

Et c’est SATAN JOKERS à qui incombe cette tâche. Bon, RENAUD HANTSON et les siens sont tous des vieux briscards de la scène, habitués à jouer devant n’importe quel public. En plus, ils attaquent sur deux morceaux du SATAN JOKERS 80, les fourbes ! Sachant que le public va forcément adhérer à “Sorcier” et “Pas fréquentable” qui sont un début de set bigrement efficace.

Après on va aller dans des albums plus récents. L’ambiance retombe un peu avant que le groupe reparte en force dans leur ancien répertoire bien représenté ce soir sur la set list. La raison en est que SATAN JOKERS va ressortir prochainement ses anciens morceaux avec un orchestre symphonique.

Personnellement, je ne boude pas mon plaisir de ré-entendre des morceaux que j’adore !

SATAN JOKERS

SATAN JOKERS

Bien sûr, une prestation de SATAN JOKERS ne serait pas une prestation de SATAN JOKERS sans les sempiternels épisodes de solos de basse, de guitare et de batterie. Bon, vous allez me dire que quand on a PASCAL MULOT à la basse et AUREL à la batterie, on peut se permettre de leur laisser faire de solos !

Et bien sûr, un show de SATAN JOKERS ne serait pas un show de SATAN JOKERS s’il n’y avait pas une surprise à la fin. La dernière fois à Lyon, la surprise c’était la participation de STEVE ESTATOF, et là – on va voir s’il y en a qui ont suivi le report précédent – c’est un hardos qui gagne une tringle à rideau ! Non je déconne, c’est CHRISTOPHE GODIN qui rejoint son batteur AUREL et le reste de SATAN JOKERS pour un cover de DEEP PURPLE. Le public est bien sûr méga heureux. Les musiciens s’éclatent comme des petits fous. Pour poursuivre ce moment, ils font monter THIERRY COLLET de SALHEM et JULIEN IZARD d’EXISTANCE avec en renfort aux choeurs ERIC MARTELAT de MESSALINE. Ils clôturent le show sur un hymne heavy metal qui sera repris en choeur : “Breaking the law” de JUDAS PRIEST.

SATAN JOKERS

Là, la messe – noire ? – est dite. Le BEAST IN BRESSE, édition 2017, se termine. Les personnes présentes n’ont pas été volées. Dommage que le public n’ait pas été plus nombreux car là, la fête aurait été complète. Mais nous, on s’en fout : on est là et on continue avec les copains, on profite de voir ceux qu’on ne voit pas souvent, on déconne avec EXISTANCE, on rigole… Et on est tellement bien qu’on ne voit pas le temps passer ! Si ça continue, la boulangerie va finir  par ouvrir avant qu’on soit partis !

Un grand merci aux organisateurs, un méga PS à tous les copains copines croisés ce soir et un big up tout spécial à mon ami DIDIER IZARD, à qui je souhaite qu’on recommence et qu’on se revoit très bientôt.

Long live rock’n’roll !

SATAN JOKERS

YANN ARMELLINO & EL BUTCHO

J’ai pris l’habitude de faire des interviews dans les loges du BDZ et, il faut le dire, j’ai aussi pris l’habitude de faire des interviews de BUTCHO quand je le croise avec un groupe différent.

Donc évidement, je n’ai pas pu me retenir sur ce coup-là et j’ai fait une interveiw de BUTCHO et de YANN ARMELLINO !

Mais je n’avais pas pensé qu’on aillait autant s’amuser !

Entretien réalisé le 06 octobre 2017 au Brin de Zinc de Barberaz

YANN ARMELLINO & EL BUTCHO

Entretien réalisé le 06 octobre 2017 au Brin de Zinc de Barberaz