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Heu mais non ce n’est pas un poisson, on n’est plus le 1er avril !  Je vais de mon plein gré à une soirée punk. Bon, je n’ai pas fait de crête mais j’ai des épingles à nourrice dans mes poches ainsi qu’un stick de colle. Heu… ah bon, ça ne se sniffe pas ?!!!

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LE REPARATEUR

Allez, on arrête les préjugés et on va passer la fin du dimanche en musique. Et c’est dans la grande salle que ça se passe. Moi, ça me fait toujours sourire de faire jouer des groupes au sol alors qu’il y a une super scène. Ca s’appelle un concert de travers. Bref, un concept pour que les groupes soient au plus près du public. Mais bon, c’est un peu comme les légumes servis presque crus, ce n’est pas parce que c’est tendance que j’aime ça ! Ce doit être mon côté punk…

J’arrête de rallier. Le premier groupe monte, heu non, ne monte pas sur scène vu qu’il joue au sol et commence à jouer. Et c’est LE REPARATEUR qui s’y colle. Dans ce groupe, ils sont deux : un batteur et un guitariste chanteur. Et putain, je suis surpris. Agréablement surpris !

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LE REPARATEUR

Déjà le batteur à les cheveux longs – au moins on est deux dans la salle ! Là je suis mauvaise langue, il y en a d’autres ! En plus les T-Shirt hard-rock sont bien présents.  !! – et surtout, c’est vraiment bien. La voix est bonne, les paroles ne sont pas connes et elles sont audibles. Les deux musicos sont vraiment très à l’aise devant le public. En plus, le son est bon et même les lumières sont cool donc que du bonheur. Ca commence bien !

Le public quant-à lui à bien répondu présent ce soirUn dimanche. C’est cool et bien mérité pour ….dB, l’association qui organise la soirée.

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DIEGO PALLAVAS

Bon, un changement de plateau plutôt long du entre autres à un musicien qui prend des prunes sur son micro. Pas glop mais bon le problème est heureusement réglé et c’est parti pour DIEGO PALLAVAS. Et heu… d’entrée de jeu, là, ce n’est pas du tout mon truc. Que ce soit musicalement ou scéniquement, je n’accroche pas, mais alors pas du tout ! Je n’aime pas la voix, le style est carrément trop punk pour moi.

Enfin, ça n’empêche heureusement pas le reste du public de s’éclater et ça, c’est méga top. L’ambiance est très bon enfant, pas de pogo intempestifs. Encore des idées reçues (maintenant, c’est dans les concerts de hard-rock que ça pogotte…).

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GUERILLA POUBELLE

Du coup, je sors prendre l’air jusqu’à ce qu’ils aient fini et que GUERILLA POUBELLE commence à jouer. Je suis content, je vais enfin les voir live ! Il faut dire que j’aime vraiment bien ce qu’ils font sur CD.

Sauf que en live c’est très différent… Est-ce que ça vient du fait qu’ils jouent des morceaux qui ne sont pas sur l’album que j’ai d’eux ou du fait de la batterie qui est vraiment forte ou du son ? Ou bien de moi ? Mais voilà, je suis moins enthousiaste que je ne le pensais. Bizarre car ils se donnent vraiment. 

Mais bon, ce n’est pas grave, je ne vais pas revendre leur CD pour autant !

 Allez, le voyage de TI-RICKOU au pays des punks gentils est fini.

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GUERILLA POUBELLE

Pour résumerDIEGO PALLAVAS, pas aimé, GUERILLA POUBELLE, déception et LE REPARATEUR, révélation.

En tout cas une très bonnes soirée avec des groupes qui jouent leurs propres compos en live et peu importe si on n’aime pas forcément le style ou les morceaux. Au moins, j’ai quand même découvert des groupes.

 

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OVERKILL

Report by SEB 747

Allo Seb ? Ouais c’est Ti-Rickou. On a bien aimé ton report sur SYMPHONY X, tu n’irais pas à OVERKILL par hasard pour nous faire un report ?

Un 1er avril ? Ce n’est pas une blague ?

Donc direction la banlieue de Villeurbanne, pour aller voir les pionniers du thrash new-yorkais ! Avec plus de trente-cinq ans de carrière à son actif, le groupe mené par l’emblématique frontman BOBBY “BLITZ” ELLSWORTH est venu enflammer la scène du CCO.

Avant toutes chose, afin de ne pas me faire rattraper par le syndrome Ti-Rickou, (vous savez : arriver à la bourre, rater la première partie, etc…), je décide de partir plutôt que prévu. Le concert commençant à 19h30, je me donne une bonne marge de 30 minutes. Et heureusement que je suis parti en avance parce qu’au bout d’une petite heure de route, un accident venant de surgir me ralentit ! « Ils ne peuvent pas le faire à un autre endroit ???? J’ai pas que ça à faire, moi ! Je risque de rater le premier groupe ! » Ouf, ça n’a pas trop duré !

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ONE MACHINE

Les thrasheurs du New-Jersey ont emmené dans leurs bagages un groupe pour moi, totalement inconnu, ONE MACHINE. Il a été engendré par le guitariste STEVE SMYTHE, fondateur de VICIOUS RUMORS qu’il quitta en 1999 pour rejoindre TESTAMENT jusqu’en 2004 puis NEVERMORE jusqu’en 2007. C’est vous dire le pédigrée du bonhomme !

Le temps de passer le bonjour, et on entend démarrer les grosses guitares. Je vais directement dans la salle, ONE MACHINE venant de commencer. Première impression, la place qui leur est allouée est vraiment restreinte, et il n’y a que des barbus sur scène. C’est ZZ TOP ?

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ONE MACHINE

Musicalement, c’est très thrash, mais relativement bien mélodique.

Le chanteur CHRIS HAWKINS enjambe tant qu’il peut la double grosse caisse, manquant régulièrement de se casser la figure. Mais ce n’est pas grave, il headbangue à tout va et en plus il vient régulièrement se placer sur le devant de la scène. Idéal pour les photos. Bon, la voix de Chris est un peu trop criarde à mon goût, mais lorsqu’il passe du côté mélodique de ses phrasés, ça passe tout de suite beaucoup mieux. A chaque début et fin de morceau, il s’essaie non sans mal au Français « Bonjour la France ! Ok ! Ça va bien ? Vive la France !».

Le batteur nous sortira aussi sa petite phrase un peu osée, ce qui fera bien marrer tout le monde.

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ONE MACHINE

Ne pouvant beaucoup se mouvoir, les cinq musiciens secouent régulièrement la tête. STEVE SMYTHE étant celui qui headbangue le plus, tout en nous assénant de riffs assassins. Quand on sait qu’il est atteint d’insuffisance rénale, il y a de quoi être admiratif. Ouah, ça c’est du thrash !

CHRIS HAWKINS demande aux gens du public de faire des circle pit, au grand plaisir de ces derniers qui s’exécutent… mais timidement.

Ça joue fort, très fort. Vite, très vite. Mais pas autant que ce qui va suivre.

Après avoir annoncé un morceau avant l’autre, au grand dam du bassiste totalement hilare sur scène, nous avons doit à quatre morceaux d’affilée et c’est fini. Bonne entrée en matière.

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OVERKILL

Les lumières s’éteignent, une intro démarre, et c’est parti ! OVERKILL débarque sur “Armorist”, titre du dernier album en date “White Devil Armory”. D’entrée de jeu, le niveau sonore s’élève, sans parler du niveau musical. Non pas que ONE MACHINE ait été mauvais, mais OVERKILL, c’est la classe supérieure.

BOBBY OLDSWORTH attaque tambour battant, donnant des coups de poings à la foule omniprésente. Eh oui, il y en a qui tape dans la main, lui donne des coups de poings !!

S’ensuit “Rotten To The Core”, titre qui date de 1984. Ça fait une paie, nous voilà plonger dans le bain. BOBBY s’efforce lui aussi de communiquer avec nous en Français. C’est cool de voir des américains parler dans la langue de Goethe, lol !!

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OVERKILL

DD VERNI, bassiste depuis le début, oscille comme un serpent et nous assomme de coups de basse. Qu’est-ce que c’est bon ! Le public se met à pogoter de plus en plus, notamment sur “Electric Rattlesnake” de 2012. Plus ça va et plus ça pogote. On a même droit à un stage diving d’un hurluberlu. Je suis surpris qu’il n’y en ait eu qu’un seul de toute la soirée.

RON LIPNIC, batteur du groupe depuis onze ans maintenant frappe ses fûts comme si ça vie en dépendait. On se demande comment fait la batterie pour tenir !

Bon sang, nous voilà de retour en 1988 avec “Hello from the gutter”, puis trois titres d’affilée débarquent du premier LP “Hammerhead”, “Feel the fire”, “Blood and Iron”. La foule se déchaîne comme jamais. C’est plus tout jeune, mais ça dépote toujours autant.

La set list suit son court et OVERKILL enchaîne les titres avec pas moins de huit titres issus de leur cinquième album. BOBBY nous raconte qu’ils sont du New Jersey et que ce sont nos cousins d’Amérique. Marrant. Régulièrement, il s’éclipse derrière la sono pour débarquer comme un fou furieux sur son pied de micro.

Retour dans le passé. “Raise the Dead” débarque du premier album.
Arrive sans crier gare “Overkill”, et nous revoilà plonger en 1984 pour la sortie de leur tout premier EP.

Les gratteux balancent des riffs de tueurs. DAVE LINSK shred comme un fou furieux et en champion de la grimace, DEREK « SKULL » TAILER s’amuse avec ses médiators, les lançant en l’air et les jetant à l’opposé des auditeurs qui attendent de les recevoir.

Ah, petit souci de son, on n’entend plus la guitare de SKULL. Pendant quasiment tout un morceau nous avons droit à une configuration à quatre. Pas désagréable, on entend mieux tous les instruments. Le jeu de scène est excellent, et les lights sont somptueux. Quelle soirée !

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OVERKILL

Ah, ça y est, le rappel débute et nous sommes en 1989 avec “Elimination”, titre issu de “Years of Decay”. Bon ben on repassera pour des titres récents. Faut dire qu’avec plus de quinze albums derrière eux, ça doit être ardu de définir une setlist !

Comment ne pas finir un concert d’OVERKILL avec leur fameux hit “Fuck you”. La salle étant trop heureuse de montrer au groupe leur joli majeur tendu que celui-ci n’a pas hésité à nous montrer tout le long de leur set.

Une bonne baffe à travers les dents, que je recompte d’ailleurs à la fin du concert, histoire de voir si je les ai toujours. Faut dire que ça pogote pas mal dans les concerts de thrash.

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OVERKILL

 

EYES SHAKER 2

EYES SHAKER

Bon pour ce soir il m’a fallu faire des choix car il y a OVERKILL au CCO de Lyon (ne vous inquiétez pas, j’ai délégué, vous aurez le report), BIRTH OF JOY à la Cave à Musique de Mâcon (je les couvrirai sur une autre date) et EYES SHAKER qui jouent au Café de la Tannerie pour fêter les un an d’ouverture dudit café. 

Bon, j’avoue, je voulais vraiment revoir EYES SHAKER ! Donc direction la Tannerie. Je suis content, il y a du monde ! 

PIED DE BICHES

PIED DE BICHES

Et pour commencer, c’est PIED DE BICHES, groupe féminin local né sur les cendres des TRINGLES (autre combo féminin) qui ouvre les hostilités.

Là, on est dans, on va dire, du rock punk chanté la plupart du temps en français. On est quand même proche du style de leur groupe précédent et même si musicalement ce n’est pas mon truc, ça passe bien. 

Après, on sent que c’est un groupe qui n’a pas fait beaucoup de concerts ensemble et que les filles sont encore dans le stade “rodage des morceaux”. Mais bon, un groupe à suivre. Perso, j’aimerais vraiment voir ce que ça pourrait donner si elles se lâchaient complètement et la jouaient “les freins, c’est pour les lâches” !

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EYES SHAKER

Allez, changement de décor. On sort l’orgue, on monte les potards et c’est parti pour les EYES SHAKER. Et pour ce duo là, pas de doute qu’ils ne savent même pas où est la pédale de freins !

En plus, ils sont en mode “si c’est trop fort, c’est que vous êtes trop vieux” et, même si pour le Café Tann’ le son est très fort, il reste bien en deçà du volume auquel ils jouent habituellement !

Et c’est parti pour du rock 70 tendance psyché batterie vs clavier ! Et putain, ça le fait toujours grave. Ces gars, c’est sûr, sont dingues !! Mais mon Dieu que ça fait du bien.

L’orgue a un côté JOHN LORD (pour ma grand-mère ou pour les nuls, le clavier de DEEP PURPLE) ou un petit côté DOORS… mais les DOORS sous amphet’. Yes !!! Ca décoiffe et j’adore leurs morceaux et leur présence scénique.

Allez, pour finir un petit cover… Devinez un petit DEEP PUR… Eh non perdu ! Un MOTORHEAD et pas n’importe lequel le “Ace Of Spades” ! Et version clavier, batterie, c’est énorme !!

Le set se termine. C’était trop bon ! J’espère qu’ils vont revenir bientôt et que là ce sera sur la grande scène !

LES TRINGLES

LES TRINGLES

Bon, c’est fini… ou pas car c’est l’heure de la surprise : la reformation pour quatre morceaux d’un groupe dont je parlais tout à l’heure, LES TRINGLES. 

Heu… comme elles ont fait leur concert d’adieu à la Tannerie, normal qu’elles s’y reforment. En tout cas, c’est fun ! Retour d’une partie des PIED DE BICHES plus arrivée de NICEGIRLEDDIE (la DJ de la soirée) au chant et à l’orgue Bontempi. Enfin je dis Bontempi mais c’est juste que comme on lui a retiré le clavier de grands, ça m’a fait penser à ça, lol.

Et c’est parti dans le fun et la bonne humeur. Du coup bien-sûr ça fonctionne. Allez, quatre petits tour et puis s’en vont… Et promis, juré, c’était un one shot !! 

Comme c’est fini, j’ai le temps de faire une interview fun de nos copains les EYES SHAKER. J’espère que vous prendrez autant de plaisir à la regarder que j’en ai eu à la faire !

Bon il est très tard et même si la sélection des disques (vous savez ce truc vieux et en cire qui craque, qui n’arrête pas de revenir à la mode et qui ne passe toujours pas dans un autoradio ?) de NICEGIRLEDDIE est cool, il est temps de rejoindre mon dodo car si je m’attarde, je vais me retrouver en after, moi !!

Et voilà, le Café de la Tannerie a désormais un an et on lui souhaite une longue vie ou plutôt un long live rock ‘n’ roll ( of course !) !!!

 

Bon ce soir c’est une destination inédite pour les concerts. C’est à Givors, entre Lyon et Saint-Etienne, et au Moulin de Madiba que se dérouleront les festivités. Même pas galère pour trouver la salle… ni même pour me garer ! En plus, comme je suis à l’heure, j’ai le temps de dire bonjour aux nombreux copains qui on fait le déplacement. 

Voilà une soirée qui commence sous de bons hospices !

D-CAD

D-CAD

Et c’est déjà l’heure pour le premier groupe de monter sur scène. D-CAD est un groupe qui m’est carrément inconnu.

Au tout premier abord, je me demande pourquoi ils sont sur l’affiche ce soirPas que ce soit mauvais, mais je ne m’attendais pas à ça. Le trio officie dans du rock français et du coup, j’avoue que je sors vite pour aller au bar. Peut-être trop vite même car plusieurs personnes viennent me dire que c’est vraiment bien et qu’elles aiment ! Que ce n’est effectivement pas du hard-rock mais que c’est vachement bien.

Du coup, je rejoue. J’y retourne. Et là, je me focalise sur les paroles et la musique.

Et qu’est ce que j’ai bien fait de revenir ! C’est vraiment bien fait et en plus les paroles sont carrément bien ! Dans le style rock français, ça le fait et ça joue vraiment. Les D-CAD ont une présence en live qui fait que ça fonctionne et le public ne s’y trompe pas. Bref, un bon moment inattendu mais que je ne regrette pas.

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ALIEN ENCOUNTERS

Bon, une petite pause avant qu’ALIEN ENCOUNTERS ne monte sur scène. Vu que je ne les ai encore jamais vus et que du coup ils sont une des raisons pour lesquelles je suis là ce soir, je me mets devant la scène.  

Et je vais avoir bien raison car ALIEN ENCOUNTERS joue carrément un de mes style de prédilection, du hard-rock mélodique influencé RAINBOW, DEEP PURPLE.

Et non seulement c’est bien fait, mais la voix est belle, les morceaux sont vraiment bons et les musicos ont une bonne prestance scénique.

Bref, c’est réussi ! Depuis le temps que je voulais les voir en live, je ne suis vraiment pas déçu !  Tout ce qu’il faut pour passez un bon moment.

Allez, un petit cover de DEEP PUPLE et puis voilà, c’est fini. Sniff !!

Heu bon c’est malin mais maintenant il faut que je retrouve ma femme car je ne sais pas pourquoi, mais comme par magie, dès le début, Oups, disparition !! Mais moi, je connais le secret du tour de ré-apparition : direction le bar !!

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BACKROADS

Allez, on finit la soirée avec les copains de BACKROADS. Les mêmes BACKROADS que je n’ai pas pu voir hier lors de leur concert avec MESSALINE aux Arts dans l’R à cause du concert de NASHVILLE PUSSY qui passait à Mâcon… Et puis surtout à cause du fait que je n’ai pas encore acquis le pouvoir de me dédoubler, lol !!

Bon enfin je suis là et je suis prêt à prendre ma dose de hard-blues.

Et je vais être gâté car bien qu’ils n’aient pas beaucoup dormi, ils nous offrent un set fidèle à leur habitude en nous donnant tout. Bien sûr, la setlist est comme d’hab’ constituée de morceaux de leur album et de quelques covers… Mais des covers à la sauce BACKROADS, of course !!!  Une fois de plus, j’adore leur version de “Rock’n’roll” de LED ZEP. 

Bref, BACKROADS, ce n’est que du bonheur !

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BACKROADS

Mais il se fait tard et comme la fatigue me rattrape et que j’ai un peu de route, je ne prends même pas le temps de papoter encore avec les copains. Donc “On the road again” !!!

Un grand merci aux orga pour cette soirée et pour la découverte de cette salle qui, je l’espère continuera à nous servir de terrain de jeux !

Long live rock’n’roll, les copains !

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