Tagged: BACKROADS

MARCO MENDOZA et BACKROADS au Brin de Zinc

MARCO MENDOZA

Report by SEB 747

Ce soir, vendredi 1er novembre de l’année 2019, MARCO MENDOZA est en live au Brin de Zinc de Barberaz, avec ses copains Lyonnais de BACKROADS en première partie. Évidemment, je ne peux rater cette date. Comment ? Nous ne sommes pas en 2019 ? Nous sommes le 28 octobre 2021 ? Vous êtes sûr ? Mais c’est la même affiche qu’il y a presque deux ans ! Et en plus, c’est aussi un vendredi ! Ah c’est normal, ils ont remis le couvert ? Alors, pas d’hésitation, en cette fin d’automne 2021, j’irai revoir MENDOZA à Barberaz ! … D’autant plus que les souvenirs revenants, je me rappelle que j’avais beaucoup apprécié la sortie de « Viva la Rock », l’album solo de MARCO.

Deux ans plus tard, quasiment jour pour jour, me revoilà donc de retour au Brin de zinc pour assister de nouveau à ce concert. C’est un remake. Lol. Évidemment, on peut se poser la question pourquoi y retourner ? Déjà, lors du concert de l’époque, nous avions pris une grosse claque. Et si, comme nos amis Camerounais, vous vous dîtes : « Ne croit pas quelqu’un rien que par sa bouche », alors regardez le report qui avait été fait à cette époque ! Ensuite, nous avons dû faire face à une putain de pandémie qui nous a privés de concerts depuis un an et demi. Et puis, comme on dit : quand on aime, pourquoi se priver ? Seul hic, ma titine ayant fait une mauvaise rencontre quelques mois plutôt avec un petit muret, elle a décidé de se refaire une santé chez le carrossier. Du coup, « me voilà fort dépourvu quand le concert fut venu », comme aurait pu le raconter une certaine fable. Heureusement que les copains sont là pour m’emmener dans leurs bagages. Comme aurait dit un certain groupe français des années 80 : « et vive les copains et les chansons » (oui, et aussi « viens boire un p’tit coup à la maison », mais vu qu’on conduit, ce sera avec modération. Lol) !

Arrivés en avance, je prends le temps de discuter avec les copains que je n’ai pas revu depuis une éternité. Évidemment, les conversations sont basées sur les concerts à venir et ceux passés ou alors, comme par hasard, sur un certain Coronavirus et un certain pass sanitaire. Après un an et demi sans se revoir, il faut bien trouver un sujet de conversation. Mdr.

BACKROADS

Les lumières s’éteignent et les BACKROADS, les grands copains de MARCO MENDOZA, montent sur scène et commencent leur set. Dès le premier morceau « Dancing with the Devil », SYLVAINE, la chanteuse, met le ton sur le concert. Fun et intense. Dansant sur tous les titres de leur set, elle met littéralement le feu. Elle est pleine d’énergie et insuffle une bonne ambiance dans le Brin de Zinc.

CHRISTOPHE et FABRICE, les deux guitaristes, sont toujours aussi impressionnants avec leurs dextérités respectives. Ils jouent chacun les solos en se les partageant naturellement. FRANCK derrière sa basse tient le rythme avec BILAL, le batteur, casque vissé sur les oreilles. Le sourire qui ne s’efface pas de leurs visages montre bien à quel point jouer en live manquait à ces musiciens.

SYLVAINE descend souvent dans le public pour faire chanter les fans ou danser avec eux. Elle tient bien le public savoyard qui ne demande que ça. D’ailleurs, on voit qu’il est en manque lui aussi, puisqu’il n’hésite pas à danser ou headbanguer comme jamais.

BACKROADS n’a pas changé d’un iota depuis la dernière fois où je les ai vus. Leur musique est toujours aussi intéressante et a toujours le même effet sur moi. J’aime beaucoup et je prends toujours autant mon pied. C’est sur « Whipping Post » la reprise, et la seule du set d’ailleurs, des ALLMAN BROTHERS que se finit la première partie de ce concert.

MARCO MENDOZA

A peine le temps de me remettre de mes émotions, que les lumières du Brin de Zinc s’assombrissent. Un son de basse retentit au fond de la salle. MARCO MENDOZA doit sûrement tester le son et faire sa balance. Il ne devrait pas tarder, vu que TOMMY GENTRY, le guitariste, s’installe et que KYLES HUGUES s’assied derrière sa batterie.

MARCO, lui, n’est toujours pas là, mais il y a toujours ce son de basse qui résonne de plus en plus fort dans le BDZ. C’est à ce moment précis que tout le monde tourne le dos à la scène. Mais ils sont fous, vous diriez-vous ! Eh bien non. MARCO, tel un boxeur qui monte sur le ring, traverse la salle avec son instrument de prédilection, pour grimper sur les planches.

Contrairement à ce qu’il nous avait proposé il y a deux ans, il se met tout de suite à jouer intensément. J’ai l’impression que d’entrée de jeu, il a mangé du lion. Il fait tellement groover sa basse qu’il met le feu au Brin de Zinc. Ses musiciens, qui continuent à jouer avec lui depuis la dernière fois, sont toujours aussi bons. TOMMY, actuel guitariste du groupe écossais GUN, et KYLES, batteur de RON « Bumblefoot » THAL, soutiennent le bassiste aux impressionnantes capacités vocales.

MARCO est toujours le même. C’est une bête de scène et il n’hésite pas à descendre de celle-ci pour jouer devant ses fans. Il harangue le Brin de Zinc, le fait chanter, claquer des doigts, le regarde droit dans les yeux, surtout ceux qui ne participent pas… En bref, il se comporte exactement de la même façon que la dernière fois où je l’ai vu. Mais il semble dix fois plus motivé. Comme s’il n’avait pas joué depuis une éternité. Oui, d’accord, il y a une pandémie qui nous en a privé pendant « Eighteen month », dixit Mister MENDOZA, mais bon quand même.

Naturellement, il nous joue diverses reprises des groupes auxquels il a participé, mais aussi des titres de sa composition, notamment de son très réussi album de 2018 « Viva La Rock ». Celui qu’il nous présente et lance dans le public après avoir enlevé la cellophane qui l’entourait. Tout comme ses médiators qu’il colle sur son front ou même carrément un T-shirt qu’il donne de la main à la main à une fan.

Marco s’essaye comme il le peut au Français pour séduire ses fans européens et ça fonctionne très bien. On pourrait penser qu’en tant que vedette de la soirée, il ne laisse que peu de place à ses comparses, mais ce serait mal connaître le personnage qui laisse largement ses coéquipiers se mettre en valeur. Il laisse d’ailleurs, tout comme en 2019, à KYLES, le batteur fou qui martyrise ses fûts, le soin d’interpréter « Jailbreak » de THIN LIZZY, lui-même se contentant des chœurs et du refrain. TOMMY, lui, ne quitte quasiment jamais le bord de la scène et fait sortir des riffs hallucinants de sa guitare.

« Que l’on soit dans une arène ou dans une salle comme celle-ci, qu’il y ait un millier de personnes ou une dizaine, peu m’importe d’où vous venez, qui vous êtes. Nous sommes ici pour vous faire rocker ! », nous dit MARCO. « C’est notre dernière date en France pour 2021, et nous sommes heureux de la faire ici. ».

Et c’est sur un « Viva la Rock » que se clôt ce set intense, MARCO MENDOZA nous invite alors à venir au merchandising prendre des photos et signer tout ce dont on a envie. KYLES et TOMMY s’y prêtent aussi volontiers, bien que eux doivent ranger leurs instruments.

C’est une belle soirée qui nous a été présentée par un musicien hors normes, d’une générosité sans précédent, et qui nous a d’ores et déjà donné rendez-vous l’année prochaine.

PS : un grand merci à Thomas du Brin de Zinc, quel bonheur d’avoir enfin refouler le sol de cette salle que j’adore !

Bon ce soir c’est une destination inédite pour les concerts. C’est à Givors, entre Lyon et Saint-Etienne, et au Moulin de Madiba que se dérouleront les festivités. Même pas galère pour trouver la salle… ni même pour me garer ! En plus, comme je suis à l’heure, j’ai le temps de dire bonjour aux nombreux copains qui on fait le déplacement. 

Voilà une soirée qui commence sous de bons hospices !

D-CAD

D-CAD

Et c’est déjà l’heure pour le premier groupe de monter sur scène. D-CAD est un groupe qui m’est carrément inconnu.

Au tout premier abord, je me demande pourquoi ils sont sur l’affiche ce soirPas que ce soit mauvais, mais je ne m’attendais pas à ça. Le trio officie dans du rock français et du coup, j’avoue que je sors vite pour aller au bar. Peut-être trop vite même car plusieurs personnes viennent me dire que c’est vraiment bien et qu’elles aiment ! Que ce n’est effectivement pas du hard-rock mais que c’est vachement bien.

Du coup, je rejoue. J’y retourne. Et là, je me focalise sur les paroles et la musique.

Et qu’est ce que j’ai bien fait de revenir ! C’est vraiment bien fait et en plus les paroles sont carrément bien ! Dans le style rock français, ça le fait et ça joue vraiment. Les D-CAD ont une présence en live qui fait que ça fonctionne et le public ne s’y trompe pas. Bref, un bon moment inattendu mais que je ne regrette pas.

ALIEN ENCOUNTERS 1

ALIEN ENCOUNTERS

Bon, une petite pause avant qu’ALIEN ENCOUNTERS ne monte sur scène. Vu que je ne les ai encore jamais vus et que du coup ils sont une des raisons pour lesquelles je suis là ce soir, je me mets devant la scène.  

Et je vais avoir bien raison car ALIEN ENCOUNTERS joue carrément un de mes style de prédilection, du hard-rock mélodique influencé RAINBOW, DEEP PURPLE.

Et non seulement c’est bien fait, mais la voix est belle, les morceaux sont vraiment bons et les musicos ont une bonne prestance scénique.

Bref, c’est réussi ! Depuis le temps que je voulais les voir en live, je ne suis vraiment pas déçu !  Tout ce qu’il faut pour passez un bon moment.

Allez, un petit cover de DEEP PUPLE et puis voilà, c’est fini. Sniff !!

Heu bon c’est malin mais maintenant il faut que je retrouve ma femme car je ne sais pas pourquoi, mais comme par magie, dès le début, Oups, disparition !! Mais moi, je connais le secret du tour de ré-apparition : direction le bar !!

BACKROADS 2

BACKROADS

Allez, on finit la soirée avec les copains de BACKROADS. Les mêmes BACKROADS que je n’ai pas pu voir hier lors de leur concert avec MESSALINE aux Arts dans l’R à cause du concert de NASHVILLE PUSSY qui passait à Mâcon… Et puis surtout à cause du fait que je n’ai pas encore acquis le pouvoir de me dédoubler, lol !!

Bon enfin je suis là et je suis prêt à prendre ma dose de hard-blues.

Et je vais être gâté car bien qu’ils n’aient pas beaucoup dormi, ils nous offrent un set fidèle à leur habitude en nous donnant tout. Bien sûr, la setlist est comme d’hab’ constituée de morceaux de leur album et de quelques covers… Mais des covers à la sauce BACKROADS, of course !!!  Une fois de plus, j’adore leur version de « Rock’n’roll » de LED ZEP. 

Bref, BACKROADS, ce n’est que du bonheur !

BACKROADS 4

BACKROADS

Mais il se fait tard et comme la fatigue me rattrape et que j’ai un peu de route, je ne prends même pas le temps de papoter encore avec les copains. Donc « On the road again » !!!

Un grand merci aux orga pour cette soirée et pour la découverte de cette salle qui, je l’espère continuera à nous servir de terrain de jeux !

Long live rock’n’roll, les copains !

BACKROADS 1

BACKROADS

JC JESS 2

JC JESS

Bon, ce soir j’ai le choix entre aller sur Lyon voir SYMPHONY X ou aller à la montagne pour un fest sympa avec des groupes que je n’ai encore jamais vu. A priori, la neige n’est pas annoncée et la circulation devrait être glop dans mon sens, donc direction Marnaz.

Heu oui, pas de neige mais une putain de pluie ! M’en fous, ce n’est pas ça qui va m’empêcher d’être à l’heure ! Eh eh, et j’ai même pas mal de temps pour papoter avec les potes avant que le premier groupe n’entre en scène !

alpin

ALP’IN

Allez, les hostilités démarrent. Ce sont les locaux de ALP’IN qui s’y collent avec leur rock français influencé NOIR DESIR, RADIOHEAD et NIRVANA. Pour vous situer. Bref, que des joyeux lurons.

C’est plutôt bien fait, la voix est très bien pour le style mais bon perso c’est trop festif pour moi !

J’en profite pour aller, non pas me restaurer mais papoter avec le gratteux de NOW OR NEVER – oui, l’ex-PRETTY MAIDS !- de leur dernier album sorti il y a quelques jours.

EXXCITE 1

EXXCITE

Du coup, le temps passe vite et c’est au tour d’EXXCITE, groupe de La Roche-sur-Foron (en Haute-Savoie pour les parisiens, là où habite la dame du même nom !). C’est un groupe que je suis impatient de voir live.

Et je ne vais pas le regretter. Leur hard heavy sleaze est méga efficace en live.

J’adore la voix du chanteur et leurs compos. Ils nous délivrent un très bon set, d’autant plus que le second guitariste, OLIVIER, n’a jamais jouer avec eux et que c’était une première ce soir. Le public qui commence à être bien présent ne s’en est même pas rendu compte.

Bref, un seul défaut à cette prestation, c’est qu’elle m’a semblé trop courte !

BACKROADS 1

BACKROADS

Mais bon, il reste trois groupes à passer et le prochain ne m’est pas inconnu : ce sont mes copains de BACKROADS !! Pour ceux qui nous suivent, vous savez tout le bien que je pense d’eux, de leur boogie-rock… et de leur chanteuse à la voix magique (ça aurait pu être JANIS JOPLIN sa marraine).

Et bien ça va être encore une fois confirmé en live ! En plus le son est excellent, la scène est grande et le public participe.

Bref, toutes les conditions pour un set réussi avec une setlist basée sur leur excellent album appuyée par quelques reprises passée à la sauce BACKROADS. J’aime vraiment leur version de « Rock’n’roll » du dirigeable de plomb ! Je trouve que la voix de SYLVAINE lui apporte une putain de pêche et de rage et une originalité qui en fait une reprise loin d’être scolaire.

Bon, sniff, c’est fini. Vivement le second album !

Allez, le temps de jeter un œil au ciel pour voir si la météo ne s’est pas plantée. Cool, pas de neige à l’horizon.

IRON BASTARDS 2

IRON BASTARDS

Je retourne dans la salle pour l’entrée sur scène de IRON BASTARDS, un groupe qui nous vient de Strasbourg (pour les parisiens, c’est en Alsace !).

Ils évoluent en trio basse, guitare, batterie et font dans le fukin’ rock’n’roll ou, plus parlant pour tout le monde, du « MOTORHEAD est mon papa » ! Et là, c’est facile de remonter la filiation. Et franchement en ces temps d’hommage à LEMMY, il y a plein de reprises de MOTORHEAD faites par des groupes qui sonnent moins MOTORHEAD que les compos d’IRON BASTARDS !

Et même scéniquement, ça le fait : le bassiste chanteur, le batteur, le guitariste – heu, pour le guitariste, ça serait plutôt la période BRIAN ROBERTSON, sans les sur-chaussettes roses, of course mais avec le même côté propret et gentil garçon en décalage avec les autres membres du groupe et le son joué. Je parlais du visuel bien sûr.

Sinon musicalement, ça déménage grave ! Les fans de MOTORHEAD sont aux anges. Moi, j’adore leur morceau en espagnol, il a une putain de patate !!Je regrette qu’il n’y en est pas plus… Mais mon petit doigt me dit qu’ils devaient recommencer l’expérience sur leur prochain album…

Allez, les allergiques à LEMMY et sa bande vont pouvoir rentrer. Moi, je profite de la dernière pause pour aller faire une petite interview à EXXCITE.

JC JESS 1

JC JESS

Et c’est l’heure du dernier groupe de la soirée : JC JESS. Là, je prends la machine à remonter dans le temps et je retourne en 2009, époque où tous mes copains me parlaient de lui parce que c’était LE groupe à voir. A l’époque, alors que j’étais au festival « Guitare en Scène », j’avais du coup tanné tout le monde pour rester même s’il était très tard, et ça rien que pour le voir. Et là, comment dire ? Le chapiteau s’était vidé et le son était pourri de chez pourri. A tel point que je m’étais demandé si c’était bien le même groupe dont on m’avait tant parlé. C’était violent et presque inaudible. Bref, j’avais tenu deux ou trois morceaux avant de fuir !

Mais retour dans le présent. Depuis quelques temps, on me redit que JC JESS c’est très bien, que je devrais les voir en live, que ça a changé. A vrai dire, depuis l’épisode de « Guitare en scène », je n’ai plus écouté ce qu’il a fait. Mais bon, j’ai croisé JC JESS qui m’a raconté les conditions du set de l’époque, qu’il avait changé musicalement et que, bien sûr, c’était beaucoup mieux maintenant !

Donc je me vide la tête et je suis prêt pour le début du concert.

Heu… une chose est sûre, ce n’est pas la même chose, rien à voir ! Là, c’est vraiment bon, les morceaux sont efficaces, la voix est belle et en plus il y a un méga son. On est à l’opposé du set de « Guitare en Scène ».

En plus, ça joue grave ! Les musicos s’éclatent et le public aussi. Les filles sont presque hystériques ! C’est clair que là, on n’a pas envie de se casser ! C’est vraiment bon. Même si si je suis moins fan des morceaux plus brutaux, ça le fait.

En plus, le bassiste fait son deuxième concert de la soirée car il est aussi guitariste dans EXXCITE. Et à le voir bouger sur scène, on ne l’aurait pas cru.

Je suis même triste quand les JC JESS annoncent que c’est fini et bien sûr content quand ils reviennent pour un rappel. Rappel avec bien sûr un… allez, c’est facile… Eh oui, c’est un militaire qui gagne une tringle à rideaux ! MOTORHEAD. Le chanteur d’IRON BASTARDS est convié à la fête pour un cover très LEMMY. Allez, après un petit JUDAS PRIEST, c’est fini.

Maintenant, taïaut ! La course contre la neige a déjà commencé. Et pour l’instant, je perds !!

JC JESS FIN

JC JESS

Un grand merci à l’orga pour ce fest. Bien sûr, le fest continue le lendemain mais avec du métal plutôt extrême, donc à l’année prochaine pour la soirée rock-hard !

PS : une pensée pour tous les copains du public ou des groupes qui, comme moi, ont dû se galérer avec la pluie et la neige pour rentrer. Même sur l’autoroute, c’était chaud ! Mais bon, on est tous rentrés à bon port. Moi, c’était en écoutant BACKROADS car je ne sais pas pourquoi mais moi la neige, ça me fait chanter le blues !!

Un spécial PS : JC JESS, tu avais raison, ça a bien changé et putain, c’est vraiment bon ! L’interview, on se la fait la prochaine fois !