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Y. BLUES

Y. BLUES

Allez, encore une fois direction Lyon pour, comme promis, aller voir les BACK ROADS en live électrique. Pour ceux qui ont suivi, je l’avais promis lors de leur prestation acoustique au Gibert Carré de Soie.

En plus, ce soir, ça va être une première car c’est la première fois que je me rends dans cette nouvelle salle de concert qu’est le Jack Jack. Pas trop le temps de faire attention au décor car vous vous en doutez, la première partie, non non, n’a pas commencé, mais commence ! Yes !

Y. BLUES

Y. BLUES

Là, ça m’aurait vraiment fait chier de la louper car c’est Y. BLUES et que ce trio qui joue du blues acoustique mélangé à du métal, sur scène c’est surtout à ne pas raté ! Ce soir, ils sont en grande forme. Le son est très bon. 

Leurs morceaux tournent vraiment bien et je n’aurais loupé pour pas grand chose au monde leur version du “Aces of Spades” de Motörhead. Cà, c’est vraiment un grand moment. Le public adhère tout comme moi à leur musique. Les morceaux de leur album sont vraiment des bombes en live et les musicos sont à fond dedans. En plus, ils sont contents d’être là et de jouer.. et ça se voit !

Du coup, encore une fois, leur style bien particulier fait mouche. Aussi bien sur des fans de blues-rock que sur des fans de métal. Les Y. BLUES chauffent littéralement la salle pour la suite.

Y. BLUES

Y. BLUES

Bon, je profite de la pause pour dire bonjour aux copains. Beaucoup de musiciens (Markus Fortunato, si tu me lis !) ont fait le déplacement, tout comme une grosse centaine de personnes. On est quand même bien à l’aise dans cette nouvelle salle qui a une grosse capacité.

 

BACK ROADS

BACK ROADS

Allez ! On y retourne pour retrouver les BACK ROADS qui entrent en scène. Ils ne vont pas commencer par leur titre éponyme, mais rassurez-vous, il viendra en deuxième position ! Et là, pas de surprise, car comme je m’y attendais, les BACK ROADS avec leur heavy blues-rock en live électrique, ça déménage grave.

La chanteuse est une vraie frontman qui y va à fond et qui m’a bien bluffé avec sa voix. Elle explose littéralement faisant ressortir son côté JANIS JOPLIN que ce soit sur leurs compos ou sur des covers. Eh oui, on va avoir droit à du PURPLE, du THIN LIZZY (oh surprise !), et plus surprenant, à du JOE BONAMASSA. Mais bon, quelque soit le morceau qu’ils reprennent, ça le fait bien.

Pour leur premier concert électrique, les BACK ROADS y vont à fond et eux aussi, forcément, sont contents de jouer leur musique dans de bonnes conditions. Bien sûr, les titres de l’album seront joués, et pas de doute, ces morceaux sont effectivement taillés pour le live. Je ne vais pas revenir sur la dextérité des musiciens qui de plus, savent pleinement profiter d’une grande scène.

BACK ROADS

BACK ROADS

Comme souvent dans ces cas-là, je ressens une impression de “trop court”. Pour le premier concert du groupe, le résultat est vraiment probant. D’ailleurs, le public est content et dévalise le stand merchandising… ce qui est quand même un bon signe !

 

BILAN DE LA SOIREE

Y. BLUES DY. BLUES

Je vais dire comme d’habitude : mention très bien. Moi, Y. BLUES, j’aime vraiment beaucoup ! Des musiciens qui ne se prennent pas la tête malgré une musique élaborée… et qui ne nous la prenne pas non plus !

 

back roads cBACK ROADS

Oh yeah ! Bon, je voulais les voir jouer branchés et je n’ai pas été déçu. J’ai un peu mal à la nuque..  Merci pour avoir augmenté sensiblement ma collection de photos de cheveux ! Eh oui, BACK ROADS, ça bouge !!! Bien sûr, à revoir avec plaisir sur scène.

 

BACK ROADS

BACK ROADS

 

 

BACK ROADS 1

Bon, ça faisait un bon moment que je n’avais pas été voir un concert en après-midi et l’envie de voir les BACK ROADS sur scène l’a emporté sur le fait de voir un concert dans un magasin.
Et effectivement, les conditions ne sont pas forcément les meilleures pour jouer du rock.. et encore moins pour jouer du blues-hard !

Mais les BACK ROADS se sont adaptés.

BACK ROADS X2

Bon d’accord, le batteur ne jouait pas sur sa batterie normale et le son avait été réduit (on comprend pourquoi quand comme moi on a assisté à la panique des hôtesses de caisse devant le flux sonore d’un concert en magasin. Depuis, on sait que 24 amplis Marshall ça dépote ! Merci Airbourne !!!). Mais bon, grâce à ce showcase, on a quand même pu voir le groupe et les écouter jouer. Et finalement c’est ça qui est important.

Ca m’a permis de découvrir les morceaux de leur premier album (sorti en CD et sur vinyl), et ces morceaux, c’est du tout bon ! Du gros blues-rock tendance hard, des riffs appuyés, des solos bien présents et cerise sur le gâteau, la voix de la chanteuse qui fait merveille aussi bien sur leurs compos que sur les reprises.

BACK ROADS 4

Les BACK ROADS ont assuré. Même dans ces conditions particulières.

C’est marrant d’ailleurs de voir le public qui circule pendant ce genre de prestation : ceux qui sont venus pour le groupe côtoient les chalands qui sont venus parce qu’ils ont entendu de la musique.

En tout cas, moi perso, je n’ai qu’une seule envie : c’est de les revoir en live dans une salle où ils pourront vraiment envoyer le bois.

BACK ROADS 3

Ce voyage à Lyon m’a confirmé, s’il le fallait que BACK ROADS est un putain de groupe qui fait du bien. Sans prise de tête. Juste des morceaux qu’on prend plaisir à écouter et ré-écouter… Heu… sauf si on n’aime pas le blues !!!

Au fait, quelqu’un aurait vu ma femme ??!

 

ET UNE PETITE VIDEO DE TI-RICKOU

 

ET EN CADEAU, L’INTERVIEW DU GROUPE !!!

 

BACK ROADS 5

 

MARCO MENDOZA + BACKROADS : Live report @ le Brin de Zinc de Barberaz (73) – 28 octobre 2021

MARCO MENDOZA

Report by SEB 747

Ce soir, vendredi 1er novembre de l’année 2019, MARCO MENDOZA est en live au Brin de Zinc de Barberaz, avec ses copains Lyonnais de BACKROADS en première partie. Évidemment, je ne peux rater cette date. Comment ? Nous ne sommes pas en 2019 ? Nous sommes le 28 octobre 2021 ? Vous êtes sûr ? Mais c’est la même affiche qu’il y a presque deux ans ! Et en plus, c’est aussi un vendredi ! Ah c’est normal, ils ont remis le couvert ? Alors, pas d’hésitation, en cette fin d’automne 2021, j’irai revoir MENDOZA à Barberaz ! … D’autant plus que les souvenirs revenants, je me rappelle que j’avais beaucoup apprécié la sortie de « Viva la Rock », l’album solo de MARCO.

Deux ans plus tard, quasiment jour pour jour, me revoilà donc de retour au Brin de zinc pour assister de nouveau à ce concert. C’est un remake. Lol. Évidemment, on peut se poser la question pourquoi y retourner ? Déjà, lors du concert de l’époque, nous avions pris une grosse claque. Et si, comme nos amis Camerounais, vous vous dîtes : « Ne croit pas quelqu’un rien que par sa bouche », alors regardez le report qui avait été fait à cette époque ! Ensuite, nous avons dû faire face à une putain de pandémie qui nous a privés de concerts depuis un an et demi. Et puis, comme on dit : quand on aime, pourquoi se priver ? Seul hic, ma titine ayant fait une mauvaise rencontre quelques mois plutôt avec un petit muret, elle a décidé de se refaire une santé chez le carrossier. Du coup, « me voilà fort dépourvu quand le concert fut venu », comme aurait pu le raconter une certaine fable. Heureusement que les copains sont là pour m’emmener dans leurs bagages. Comme aurait dit un certain groupe français des années 80 : « et vive les copains et les chansons » (oui, et aussi « viens boire un p’tit coup à la maison », mais vu qu’on conduit, ce sera avec modération. Lol) !

Arrivés en avance, je prends le temps de discuter avec les copains que je n’ai pas revu depuis une éternité. Évidemment, les conversations sont basées sur les concerts à venir et ceux passés ou alors, comme par hasard, sur un certain Coronavirus et un certain pass sanitaire. Après un an et demi sans se revoir, il faut bien trouver un sujet de conversation. Mdr.

BACKROADS

Les lumières s’éteignent et les BACKROADS, les grands copains de MARCO MENDOZA, montent sur scène et commencent leur set. Dès le premier morceau « Dancing with the Devil », SYLVAINE, la chanteuse, met le ton sur le concert. Fun et intense. Dansant sur tous les titres de leur set, elle met littéralement le feu. Elle est pleine d’énergie et insuffle une bonne ambiance dans le Brin de Zinc.

CHRISTOPHE et FABRICE, les deux guitaristes, sont toujours aussi impressionnants avec leurs dextérités respectives. Ils jouent chacun les solos en se les partageant naturellement. FRANCK derrière sa basse tient le rythme avec BILAL, le batteur, casque vissé sur les oreilles. Le sourire qui ne s’efface pas de leurs visages montre bien à quel point jouer en live manquait à ces musiciens.

SYLVAINE descend souvent dans le public pour faire chanter les fans ou danser avec eux. Elle tient bien le public savoyard qui ne demande que ça. D’ailleurs, on voit qu’il est en manque lui aussi, puisqu’il n’hésite pas à danser ou headbanguer comme jamais.

BACKROADS n’a pas changé d’un iota depuis la dernière fois où je les ai vus. Leur musique est toujours aussi intéressante et a toujours le même effet sur moi. J’aime beaucoup et je prends toujours autant mon pied. C’est sur « Whipping Post » la reprise, et la seule du set d’ailleurs, des ALLMAN BROTHERS que se finit la première partie de ce concert.

MARCO MENDOZA

A peine le temps de me remettre de mes émotions, que les lumières du Brin de Zinc s’assombrissent. Un son de basse retentit au fond de la salle. MARCO MENDOZA doit sûrement tester le son et faire sa balance. Il ne devrait pas tarder, vu que TOMMY GENTRY, le guitariste, s’installe et que KYLES HUGUES s’assied derrière sa batterie.

MARCO, lui, n’est toujours pas là, mais il y a toujours ce son de basse qui résonne de plus en plus fort dans le BDZ. C’est à ce moment précis que tout le monde tourne le dos à la scène. Mais ils sont fous, vous diriez-vous ! Eh bien non. MARCO, tel un boxeur qui monte sur le ring, traverse la salle avec son instrument de prédilection, pour grimper sur les planches.

Contrairement à ce qu’il nous avait proposé il y a deux ans, il se met tout de suite à jouer intensément. J’ai l’impression que d’entrée de jeu, il a mangé du lion. Il fait tellement groover sa basse qu’il met le feu au Brin de Zinc. Ses musiciens, qui continuent à jouer avec lui depuis la dernière fois, sont toujours aussi bons. TOMMY, actuel guitariste du groupe écossais GUN, et KYLES, batteur de RON « Bumblefoot » THAL, soutiennent le bassiste aux impressionnantes capacités vocales.

MARCO est toujours le même. C’est une bête de scène et il n’hésite pas à descendre de celle-ci pour jouer devant ses fans. Il harangue le Brin de Zinc, le fait chanter, claquer des doigts, le regarde droit dans les yeux, surtout ceux qui ne participent pas… En bref, il se comporte exactement de la même façon que la dernière fois où je l’ai vu. Mais il semble dix fois plus motivé. Comme s’il n’avait pas joué depuis une éternité. Oui, d’accord, il y a une pandémie qui nous en a privé pendant « Eighteen month », dixit Mister MENDOZA, mais bon quand même.

Naturellement, il nous joue diverses reprises des groupes auxquels il a participé, mais aussi des titres de sa composition, notamment de son très réussi album de 2018 « Viva La Rock ». Celui qu’il nous présente et lance dans le public après avoir enlevé la cellophane qui l’entourait. Tout comme ses médiators qu’il colle sur son front ou même carrément un T-shirt qu’il donne de la main à la main à une fan.

Marco s’essaye comme il le peut au Français pour séduire ses fans européens et ça fonctionne très bien. On pourrait penser qu’en tant que vedette de la soirée, il ne laisse que peu de place à ses comparses, mais ce serait mal connaître le personnage qui laisse largement ses coéquipiers se mettre en valeur. Il laisse d’ailleurs, tout comme en 2019, à KYLES, le batteur fou qui martyrise ses fûts, le soin d’interpréter « Jailbreak » de THIN LIZZY, lui-même se contentant des chœurs et du refrain. TOMMY, lui, ne quitte quasiment jamais le bord de la scène et fait sortir des riffs hallucinants de sa guitare.

« Que l’on soit dans une arène ou dans une salle comme celle-ci, qu’il y ait un millier de personnes ou une dizaine, peu m’importe d’où vous venez, qui vous êtes. Nous sommes ici pour vous faire rocker ! », nous dit MARCO. « C’est notre dernière date en France pour 2021, et nous sommes heureux de la faire ici. ».

Et c’est sur un « Viva la Rock » que se clôt ce set intense, MARCO MENDOZA nous invite alors à venir au merchandising prendre des photos et signer tout ce dont on a envie. KYLES et TOMMY s’y prêtent aussi volontiers, bien que eux doivent ranger leurs instruments.

C’est une belle soirée qui nous a été présentée par un musicien hors normes, d’une générosité sans précédent, et qui nous a d’ores et déjà donné rendez-vous l’année prochaine.

PS : un grand merci à Thomas du Brin de Zinc, quel bonheur d’avoir enfin refouler le sol de cette salle que j’adore !

Bon ce soir c’est une destination inédite pour les concerts. C’est à Givors, entre Lyon et Saint-Etienne, et au Moulin de Madiba que se dérouleront les festivités. Même pas galère pour trouver la salle… ni même pour me garer ! En plus, comme je suis à l’heure, j’ai le temps de dire bonjour aux nombreux copains qui on fait le déplacement. 

Voilà une soirée qui commence sous de bons hospices !

D-CAD

D-CAD

Et c’est déjà l’heure pour le premier groupe de monter sur scène. D-CAD est un groupe qui m’est carrément inconnu.

Au tout premier abord, je me demande pourquoi ils sont sur l’affiche ce soirPas que ce soit mauvais, mais je ne m’attendais pas à ça. Le trio officie dans du rock français et du coup, j’avoue que je sors vite pour aller au bar. Peut-être trop vite même car plusieurs personnes viennent me dire que c’est vraiment bien et qu’elles aiment ! Que ce n’est effectivement pas du hard-rock mais que c’est vachement bien.

Du coup, je rejoue. J’y retourne. Et là, je me focalise sur les paroles et la musique.

Et qu’est ce que j’ai bien fait de revenir ! C’est vraiment bien fait et en plus les paroles sont carrément bien ! Dans le style rock français, ça le fait et ça joue vraiment. Les D-CAD ont une présence en live qui fait que ça fonctionne et le public ne s’y trompe pas. Bref, un bon moment inattendu mais que je ne regrette pas.

ALIEN ENCOUNTERS 1

ALIEN ENCOUNTERS

Bon, une petite pause avant qu’ALIEN ENCOUNTERS ne monte sur scène. Vu que je ne les ai encore jamais vus et que du coup ils sont une des raisons pour lesquelles je suis là ce soir, je me mets devant la scène.  

Et je vais avoir bien raison car ALIEN ENCOUNTERS joue carrément un de mes style de prédilection, du hard-rock mélodique influencé RAINBOW, DEEP PURPLE.

Et non seulement c’est bien fait, mais la voix est belle, les morceaux sont vraiment bons et les musicos ont une bonne prestance scénique.

Bref, c’est réussi ! Depuis le temps que je voulais les voir en live, je ne suis vraiment pas déçu !  Tout ce qu’il faut pour passez un bon moment.

Allez, un petit cover de DEEP PUPLE et puis voilà, c’est fini. Sniff !!

Heu bon c’est malin mais maintenant il faut que je retrouve ma femme car je ne sais pas pourquoi, mais comme par magie, dès le début, Oups, disparition !! Mais moi, je connais le secret du tour de ré-apparition : direction le bar !!

BACKROADS 2

BACKROADS

Allez, on finit la soirée avec les copains de BACKROADS. Les mêmes BACKROADS que je n’ai pas pu voir hier lors de leur concert avec MESSALINE aux Arts dans l’R à cause du concert de NASHVILLE PUSSY qui passait à Mâcon… Et puis surtout à cause du fait que je n’ai pas encore acquis le pouvoir de me dédoubler, lol !!

Bon enfin je suis là et je suis prêt à prendre ma dose de hard-blues.

Et je vais être gâté car bien qu’ils n’aient pas beaucoup dormi, ils nous offrent un set fidèle à leur habitude en nous donnant tout. Bien sûr, la setlist est comme d’hab’ constituée de morceaux de leur album et de quelques covers… Mais des covers à la sauce BACKROADS, of course !!!  Une fois de plus, j’adore leur version de “Rock’n’roll” de LED ZEP. 

Bref, BACKROADS, ce n’est que du bonheur !

BACKROADS 4

BACKROADS

Mais il se fait tard et comme la fatigue me rattrape et que j’ai un peu de route, je ne prends même pas le temps de papoter encore avec les copains. Donc “On the road again” !!!

Un grand merci aux orga pour cette soirée et pour la découverte de cette salle qui, je l’espère continuera à nous servir de terrain de jeux !

Long live rock’n’roll, les copains !

BACKROADS 1

BACKROADS