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Bon, vu que dans un rayon proche j’avais le choix entre du black machin truc ou du métal-rap fait en bermudas et casquettes de rappeurs sur la tronche, je préfère mettre les voiles direction Dijon où la Phoenix Rising Association organise une soirée heavy-métal.

TALERS

TALERS

Je trouve fastoche le lieu des festivités et je me fais même chambrer au passage parce que cette fois-ci, je suis franchement très en avance ! Sympa les potes ! Du coup, je laisse les musicos et les orgas finir de se restaurer et je vais faire de même. Na !

Retour à l’Acropole. C’est un bar et je ne vois pas trop où les groupes vont jouer.. Mais comme on m’explique, je comprends : c’est au sous-sol que ça se passe ! Et, bien sûr, lorsque j’arrive, le premier groupe a déjà commencé et re-bien sûr, je me fais à nouveau chambrer.

Ben oui, c’est comme ça : même en étant en avance, j’arrive à louper le début du premier groupe.

Sur scène, c’est le groupe TALERS, les régionaux de l’étape. Avec eux, pas de prise de tête : on est avec des musiciens qui jouent pour se faire plaisir et ils ont choisi de le faire avec du heavy-métal mélodique et surtout avec leurs propres compos… Ce qui à notre époque est déjà suffisamment énorme pour être signalé. Un groupe parfait pour commencer la soirée.

MES 1

MES

Après la fameuse petite pause, c’est au tour de MES de monter sur la scène de l’Acropole. En provenance de la Haute-Marne, MES est venu nous faire découvrir leur heavy. Et ça le fait !

En plus, le chant est tenu par le batteur, chose assez rare pour être signalée. Et non seulement il assure au chant, mais il assure également à la batterie !

Leurs morceaux tiennent bien la route et sont très efficaces.

Du coup, la salle bien remplie commence à être très chaude car le public est très réceptif à leur musique. MES se met le public dans la poche, quoi !

MES 2

MES

Un groupe à suivre pour l’arrivée d’un premier album qui ne devrait plus tarder à sortir.

Bon, dernière pause réhydratation, et c’est au tour des espagnols de HITTEN de monter sur scène. Et ils le font à fond du style “les freins, c’est pour les lâches” ! Ils déboulent avec leur heavy made in NWOBHM, revu version 2015. Et putain, ça déménage !!

Ces mecs sont les purs rejetons de MAIDEN, TYGERS, RIOT et consorts. Les petits frères d’EXISTANCE quoi, lol !!

HITTEN 1

HITTEN

Bref, c’est tout simplement terrible !

Scéniquement, ils ont vraiment le look et l’attitude du style et musicalement les morceaux de leur CD se retiennent super bien.

Leur cover du “Warriors” de RIOT est une putain de pépite. Malgré l’heure avancée, on ne s’ennuie pas une seconde. Ca joue grave ! Les solos sont précis et la voix du chanteur est vraiment en phase.

Du pur bonheur. Je ne regrette pas d’être venu, moi ! Et encore moins avec leur dernier morceau, un cover de la Vierge de Fer IRON MAIDEN en version bulldozer ! Tout le public reprend en chœur le refrain, c’est une véritable frénésie ! 

… Et c’est fini.

Une grande baffe de pur heavy-métal des familles ! Ca fait un de ces putains de bien !

HITTEN 3

HITTEN

 

HITTEN 5-

HITTEN

Il ne me reste plus qu’à aller papoter un tout petit peu avec HITTEN, et dire “à dans dix jours” aux membres de la Phoenix Rising pour une autre soirée sous le signe du heavy-métal (SKULL FIST + EXISTANCE pour ceux qui n’auraient pas suivi !).

Hé les gars, en fin de compte, ce soir, c’était en quelque sorte un warm-up, non ?!!

Merci les filles et les gars de votre amour pour notre musique et rendez-vous bien sûr le 19 mai à la Vapeur pour encore plus se dégager les cages à miel !!

Long live heavy-metal !

HITTEN 2

HITTEN

 

L’aventure a commencé à peu-près comme ça :

“Chérie, tu as vu cette affiche ? Il y a AWACKS qui passe en concert avec SILVERTRAIN, le SILVERTRAIN qui a ouvert pour ROSE TATTOO en 81 ! Chérie, tu sais où c’est Riom ? Ah oui, à côté de Clermont-Ferrand… quand même… Mais tu sais, les deux autres groupes sur l’affiche ont l’air vachement bien eux aussi… Et puis, reconnait que ça fait très longtemps qu’on n’a pas été faire un tour à Clermont !”

LOOKING FOR MEDUSA 1-

LOOKING FOR MEDUSA

Et voilà comment je me retrouve devant la Puce à l’Oreille où des crêpes bretonnes m’attendaient ! Non, Clermont n’est toujours pas en Bretagne ! Là, même moi je n’y serais pas allé !! Bon passons.

En attendant mes crêpes, je papote avec des personnes qui sont devant moi au stand desdites crêpes et, bien sûr, ce sont les membres de AWACKS, de LOOKING FOR MEDUSA et de JEKYLLS !!!! 

Un très bon début de soirée avec des musicos adorables qui ont en plus de bons goûts musicaux… Sans compter qu’ils adorent mon T-Shirt de GOTTHARD ! Enfin, surtout le chanteur de THE JEKYLLS !

Heu bon, maintenant j’espère que je vais aimer leurs prestations sinon je me sauve en courant !!!

Allez, prise de connaissance de la salle. Très cool. Quelques énormes bobines disséminées dans la salle (top pour poser sa bière et ne pas asperger ses voisins quand ça remue trop !) et un immense bar au fond. On doit bien y rentrer à 350 dans cette salle, surtout qu’il y a un balcon !

Et c’est parti ! C’est à LOOKING FOR MEDUSA que revient le droit d’ouvrir les hostilités. D’entrée, je rentre à fond dans leur univers. Leur hard métal est varié, mélodique et puissant. Visiblement les musicos ont une grande habitude de la scène et le chanteur a non seulement une putain de voix, mais c’est aussi un putain de frontman !

Leur set est composé de morceaux de leur EP et de leur album à venir et c’est vraiment bon ! Même un de leur morceau qui tire sur le rap passe bien, c’est pour dire que j’apprécie vraiment leur prestation ! Ils finissent leur set par un cover d’un petit groupe australien pas trop connu, lol !!

J’apprends qu’ils n’ont pas pu monter leur backdrop. Pas grave, ça me donnera l’occasion de les revoir car effectivement ça m’a paru trop court. En tout cas, LOOKING FOR MEDUSA est une très bonne découverte pour ce début de soirée !

THE JEKILLS 2-

THE JEKYLLS

Bon, juste le temps de reprendre des forces avec une petite galette que c’est reparti avec THE JEKYLLS !  Et là aussi, d’entrée de jeu je suis conquis : du hard, rock-hard comme je l’aime avec plein de bonnes influences, des musicos qui sont aux taquets et encore un putain de chanteur ! 

Tout y est pour rentrer dans leur monde et avoir envie de chanter avec eux.

Leurs compos sont excellentes et leur cover du “The Wall” de PINK FLOYD surboosté à leur sauce est vraiment au top ! Ils nous auraient bien fait un petit cover pas piqué des hannetons de GOTTHARD, mais vu le temps dispo il ne faut pas abuser des covers. Et puis n’oublions pas cette maxime de Ti-Rickou : trop de covers tuent le cover ! 

Bon de toute façon, dans certains de leurs morceaux on sent quand même bien le spirit of GOTTHARD !

En fin de set, le chanteur tombe le haut et fait péter les tablettes de chocolat… pour le plus grand plaisir des copines ! Non, je ne suis pas jaloux !! En tout cas, ça fait encore monter la température dans la salle même si elle était déjà bien chaude.

Encore une fois, le temps passe très vite, trop vite. J’ai pris une vraie bonne baffe, moi !

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AWACKS

Allez, le temps de me réhydrater et de faire une petite interview de LOOKING FOR MEDUSA et c’est AWACKS qui monte sur scène. On est de suite dans une config plus intimiste avec le chanteur assis sur un tabouret haut.

De toute façon, on n’est pas dans un style où les musicos se roulent par terre ! Là, on est dans un autre style musical. C’est du métal prog’, donc un style plus compliqué d’accès pour les non-initiés. 

Perso, je suis fan de leur musique et très heureux de les voir enfin en live. 

Même s’il commence à être tard et que la fatigue se fait sentir, je trouve leurs morceaux sublimes. L’interprétation est vraiment parfaite.

AWACKS, c’est vraiment un groupe qui n’est pas assez reconnu, et moi je dis que ce n’est vraiment pas juste ! 

Seul regret, on ne voit que très peu le clavier qui est non seulement caché au fond de la scène mais qui se retrouve en plus noyé par les fumigènes ! Allez, fin de leur set.

Il reste encore un groupe à venir et donc pause petite crêpe au beurre salé et citron pour tenir ! Heu non, je n’en n’ai pas mangé cinq ! Et puis, ça m’a aidé à tenir ! Et puis prendre des photos, ça donne faim, désolé !!

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SILVERTRAIN

Le concert reprend avec le dernier groupe de la soirée : SILVERTRAIN. Donc là, voyage dans le temps. Et remonter trente-cinq ans en arrière, ça fait tout bizarre ! Surtout que du groupe que j’ai vu à l’époque, il ne reste que le chanteur… Et que le look du groupe a aussi beaucoup changé ! Pas comme moi quoi, toujours aussi beau et pas une ride, lol  !! Comment ça, pas vrai et que ce n’est pas en mangeant cinq crêpes que ça va aider ?!!

Bon, retour à SILVERTRAIN. Du coup, je vais avoir un peu de mal à rentrer dans leur prestation. Pas que ce soit mal fait, mais le contraste entre l’image que je gardais d’eux et celle que je vois est  énorme ! Je suis bien conscient que c’est un tout autre line-up et une autre époque, mais ça me perturbe.

En plus, leur bassiste est parti il n’y a pas longtemps et donc ils évoluent avec une partie basse enregistrée. Et ce n’est pas sans problèmes… surtout quand un maladroit débranche accidentellement le câble ! 

Bon sinon, c’est bien fait et le chanteur qui semble s’éclater est toujours aux taquets sur scène. Après, on aime ou on n’aime pas la voix. Perso, moi j’aime bien. Les nouveaux morceaux sont sympas mais je ne suis toujours pas dedans. Et là, il est réellement très tard.

Le temps de dire au revoir aux groupes, aux personnes de la Puce à l’Oreille et aux nouveaux copains et je reprends la route. “Heu chérie, tu es sûre qu’on ne peut pas ramener la dame des crêpes avec nous, les plaques en fonte ça ne tient pas tant de place que ça !”

Allez, je ne regrette pas du tout mon voyage aux pays des volcans car j’ai découvert des groupes de qualité sur le plan musical et humain. Et vu la qualité des groupes, ça a un fort goût de reviens-y. Mais la conclusion, c’est que Riom c’est bien, mais c’est loin !

A la revoyure les gars et long live rock’n’roll !

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FURY AGE – Markus Fortunato

Quoi de mieux qu’un petit concert sympa avec les potes pour se remettre des vacances ? Donc, direction Poncin dans l’Ain pour un concert donné dans le cadre des Rencontres de la guitare. Très bonne idée !

J’arrive juste pour la fin de deux guitariste qui font dans le cover à la seiche. Trop triste d’avoir loupé ça ! Oups !

Le truc cool, c’est que je suis là pour le début de FURY AGE. Ca ne vous parle pas ? Et si je vous dis qu’à la basse et au chant il y a MARKUS FORTUNATO ? Là, vous comprenez mieux ? Je voulais vraiment voir – et entendre surtout – le nouveau projet de MARKUS. Et je ne vais pas être déçu ! On est dans du hard-rock classique avec des influences RAINBOW, MALMSTEEN, mais ça reste une légère influence et encore pas sur tous les morceaux.

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Sinon, pour un groupe qui a six mois d’existence, c’est bien fait. Les musicos assurent ! Ah, je ne vous ai pas tout dit, à la batterie il y a une fille. Et elle chante même sur un morceau : la ballade du groupe.

Bref, un concert sympa avec un MARKUS FORTUNATO en forme et qui, même avec de petits problèmes techniques, nous prouve une fois de plus que la scène c’est vraiment son élément. FURY AGE, un projet solide à suivre.

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BACK ROADS – Sylvaine Deschamps-Garcia et Fabrice Dutour

Bon, c’est au tour de BACK ROADS de monter sur scène. Je sais, oui, ça faisait longtemps, lol  ! Mais quand on aime, on ne compte pas et moi BACK ROADS, j’aime. Et donc une louche de leur hard-boogy des familles en plus, c’est avec plaisir.

En plus, à chaque sortie du groupe, je trouve que c’est encore mieux. Si, si !

Et SYLVAINE la chanteuse est vraiment déchaînée. Elle est très à l’aise et putain c’est trop bon ! La version de “Rock’n’Roll” de LED ZEPPELIN défonce vraiment. J’adore ce morceau de hard culte remis à la sauce BACK ROADS.

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Leurs propres compos passent vraiment bien auprès du public, et même s’il n’y a pas 500 personnes,  l’ambiance est bonne enfant et rock’n’roll à souhait. FABRICE DUTOUR et les siens nous emmènent encore aux fins fonds des USA et ça fait du bien.

Mais bon, il est déjà très tard et c’est fini : retour dans l’Ain.

Le temps de papoter concerts à venir avec les potes, du nouveau CD à venir avec MARKUS mais là sous le nom de FORTUNATO 5on en reparle plus tard !), et voilà. Il ne me reste plus qu’à affronter les éléments avec BACK ROADS à fond la caisse, of course !!

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DON FERNANDO

Bon allez, direction Saint-Etienne et plus précisément le Thunderbird ! Je suis assez content d’aller rendre visite à mes copains du Thunder vu que ça fait un petit moment que je n’y suis pas allé. C’est vrai qu’il y a certains endroits où on aime plus se rendre pour des concerts que d’autres : pas que le son soit meilleur, pas que la visibilité soit mieux, mais juste par le fait qu’on s’y sente en famille. Et le Thunderbird est un de ces lieux.

La raison de ma présence ce soir, c’est qu’il y a une soirée kangourous ! Heu non, ils ne vont pas lâcher des kangourous au Thunder et on ne doit pas les attraper au lasso – bien que ça aurait pu être rigolo – mais ce soir c’est une soirée rock from les antipodes et je ne veux absolument pas la louper.

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DON FERNANDO

Personne ne rigole, je suis à l’heure… ou alors c’est eux qui sont en retard, comme vous voulez. De toute façon, je ne voulais pas louper GRINDHOUSE en première partie. Bon là, ça aurait été difficile car c’est finalement DON FERNANDO qui ouvre les hostilités.

Ne me demandez pas pourquoi. Peut-être juste pour me niquer mon report, enfin bref je m’en fous. De toute façon, vous l’aurez compris, je voulais les voir eux aussi. Ils officient dans le style hard-rock stoner et bien sûr ça, j’aime !

Euh, d’entrée de jeu, je trouve qu’en live ça fait quand même bien punk rock leur histoire ! Avec un petit côté stoner quand même. Mais bon, ça change rien, c’est méga bien. Et même s’ils sont toujours à l’heure espagnole – bah oui parce qu’avant de venir en France, ils sont passés par l’Espagne – ils ne sont pas là pour refaire la déco du Thunder.

Et si ce soir, pas mal de gens préfèrent regarder le PSG se faire fesser par Barcelone, eux ils s’en tamponnent et jouent comme si on étaient 5000 ! Du coup, le show va passer à la vitesse d’un koala monté sur rollers !

Bref, un peu court. En tout cas, intéressant de voir un groupe australien pratiquer du hard stoner.

Bon, pause et sus au stand de merchandising où les T-Shirts et les CDs ne sont vraiment pas chers. Top !!

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GRINDHOUSE

J’ai à peine le temps de me ré-hydrater que la première partie qui passe en tête d’affiche commence déjà son set. Alors là c’est clair, au premier coup d’oeil, on voit que les GRINDHOUSE ne sont pas là pour se prendre la tête ni pour se prendre au sérieux.

Visuellement, on est dans un mélange entre WIG WAM et les VILLAGE PEOPLE avec en frontman un chanteur qui en impose. Le contraste est saisissant entre sa corpulence et sa voix : un mélange du chanteur de DARKNESS en plus aigu et de FREDDY MERCURY sous hélium.

Même si j’avais déjà écouté leur musique, au début, ça fait tout bizarre ! Mais bon du coup, ça leur donne vraiment un style propre. Après bien sûr, il faut aimer.

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GRINDHOUSE

Ce qui est marrant, c’est qu’ils sont rangés dans la catégorie punk-rock et que là, en live, si c’est punk- rock, c’est plutôt du côté HELLACOPTERS and family car il y a des gros riffs typiquement hard-rock.

Avec en plus un visuel : un guitariste qui sort tout droit de Crocodile Dundee et un batteur qu’on pourrait croire sorti des Muppets avec son short et une casquette de marin. Il n’y a que le bassiste qui a un look bien stoner.

Mais effectivement, sur le plan musical, on n’est pas dedans du tout, ce qui n’est pas pour me déplaire !

J’ai encore une fois l’impression que le show est un peu écourté même si la salle s’est un peu remplie depuis le coup de sifflet final de l’arbitre.

Mais non, ce n’est pas fini ! Il y avoir mi-temps et changement de joueurs… heu, de musiciens. Alors le sortant est le batteur remplacé par le batteur de DON FERNANDO, le chanteur de GRINDHOUSE pose sa guitare pour se concentrer sur le chant. Et il est rejoint par le chanteur de DON FERNANDO.

Enfin bref, vous l’aurez compris, ça sent le boeuf (enfin là-bas on dirait plutôt le crocodile grillé !). En fait, ça va plutôt accoucher d’un bébé crocodile car ça va être très court.

On a seulement droit à deux morceaux… Mais bon rien que leur version “d’Highway to hell” vaut le déplacement !!!

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BOEUF DON FERNANDO/GRINDHOUSE

Là, c’est fini, on n’en aura pas d’autres. C’est cool, pour une fois, on ne va pas finir trop tard.

Je prends quand même le temps de papoter avec James le taulier du Thunder pour savoir avec quels groupes (et de quels pays) il a projeté de nous éclater nos oreilles parce qu’il arrive toujours à nous dégoter des groupes qu’il est dans les rares à connaître. Et comme il le dit lui-même, il préfère que ça lui coûte de l’argent que passer à côté de nous faire découvrir des groupes qui ont un truc en plus… Quel que soit leur style de rock !

En tout cas, c’est fini pour ce soir, see you soon my friend et… LONG LIVE ROCK’N’ROLL !!!!

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