W.T.R. / Le Webzine de Ti-Rickou

Les Anglais d’INGLORIOUS sont de retour avec leur leader Nathan JAMES et leur bassiste originel Colin PARKINSON. Ils nous sortent un nouvel album, « V ».

Et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’ils ont envie d’en découdre, les bougres ! En plus dans mon style de prédilection : le Hard Rock.

C’est mega pêchu, j’adore la voix, les morceaux sont inspirés. C’est classique tout en ayant un son moderne. Bref, le bonheur pour le petit hardos que je suis. J’en veux plus des bands comme eux et du c’est bon dans les oreilles qui fait trembler les murs et envoie les voisins en dépression !

Vive INGLORIOUS et vive le Classic Hard Rock, bordel à queue ! Eh bien sûr, 4 pics.

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Tiens, un groupe de Metal Symphonique / Power Metal français qui sort chez Frontiers Music… Pour ceux qui ne connaissent pas le groupe, FAYRYLAND avaient signé à l’époque, si je ne m’abuse, chez NTS et ils se sont taillés une belle réputation, bien méritée d’ailleurs.

Pour ce nouvel album, le line up a évolué mais ils sont encore là et bien là, même avec un nouveau chanteur.

Et ce nouveau chanteur, du nom d’Archie CAIN, à la voix qui cadre parfaitement au style de musique. Un de mes copains dirait que ça sonne très « Power Symphonique italien ». Pas totalement faux car ce « The Story Remains » explore un éventail large, mais toujours mélodique, flirtant parfois avec un petit côté médiéval comme sur « A new Dawn » (si, si, je trouve).

Alors pour résumer, on a : un album bien joué, des morceaux qui sont beaux, c’est bien produit et les textes sont recherchés. Le côté Symphonique majestueux devrait combler les amoureux du genre. Pour ma part, je le trouve bien mais il me manque un truc. A moins que ce soit un truc en trop comme le côté symphonique vraiment très, voire trop, présent. Malgré tout, je lui donne 3 pics. Comment, « je suis bien généreux », chérie ?

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Go ! Direction la Suède pour une dose de Power Metal pour le nouvel album d’INSANIA : « The Great Apocalypse ». J’apprécie ce groupe et leur Power Metal avec des paroles intelligentes.

Là, ils vont nous plonger dans les ténèbres de notre monde en perdition. Eh oui, rien que ça ! Donc, évidemment, l’album est plus sombre que ce qu’ils nous ont délivré auparavant. Mais que les fans du style se rassure, on a la double caisse, les solos qui déboîtent, les refrains qu’on a envie de hurler, une voix qui va bien… enfin tous les éléments du style.

En plus, grosse prog’, gros son, album très bien fait. Mais voilà, il me manque un petit truc qui en ferait un must. Dommage. Du coup, je lui donne 3 pics.

P.S. : Je ne dois peut-être pas trop être dans ma période Power Metal mélodique, moi.

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Oh, un groupe de Brésiliennes qui font du rock, qui cartonne au Brésil et que je ne connais pas ! Rattrapons cette erreur de suite.

Alors, il y a des titres chantés en anglais et des titres en portugais. J’aime bien les morceaux en portugais comme « Veneno » ou la ballade « Como se fosse hoje », des titres produit pour le marché local car c’est la première fois qu’elle font des titres en portugais.

En anglais, mention spéciale à « Bulletproof » qui a bien la pêche et un mega solo de guitare avec une rythmique bien lourde et un chnat plus agressif.

On est dans du Rock, pas du Metal, même si elles ont des morceaux puissants.

Perso, j’aime bien. Les compos sont cool, la voix est chaude et puissante ou douce selon les besoins. Bonne découverte. Et ce n’est pas ma fille qui me contredira vu qu’elle vient de me demander : « Papa, c’est bon ça, c’est quoi ? ». Allez, 3 pics et vive les Brésiliennes… de MALVADA, bien sûr !

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Tiens, un album d’un groupe suédois qui fait du Dark Metal… Bon, comme de bien entendu, la pochette de ce SIGNERI est sombre mais, point positif, le nom est écrit de manière lisible. Je respire car normalement il ne devrait pas y avoir de danger pour mes petites oreilles fragiles.

Allez, j’appuie sur la touche play. Et ? et c’est un piège ! Les mecs braillent grave avec une voix vomitory. Il dégobille littéralement, c’est beurk de chez beurk ! Tout ce que je déteste.

Musicalement, c’est sombre et plutôt pas mal surtout quand le chanteur (si, si, il s’appelle comme ça, sans rire) arrête par instant de se saturer la gorge.

Vous allez me dire que je n’avais qu’à pas à écouter et encore moins chroniquer ce genre de truc et je serais totalement d’accord avec vous. Mais c’est un putain de piège, ils auraient dû dire que c’était du mega brutal Death Dark bordel mes cou…les en ski.

Bon, je passe le monstrueux bébé aux copains de Soil Chronicles. Bon courage, les gars, même ma femme a eu peur. Bien sûr, pas de notation sur ce disque parce que je ne peux raisonnablement pas être objectif. Vite, un CD de Hard FM, je dois nettoyer mes esgourdes d’urgence avant d’avoir de graves séquelles !

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Tiens, la pochette est sympa, c’est du Heavy Metal, Rock Alternatif et le groupe est Français, de Toulouse. Le Webzine aime soutenir la scène Metal française Donc je mets tout de suite ce « Isn’t that Heavy » en écoute.

Et putain, déjà le premier morceau, ça déboîte sa mère-grand dans le cassoulet ! Ca c’est le style de Hard que j’aime de suite ! J’aime la voix avec le chant en anglais, j’aime la rythmique… c’est une bonne entrée en matière. Le second titre est plus mid tempo et plus Metal Alternatif mais c’est très bien. Le 3^e est plus Heavy Mélodique, tendance alternative.

Tiens, je vous ai perdus je crois ! Eh bien, il ne vous reste plus qu’à vous le procurer ce disque mais bon, je vous aide un peu : c’est puissant, mélodique, Heavy moderne avec un gros son. La voix est assez rauque mais se fait aigue parfois. En plus, même leurs morceaux calmes sont terribles comme le superbe « The Wanderer ».

THE LAST LEGACY est une très bonne découverte et prouve, s’il en était besoin, la qualité de notre scène musicale Metal qui se porte à merveille. 4 pics.

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Voici le 6e album des Finlandais de LEVERAGE. Si l’avenir de LEVERAGE semblait incertain après le décès du chanteur KIMMO BLOM lors de l’été 2022, TUOMAS HEIKKINEN, membre fondateur et compositeur principal du groupe, a décidé de rebondir et de donner sa chance au produit. C’est ainsi que PAOLO RIBALDINI, le chanteur (DELAIN, ex-SKILTRON) et la violoniste LOTTA MARIA HEISKANEN se sont joints aux membres restants pour redynamiser le son.  

Rassurez-vous, on est toujours dans du Heavy Rock classieux et mélodique. PAOLO RIBALDINI a effectivement une superbe voix et elle matche nickel avec les compos. Le violon n’est pas gênant et amène un truc.

Ce « Gravity » a des côtés prog’ pas désagréables comme sur « Tales of the Night ». C’est même un album très agréable à écouter. Dommage qu’il n’y ait que 8 morceaux. 3 pics.

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Alors là, fans de Doom à la CANDLEMASS, WITCHFINDER GENERAL et autre SAINT VITUS, vous devriez apprécier ce troisième album des Allemands d’ANGEL OF DAMNATION.

Amis de la sorcellerie à l’ancienne, des titres avec une ambiance à couper au couteau, welcome ! Là, on ne rigole pas, on est en mode Amalnaphate est mon copain et « regarde j’ai un nouveau chaudron et je vais t’envoyer un chat noir avant de te changer en souris ».

Bon, je déconne. J’apprécie cet « Ethereal Blasphemy » même si une écoute un soir de pleine lune n’est pas forcement conseillée. En revanche, si vous êtes fans du style, vous pouvez y aller, vous ne serez pas déçus. 3 pics.

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« Echoes From The Void » est le premier album des Suédois de SKRÄCKEN avec au chant SOFIE LEE JOHANSSON, l’ancienne chanteuse de NIGHT VIPER. Vu que je viens de vous dire que c’est l’ancienne chanteuse de NIGHT VIPER qui est au micro, vous avez compris que le groupe a une chanteuse. Ca tombe bien, j’aime les groupes avec une chanteuse et j’aime particulièrement la voix de SOFIE LEE.

Musicalement, il y a un côté Doom dans leur Hard Rock. C’est peut-être du au son ou à l’ambiance générale de l’album. Perso, c’est tout ce que j’aime.

Ce que je ne comprends pas c’est qu’est-ce qui a fait que je n’ai pris ni une grosse baffe, ni eu un coup de foudre ? Peut-être juste le son… Ce qui est sûr, c’est que c’est frais et que l’album s’écoute, mais je ne suis pas sûr que je vais beaucoup l’écouter. Pour leur grosse rythmique et pour la chanteuse, 3 pics.

P.S. : j’aimerais bien les voir en live car il doit y avoir une atmosphère très spéciale. Surtout un soir de pleine lune.

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« Under the Spell » est le premier album des thrasheurs allemands de MORBYDA. Comme vous le savez, le Thrash n’est pas ma tasse de houblon préférée mais je n’y suis pas pour autant allergique et j’écoute ce style avec modération car trop de Thrash tue le Thrash.

Ouille, là effectivement, c’est du Thrash qui booste ! Ca joue vite, il y a cette voix qui va dans les aigus, des guitares qui speed, une double caisse et tout et tout. Cerise sur le cake, on dirait qu’ils ont enregistré le disque dans leur cave.

Enfin, j’aurais essayé – et même réessayé, mais ce n’est toujours pas mon truc. Ce n’est pas mauvais, c‘est juste que ce n’est pas pour mes petites oreilles. Fans d’EXODUS, de TESTAMENT, des premiers METALLICA, par contre, vous, vous devriez aimer. Oui chérie, pas de problème, tu peux me le piquer ce skud. Pour moi, c’est 2 pics. Alors oui, c’est dur mais c’est normal, c’est du Thrash !

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Attention, légende en approche et pour célébrer leurs 50 ans de carrière quand même. 50 ans malgré les tragédies qui ont frappé ce groupe, c’est presque un miracle. Même un crash d’avion n’aura pas suffi à détruire le groupe et les cousins sont venus continuer l’aventure.

Alors pour les extra-terrestres qui n’auraient pas séjourné sur la planète Terre ces cinquante dernière années, LYNYRD SKYNYRD est LE groupe de Rock Sudiste. Qui ne connait pas leur hymne d’amour au Sud des Etats-Unis « Sweet Home Alabama » composé en réponse à un morceau de BOB DYLAN qui fracassait le sud profond ? Qui n’a jamais entendu ce morceau magique qu’est « Freebird » ?

Et bien sûr, ce « Live at Ryman », c’est un putain de best of de ce groupe légendaire avec des mega guests : JELLY ROLL, MARCUS KING, JOHN OSBORNE, BRENT SMITH et DONNIE VAN ZANT.

Bienvenue dans un monde où la guitare est reine. Normalement, je suis réticent à chroniquer un live mais là, c’est trop facile avec cette set list de  malade et ce line-up de tueur. Ah oui, j’ai oublié de vous dire que la 6 cordes est tenue depuis des années par RICKEY MEDLOCKE (ex-BLACKFOOT).

Un son énorme, un public chauffé à blanc pour un album qui ira aussi bien aux fans qu’à ceux qui veulent découvrir ce groupe légendaire. Pour les pics, je suis vraiment dans la daube : c’est combien de pics pour une légende ?!! Bon, je mets le max, 5 pics (impossible de faire moins), pas pour l’album de l’année mais pour le live de l’année très certainement. Comment, je ne suis pas objectif ? Je ne vous entends pas, je suis loin et je passe sous un tunnel. En plus, j’écoute « That Smell » à fond en roulant sur la route en direction de l’Alabama !

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Le musicien virtuose et multi-instrumentiste danois NICKLAS SONNE nous sort un putain d’album ! Mince, j’ai buté le suspect là ! Oups, je suis désolé de vous avoir spoilés mais je n’ai pas pu résister car cet album m’a mis une putain de baffe !

Non seulement NICKLAS est mega doué à la guitare mais en plus ses compos sont béton. La voix matche grave, les morceaux te filent la pêche, te font taper du pied et te nique la nuque (c’est mon kiné qui va être heureux !).

« Shadows in between » est un petit bijou, mélodique, entraînant (ça me fait un peu penser à du BLUE MURDER). Putain, j’ai du mal à écrire en faisant le petit kangourou sur « A Woman’World » ! C’est trop bon, quelle réussite cet « Electric Dreams », une véritable tuerie de Hard Rock que j’adore. Même la ballade « Epic Song » est sublime et donne envie de hurler le refrain.

Je ne m’attendais pas à ça et on peut dire que ce disque m’a cueilli à froid. C’est vrai que je m’attendais à un CD pour musiciens, une musique difficile d’accès, et bien non, c’est un album pour petit hardos du genre de ceux qui allaient au Camping des Flots Bleus avec Tonton Zézé.

Un album avoir d’urgence pour tous les fans de Hard Rock mélodique classieux mais pêchu. Allez, même joueur rejoue, play again ! Voilà, je suis accro. 5 pics et parce que 6 ça n’existe pas. Bon, sur ce coup-là, ma charmante éditorialiste ne va pas être contente mais je peux déjà vous dire qu’il est mon favori pour l’album de l’année. Eh oui, je m’avance peut-être un peu vite mais plus je l’écoute, plus je l’adore ce disque, okay ? Et en plus, je monte le son !

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