W.T.R. / Le Webzine de Ti-Rickou

Très content de retrouver CAPTAINE BLACK BEARD avec un nouvel album de Hard Mélodique, tendance FM/A.O.R pas mou du genou. Un album qui va sans aucun doute ravir les fans de THE NIGHT FLY ORCHESTRA et de H.E.A.T. Les morceaux sont mega beaux, mega bien faits, mega bien produits…

Heu, comment chérie ? « Mega chiant oui ! » ? Alors là, pas d’accord du tout ! Comme quoi les goûts et les couleurs… Après, vu ses goûts, c’est normal, trop mélodique pour elle. Comment ça, « c’est surtout trop dansant. » ?!!!! « En tout cas, reconnais qu’ils ont la pêche et que c’est propre. « Ah oui, ça c’est propre. Plus propre que ça, c’est transparent ! ».

Next. Bon alors c’est clair, amis de la poésie brutale, de grosses voix, de son venant d’une cave, allez jouer dans un champ de mines. Les fans d’AOR quant à eux vont se l’arracher de toute façon ce disque. Et hop, 4 pics !

« Dis Papa, pourquoi Maman recherche un champ de mines sur Google ? ».

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Et de cinq ! On aura attendu trois longues années le successeur de l’excellent “Lullabies” qui aura atteint la bagatelle de la huitième place des Metal Rock Charts allemands. Cela lui aura ouvert bon nombre de portes notamment celles de festivals comme le Paléo, le Rock Imperium ou le Riverside Festival, aux côtés entre autres de KISS, AVATAR, SCORPIONS, SABATON, POWERWOLF, HELLOWEEN ou EUROPE. Belle reconnaissance pour ce groupe pour le moins original et talentueux !

Depuis, ils ont tourné aux côtés de SOEN ou participé au Summerside Festival avec des groupes comme VOLBEAT ou HOLLYWOOD VAMPIRES. Rien que ça ! Entre temps, une signature chez M&O Music et voilà cette symphonie du chaos qui déboule dans nos lecteurs !

SILVER DUST s’est donné les moyens de nous proposer cet album qui sonne d’ores et déjà comme ce qu’ils ont proposé de mieux depuis leurs débuts.

Au moyen de douze compositions très travaillées, aux ambiances diverses et en parcourant des univers musicaux parfois bien distincts, le quatuor suisse romand nous fait traverser son univers riche en contraste et en émotion. Riche et sophistiqué, arpentant un univers théâtral aux relents Steampunk et Gothique, SILVER DUST a le mérite de nous envoyer ses douze nouveaux chapitres – à la mélancolie certaine – totalement distincts : pas de redondance ni de répétitions inutiles. Chaque titre se veut différent des autres tout en leur conférant une certaine cohérence, nous prouvant ainsi que 46 minutes peuvent passer très vite lorsque la qualité est là !

Ensuite, il y a le son : attention, gros son ! La production est on ne peut plus soignée et laisse la part belle à chaque instrument, sans parler du chant pénétrant d’un Lord Campbell qui n’a jamais été aussi performant dans ses parties vocales.

Et que dire des arrangements ? On sent qu’un soin particulier leur a été apportés pour que non seulement on entre complètement dans l’univers de SILVER DUST, mais qu’en plus on n’ait pas envie d’en ressortir ! Oui, parce qu’en plus, le résultat se veut addictif !

Difficile de sortir un titre par rapport à un autre tant l’ensemble semble indissociable, mais il faut reconnaitre que “Salve Regina”, le nerveux “I’m Flying”, le redoutable “I saw Your Light”, le mystérieux et pachydermique “Down” (proche d’un TYPE O NEGATIVE), l’intimiste et vibrant “Goodbye” ou le magnifique “Lucifer’s Maze” sont autant d’arguments pour considérer ce “Symphony of Chaos” comme le chef-d’œuvre de SILVER DUST. Ni plus, ni moins !

Un album qui finira très certainement dans mon top 5 de 2025 ! Et nous ne sommes qu’en avril !

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Eh oui, enfin, le second album des Stéphanois d’HEAVYLUTION est là ! Il s’est fait attendre le bougre. Je regarde la pochette et clairement, non seulement elle est réussie mais en plus, ça me donne envie de l’écouter ce « The cycle » ! Alors potards à fond et direction le Forez !

Ca commence tout en douceur et c’est parti pour 10 morceaux de Heavy Metal Mélodique avec la putain de voix de Paul au chant. Et je vous le dis tout de suite, pour moi ce gars fait partie des tout meilleur chanteur de Metal français en activité.

Et ça matche bien-sûr grave ! La puissance mélodique des morceaux et de la voix, ça bastonne sa mère-grand au Thunderbird (ou au Mona Lisa pour les plus anciens) ! Alors oui, il y a du JUDAS PRIEST dans leurs influences et alors ? Moi, je suis franchement mega fan et cet album ne me déçoit pas, bien au contraire. Ca valait vraiment la peine de l’attendre !

En résumé, ce « The Cycle » est un album obligatoire pour tout petit graisseux qui se respecte. Ce sont 10 morceaux de pur bonheur. Qu’on se le dise, HEAVYLUTION est de retour et ce n’est pas pour jouer en D2 ! Ah oui, pour ceux qui ne me croient pas sur parole, le groupe vous propose de découvrir leur album en free sur Bandcamp, histoire comme ils le disent eux-mêmes que tout le monde ait le temps d’apprendre les morceaux pour les chanter en concert. Bien-sûr après, vous commandez dare-dare cette petite pépite de Heavy en version physique ! Bref, c’est un album qui remporte haut la main ses 4 pics.

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Yes, les hard-rockeurs suisses de ROCK OUT sont de retour pour leur troisième album, « Let’s Call it Rock ‘n’ Roll ».

Et la bonne nouvelle, c’est qu’ils font toujours du Hard-Rock Boogie influencé par le Hard Rock australien. Et là, c’est sûr, les kangourous vont headbanguer comme des petits fous ! Comment résister à « Pump it Up », sa rythmique et son refrain qui te font hurler à la mort ? Trop, trop bon.

OK, c’est made in Crocodile Dundee Park mais alors ? Moi, le Hard Boogie à la AC/DC, AIRBOURNE, SIDBURN, etc, c’est mon style préféré. Ca tombe bien ! J’adore quand le Hard Rock te donne soif, te nique la nuque. Rock ‘n’ Roll, bordel de serpent à sonnette !

Cet album est une putain de tuerie, et encore plus pour les fans du style. Je suis comme un dingue, guitare magique, go ! Hard Rock forever !

Même la ballade « Tears are the Rain » est sublime. Rien à jeter dans cet album jusqu’au dixième et dernier morceau, « Don’t call me Honey » qui fleure bon le bush et la bière fraîche. C’est 5 pics direct, eh oui. On en reparle bien sûr à la fin de l’année. Je pense que ça va être coton de choisir l’album de l’année cette fois-ci !

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Oyé, oyé, braves gens, les pirates suédois de YE BANISHED PRIVATEERS sont de retour avec un nouveau trésor : « Til the Sea Shall Give up Her Dead »

Petit fan de Metal avec des gros riffs et des voix d’outre-tombe, va direct  sur la planche et va jouer avec les requins car pas de ça ici. Ce n’est même pas du Folk Metal Pirate mais juste du Folk Pirate. Et perso, j’adore ce groupe, leurs morceaux festifs où on les imagine en train de festoyer dans une taverne au retour d’un raid en haute mer, tout comme leurs morceaux plus tristes comme le magnifique « Waves away » qu’on apprécie encore mieux en gardant les yeux fermés.

Bien-sûr, on a plein d’instruments (du violon, de la flûte, de l’accordéon, de la guitare), des voix masculines, des voix féminines. Bon en même temps, ils sont une quinzaine de musiciens sur cet album.

Alors oui, on n’est pas dans un style que je vais écouter tous les jours mais j’aime beaucoup cet album, son ambiance. C’est un album qui globalement fait du bien. Allez, 3 tonneaux de bière pour la bande de Capitaine Crochet !

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Un peu de douceur dans ce monde de brutes avec l’album de STRATEGY, un groupe allemand de Classic Rock, AOR. C’est une totale découverte pour moi mais d’entrée, la pochette me donne envie de passer à l’écoute.

Et là mega surprise ! C’est juste excellent. Oui, c’est FM, mais mega beau, mega mélodique, avec un chanteur qui a une voix chaude qui me fait totalement craquer. Le morceau éponyme « Love Tactics » est juste énorme avec ses chœurs qui te donnent envie de les hurler avec eux. « Close to Paradise » est superbe. Et que dire de cette voix, que dire de ces mélodies ?!! Mêmes les ballades sont sublimes !

C’est marrant, je pense au premier album de ZENO, un album qui tourne très régulièrement chez moi, même après plus de 40 ans. Je pense que ce « Love Tatics » va suivre le même chemin et beaucoup tourner sur ma platine. Les fans de SCORPIONS (1^ère époque) et ZENO y trouveront forcément leur compte.

Je viens de prendre une énorme baffe avec cet album. Craquage total et donc 5 pics. Bien sûr, on en reparle à la fin de l’année. J’assume et je me le remets. « Papa, c’est mega bon ça. Par contre, maman ne va pas te le piquer, c’est sûr ! ».

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Ce mois d’avril avait commencé doucement pour les sorties d’albums, mais depuis deux ou trois jours, le rythme des promos labels pour des albums qui m’intéressent s’est bigrement accéléré. Je croyais en avoir fini mais SAMTAR a débarqué avec son « The Bog of Cosmic Delusions ».

Attention spoiler : ce mec est carrément barge ! Déjà, il fait tout, tout seul : il compose, il joue, il chante et c’est du délire. On peut dire qu’il y a du physique dans sa musique mais pas que, on a de superbes mélodies, des morceaux très beaux de guitare et une voix puissante, chaude et envoûtante comme sur « All You ever Wantes » qui est magnifique.

Alors oui, la musique de SAMTAR nous sort de notre zone de confort. On a du mal à lui donner une étiquette. En plus, il nous envoie des morceaux de plus de 4 minutes d’où émane une atmosphère prenante et envoûtante.

Euh, comment chérie ? Non, ce n’est pas horrible mon truc zarbi ! Ah, tu t’en fiches parce que tu fonces direct à ton cours d’aqua-poney magique ? Grand bien te fasse. Bon, pour les autres que ma charmante épouse, ce « The Bog of Cosmic Delusions » est un album que je conseille aux fans de musique carrément barrée, un peu dans le style Devin TOWNSEND, Mike PATTON, etc. Allez, c’est 3 pics pour moi et en plus, j’adore la pochette.

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Après une longue pause de quatre ans, EPICA nous sort un nouvel album. J’espère que cette pause leur aura été salutaire car je les avais trouvés plutôt en perte de vitesse sur leur dernier album.

Et à l’écoute de cet « Aspiral », il me semble que le groupe reprend vie. On retrouve tous les éléments qui font la marque de fabrique d’EPICA (les chœurs, les passages grandiloquents, les incursions de growls), mais tout semble plus concentré, les morceaux sont moins longs mais aussi moins complexes, ce qui rend leurs compos finalement plus abordables. 

La voix de Simone est bien mise en valeur dès l’arien premier titre, « Cross The Divide », puis les voix se rejoignent majestueusement dans « Arcana » et enveloppent cette composition d’atmosphères typiques du Metal Symphonique.

Des chansons comme « Fight To Survive – The Overview Effect » et « Eye Of The Storm » nous ramènent dans le passé, aux débuts d’EPICA, avec des sonorités plus directes et « Consign to Oblivion » est purement magnifique.

Je passerais sur des titres comme « The Grand Saga Of Existence – A New Age Dawns Part IX » et « Metanoia – A New Age Dawns Part VIII » qui m’ont ennuyée par leurs longueurs (7 à 8 minutes) et des atmosphères me rappelant leurs dernières productions, avec un univers plutôt sombre.

En revanche, j’ai beaucoup aimé « Aspiral » qui est une très belle ballade avec du piano et la voix pleine d’émotion de Simone.

En résumé, ce dernier opus d’EPICA a finalement, en ce qui me concerne, un bilan très contrasté mais je vois une lueur d’espoir à travers la nuit et j’espère que le groupe poursuivra dans cette voie. 3 pics.

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LAURENNE / LOUHIMMO, c’est la collaboration de deux chanteuses finlandaises aux voix puissantes : Noora LOUHIMO de BATTLE BEAST et Netta LAURENNE de SMACKBOUND. Elles annoncent la sortie de leur deuxième album : « Falling Through Stars ».

Alors musicalement, bah on est dans du Hard Heavy classique avec deux mega chanteuses et ça envoie grave le bois les copains ! Les morceaux sont mega top. « Damned », « To the Dark » et « Rotten Gold » entre autres sont de véritables brûlots de Hard comme on l’aime avec des riffs et des refrains qui te martèlent la tête. Tes cheveux bougent tout seul. En plus, le mariage des voix matche grave.

Comment, « dès qu’il y a des filles, j’aime ? ». Totalement même pas vrai ! Euh, je veux dire : pas totalement vrai. Par exemple, JINGER, je n’aime pas, na ! En tout cas pour nos deux finlandaises, c’est sans hésitation 4 pics !

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Aller on retrouve les Italiens de SICK ‘N’ BEAUTIFUL pour leur 4e album, « Horror Vacui ». Pour ceux qui ne connaissent pas le groupe, on est dans de l’Horror Metal moderne avec une chanteuse en voix claire (pas de gros rots préhistoriques ici). Une belle voix puissante qui fonctionne grave avec la musique.

Même si je suis loin de ma zone de confort, je m’éclate grave sur leurs morceaux. J’aime l’ambiance musicale et les compos sont addictives. Mention spéciale pour « Hate Manifesto » qui m’a mis en mode « petit kangourou » pendant que je hurlais le refrain.

Bref, tout est bon sur cet album. Juste un bémol en ce qui concerne la pochette car si je n’avais pas connu le groupe, j’aurais pensé que c’était du Black Beurk Metal. 4 pics.

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Une promo d’album que je reçois le lendemain de sa sortie, j’ai failli ne pas faire de chronique dessus. Sauf que j’ai beaucoup aimé la pochette très Hard Rock 80 de cet EP et que ça m’a donné mega envie de découvrir le contenu.

Et monsieur va être servi ! A l’écoute, c’est vraiment du Rock ‘n’ Hard, classieux mais qui pulse, que nous délivrent les Suédois de DEGREED.

Cet EP est carrément top. Tout ce que j’aime : des morceaux qui déboîtent grave, des solos mega top, une voix qui matche, des refrains que tu as envie de reprendre avec eux et par-dessus le marché, un son très Rock ‘n’ Hard.

Même la ballade « Hard to be Human » qui clôture ce disque est sublime. Pour un peu, ça me donnerait envie de danser un slow !

Alors, hormis qu’il n’y a que 6 titres, je ne trouve rien à redire à ce « The Leftovers ». En plus, j’ai une furieuse envie de réappuyer sur la touche play, moi. Bref c’est 4 pics !!!!

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Direction Göteborg, en Suède pour retrouver les Hard Rockers mélodiques de ART NATION. Rien que pour commencer le voyage, la pochette est sublime, classe et donne envie d’écouter l’album. C’est déjà un très bon début.

Pour ceux qui ne connaissent pas ce groupe, ils font du Hard Rock classe et mélodique avec comme chanteur, Alexander STRANDELL. Il est épaulé par Christoffer BORG à la  Guitare et par Richard SVARD à la basse.

Tiens, ce « Ascendance » est un petit peu plus Heavy… Attention, c’est toujours mélodique et classe mais je le trouve plus pêchu, ce qui n’est, bien-sûr, pas pour me déplaire. Les morceaux sont top, les solos aussi et quelle superbe voix !

Bref, ce sont 11 morceaux de pur bonheur qui coulent dans nos oreilles. Et ça en fait une véritable pépite à laquelle j’octroie sans hésiter 5 pics. On en reparle bien entendu à la fin de l’année. Euh… est-ce que je peux rester en Suède, moi, parce que c’est trop bien !

Un special coup de cœur pour « Julia », une ballade sublime. Non chérie, je ne pleure pas, c’est les oignons ! Oui, tout à fait, on peut tout à fait éplucher des oignons en écoutant de la musique !

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Rien qu’en regardant l’artwork de pochette de ce « Mid Death Crisis » de WEDNESDAY 13, je suis certain que je vais l’adorer ce disque ! Il faut dire que je suis mega fan du groupe de Heavy Horror Sleaze.

Et je flingue le suspect direct : cet album, c’est une putain de tuerie de Sleaze Metal Horreur sale et branché « Satan est mon copain » ! Dès le début de la galette, tu es pris par la distribution de baffes. Les morceaux sont mega inspirés  et top.

Alors c’est clair qu’il faut aimer la voix. Ca tombe bien, moi je l’adore ! En plus, elle matche à donf’ avec la musique.

Pour ceux qui ne connaissent pas le groupe, il y a des petits côtés ALICE COOPER, WASP, MOTLEY CRUE avec une mega dose de folie pas douce. Perso, c’est typiquement le style d’album qui me donne la pêche et me nique la nuque au passage… sans parler que je finis aphone à force de chanter avec eux.

12 brûlots à écouter sans modération dans le style « les freins sont pour les lâches » et « je déteste mes voisins ». Ouah, je n’arrive pas à arrêter la lecture de cet album, c’est trop bon ! Tiens, c’est bizarre ces corbeaux qui volent en cercle au-dessus des chats noirs… Je ne peux vraiment pas donner moins que 5 pics à cette tuerie intégrale ! En espérant quelques dates en France pour le promouvoir car ces titres doivent dépoter grave en live. Vive Mercredi 13 !

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Je suis mega content car les Canadiens de HAREM SCAREM sont de retour avec une nouvelle galette, « Chasing Euphoria ». Déjà, la pochette est classe, sobre mais donne bien une idée du style, du Hard Rock mélodique classieux.

Et donc pas de surprise pour moi : on est toujours dans ce style, les morceaux sont beaux, les mélodies et les solos sont somptueux, la voix est sublime, le son et la prod’ sont à la hauteur.

Cet album est parfait pour la voiture ou les fin de soirée ou tout simplement si tu as besoin d’un peu de douceur dans ce monde de brutes. Fans de Hard Rock mélodique, vous devez absolument vous procurer cet album et promis, il aura toute sa place dans  votre collection. Comment chérie ? C’est pas toi qui va me le voler ? En attendant, 3 pics tout en douceur.

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Rien qu’avec la pochette, j’aurais pu dire que les SNAKEMOTHER font dans le Doom, Stoner. Au moins, c’est net et c’est précis… à moins que ce ne soit tout simplement parce que je suis trop fort (tiens, j’aime bien cette explication-là, moi !).

Alors, ça part mega doucement avec une voix envoûtante et puis les riffs arrivent, bien lourds, bien magnétiques. A partir de là, en route pour un petit tour dans le désert pour aller manger des champi en compagnie d’un shaman. Je rentre vite dans leur délire et la voix lointaine m’envoûte totalement. Les morceaux changent bien-sûr de rythme, ils ralentissent pour mieux repartir ensuite.

Les flammes du feu de camp virevoltent dans la nuit étoilée et tous les serpents du désert recherche leur mère… Ok, j’arrête de délirer… C’est quand même bien planant leur Doom ! La descente va être rude. Du coup, 3 pics. 

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On a tous, moi le premier, des potes qui ont des montées d’urticaire dès qu’ils entendent parler de Power Metal, surtout si c’est associé à un groupe italien… Va bene ! Pour ma part, j’aime souvent, surtout quand c’est bien fait. En plus, depuis que j’ai découvert TRICK OR TREAT, je les suis.

Je suis donc paré pour l’écoute de ce « Ghosted » d’autant plus que j’adore la pochette délire de cet album. Alors, sans tergiverser, play and go !

Et d’entrée, on a envie de chanter les refrains avec eux, de sauter partout, de faire la fête : c’est le pouvoir du Power Metal. Alors bien évidement avec une pochette pareille, on est dans le thème « les fantômes, c’est cool ». Les morceaux sont du coup bien raccords avec le titre de l’album.

On peut dire que les TRICK OR TREAT sont en forme ! Les morceaux sont inspirés, puissants et fun, sans parler de la voix superbe qui matche à merveille.

Un album qui donne la pêche, un album à écouter fort et sans modération. Putain, ces solos, cette voix, ces mélodies ! Forza Italia ! Allez, c’est 4 pics. Et pour mon copain Serge, le pont le plus proche c’est à gauche.

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Attention, REDEMPTION est un power trio œuvrant dans un Fuckin’ Rock ‘n’ Roll qui décoiffe grave et ils débarquent avec un nouveau bébé nommé : « The Hard Way ».

Encore une fois, la puissance du trio parle. Perso, j’aime beaucoup ce style, cette énergie très Rock Hard. On a des morceaux simples et efficaces qui te mettent en mode headbanguing automatique.

En plus, pour terminer l’album, on a droit à un cover de l’«Overkill » de MOTORHEAD avec la participation de Ruyter SUYS de NASHVILLE PUSSY, rien que ça ! Euh, je vous ai dit que REDEMPTION est un groupe français ? Cocoricooo ! Allez, trois pics.

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GAME OVER est un groupe de Thrash Metal italien. Ils nous annoncent un nouvel album du nom de « Face the End », un an et demi après « Hellframes » qui avait marqué un tournant dans l’histoire du groupe.

Le line up a changé depuis et c’est désormais en quintet que le groupe évolue. Exit le bassiste-chanteur Renato CHICCOLI qui est remplacé à la basse par Leo MOLINARI et au chant par Danny SCHIAVINA. Et ce nouveau venu au chant se révèle à la hauteur avec son timbre qui survole les mélodies à sa manière, avec passion et une attitude véhémente propre au style. Ces gars-là s’inspirent sans en douter une seconde d’un Thrash Old School adoubé par les fondamentaux du genre et si METALLICA, EXODUS ou encore TESTAMENT sont leurs inspirations premières, le groupe réussit à se détacher juste assez de leur influence pour servir au mieux ses compositions propres.

Sur cet album, GAME OVER nous présente un Thrash Metal plutôt profond – même si c’est un peu moins élaboré – au riffing dévastateur avec un travail de la guitare plein de feeling et des textes de premier ordre. C’est tambourinant de la première à la dernière note. On a des concessions atmosphériques sur « Crimson Waves », qui est, à mon humble avis, l’un des meilleurs morceaux de cet opus.

Bref, on écoute, on apprécie et on craque pour cet album qui garde somme toute une certaine fraicheur.

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Parfois, il arrive qu’on ne sache pas comment décrire le style musical d’un groupe. Du coup, quand c’est un peu compliqué, on regarde tout simplement la fiche promo. Là, si je m’en tiens à ce qui est écrit, TEMPLE FANG fait dans le Psych’ Rock.

Et au final, ce n’est pas faux. C’est plus Rock que metal et c’est en tout cas bien branché « un éléphant bleu, ça peut voler » (si, si, je l’ai vu !), « l’herbe est mon amie » et tout et tout.

Ce n’est pas déplaisant à écouter, loin de là, avec des bâtons d’encens pour l’ambiance et en faisant du air cythare (sur une cythare magique pour ceux qui n’auraient pas compris). Ou alors, en fin de soirée agitée, c’est parfait. Perso, j’aime l’ambiance. Les morceaux sont cool, la voix est envoûtante…

Alors of course, si tu aimes les gros riffs qui tâchent et les voix à la Vomito, bah je te conseille plutôt d’aller jouer dans un champ de cactus. En revanche, si tu veux retrouver l’esprit Woodstock, tu peux te jeter dessus et tu ne seras pas déçu.

Bon, moi j’aime bien et j’ai vu l’indien zarbi à poil dans le désert (mais pas Jim), c’est donc 3 pics.

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Trop contente, après quasi 3 ans sans sortir d’album, le groupe suédois H.E.A.T. sort enfin du bois avec un nouvel opus qui s’intitule : « Welcome to the Future » ! Je dois dire que suis un peu déçue par l’artwork que je trouve personnellement très bof pour un groupe qui nous fait en général des pochettes bien sympas.

Plus qu’à découvrir ce que H.E.A.T. nous a concocté. Et je rassure les fans, vous pouvez dormir sur vos deux oreilles car on est toujours dans du Hard-Rock de haute volée, riche en chœurs, même si les claviers ont tendance à donner un côté un peu trop sucré à la chose.

Dès le 1^er titre, on retrouve avec plaisir le chant de Kenny LECKREMO, la fougue de Dave DALONE à la guitare, la qualité de rythmique de Jimmy JAY à la basse et la pugnacité de Don Crash à la batterie.

On a non pas un Hard Rock mais des Hard Rocks sur ce disque avec une palette allant du rock d’arène de « Rock Bottom » au bonjovien « Running To You », jusqu’au mélodique « The End ». H.E.A.T. nous prouve une fois de plus que c’est un groupe qui sait emmener son public, même si, pour ma part, je trouve qu’ils n’atteignent pas le niveau de « Force Majeure » (2022). Il manque peut-être un morceau rapide comme « Nationwide »…

Il faut attendre le 11^e morceau pour que H.E.A.T. crée la surprise en nous balançant « Tear It Down (R.N.R.R.) » un titre qui pourrait sortir tout droit de la discographie d’ACCEPT avec son explosion de mélodies metal brutes et ses refrains à la « Balls To The Wall ».

Bilan des courses, H.E.A.T. reste H.E.A.T. et ce « Welcome to the Future » s’il reste très bon est un peu décevant par rapport à leur précédent opus. Avec un titre pareil, je m’attendais à une espèce de renouveau dans le genre… mais peut-être, en fan absolue que je suis, en attendais-je trop ?

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