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STICKY BOYS @ L’Antonnoir – Besançon (25)

Report et Photos by Ti-Rickou

Lorsque tu te lèves le samedi matin et que ta chérie adorée te dit que ça fait longtemps qu’on n’a pas vu les STICKY BOYS et qu’ils passent à Besançon avec IRON BASTARDS, un grand sourire vient illuminer ton visage. Pas de neige à l’horizon, plein de copains et de copines qui vont y être, voilà une journée comme je les aime ! Et comme je ne veux pas contrarier ma chérie, on the road again, direction le pays de la cancoillotte et plus exactement l’Antonnoir, une salle que je ne connais pas.

On part donc en avance et on arrive à peu près à l’heure, le temps de trouver un parking à proximité caché par une dame qui attend le bus. Il y a du monde devant la porte. C’est bon signe. Normalement, ça n’a pas commencé. J’entends tout à coup un « Ti-Rickou ! » derrière moi… C’est la douce voix de Rémy et de toute la bande du défunt Baracat qui débarquent ! Yes ! Je dis bonjour aux copines aussi bien-sûr.

Il est temps pour moi de découvrir la salle qui est belle et en largeur. Il y a un grand bar et cerise sur le gâteau, un sas fumoir. Eh oui, c’est un détail pour les non-fumeurs mais pour moi, ça veut dire que je ne serai pas obligé d’aller me les peler dehors. Décidément, elle me plait bien cette salle !!

FULL THROTTLE BABY @ L’Antonnoir – Besançon (25)

C’est parti pour le premier groupe, les parisiens de FULL THROTTLE BABY. Heu… Les musiciens ont des chemises à fleurs, façon BEACH BOYS, je ne suis pas sûr que ce soit bon signe. J’ai vu avant de venir qu’ils font du fuckin’ rock ‘n’ roll, moi ! Ah, c’est un piège ? Oui parce que ça déménage grave ! Le chanteur me fait penser à ANGRY ANDERSON de ROSE TATTOO.

Musicalement, c’est très énergique. Punk-rock, grosse rythmique. J’accroche moins à la voix, trop poussée limite hardcore. Du coup les paroles sont peu audibles. Dommage car sinon le chanteur est un putain de showman ! Il y va à donf’, communique avec le public, descend dans la Fosse, raconte des histoires, nous raconte les morceaux, tombe le haut…

FULL THROTTLE BABY @ L’Antonnoir – Besançon (25)

Le guitariste et le bassiste vont quant à eux monter sur le bar et y jouer. Bref, le fuckin’ rock ‘n’ roll est bien là. Le public, agréablement surpris s’éclate lui-aussi à fond. Rien de mieux pour commencer la soirée que d’être chauffé d’entrée de jeu. Le groupe nous annonce la fin du set car il y a deux groupes à venir, IRON BASTARDS et STICKY BOYS. Je n’ai pas vu le temps passer moi… mais j’ai déjà mal aux cervicales !

La salle continue à bien se remplir. Pour l’instant à vue de nez, on est plus d’une centaine. C’est cool.

IRON BASTARDS @ L’Antonnoir – Besançon (25)

On est bien chauds et prêts à accueillir les strasbourgeois de IRON BASTARDS. Et là, ça part directement pour la distribution de grosses baffes ! le trio est à donf’ dans « MOTORHEAD est ma famille et LEMMY, c’est notre papa ». Ils ne copient pas leur musique mais ils en prennent l’essence et l’esprit… même si leur dernier album est aussi teinté d’AC/DC. Et de leur touche personnelle !

IRON BASTARDS nous démontre encore une fois que la formule trio est très efficace et que ce n’est en aucun cas un frein pour la prestation live.

La set list fait un tour dans leur répertoire et, comme on est très gentils, on va même avoir droit à de nouveaux morceaux qui seront sur l’album qui doit sortir dans quelques semaines. On a même un morceau qu’ils jouent pour la première fois!!
Je ne regrette pas le déplacement moi car entendre en live des nouveaux morceaux c’est toujours mega cool… Surtout quand tu les aimes ! Je vous en dirai plus quand j’aurais chroniquer leur album. Comment ça, je ne suis pas gentil ?! Lol.

Ouah, c’est mes cervicales qui ne vont pas être contentes à la fin de la soirée mais bon, j’ai encore des cheveux et il faut bien qu’ils s’amusent eux-aussi. Très bonne prestation d’IRON BASTARDS servie par un son très bon. Encore un bon point pour l’Antonnoir !

IRON BASTARDS prend de plus en plus sa propre direction musicale et c’est encore une fois très, très bon en live. Ils sont dans leur élément, ça se voit et ça se ressent. Du coup, c’est partagé par le public.

STICKY BOYS @ L’Antonnoir – Besançon (25)

Allez, c’est la dernière pause de la soirée et là, je découvre que l’Antonnoir est bien rempli et que ça continue à se remplir. Les gens sont venus en nombre pour cette première soirée de Metal in Franche Comté et pour les STICKY WHAT ? STICKY BOYS !!!!

Avec les STICKY, pas de préliminaires. Ca part très fort la séance de grosses baffes sonores. A commencer à coût de rock hard boogy à la mode
des copains. Leurs brûlots sont déjà des classiques pour une grande partie du public présent qui s’éclate et reprend les paroles. Comme le précise ALEX, le chanteur, ils ont déjà joué à Besançon, Dijon et au Baracat et ils sont heureux eux-aussi de retrouver des copains.

« Rock is over» et autres désormais classiques s’enchaînent et mes cervicales morflent une fois de plus. Mais putain, que c’est bon !!! ALEX, JP et TOM montrent eux-aussi l’efficacité de la formule trio surtout quand les trois sont à donf’. Ils mettent tout dans leur musique, leur coeur, leurs couilles, leurs tripes et surtout leur envie de jouer et de partager avec le public.

En parlant de partager, les STICKY BOYS invitent les deux premiers groupes à les rejoindre sur scène pour un morceau. C’est ça l’esprit STICKY, de la générosité, de la joie. Sur scène, c’est de la folie ! On est dans un monde parfait où le rock ‘n’ roll nous rapproche (du bar !!!!).

Allez, un petit cover à la mode des fous furieux et la messe est dite. Les STICKY BOYS sont venus, ils ont joué, ils ont gagné !! Pas de doute qu’ils se sont faits de nouveaux fans après cette soirée ! Ces mecs-là ont bien compris une chose : pour avoir du monde à tes concerts, ça ne sert à rien d’avoir deux millions d’amis sur Facebook et de compter sur ceux qui likent l’évènement, ce qui compte, la clé magique, c’est de faire des putains de concerts où le public en prend la tête et les oreilles. Parce que ce public-là, il en parlera autour de lui et qu’il reviendra les voir dès que l’occasion s’en représentera. Un public de rock se gagne à coups de sueur… et de bière, of course !

Le temps de prendre congé des potes et des groupes, de remercier le copain de Metal in Franche Comté, l’asso organisatrice de la soirée et malheureusement, il nous faut repartir. Difficile car on est bien à Besançon. On a passé une méga bonne soirée. Seul bémol, je crois que j’ai ramené une photo souvenir pas voulue sur la route.

STICKY BOYS @ L’Antonnoir – Besançon (25)

THE LAST VEGAS

Bon, je suis un peu dégoûté de ne pas avoir pu me rendre hier soir au Thunderbird Lounge pour le concert des LAST VEGAS car il y avait un brouillard à couper au couteau et qu’à vrai dire, j’étais méga crevé. Mais bon, quand on ne le sent pas, il vaut mieux s’écouter. « Comment chérie, c’est plus facile de renoncer quand on sait qu’il y a une autre possibilité ?!! ». Heu… pas faux.

Eh oui, parce que ce que je ne vous ai pas encore dit, c’est que les LAST VEGAS jouent ce soir à Besançon. Et même si c’est un peu plus loin pour moi que Saint-Étienne, en temps c’est kif kif. En plus, c’est un signe des dieux du hard-rock, il n’y a pas de fog. Le temps est clair et donc on the road again, direction Besançon et les Passagers du Zinc. Le truc cool, c’est que même s’il y a un bout de temps que je n’y ai pas mis les pieds, je sais où c’est et surtout je sais où me garer facilement. 

Donc évidement, j’arrive en… avance. Bon, là je ne pouvais pas trop jouer car il n’y a pas de groupe de première partie. Bien-sûr, je retrouve mes copains et copines du coin ou de Montbéliard – dont Rémy, le programmateur du Baracat’ qui vient malheureusement de faire sa soirée de fermeture… Cool, il y a tout plein de copains virtuels du forum « Hard-Rock 80 », et ils sont venus bien en force ce soir !!!  L’ambiance va être chaude. Obligé !

Bon, le bar a changé. Ce n’est plus un bar central mais sinon je suis comme un poisson dans l’eau et j’attends avec impatience le moment de rentrer dans la DS. Aïe, non chérie, la DS c’est la découpe d’une vieille Citroën DS qui marque l’entrée de la salle et te permet de passer au sous-sol !

En arrivant en bas, il y a le stand merch’ très bien achalandé : des CD, des T-Shirts, des peaux de batterie… et à des prix raisonnables !… Ce qui ne m’ aide pas à le rester moi, raisonnable !!

Bon, la salle se remplit bien, surtout pour un lundi car normalement le bar est fermé. Ils ont ouvert exceptionnellement pour l’occasion. Et ils ont bougrement bien fait car on est là et chauds comme la braise pour accueillir les LAST VEGAS !

Et putain, d’entrée de jeu, je ne regrette vraiment pas les bornes que j’ai du faire ! C’est la baffe direct ! Mon Dieu, que c’est bon ! Rien qu’avec le début du premier morceau, je ne suis physiquement plus là. Je suis dans leur univers, dans leur musique sleaze hard qui m’emporte. Heu non, je n’ai pas pris d’hallucinogènes. Ils ont une énorme présence scénique et malgré la taille de la scène, ils ont un tel charisme et une telle présence que c’est énorme. On comprend mieux qu’ils aient fait craquer NIKKI SIXX de MOTLEY CRUE – qui a produit un de leurs albums – ROB Z. – qui en a produit un aussi – qu’ils aient ouvert pour AC/DC, MOTLEY et BUCKCHERRY.

Leurs morceaux tirés de leurs différents albums sont des brûlots incandescents. Je fonds littéralement sur ceux tirés de « Bad Decisions ». Ouah, c’est irréel qu’ils jouent devant 60 personnes dans un café-concert ! Ces mecs, c’est de l’or en barre du niveau des GUNS ‘N’ ROSES, MOTLEY CRUE et consorts. On ne méritent pas, on est tout petits ! Ils sont en plus heureux d’être là, de jouer pour nous… Et nous on prend tout ça sans modération. Et on en redemande avec avidité.

Je ne sais pas combien de temps ils ont joué mais de toute façon ça a été trop court tellement c’était bon. Un putain de chanteur avec des putains de zicos. Pas de maillon faible, pas de temps mort. Même leur slow est magnifique et mériterait une heavy rotation sur MTV !

Si, je suis objectif ! Et les copains présents ce soir sont de mon avis : un méga concert fait par un méga groupe.

Bien-sûr, on les rejoint sur leur stand merch’ pour rapporter des souvenirs de ce moment, CD signés, T-Shirt, photos avec eux. Bref, on est bien et on refait le match. Et pour ceux qui sont tristes que le groupe ne passe pas dans une plus grande salle avec plus de public, je leur réponds qu’on a bigrement bien fait d’en profiter car la dernière fois que je suis venu ici, c’était pour voir un chanteur américain avec sa guitare sèche et on était moins nombreux que ce soir. Et ce chanteur, c’était JOHN CORABI ! Maintenant, si tu veux le voir, il faut aller au Transbordeur ou dans les plus grands fest’ du monde car avec les DEAD DAISIES, il cartonne grave !

Bon allez, c’est pas tout, il y a le retour à se farcir. Donc il est temps de dire au revoir aux potes. Je souhaite à Rémy de trouver un autre endroit pour faire passer des groupes… mais mon petit doigt me dit que ça pourrait ne pas être long ! 

Bon évidement, je vais rentrer avec « Bad Decisions », le monstrueux album de THE LAST VEGAS en boucle dans mon autoradio pour tenter de faire fondre le brouillard. Et ça a presque fonctionné… Presque !

Pour ce report, j’adresse une spéciale dédicace à Jocelyne, Rémy et tous les copains de « Hard-Rock 80 », James du Thunderbird et à tous ceux qui se bougent pour que vive notre musique.

Et bien-sûr, un special thanks à THE LAST VEGAS qui est vraiment un énorme band de rock !! On se revoit bientôt my friends (PS : Le Transbordeur, ça m’arrange !).

Long live rock ‘n’ roll !!!!

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john corabi 1

Ce soir, je sors de mon territoire pour filer sur Besançon. Non ! Pas manger de la cancoillotte… bien que… c’est bon la cancoillotte, mais pour assister à un événement ; un concert unique en France : JOHN CORABI en live.

Vous ne le remettez pas ? Attendez, ça va vous dire un truc : le chanteur qui a remplacé VINCE NEIL dans MOTLEY CRUE pendant quelques années. Et maintenant ça vous parle ?!!

Donc, après pas mal de route, j’arrive avec beaucoup de plaisir au Passagers du Zinc et ce, avec d’autant plus de plaisir que j’adore cet endroit. Il y a déjà devant des têtes connues, ce qui me confirme qu’on va être un public de connaisseurs. Et effectivement, dès que la salle du bas est ouverte, le bar se vide et tout le monde descend. C’est plutôt bon signe, ça ! Bref, en quelques minutes, la salle est presque pleine.

john corabi 2Sur scène, JOHN CORABI prend sa place sur une chaise en plein milieu de la scène. C’est pratique çà pour les photos : il ne bouge pas ! De toute façon, ce soir, je ne suis pas venu voir un mec se rouler par terre car c’est un show en acoustique (comme l’an dernier du côté d’Annecy).

Donc pour moi, pas de surprise ! Pour d’autres, si. Mais bon, tant pis.

 

Ce soir, tout est dans la douceur. La voix magique de JOHN suffit largement. On va avoir droit bien sûr à des morceaux de ses différents projets, quelques covers et… à beaucoup de bla-bla ! Incroyable mais vrai, JOHN CORABI réussit l’exploit d’être encore plus bavard que moi ! Donc entre chaque morceau, il va nous expliquer pleins de trucs. Heureusement pour nous, il va rester longtemps sur scène !!!

Pourtant, passés les premiers moments d’émerveillements en écoutant sa voix, il y a un truc qui me titille. Je cherche ce que ça me rappelle… J’ai trouvé ! J’ai l’impression de me trouver à la fin du film Rockstar quand la star d’un groupe de heavy-métal envoie tout balader pour aller faire du grunge dans un bar.

JOHN CORABI, c’est un peu ça : la rupture du passé. Faire la transition entre le rôle de chanteur de MOTLEY CRUE, groupe mondialement connu, à celui de chanteur de UNION, groupe beaucoup moins connu, puis de faire à peu près la même chose mais en acoustique.

Il faut dire que la formule acoustique lui convient bien.

john corabi 5La preuve, la salle est encore bien pleine quand le concert se termine ! JOHN va prendre le temps de monter signer des autographes et faire des photos. Après avoir, bien sûr, ranger sa guitare ! Il signe sans sourciller les albums de MOTLEY que pas mal lui présentent.

Ce qui est évident, c’est qu’il est tout content d’être là et d’avoir quand même eu la possibilité de jouer en France. Chose hallucinante d’ailleurs : c’est la deuxième fois qu’il vient en Europe et c’est la deuxième fois qu’il ne joue pas à Paris. Mais bon tant mieux pour nous car ce soir encore la magie de JOHN a opéré. En plus, les concerts unplugged ne sont en plus pas légion. Heu, quand même JOHN, la prochaine fois, j’aimerai bien te voir avec tes copains… en électrique !!!

En tout cas, cette fois encore, j’ai eu confirmation que JOHN CORABI est un putain de chanteur, vraiment sous-estimé !

Heureusement que les Passagers du Zinc ont pris le risque de le faire passer – un dimanche soir en plus ! – car ça aurait été vraiment dommage qu’il évite la France.

JOHN CORABI 3

Allez ! Enfin la rentrée pour les concerts ! Youpi !!! Je commençais à trouver le temps long, moi !

Donc quand j’ai vu que nos copains des STICKY passaient avec les fous furieux de V8WANKERS à moins de deux heures de route de chez moi, je n’ai pas hésité une seconde. En plus, c’est vrai, je ne connaissais pas Besançon… Un peu de culture, ça ne peut pas faire de mal, des fois !

passagers du zinc

Le temps de trouver la salle – qui en fin de compte se révéle être un caf’conc’ assez délire (car pour accéder à la salle de concert, on passe par le capot d’une vieille DS !), les STICKY sont en train de terminer leur check sound. Je vais donc avoir le temps de faire une interview des V8WANKERS. Cool, on n’aura pas fait le voyage pour rien, déjà !!

 

sticky boys besancon 3

 

Et ça va continuer. Les autres fous furieuxde la soirée, les sus-nommés STICKY BOYS montent sur scène !

Les STICKY, c’est pas une barre Ovomaltine, mais c’est de la dynamite !!! Et que ce soit sur une grande scène devant plus de 200 personnes ou dans une petite salle devant une soixantaine, les STICKY  nous allument de la même façon avec leur rock hard survitaminé ! Ils ne posent pas, ils jouent. Voilà.

sticky boys besancon 1

 

Les STICKY et leur hymne Rock’n’roll Nation. Les STICKY et leur plaisir à proposer la bonne parole du rock’n’roll comme un évangéliste carrément barré dans un prêche qui dérape. Les STICKY qui nous montrent encore ce soir qu’ils sont un putain de groupe de scène.

En plus, la bonne nouvelle se propage car les gens présents ce soir ne sont pas prêts de les oublier.

sticky boys besancon 4b

 

sticky boys besancon 2

 

Le show passe à la vitesse d’un TGV en colère et bientôt ils nous annoncent qu’ils vont laisser la place à leur petits copains allemands qui eux aussi ont envie de nous péter la tête à coups de riffs plombés !!!

 ***

Et voilà les V8WANKERS – qu’on aurait pu appeler aussi les TATTOO WANKERS tellement leurs tatouages sont impressionants… Sauf un d’entre eux (on ne dira pas lequel), mais c’est uniquement parce que le tatoueur ne l’a pas encore rattrapé !

v8wankers 1

 

Allez, trêve de plaisanterie car eux, ils ne sont pas là pour ça. Ils sont là pour nous envoyer en pleine face leur rock hard boogie, croisement de ROSE TATTOO et de MOTORHEAD (… qui seraient en colère, en plus ! lol !). Tout ça dans la bonne humeur et dans le fun.

v8wankers set list

On va avoir droit à un set composé de morceaux issus de leurs nombreux albums. On va avoir droit à différents solos de batterie, de basse.. présentés et commentés par le chanteur.

Bref, un set où, encore une fois, on ne voit pas le temps passer. Et bien sûr, ça va se terminer par un cover des ROSE TATTOO. Rien de tel pour clôturer la soirée.

Sauf que eux, non. Ils ne veulent pas partir. « Vous en voulez une petite ? », »Vous voulez quoi ? »… Du coup, on repart sur le « Nice Boys » où ils vont en profiter pour faire participer le public.

OK, là c’est fini, maintenant, il va falloir reprendre ses esprits car leur rock plombé plus la chaleur de la salle… je ne sais plus trop où j’en suis, moi !

v8wankers 3

 

v8 wankers 2

 

Bilan de la soirée

STICKY BOYS : rien à dire. Toujours une tuerie. Ah si, petite annonce : le batteur est à la recherche de sa moustache ! Allez, on attend leur prochain album (mon petit doigt me dit qu’il est en cours). Ca nous donnera l’occasion de les revoir. YES !!!!!

V8WANKERS : sur scène, c’est franchement un rouleau compresseur. La musique est toujours aussi puissante et leurs titres frappent pile entre les deux yeux !  Et comme dirait Gérard Manvu : »Que le hard te défonce le cul, ça va t’aérer le cerveau, gros blaireau !  » (extrait de la page Facebook d’Enfer Magazine (1983-1987). C’est vrai que scéniquement, les tatouages, ça en jette ! Effectivement, du coup, le petit nouveau détonne un peu, mais ce genre de détail s’arrange. Les V8WANKERS  sont prêts à franchir une étape pour conquérir le monde. Rien que ça ? Oh oui !!!!

v8 wankers 4

 

Merci aux organisateurs du concert, le Besançon Tattoo Show, et au Passagers du Zinc pour leur accueil et de proposer des soirées comme ça !