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RHAPSODY 2

LUCA TURILLI’S RHAPSODY

Allez, retour en terrain connu, direction Lyon et plus précisément le Kao. Et c’est cool, même si on est en soirée de football européen, je suis sûr que ça ne va pas me poser de problème pour me garer. C’est normal, l’OL a déjà été éliminé et en plus maintenant les matchs ne se jouent plus à Gerland… Ce qui risque de me faciliter la vie de temps en temps !

Bon, ce n’est quand même pas pour ça que je vais arriver forcément à l’heure. Et là, malheureusement c’est le cas. Le premier groupe, les parisiens de QUANTICE, est déjà sur scène. Ils ne m’ont pas attendu pour commencer ! Les salauds !!

QUANTICE 3

QUANTICE

Bon bien sûr, les bonjours ça sera pour plus tard. Je me fraye un passage au travers d’un Kao bien rempli pour pouvoir prendre quelques photos.

Et c’est clair qu’ils les méritent bien. Franchement, c’est toujours quand c’est des groupes sympas que je suis à la bourre, moi ! Et là QUANTICE, c’est typiquement le genre de groupe que j’aime. Bien sur musicalement on est dans un style proche de RHAPSODY.

Le chanteur a une putain de voix et dans ce style c’est vachement important. La musique n’est pas pompeuse et même s’il y a une fille avec un violon sur scène, musicalement j’accroche vraiment. Visuellement aussi d’ailleurs. En live, ça le fait. Enfin pas grave, au moins j’ai fait une très bonne découverte. A approfondir !

Allez la pause me permet de dire bonjour aux copains que j’avais zappés tout à l’heure. J’en profite pour papoter un peu avec PATRICE GUERS et DOMINIQUE LEURQUIN parce qu’après leur concert, ça risque d’être plus difficile. Je ne sais pas pourquoi mais après je risque de ne pas être le seul à vouloir leur parler ! Malin Ti-Rickou !

TEMPERANCE

TEMPERANCE

Allez, retour dans la salle pour la suite des festivités. Ce sont les italiens de TEMPERANCE qui s’y collent. Heu, là c’est bizarre, mais d’entrée de jeu je n’accroche pas. Pas parce que c’est une fille qui chante – je n’y suis pas allergique, loin de la. Peut-être un côté un peu trop pompeux, je ne sais pas… C’est clair que je ne suis pas forcément client. En plus la chanteuse va parfois passer en voix “Satan est mon copain”…

Alors là je ne vous dis même pas qu’un repli vers le bar est obligatoire ! Mais bon, ça ne se commande pas et même si c’est bien fait musicalement et scéniquement, je n’ai aucune affinité.

Je vais donc prendre des forces dehors en attendant LUCA TURILLI’S RHAPSODY. Heu, ça fait tout bizarre d’avoir des policiers en gilets pare-balles et armés devant sa salle de concert. C’est peut-être le contre-effet des EAGLES OF DEATH METAL qui terminent leur concert du 13 septembre ce soir à l’Olympia… Enfin, nous aussi on est aussi sous haute surveillance. C’est bizarre car du coup je me remets à penser qu’on fait une activité à risque.

RHAPSODY 3

LUCA TURILLI’S RHAPSODY

Mais bon, show must go on, LUCAS TURILLI’S RHAPSODY monte sur scène, du coup je rentre à nouveau dans la salle et j’oublie tout pour me concentrer sur le show.

Et putain, je ne vais pas être déçu ! Ca attaque fort ! Et scéniquement avec des vidéos et musicalement. Le ton est donné, ce soir ça va jouer ! Alors pour ceux qui sont allergiques au style sur CD, en live ça pète vraiment et la musique prend toute son ampleur et son côté métal.

LUCA TURILLI et ses copains sont heureux de rejouer ensemble avec un DOMINIQUE LEURQUIN qui s’éclate à retrouver les siens. Moi aussi je suis heureux de le retrouver sur scène car le dernier concert que j’avais vu d’eux, je l’ai passé à côté de lui car il s’était blessé et que j’avais eu les boules pour lui.

Alors bien sûr on va avoir droit à d’anciens morceaux mais aussi à trois nouveaux morceaux. Il n’y a pas de temps mort, à part peut-être un solo de batterie, exercice un peu périlleux… surtout pour les non-batteurs.  Mais bon, on s’en fout, c’est fait dans l’esprit rock ‘n’ roll et un show de RHAPSODY c’est forcement rock.

RHAPSODY 4

LUCA TURILLI’S RHAPSODY

RHAPSODY 5

LUCA TURILLI’S RHAPSODY

Même si ça fait un bout de temps qu’ils jouent, on va quand même avoir droit à un rappel – obligatoire sinon on ne les laissaient pas sortir ! Et comme on est dans la grande tradition des concerts de hard, on va avoir droit à la présentation des musiciens, mais même ça ils ne le rendent pas chiant. Toujours avec le fun et le sens du show.

LUCA TURILLI m’impressionne réellement toujours autant. PATRICE et DOMINIQUE, je ne peux rien dire, c’est des copains ! Heu si, quand même c’est une base rythmique vraiment béton. Le clavier présent est lui aussi bien efficace. Bon, je suis aussi obligé de parler du batteur, lui aussi est très bon.

Enfin maintenant ça fait pratiquement deux heures qu’ils jouent et là on sait que c’est la fin. Sniff car du RHAPSODY comme ça, moi je suis client. C’est le genre de groupe à vraiment aller voir en live. Heu, comment je me répète ? A mon humble avis, il n’y a pas photo entre LUCA TURILLI’S RHAPSODY et l’autre branche RHAPSODY OF FIRE. Surtout à ne pas confondre !

Bref, une soirée comme je les aime qui se termine bien sûr par des petites photos avec les membres du groupe. Un concert en tout point parfait.

RHAPSODY 7

LUCA TURILLI’S RHAPSODY

Un grand merci à Médiatone de nous les avoir proposer à Lyon. Ca aurait été bêta de les louper !

Un PS clin d’oeil à DOMINIQUE LEURQUIN : ce n’est pas que je n’aime pas regarder un concert avec toi, mais je préfère vraiment quand tu es avec le groupe sur scène car honnêtement – désolé pour les autres – la prestation de ce soir était largement supérieure à la dernière.

Allez maintenant il est temps de se rentrer mais bon, il faut encore que j’évite les dragons ! Et les dragons modernes ne crachent pas du feu, ils font des éclairs et les salauds ils te flashent sur l’autoroute !

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SLEEKSTAIN 1

SLEEKSTAIN

“La mission, si vous l’acceptez Ti-Rickou est d’aller assister au Winterock Fest à Bonneville et d’en faire le report… tout en évitant les vacanciers des sports de neige, la pluie voire la neige. Si vous ou l’un de vos collaborateurs était bloqué, voire immobilisé, vous ne pourriez compter que sur vous-même. Cette bande s’auto-détruira dans dix secondes. Bonne chance, Ti-Rickou.”

Heu… dit comme ça, ça fait presque peur !

DISGUSTINGS

THE DISGUSTINGS

Mais bon, à vaincre sans péril on triomphe sans gloire, donc on the road again !  Eh, eh, début de mission réussie ! Et je suis même en avance… Pas un retard depuis le début d’année… Je commence à me demander s’il n’y a pas un Dieu du Rock spécial retardataires qui aurait pris le pouvoir en 2016…

Donc, je suis prêt pour le premier groupe THE DISGUSTINGS. C’est un jeune trio très branché rock 60, 70. Ils ont du écouter tous les disques vinyls pleins de craquements de leurs grands-parents.

Tout le monde sait que j’adore ce genre de son, mais même si c’est plutôt bien fait, un cover des Beatles va me convaincre d’aller faire un tour pour voir l’expo de dessins proposée sur les murs de la salle.

C’est vraiment cool ce fest. Même si on n’est pas branché par un des groupes, il y a plein de trucs fun à voir ou à faire !

Bon, le voyage dans les 60 est fini et le changement de plateau est très court. Allez, groupe suivant !

SYXIKA

SYXIKA

SYXIKA enchaîne. Heu, là on est dans du ska rock festif. Ce qui est cool, c’est que le groupe est vraiment là pour s’éclater et que leur ska est vraiment festif et communicatif. Le public présent même s’il n’est pas forcément de cet univers, participe et s’éclate. Je participe moi aussi… au début. Mais rapidement les cuivres ont raison de moi. Sympa, bien fait mais à dose homéopathique pour le petit hard-rockeur que je suis.

Bon, là j’ai un dilemme : me faire faire un tatouage (éphémère, faut pas déconner !) ou aller jouer à Guitar hero à l’étage…. Allez tiens, et si j’allais massacrer un bon vieux METALLICA ? Yes !! Je finis en même temps que le SYXIKA mais la grande différence, c’est que moi, je n’en ai pas mis une dedans !

CRAZY DOGS

THE CRAZY DOGS

C’est donc au tour de THE CRAZY DOGS de monter sur scène.

Là, on est dans du blues, voire du rythm ‘n’ blues. Et ça me va bien !

Les compos tiennent la route et c’est bien fait. Du coup, je suis bien client et leur set passe très vite pour moi.

Et nous voilà de retour à la case entracte. Comme je n’ai pas le temps suffisant de me refaire une partie de Guitar Hero, je vais me placer devant la scène et me positionner pour le prochain groupe.

EVE S BITE 1

EVE’S BITE

Eh oui, car à partir de maintenant, les glameurs présents vont être heureux. Et c’est EVE’S BITE qui ouvre la fête avec leur heavy sleaze devant un public bien présent et prêt à s’éclater. Ce groupe stéphanois est composé d’ex-SWINE DIAMONDS et ex-EROTIXX DISCTRICT. Toutes ces années à jouer leur ont apporté une expérience et ça se voit. 

Les morceaux sont bigrement efficaces. J’ai adoré leur EP lorsqu’ils me l’ont envoyé mais c’est encore meilleur en live. 

Les filles calées devant la scène se lâchent et c’est trop bon.

On peut dire que les copains ont vraiment réussi leur prestation. La preuve : les gens attendent devant le stand merch pour leur acheter leur EP ! Quant-à moi j’attends déjà le prochain disque… qui ne devrait heureusement pas être trop long à venir.

En tout cas, je ne regrette vraiment pas d’être venu. Je suis vraiment happy !

… Bon, j’avoue que j’aurais été encore plus content si j’avais eu la chance d’être tiré au sort et si j’avais gagné la guitare. Ah oui, j’ai oublié de vous dire qu’il y avait aussi une tombola ! Même pas grave, je suis bien et prêt pour le dernier groupe.

SLEEKSTAIN 2

SLEEKSTAIN

Et la tête d’affiche de ce soir, ce sont les copains de SLEEKSTAIN ! Les fous furieux de Saint-Julien en Genevois sont accueillis comme il se doit par un public prêt lui aussi à les recevoir ! Et putain, ils sont en forme ! Ils attaquent à fond et leur sleaze se fait très metal. C’est percutant ! Les gens sont à fond avec eux. Ouais !!!

SLEEKSTAIN est encore monté d’un cran par rapport à leur live précédent au Brin de Zinc. Leur nouveau guitariste a maintenant bien pris sa place. Charly, le chanteur, est déchaîné ; il se fait porter par la foule et nous fait un grand show. Les autres musicos ne sont pas en reste et on a droit à un putain de set des copains.

Yes !! Une grosse baffe pour terminer ce fest !

Eh oui, le Winterock Fest est fini. C’était méga cool. Un fest humain avec des jeunes très motivés et plein de petits trucs fun qui font la différence. Mais je ne suis pas triste car je sais qu’il y aura un autre épisode l’an prochain et qu’entre temps, ce petit fest aura bien grandi !

Allez maintenant, il me faut rentrer car il est vraiment tard. Coup de chance, les Dieux du Metal bardés de cuir et de guitares électriques sont avec moi : il ne pleut plus et les vacanciers sont enfin arrivés à leur point de chute, ouf !!!

Voilà, ce report est fini donc mission accomplie. Trop facile !

WEDINGOTH 1

WEDINGOTH

Quelle bonne idée a eu l’Ecurie Neuvilloise de rallye en choisissant deux groupes de metal à mettre à l’affiche de leur soirée ! Ca va me donner l’occasion de revoir WEDINGOTH dans un set plus complet.

… Heu… Si j’arrive à trouver la salle et à me garer…

Yes ! Là j’ai été trop fort : je rentre dans la salle au moment où le groupe monte sur scène ! J’aurais voulu le faire que je n’y serais pas arrivé.

Bon, le son est bon et il  y a une centaine de personnes. Bref, de très bonnes conditions pour faire un bon concert.

J’apprécie le groupe. Leur metal à voix féminine passe superbement et les musiciens (et musiciennes) sont très à l’aise. Ils enchaînent les morceaux de leurs albums et nous jouent même des titres de leur prochain album à venir (album qui ne devrait pas trop tarder d’après ce que je sais). En tout cas, en live ça le fait. Bon, OK je ne suis pas objectif. Toujours est-il que je passe un méga bon moment, déconnecté du temps. J’en oublie même pour un moment que dehors il pleut grave !

Et je ne suis pas le seul à apprécier leur prestation car visiblement, le public présent est lui-aussi tombé sous le charme. Heu… sauf une copine pour qui la magie n’a toujours pas opéré- mais tout ceux qui on lu le report du précédent concert de WEDINGOTH sont en mesure de la reconnaître, c’est la même, si, si !! Elle est allergique aux voix féminines tendance lyrique, mais bon elle est courageuse. Elle aurait pu arriver en retard… Si, ça aussi c’est possible, j’en connais qui le font, lol !!

Enfin bref une très bonne prestation de WEDINGOTH qui confirme le bien que je pense de ce groupe. Vivement le nouvel album !

Bon, retour à la réalité. Pause changement de plateau. Et comme la pluie n’a pas arrêté de tomber, je reviens vite, très vite dans la salle en attendant l’arrivée de FORTUNATO. Heureusement, ça ne va pas être long.

FORTUNATO 6

FORTUNATO

Et c’est parti pour le metal à la mode FORTUNATO ! D’entrée de jeu, ils sont déchaînés. Bien sûr, on va avoir droit à des morceaux de leur petit dernier, des morceau de celui d’avant et à quelques petits covers, mais pas des morceaux joués habituellement. Même moi je me suis fait avoir quand ils ont demandé de trouver le titre et le groupe de 78 dont ils allaient faire un titre. Le groupe, je trouve facile vu qu’ils reprennent toujours “Warriors” de RIOT. Mais là, c’est loupé ! C’est “Sword of Tequila” ! Content Ti-Rickou. Ca c’est du cover intelligent. C’est un méga morceau qui donnera peut-être envie aux gens de découvrir ce putain de groupe.

Markus et les siens font le show. Je ne dirai jamais trop à quel point ce sont des putains de zicos. De Jimmy à la batterie, à Eliad et Stéphane à la guitare, sans parler de ce fou furieux de Markus qui maîtrise sa basse comme si c’était une guitare. Et tout ça, sans que ça tourne à la démo chiante.

Bref du bonheur en barre ! On ne veut pas que ça s’arrête et eux non plus d’ailleurs. Du coup, voilà la solution : ils vont faire une pause !

Cool, ça va nous permettre de nous rafraîchir les idées… surtout les fumeurs d’ailleurs car la zone fumeur n’est pas couverte. C’est marrant des hardos sous des parapluies !!

Bon allez, les copains sont de retour et sont déchaînés. Je me demande s’ils vont s’arrêter ! On va avoir droit à un superbe solo de basse de Markus, à la “Marseillaise” version FORTUNATO en mode HENDRIX et au cover que j’attendais tout à l’heure avec le “Warriors” de RIOT. Trop bon, deux RIOT dans une soirée ! En plus, j’adore leur version. On entend bien que ça vient du cœur et de leurs tripes et que le morceau n’est pas là pour meubler la setlist. Bref, c’est cool.

Ah, ce n’est pas fini ? Mais il est tard, vous savez ? Et puis, je vous rappelle messieurs que demain soir vous jouez à Saint-Etienne et que ça fait un peu de route quand même ! Même pas peur !

Et c’est donc dans la langue de Molière qu’ils continuent avec “Heavy Metal dans tes veines”, un morceau composé avec Eric MARTELAT, le chanteur de MESSALINE. D’ailleurs, c’est bizarre, je m’attends à voir Eric monter sur scène pour faire le morceau avec eux car je l’ai toujours entendu dans cette config’. Eh bien non, il n’est pas là. Dommage. Mais bon, c’est vraiment un putain de morceau, hymne du hard-rock comme on l’aime.

Bon, là c’est fini. J’ai déjà ouvert la porte pour partir mais je reviens la seconde d’après car le groupe vient d’entamer un hommage à LEMMY avec un petit morceau de MOTORHEAD ! Là, c’est la cerise sur le cake pour cette superbe soirée, une soirée comme je les aime sous le signe du fun et des copains… et bien sûr du metal !

Le temps de dire au revoir aux copains et à la copine qui a retrouvé le sourire dès que FORTUNATO est monté sur scène… Bizarre !

Moi, je suis pressé de rentrer car c’est malin, mais j’ai comme une furieuse envie de m’écouter “Fire down Under” de RIOT à fond la caisse, moi !!!

Cà, c’est le second effet FORTUNATO !!

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TAGADA 7

TAGADA JONES

 

ABBEL CHEMOUL

ABBEL CHEMOUL

Allez, un petit tour à la Tannerie de Bourg-en-Bresse. Le parking me donne d’entrée une indication : je ne vais pas être tout seul !

La file d’attente devant la porte me le confirme… comme elle me confirme que je ne suis pas à la bourre (ça commence bien pour mes résolutions 2016 !) et que je vais pouvoir voir le groupe de première partie. Super !

ABBEL CHEMOUL, du metal hardcore local. Bon, c’est clair, les musicos sont heureux de jouer. Le chanteur a du tomber dans un bain hardcore quand il était petit, il est à fond et ne fait pas semblant. En plus, il a une putain de présence scénique ! Musicalement, c’est bien fait. Après, c’est quand même du hardcore et franchement ce n’est toujours pas ma pinte de houblon. Rien à faire, je n’y arrive pas, ça me stresse.

Oulà ! Ca commence à bouger pas mal dans la salle ! Un petit repli vers le bar m’est nécessaire. La pause ne va pas être trop longue car le set d’ABBEL CHEMOUL se révèle court et le changement de plateau rapide !

 

TAGADA 6

TAGADA JONES

Et c’est dans une Tannerie bien remplie – plus de 400 personnes – que TAGADA JONES monte sur scène. D’entrée de jeu, le public qui n’attendait que ça se lâche. Ca bouge ! Il y a une putain d’ambiance et en plus le chanteur en rajoute en disant que ce soir c’est la dernière date de la tournée et qu’ils sont contents que ce soit ici.

Mais, même s’ils sont en fin de tournée, les TAGADA JONES vont se donner à fond. Je savais que TAGADA JONES était un groupe qui dépotait en live, mais putain ce n’est rien de le dire !

Sur scène, les zicos y vont à fond. Et j’apprécie de voir que leurs morceaux sonnent encore plus metal en live. Et ça donne vraiment ! Putain, j’ai bien fait d’être là, moi !

Je suis obligé de battre en retrait car devant ça devient du grand n’importe nawak ; il y en a qui prennent la scène pour le plongeoir de la piscine et la foule pour les bassins. Sans compter ceux qui se lâchent en oubliant que tout le monde n’est pas forcément dans leur délire. Mais bon, au fond on est très bien aussi ! Et on n’a pas à se méfier de prendre un gus sur la tronche. Je suis décidément trop vieux pour ces conneries.

Allez, c’est fini. Je suis venu, j’ai vu et je suis happy car vraiment TAGADA JONES m’a mis une bonne baffe comme je les aime.

Allez tiens, maintenant je vais rentrer me boire ma tisane (lol !). Bien méritée !