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NASHVILLE PUSSY @ le Brin de Zinc – 10 août 2018

Report de Steve*74
Photos : Melany Wild 

En regardant la programmation des concerts pendant l’été, on trouve d’habitude une majorité de dates dans des festivals en tout genre. Disséminés aux quatre coins de l’hexagone, ils permettent aux autochtones ou touristes d’allier vacances et concerts. Alors qu’une quiétude certaine me gagne, je tombe sur une annonce plus que surprenante : les NASHVILLE PUSSY au Brin de Zinc, en plein mois d’août !! Après avoir relu deux fois l’info et m’être pincé le bras, je réalise que je ne rêve pas. Aucune hésitation à avoir, direction Chambéry !

Bien que mes acolytes du webzine soient absents pour cause de vacances, moi, vaillant comme un grenadier de la garde napoléonienne, je reste fidèle au poste ! Les Dieux sont décidément de mon côté, alors que ces derniers jours une douce canicule régnait sur la région, la pluie de la veille a bien fait baisser la température ambiante. Je respire car l’atmosphère du BDZ sera respirable ce soir.

NASHVILLE PUSSY @ le Brin de Zinc – 10 août 2018

Eh oui, aujourd’hui la salle annonce sold-out, comme quoi une bonne programmation fait venir du monde quelle que soit la saison ! J’arrive donc tôt pour être bien placé pour les photos car il n’y a pas de crash barrières et passé le troisième rang on ne voit plus vraiment très bien. D’ailleurs d’autres photographes ont eu la même idée et trônent déjà devant la scène.

Avec juste quelques minutes de retard sur l’horaire annoncé, la musique de l’intro retentit pendant que les musiciens traversent la salle en fendant le public. Les loges étant situées à l’extérieur, ils ne peuvent qu’emprunter ce chemin pour rejoindre la scène. Personnellement, j’aime beaucoup cette proximité, je trouve ça nettement plus sympathique.

Ah oui, j’ai oublié de préciser qu’il n’y pas de première partie pour nous permettent de chauffer nos cervicales avant nos amis américains.

NASHVILLE PUSSY @ le Brin de Zinc – 10 août 2018

Arrivés sur scène et dos au public, ils vérifient l’accordage et attendent la fin de l’intro avant de nous envoyer un direct dans les dents avec “Kicked in the teeth”. D’entrée, ils sont à fond et n’observent pas de round d’observation. Ils ne connaissent pas le rodage ni la pédale de frein. Le second morceau “Piece of ass”, résume à lui tout seul la teneur des textes de la soirée. Nous n’avons pas en face de nous des philosophes. Ils vont à l’essentiel et parlent vrai, sans fioritures et tant pis pour les oreilles chastes. Heureusement qu’une grande partie du public ne parle pas l’anglais.

RUYTER SUYS, la guitariste arbore un short et des bas ou plutôt des collants à résille, tandis que BONNIE BUITRAGO, la bassiste porte un haut transparent avec quelques dessins dessus, le tout en partie caché par une veste sans manche. On montre tout en cachant. On provoque par les paroles, par l’habillement, par les postures et le jeu de scène mais on ne dépasse jamais les limites, tout du moins face au public

Musicalement, c’est du bon gros hard rock’n’roll croisé avec du sudiste, Comme ils sont natifs d’Athens en Georgie, c’est logique qu’ils insufflent le souffle chaud du sudiste à leurs morceaux, il coule dans leurs veines. C’est le contraire qui aurait été anormal.

NASHVILLE PUSSY @ le Brin de Zinc – 10 août 2018

BLAINE CARTWRIGHT, le guitariste chanteur, ne communique pas beaucoup avec les spectateurs. Avec son légendaire chapeau vissé sur la tête, il reste concentré sur son chant. C’est l’élément statique de la formation, les deux filles bougeant dans tous les sens. RUYTER en véritable tigresse ou lionne avec sa crinière blonde qui lui cache le visage et qui volette à chacun de ses nombreux mouvements remporte haut la main la palme de l’énergie dépensée ce soir. Elle n’a pas inventé le système du mouvement perpétuel mais elle l’applique à la lettre sans relâche. Quelle énergie !!

La température a monté de plusieurs degrés et des traces de sueur apparaissent chez mes voisins ainsi que sur les visages des musiciens. Pour se rafraîchir BLAINE et RUYTER boivent de l’eau !! Je vis un rêve éveillé !! Auraient-ils tellement changé ?? Quelques morceaux plus tard, je suis rassuré, je retrouve ceux que j’ai connu, des gens qui boivent de la bière et du whiskey.

BLAINE qui décidément doit avoir chaud et soif, enlève son chapeau pour y verser dedans une bouteille complète de bière et ensuite de le renverser pour boire tel un basque le précieux liquide qui dégouline de son couvre-chef. Et quoi que vous pensiez, il remet son chapeau sur son crâne une fois la dernière goutte tombée. Amis de la poésie, passez votre chemin… Son principal jeu de scène quand il pose sa guitare consiste à faire basculer le pied de micro vers le premier rang des spectateurs avant de le rattraper au dernier moment par le fil. Après quelques frayeurs au début, plus personne ne bouge lors de ses nouvelles tentatives de jets.

NASHVILLE PUSSY @ le Brin de Zinc – 10 août 2018

C’est définitivement un groupe live avec des morceaux survitaminés qui prennent une dimension autre que sur disque. C’est la première fois que j’assiste à un concert avec BEN THOMAS à la batterie. Le bougre assure avec BONNIE une rythmique sans faille qui laisse de la place à RUYTER pour ses solos incandescents. Qu’importe la taille de la scène ou du nombre de spectateurs, ils font le show pour notre plus grand plaisir !

Toujours en finesse avec “Struttin’ cock” et un “Go motherfucker go” pour finir en beauté ce concert. RUYTER, toujours elle, se met à genoux, crache une rasade de whiskey sur une partie du public et arrache une à une les cordes de sa guitare pendant les derniers accords du titre.

Forcément les dernières notes sont discordantes mais tout le monde s’en fiche royalement et même en redemande !! Un peu comme Jules César à l’époque, ils peuvent aussi dire Veni, vidi, vici (je suis venu, j’ai vu, j’ai vaincu). Ils ont définitivement mis tout le public dans leur poche.

NASHVILLE PUSSY @ le Brin de Zinc – 10 août 2018

Comme il fait beau et chaud presque tout le monde reste dehors pour boire un verre ou décortiquer le concert auquel nous venons d’assister. Le fait de rester nous permettra de rencontrer tous les musiciens qui viendront à la rencontre de tous pour les traditionnels selfies et dédicaces. Vive la proximité de cette salle qui permet des rencontres interdites dans les grosses structures !

Encore un concert à marquer d’une pierre blanche. Un grand merci au Brin de Zinc de nous proposer de telles soirées. A refaire les gars !

NASHVILLE PUSSY @ le Brin de Zinc – 10 août 2018

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NICK OLIVERI

 

  • Tu n’as pas chaud, chérie ?
  • Ah si, il fait vraiment trop chaud !
  • Heu… tu ne crois pas qu’il ferait meilleur à Chambéry ?
  • Ben si évidement ! Mais tu veux y faire quoi au juste…
  • Ben, t’aurais pas envie d’aller au Brin de Zinc, par hasard, toi ?Heu… C’est une idée comme ça… Parce qu’il fait meilleur là-bas et que ça fait un bail qu’on n’y est pas allés… Et qu’en plus, il y a NICK OLIVERI qui y passe !
  • NICK quoi ?
  • NICK OLIVERI… KYUSS… QUEENS OF THE STONE AGE… le fou furieux ! 

Et voilà comment on se retrouve devant le BDZ, yes !! Même moi, je suis étonné par le monde qui attend devant la salle un dimanche ! Etonné aussi par le manque de têtes connues pour cet événement. Quand un copain me demande si Steve*74 vient, je lui répond que l’acoustique et Steve ça fait deux. Oups, j’avais peut-être oublié un petit détail, c’est de préciser à ma femme aussi que c’était en acoustique !

Sauvé par le gong ou plutôt en l’occurrence par NICK OLIVERI qui est dehors et qui vient papoter avec moi. Ca c’est méga cool de faire connaissance avec lui !

Je ne vois le temps passé que quand on vient le chercher pour qu’il monte sur scène. Tout seul avec sa guitare. Heu ça aussi, je ne l’avais pas forcément précisé. Mais avec lui un simple show acoustique, c’est forcément du death acoustique car comment décrire autrement ce à quoi on a droit ? Il est tout bonnement hallucinant !!

Sa performance est époustouflante. Il est comme possédé et chaque morceau, il le vit intensément.

NICK OLIVERI

Après je ne reconnais pas tous les morceaux qu’il interprète mais il pioche dans tout son énorme répertoire. Une grande partie du public – dont certains sont venus de très très loin pour cette date – reprend les refrains avec lui. Il y a une mega ambiance dans un BDZ bien fourni. Et même quand certains dépassent les limites de la bienséance en montant sur scène et en le perturbant pendant son morceau, il reste zen et cool… Plus qu’une partie du public qui en ferait bien de la chair à pâté ! Mais il en faudrait plus que cet intermède pour perturber NICK OLIVERI. 

Moi, je suis impressionné par son énergie, ses expressions de visage, ses changements de voix. C’est vraiment une grosse baffe. Et en plus, je n’ose imaginer ce que ça pourrait donner en version électrique avec un band avec lui.

Bon, il a été assez calme aujourd’hui, il n’a pas terminé naked… au grand désarroi des copines présentes ! Eh oui, ça lui arrive, il a des tendances naturistes, le monsieur !  

Allez, comme je le dis souvent, tout a une fin sauf la banane qui en a deux. On sort prendre l’air, papoter avec les potes, échanger nos impressions entre ceux qui ont adoré et ceux qui ont adoré les deux premiers morceaux. Mais le sentiment général est que c’était un show vraiment intense, à ne pas louper. Ce mec est, dans le bon sens du terme, carrément barge.

Et bien-sûr après le concert, il se plie au jeu des photos et des autographes. C’est impressionnant de voir le contraste entre le personnage sur scène et en off. Il est adorable et dégage l’impression qu’il est quelqu’un de foncièrement bon. En espérant que je puisse enfin le voir avec une de ses formations en électrique. Sur Lyon, ce serait vraiment top ! 

Allez, le temps de prendre congé de THOMAS, le gérant du Brin de Zinc, qui me dit de revenir le 10 août pour le concert de NASHVILLE PUSSY. Malheureusement, ce ne sera pas jouable pour moi mais W.T.R.* sera bien-sûr présent. Tu peux y aller Steve, ce n’est pas en acoustique, lol !!

NICK OLIVERI

 

© Alexandre Coesnon Photography

Bon allez, retour à la case Saint-Julien-en-Genevois pour le dernier jour de l’édition 2018 de Guitare en Scène.

Je suis un peu dégoutté d’avoir loupé le samedi car non seulement il y avait HOLOPHONICS, CHRISTOPHE GODIN et, dans une moindre mesure pour moi, ZUCCHERO mais j’ai appris en arrivant que ULI JON ROTH avait fait le boeuf avec CHRISTOPHE GODIN !

C’est bizarre mais je l’avais un peu subodoré et j’aurais bien aimé voir çà, moi !

58 SHOTS @ Guitare en Scène 2018

Mais bon pas le temps de me poser cent mille questions, ça commence sur la scène village. Les finalistes du tremplin, les 58 SHOTS, vont réveiller tout le monde ! Et moi, 58 SHOTS, eh ben, je suis fan !

Rien de tel pour commencer une soirée fest que leur hard-rock mâtiné de AC/DC et de LED ZEPP (bref que de bonnes influences) ! Ce soir, ils ont décidé de la jouer “les freins, c’est pour les lâches” et “le rock’n’roll, c’est bon pour les neurones” : ils démarrent à fond la caisse.

Leur guitariste chanteur a un putain de charisme et une putain de voix rock’n’roll. Leurs morceaux attirent les festivaliers déjà entrés sur le fest comme des mouches devant la scène. Ceux qui ne les connaissent pas se prennent une grande tarte dans la tronche.

Il faut dire que c’est juste excellent ! Pas de fioritures, juste du putain de rock’n’roll comme on l’affectionne.

Les festivaliers habitués à découvrir des groupes qui déboîtent leur grand-mère sont aux anges. Bien-sûr, pour ceux qui sont venus,  comme c’est souvent le cas le dimanche, pour la tète d’affiche – c’est-à-dire STING – ne vont pas forcément se mettre en avant-scène, lol ! Mais bon, 58 SHOTS s’en bat totalement.

58 SHOTS @ Guitare en Scène 2018

Ils continuent à dérouler leur set, ils s’amusent, ils s’éclatent, bref, ils sont en finale ! Et ils y mettent tout ce qu’ils ont. Ils profitent de la scène et du son et ça fonctionne grave… A tel point qu’on apprendra après le concert que ce sont eux les vainqueurs du tremplin cette année.

A la fin de leur set, le monde qui les rejoint à la tente pour acheter du merch’ leur prouve qu’en plus d’avoir gagner, ils ont conquis de nouveaux fans. Moi bien-sûr, je ne suis pas déçu, bien au contraire. Ils me confirment ce soir que c’est un groupe à suivre et j’attends avec impatience leur nouvel album.

Bon, ça repart sur la même scène avec des suisses, ou plutôt des franco-suisses : THE TWO. Euh… comment on va dire ? Ben, ils sont deux, ils ont des guitares métal à caisse ouverte (aucune idée de comment ça s’appelle) et ils jouent en acoustique.

Musicalement, c’est un mélange de blues et de folk. Bon c’est sûr qu’après les fous furieux de 58 SHOTS, ca change d’ambiance mais c’est bien fait, pas désagréable. On est OK, je ne vais pas me précipiter pour acheter le CD mais je ne m’enfuis pas non plus. Le genre de découverte que Guitare en Scène adore nous proposer.

ALEX FRANCIS @ Guitare en Scène 2018

Bon, c’est fini pour aujourd’hui pour la scène village. Direction maintenant la scène chapiteau, pour une totale découverte pour moi : ALEX FRANCIS… que je ne connais bien sur ni d’Eve ni d’Adam. Comment ? Comme d’habitude je n’ai pas bossé mon dossier ? Sniff !!

Du coup, ça va être la surprise. Heu… oui… là, effectivement… c’est une surprise ! Comment dire ? C’est assez… dansant, comme dirait ma femme. Un peu funk, un peu soul. Bien dans la thématique de la tête d’affiche. Le public qui commence à être présent en grand nombre sous le chapiteau apprécie.

Moi franchement, même si je trouve ça bien fait, ce n’est pas du tout, mais alors pas du tout mon truc. En plus, c’est l’heure de me faire un repas indien. Miam !!

Euh… pas miam ! Il y a une queue énorme. Je n’ai pas précisé que ce soir, le fest affiche sold out ! Et évidement, je ne suis pas le seul à avoir eu la mauvaise idée de manger maintenant. 

Bon, je vais faire un tour pour dire bonjour à mes copains luthiers car à Guitare en Scène, il y a des stands de disques et des luthiers; luthiers de la région qui proposent des guitares, des basses et des ukulélés, plus dingues et plus beaux que tous les autres. Le temps de papoter avec CHRISTOPHE GODIN, qui lui aussi faisait un tour au stand luthiers, le temps passe vite.

SCOTT SHARRARD @ Guitare en Scène 2018

C’est maintenant au tour de SCOTT SHARRARD de monter sur la grande scène. Comment, ça ne vous dit rien ? Il a longtemps été le guitariste du GREG ALLMAN BAND. Ah, là ça vous parle un peu plus !! Donc là, je suis aux taquets. Il faut dire que SCOTT SHARRARD est aussi une des raisons de ma présence ce soir, hormis le fait que j’adore Guitare en Scène bien-sûr ! Je ne veux pas louper une miette de sa prestation.

Vu le pedigree du monsieur, on se doute qu’il ne va pas faire du jazz ni du black metal mais bien du blues-rock ou du blues. Euh, là, dès le début ça va plutôt être dans un style blues moderne, propre. Pas le style ALLMAN mais bon, les solos sont superbes (non chérie, ils ne sont pas un peu trop longs !), les musicos qui sont avec lui eh bien, ça joue, hein !

Au fur et à mesure des morceaux, on repart un peu plus à ce quoi je m’attendais, du blues-rock. Moi, je suis en admiration devant son jeu. Après il peut être un peu trop technique pour certains. Mais encore une fois, Guitare en Scène propose des musiciens qu’on n’a pas l’habitude de voir et c’est pour ça que ce fest est aussi réputé. Perso, je ne suis pas sûr que je pourrai revoir SCOTT SHARRARD en live de sitôt…  Si je le revois. Et puis moi, les guitaristes, surtout de ce calibre, j’adore ça ! Une bien belle découverte pour moi

Maintenant, direction nourriture ! Euh… ça va être plutôt compliqué de se rendre jusqu’au stand car là le chapiteau et tous les alentours sont full de chez full. En revanche; devant les stands, il y a maintenant beaucoup moins la queue ! Allez, on va manger quand même assez vite.

© Alexandre Coesnon Photography

Même si je ne suis pas un afficionado de STING, ce serait ballot de louper le début. Je suis un peu anxieux de savoir ce que ça va donner avec SHAGGY.

Allez c’est parti “Englishman in New York”, ouais je connais ! Euh, je connais… pas forcément dans cette version. Là, on est plutôt en mode calypso. Déjà que STING n’a jamais caché son amour pour le reggae alors là avec SHAGGY, ça se voit encore plus !

Le ton est donné. On va avoir droit à des morceaux de STING, de POLICE et de SHAGGY. Le public est content car, du coup, il n’aura pas droit au même concert que lors de la dernière prestation de STING à Guitare en Scène.

© Alexandre Coesnon Photography

Moi, je suis très dubitatif. Bon, STING a toujours sa voix, les mélodies sont toujours efficaces. Après, il y a certains morceaux de POLICE qui sont moins impactés par le style calypso que d’autres mais même dans ces versions, ça reste mega efficace. Je suis dans la même position que quand je découvre un groupe de métal qui a un chanteur – ou une chanteuse – avec une belle voix et dont j’aime bien les morceaux mais où, à un moment, il y en a un qui vient faire une voix growl. Là c’est bizarre, les “yo, yo” de SHAGGY me font à peu près le même effet !

Mais bon, je ne suis pas le public cible. C’est vrai que le dimanche une énorme partie du public se déplace exclusivement pour la tête d’affiche. Moi la tête d’affiche, c’était un plus… et ce plus, c’est quand même STING ! Faut pas déconner quand même ! Sans oublier que les ligths et le son sont à tomber !

© Alexandre Coesnon Photography

Allez, c’est la fin. Il fait encore chaud mais on est bien. Je n’ai pas envie de partir, de quitter le site mais il le faut bien car de toute façon je ne peux pas rester jusqu’à l’année prochaine, ça ne va pas être possible, lol ! En tout cas, cette journée aura été une journée riche en découvertes pour moi. Merci Guitare en Scène !

 

PS : merci Alexandre Coesnon pour les clichés de STING et SHAGGY !!

MISS AMERICA

La première fois où j’ai vu les MISS AMERICA en live, j’avais pris une énorme baffe mais je n’avais pas pu leur faire une interview. Je m’étais donc promis que ce n’était que partie remise !

Alors, évidement, quand Guitare en Scène m’a offert l’occasion de les rencontrer, j’ai sauté sur dessus !

 

Interview réalisée le 19 juillet 2018 – Guitare en Scène