Le Hard Rock qui fait crier YYYYYY-AAAAAHHHHHH et qui sent le Jack à plein nez !
MOLLY HATCHET – Flirtin with Disaster De « Whisky Man » à « A good rockin », de « Gunsmoke » à « Let the good times roll », du rock qui balance grave. Bien sûr indispensable !
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LYNYRD SKYNYRD
One more from the Road
Un méga best of des rois du Rock Sudiste avec des morceaux monstrueux, des ballades belles à pleurer.
Un disque à avoir, quoi ! P.S : Putain d’avion..
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ZZ TOP
Tres Hombres
Ce disque est une légende ! Rien à jeter sur ce CD. Une tuerie avec des morceaux fabuleux.
Un must du trio texan !
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ZZ TOP
Rio Grande Mud
Du Rock Sudiste qui donne soif ! Un bon CD de ZZ TOP.
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ZZ TOP
Eliminator
A partir de cet album, plus rien ne sera jamais pareil pour les Texans. Leurs barbes seront mondialement connues et leur Rock Boogie texan vas se FMiser. Mais putain la baffe ! Un pur album atomique. Des titres qui balancent grave, des refrains de tueurs. Bref, un album légende du Rock tout simplement. Après, est-ce que c’est encore du Rock Sudiste ? Oui, car ZZ TOP c’est le Rock Sudiste !!
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BLACKFOOT
Flyin’ High
Un pur album de Rock Sudiste. Un pur album de BLACKFOOT qui va déjà bien nous préparer aux suivants.
Un disque bien agréable. A écouter et à réécouter et fort de préférence.
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BLACKFOOT
Striker
Du Sudiste avec un Indien à la guitare, c’est détonant. Mais ça le fait ! « Road fever » donne le ton : de l’électricité et des riffs qui tuent, et une voix bien sûr passée à la râpe ou au Jack !
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BLACKFOOT
Marauder
Leur Rock Sudiste se durcit et devient comme sur « Good Morning » du Hard Sudiste. Et putain, ça le fait grave !
Un album à écouter très, très fort !!! Ah oui, bien sûr un CD culte !!
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DOC HOLLIDAY
Rides again
Un des spécialistes du genre. On est du Sud et on en est fier. Cet album est un vrai bijou du Rock Sudiste.
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POINT BLANK
Point Blank
Une pochette avec un double canon ? Welcome in the South ! Une vraie tuerie cet album. Ca cartonne sec. Pour faire court, un chef-d’œuvre de Rock Sudiste et de Rock Hard.
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THE ALLMAN BROTHERS
Eat a Peach
Du Rock Sudiste sans les ALLMAN BROTHERS, ce n’est pas possible. Je présente cet album car il y a « Melissa », « Mountain Jam » et « One Way out ». Voilà, j’assume !
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MOUNTAIN
Nantuket Sleighride
C’est le groupe de Leslie WEST, un guitariste monstrueux. Cet album est lui-aussi monstrueux. Bien-sûr, à avoir !
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BLACK OAK ARKANSAS
Keep the Faith
Une pure tuerie ce live. La voix… les guitares… Bref, un pur incontournable.
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BAREFOOT SERVANTS
Barefoot Servants
Groupe plus confidentiel, mais je ne comprend vraiment pas comment on peut passer à côté de ce brûlot de Rock Hard Sudiste ? Les morceaux sont des bombes Hard Sudiste dans l’esprit d’un BLACKFOOT « Marauder » !
Bref, un de mes disques de chevet !!!
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JERONIMO
Jeronimo
Heu, il y a vraiment Jeronimo sur la pochette… Bon, musicalement c’est du Rock Hard Sudiste ’70 avec un son brut.
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THE BOYZZ
Too Wild to Tame
On dirait Marlon BRANDO dans ‘L’équipée sauvage ». Musicalement, du Rock Sudiste qui booste.
Un album à avoir dans sa collection… si on arrive à le trouver (même l’édition Axe Killer est épuisée !).
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STOCKS
Enregistré en public
Du Rock Hard Sudiste chanté en Français et en provenance du Nord. Heu non, je ne déconne pas !! Forcément un album à part dans cette sélection mais ce serait une putain d’erreur de passer à côté car ça le fait grave, que ce soit musicalement ou au niveau des paroles. En plus, il y a « Suzy »… et « Suzy », moi je l’adore ! Un de mes CD fétiches en Rock Sudiste… ou en Blues Rock… ou en Hard Français. Bref, à avoir. Point barre.
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PRIDE AND GLORY
Pride & Glory
Avec Zakk WYLDE au chant et à la guitare. Non, ce n’est pas un homonyme, c’est bien le guitariste de OZZY et de BLACK LABEL SOCIETY. Non, je ne me suis pas trompé de liste ! C’est un putain d’album de Rock Hard Sudiste. Bon, avec Zakk, ça attaque un peu, mais du coup, ça donne un super album. A part, mais vraiment très bon ! Grâce à ce disque, on comprend pourquoi Zakk va se laisser pousser la barbe : c’est pour rentrer dans ZZ TOP !
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OUTLAWS
Bring it Back Alive
Un méga live. Des titres de folie. Bref, le meilleur des hors-la-loi, en plus en live !!
Bref, à posséder. En plus, il est dispo digitalisé et remasterisé !
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RAGING SLAB
Raging Slab
Un groupe de Rock Hard Sudiste avec une fille, c’est déjà rare, mais à la guitare c’est encore moins courant. En plus, cet album est une vraie bombe made in Sud avec des gros riffs et la voix made in Jack Daniels du chanteur.
Un must, je vous le dis !
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COPPERHEAD
Copperhead
Du Hard Rock Sudiste avec des morceaux qui auraient très bien pu être écrits par MOLLY HATCHETT. Non, non je ne rigole pas !
C’est vraiment un disque très recommandable !
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NATCHEZ
Retour à la source
Du Rock Sudiste en Français, eh oui ! Et c’est très, très bien fait. Des morceaux lents et des plus rapides, plus un petit cover : « Rock ‘n’ roll Susie ».
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ALAMO
Alamo
Il y a Fort Alamo sur la pochette. Pas de tricherie sur la marchandise : huit brûlots de Rock Sudiste.
Un disque pas facile à avoir, mais qui vaut la peine de se décarcasser pour le trouver !
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THE GRAVEYARD TRAIN
The Graveyard Train
Alors là, pour le classer, vraiment pas facile. Je l’ai mis avec les Rock Sudiste car c’est mon sentiment général, mais il y a aussi du Hard Blues dedans, des côtés LED ZEPPELIN, des côtés GREAT WHITE.. En tout cas, un vrai putain d’album indispensable. Que du bonheur… quelque soit la catégorie.
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JOJO GUNNE
Jojo Gunne
Rock Sudiste or not ? Moi, je dis oui ! En tout cas, les morceaux ont tout pour car en fermant les yeux, moi je voyage dans le Sud avec eux. Plus Rock que Hard mais vraiment un classique.
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FOUR WHEELS DRIVE
Four Wheels Drive
Cinq titres de Rock Sudiste made in Lyon. Du pur Rock Sudiste de tradition.
J’aime beaucoup ce CD et ce groupe. Ils jouent sans se prendre la tête et leur musiquenous le rend !!
La playlist du Hard made in chez nous mais chanté en Anglais, les fourbes !
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LORD GALLERY
Lord GALLERY
Du Heavy qui bastonne, mega fun. Un CD à écouter très fort. Pour fans de Heavy Metal. Un seul défaut, il est trop court !
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VARIATIONS
Nador
Attention, on parle là de Hard Rock 70 tendance psychédélique, donc on flirte plus avec un Rock barré qu’avec du Heavy.
Les morceaux sont variés, passant du Hard Rock à du Pop Rock avec des super musicos. Moi perso, j’adore la voix de Marc TOBALY.
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SHAKIN’ STREET
Vampire rock
Une fille qui chante du hard ? Si, c’est possible ! Bon, on est dans du Rock Hard. J’adore la voix de Fabienne SHINE. Et en plus, « No time to lose » est un de mes classiques.
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DOG ‘N STYLE
Dog ‘n Style
Un EP 5 titres de Hard Rock mega bien fait. Un régal pour les oreilles avec des morceaux top et une voix qui colle bien à la musique.
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NIGHTMARE
Astral Deliverance
Un CD qui va droit au but. Du Heavy Metal mélodique avec la voix de Jo AMORE qui n’est pas sans rappeler celle de DIO. Un CD que j’aime vraiment.
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FISC
Handle with care
Du Hard FM made in France très bien fait musicalement. Très belle pochette. En plus le CD a un extra track !!
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FISC
Too hot for love
J’adore toujours leurs pochettes ! Leurs morceaux aussi ! Toujours dans du Hard FM à la BON JOVI premier album. Super album. J’adore « Tokyo nights ».
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STAR RIDER
Star Rider
EP 4 titres. Pour un début, les Grenoblois ont frappé fort avec un Heavy Metal de haute volée. Un CD à écouter très fort.
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SQUEALER
Squealer’s Mark
Une voix râpeuse pour du du Hard Metal avec des petits airs de ACCEPT. Très sympa.
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SWEET LIPS
Xoxo
Du Hard mélodique à la Y&T. Un putain d’album et un groupe qui avait tout pour réussir avec cet album car c’est un petit bijou de Hard mélodique FMisant.
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MYSTERY BLUE
Claws of steel
Du Metal mélodique avec chanteuse. J’adore l’intro qui débouche sur un délire et un morceau qui a bien la pêche.
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MISS AMERICA
One Minute Before Glory
EP 4 titres pour ce groupe parisien composé de 2 filles et de 2 garçons. Les morceaux top et efficaces avec une voix magnifique. Du Hard Rock comme on l’aime.
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DEBORAH LEE
Déborah Lee
Album produit par Renaud HANSTON.. avec Renaud HANTSON à la batterie, Renaud HANTSON au synthé et Renaud HANTSON qui fait les chœurs ! Après, la voix de DEBORAH LEE sur ce disque est spéciale. Chant en Anglais et en Espagnol. Un CD à part des autres mais qui a bien sa place dans ma collection !
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ELECTRICK SHOCK
We are Electric Shock
Premier EP des Grenoblois. Du Hard Rock sans compromis qu’on se prend direct in the face. C’est brut, ça nique la nuque et ça fait du bien aux oreilles !
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FACE TO FACE
Face to face
Le groupe français avec un chanteur. Le groupe qui a fait ce putain d’album de Hard mélodique. Du Hard mélodique mais pas mou. En plus, il n’a pas trop vieilli !
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LONEWOLF
March into the Arena
Du Heavy qui déboîte à donf’. Un groupe français bizarrement un peu méconnu avec un album que j’écoute encore souvent.
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EXCESS
Shut up your Face , Open your Ears
Trois titres d’accord mais trois putains de morceaux de Hard Rock ! Une belle ballade et deux morceaux qui le font bien. J’en aurai bien aimé plus, moi !!!
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BONESHAKER
Start the race
Dans un style plus Hard Punk Rock, les BONESHAKER envoient le bois. Les morceaux très « in the face » le font grave. Un CD Ovni !
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BACK ROADS
Back Roads
Du Hard Rock Blues avec une super chanteuse et un guitariste de haute volée. Des morceaux qui restent en tête et qu’on réécoute souvent à travers le temps.
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THE ELDERBERRIES
Nothing ventured Nothing ganed
Dans la famille Hard Rock à la HELLACOPTERS, les ELDERBERRIES, ça le fait ! Vous pouvez aussi trouver des morceaux de leur disque sur la B.O. du film Hellphone.
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TRACY GANG PUSSY
Chaos Rock ‘n’ Roll – Number 4
Du Hard Punk Rock ‘n’ Roll qui ne se prend pas la tête. Des morceaux bien faits, un CD très agréable. Un vrai groupe à part.
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LOOKING FOR MEDUSA
Into my Eyes
Ce groupe de Clermont-Ferrand nous ont fait un album superbe de Hard Rock Classieux avec de très beaux morceaux. J’adore la voix d’Olivier COSTES et ce disque tourne souvent chez moi.
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THE BLACK KING
The Black King
Des petits jeunes qui savent déjà bien faire parler la poudre ! Du vrai Hard Rock old school. 6 titres qui le font grave !! « Born to break your Balls »… heu, c’est pas moi qui le dit !!
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AESTHESIA
Serious conspiracy
Du pur Sleaze qui déménage grave, des morceaux qui déménagent grave, un putain de chanteur et des mégas musiciens. Un album à avoir pour tout fan de Sleaze Glam. Eh oui, ils viennent de Paris, mais leur Sleaze est universel !!
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STICKY BOYS
This is rock ‘n’ roll
Ils sont trois, ils font du Hard Rock Boogie et ce CD, il faut l’avoir dans sa collection ! Un album qui fait du bien de la pointe des cheveux aux bouts des pieds.
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STEEL RANGERS
Full X Ess
Du Glam Sleaze bien fait. Une pochette très GUNS ‘N’ ROSES. Un CD avec des morceaux sans prise de tête et avec des morceaux qui passent bien.
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OVERDRIVERS
Rock out !
Ce groupe du Pas de Calais aurait pu être classé dans la rubrique Hard Boogie car ils font du Hard Rock en mode « on est les fils d’AIRBOURNE ». Un EP 3 titres mais 3 putain de brûlots !
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BLACKRAIN
Licence to thrill
Bon que dire de cet album que je n’ai pas déjà dit ? Une pure merveille de Sleaze, des morceaux qui cassent tout sur leur passage, un groupe qui ne se la joue pas Rock ‘n’ Roll mais qui l’est vraiment. J’en ai presque oublié du coup qu’ils sont français.. Made in la Haute-Savoie, mon brave monsieur !!!
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HIGHWAY
IV
J’adore ce groupe qui nous vient de Sète. Cet album est une tuerie intégrale avec un putain d’hymne, « Brotherhood », le genre de morceau que tu écoutes le dimanche et que tu chantonnes toute la semaine.
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FURIOSO
Furioso
Ce CD marque le retour de Renaud HANTSON dans le Hard Rock avec pleins de copains guitaristes : NONO, Patrick RONDAT, Michel AYME, Christophe MARQUILLY et pleins d’autres. Donc bien sûr, de belles parties de guitare et des morceaux sympas. Ca fait du bien d’entendre la voix de HANTSON qui s’éclate à nouveau.
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WHISKY OF BLOOD
Six Six Sex
La pochette donne le ton : sexe, alcool and Rock ‘n’ Roll ! Du Hard Rock sans prise de tête, à l’ancienne. De la musique qui donne la pêche en mettant la banane. Du Hard Rock made in Grenoble ; bref : un Hard qui secoue les noix !!
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YVES CHOIR
By prescription only
Dans la famille « les chanteurs ça pue du cul donc je n’en mets pas », je voudrais Yves CHOIR. Un putain de CD instrumental avec Billy SHEEHAN à la basse, la participation de Steve LUKATHER à la guitare et de Jeff PORCARO aux drums..Vous vous dites que ce n’est pas forcément un gage de réussite, ben là si. A avoir pour tous les amoureux de la guitare. Un bémol, il faut maintenant casser sa tirelire pour le trouver !!
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BORN AGAIN
Strike with Power
Un groupe qui nous vient de Franche Comté pour nous distiller un Hard Rock Heavy comme on l’adore. Un CD à avoir dans sa collec’.
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PATRICK RONDAT
Amphibia
Toujours dans la catégorie « les chanteurs ça pue du cul, donc je n’en mets pas », je voudrais Patrick RONDAT. Patrick RONDAT, Tommy ALDRIDGE et Patrice GUERS réalisent là un des tous meilleurs disques d’instrumental basé sur la guitare électrique Hard mélodique. Un putain de monument et même trop beau pour les images du Paris Dakar. De super morceaux, de très belles mélodies et c’est made in chez nous !
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HITCHHIKE
Tequila
Ce groupe de Lyon fait dans le Hard Heavy et ce « Tequila » dépote méchamment. La voix est top. Un album à écouter à donf’ !
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SOHO
DeProfundis
Album unique de ce groupe d’Annecy, né des cendres du groupe BRONX. Superbe album de Hard Rock avec des paroles qui tapent. Très difficile à trouver en 1ère version. Dispo en réédition avec bonus sous le label Steel Shark Records.
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Commentaires fermés sur HEADCHARGER + THE MERCURY RIOTS au Brin de Zinc
Jeudi 17 octobre 2024 à Barberaz (73)
Me voici de retour au Brin de Zinc peu de temps après la baffe que m’ont mise les RAKEL TRAXX. Ce soir, mon copain de concert n’est pas de la partie, il fait l’impasse. Du coup, c’est en couple que je descends dans mon antre préféré. Arrivés sur place, je constate que le parking est presque plein. Cela annonce t’il un concert bien rempli ? Lorsque je rentre dans le BDZ, je me rends compte que, pour le moment, il n’y a pas grand monde. Le parking a dû être pris d’assaut pour un autre événement. Les gens ne savent pas ce qu’ils perdent, pardonnons-leur. Il est vrai qu’il est un peu tôt et que nous sommes jeudi. Cependant, au fur et à mesure, le Brin de Zinc se remplit, ce qui est une bonne nouvelle.
Report : SEB 747 – Photos : SEB 747 et NATH
Comment, je n’ai pas encore parlé des groupes de ce soir ? Oui, ben… vous ne savez pas lire ? C’est écrit dans le titre ! Décidément, il faut tout vous dire ! C’est dingue ! Ce soir, deux groupes sont au programme : THE MERCURY RIOTS venus de la capitale des Anges, Los Angeles, et les HEADCHARGER venus de la région de Caen, chef-lieu de la Normandie. C’est un surprenant packaging, les groupes évoluant dans des styles assez différents.
En attendant que le concert ne commence, je croise du beau monde. L’ancien bassiste des HEADLESS CROWN, le nouveau chanteur de SOHO… Et pendant ce temps-là, du FREAK KITCHEN est diffusé dans le Brin de Zinc. J’adore.
A 20h55, alors que la musique d’attente se tait, retentit un petit « Thunderstruck ». Là-aussi, il faut que je vous dise de qui il s’agit ? Le moment de la Révolte de Mercure va débuter. Jonny UDELL s’installe derrière la batterie, accompagné du bassiste de ce soir dont je n’ai pas trouvé le nom, et qui n’est pas Fede DELFINO – si j’en crois les photos – qui a participé à l’album…
Deux trois coups de baguette, et les deux musiciens entament le premier morceau au son flamenco de la guitare de Felipe RODRIGO qui traverse carrément le Brin de Zinc. Justin WALKER, le chanteur, veste rouge sur le dos, chapeau vissé sur la tête, monte sur le côté gauche et apparaît dos au public. D’un coup, il se retourne et hurle dans son micro : “Bonsoir ! We are MERCURY RIOTS from Los Angeles, and we’re gonna play rock and roll music. OK ?”.
Les bases sont posées dès le premier titre “Make It”. Un bon Classic Rock qui bouge, qui swingue et qui groove. Absolument génial. L’ambiance dans le Brin de Zinc est de plus en plus chaude, et fait tomber la veste de Justin au bout du troisième titre, mais pas son chapeau avec lequel il ne cesse de s’amuser. Les riffs fulgurants de Felipe n’arrêtent pas de groover pendant que Justin s’éclate comme un fou avec son pied de micro. C’est un chanteur dans la grande tradition, doté d’une voix d’or, d’une portée, d’une profondeur et d’un timbre incroyable qui délivre des sons percutants et des parties plus nuancées et délicates avec la même facilité. Au fur et à mesure que le set se déroule, il tient le public en haleine à chaque note, chaque geste, chaque attitude.
Et c’est sans compter sur Felipe qui menace même la foule avec sa guitare sur “Light it Up”. Jonny, qui depuis le début du set est sous les lights pendant que ses camarades sont dans l’ombre, à une frappe de sourd. On entend quasiment que lui. Le bassiste sans nom, avec sa veste canadienne d’un vert absolu, est tout à fond, il fait corps avec le batteur.
“Sweet Melody” calme le jeu puis rentre dans le lard juste après. C’est complètement fou et de plus en plus brûlant dans le BDZ. Justin passe son temps à jouer avec son chapeau tout en nous influent son rock ‘n’ roll dans ses chansons. “Good Time Overload” déchire tout en groove et en soul à tel point que le chanteur en pose son couvre-chef qu’il ne quittait pas depuis le début du set. “Santé”, nous dit-il en Français dans le texte, en levant son verre à la fin du titre.
THE MERCURY RIOTS au Brin de Zinc
Fender blanche usée jusqu’à la corde, Felipe nous sort des riffs de folie et continue de faire le show avec Justin. Ils nous font même un petit pas de danse durant ”Take Me When You Go” avant que le guitariste nous colle un solo absolument fantastique collé au bord de la scène. Il y a une certaine arrogance, une certaine facilité dans ce groupe américain ; que ce soit l’accent, le style.. Bon sang ! Peut-être que c’est le climat californien, ou peut-être que c’est simplement notre fascination sans fin pour les États-Unis. Quelle que soit cette chose indéfinissable, THE MERCURY RIOTS l’a à la pelle.
Alors que le set touche à sa fin, sur “Save Me a Drink” et que le BDZ bouge et danse sauvagement, Felipe descend de scène pour jouer dans le public puis s’arrête au bar pour commander une bière avant de remonter sur scène pour finir le titre. Complètement fou ! Un set court, mais efficace qui après 45 minutes a mis le feu et a carrément cramé l’énergie du public.
HEADCHARGER au Brin de Zinc
Alors que le stand de merch’ des Californiens se fait dévaliser, les HEADCHARGER s’installent. Les deux guitaristes David ROCHA et David VALLEE, suivi de Romain NEVEU le bassiste et d’Antoine CADOT le batteur s’installent sur scène pour régler leurs positions respectives pendant que Sébastien PIERRE, le chanteur, saute sur place avant de monter sur les planches.
Il est 22h10 et une intro démarre, HEADCHARGER commence… Puis s’arrête d’un coup. L’intro a planté. Deux minutes plus tard et c’est reparti. “Insane” et “Up to You” prennent de cours un public pas encore bien remis de la prestation de THE MERCURY RIOTS.
HEADCHARGER au Brin de Zinc
SEBASTIEN ne tient pas en place et court de partout de long en large de la scène et dès les deux premiers titres, il se frotte au public. “Salut le Brin de Zinc ! Comment ça va ce soir ? Ça s’appelle « Coming back to life ».”. Après le chaos qui secoue, un peu de mélodie fait du bien. “Salut ! On s’appelle HEADCHARGER et on est content d’être là ce soir. Pour nous, c’est une évidence de faire une date ici à Barberaz durant la tournée”, nous dit le chanteur à la fin du morceau.
Le calme est de courte durée, et on reprend les hostilités avec “Magical Ride”. HEADCHARGER mélange du Stoner teinté de Sludge avec des relents à la PANTERA mais tout en sachant rester mélodique lorsque les morceaux le demandent. Les voix arrachées de Sébastien, casquette sur la tête, se fondent avec ses voix claires et font mouche dans le public. Il est bourré d’énergie et, malgré l’étroitesse de la scène, il l’arpente de long en large lâchant son pied de micro pour aller hurler au visage des fans en montant sur les retours. Ses capacités vocales m’impressionnent. Il passe d’une voix claire à une voix hurlée en une fraction de seconde pour revenir en voix claire qui vous prend aux tripes (avant de vous les faire vomir juste après).
HEADCHARGER au Brin de Zinc
Et encore, si ce n’était que le chanteur qui prenait la scène mais en plus, les deux tauliers que sont David ROCHA et Romain NEVEU nous en mettent plein la vue. Les deux petits nouveaux – depuis 2020 quand même – ne sont pas en reste même s’ils sont plus discrets. Le show continue à envoyer du lourd, voire du très lourd. Ce n’est pas une déflagration sonore auquel nous avons droit, mais bien une explosion auditive. Le public bien présent est à fond derrière les Normands, tout en restant relativement sage malgré les incessants encouragements du chanteur.
N’étant pas friand des pogos et autres crowd-surfings, je ne suis pas mécontent que tout le monde soit sage. HEADCHARGER termine son concert avec un ancien titre intitulé « You Wanna Dance You Gotta Pay The Band », tiré de l’album « Watch The Sun ». C’est incroyablement efficace et terriblement accrocheur avec ses voix claires sur le refrain.
HEADCHARGER au Brin de Zinc
Une heure et vingt minutes plus tard, c’est la fin sur un dernier mot de Sébastien, enfin, un mot… je dirais plutôt un hurlement qu’il pousse en montant sur les retours : “Nous sommes HEADCHARGER ! Bonne soirée !”.
Bilan de la soirée : malgré le packaging assez hétéroclite de ce soir, les deux groupes ont mis le feu. J’ai apprécié le set de HEADCHARGER, et adoré celui de THE MERCURY RIOTS. Deux groupes que j’irais revoir volontiers. Un grand merci, une nouvelle fois, à Thomas le GO du BDZ pour cette superbe soirée !
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Commentaires fermés sur RAKEL TRAXX, WHISKY OF BLOOD, MONKEY BIZNESS au Brin de Zinc
Vendredi11 octobre 2024 à Barberaz (73)–DEUX REPORTS POUR LE PRIX D’UN !!!
RAKEL TRAXX, WHISKY OF BLOOD, MONKEY BIZNESS au Brin de Zinc
ACTE 1 :Report et Photos de STEVE*74
Dans la vie, il faut savoir casser les codes sinon une certaine monotonie s’installe. Par exemple dans les couples que la routine a tendance à détruire au bout de plusieurs années. Aussi, pour éviter cet écueil avec Seb 747, nous avons décidés de faire 2 reports sur ce concert et cerise sur le gâteau, pour le même prix !! (Pour info nous ne sommes pas en couple dans la vraie vie…LOL) . Alors chaussez vos bésicles pour la lecture.
La route pour aller au Brin de Zinc est gravée dans ma mémoire à force d’y aller. C’est un peu comme une deuxième maison pour moi. Si, à l’époque, E.T. réclamait « Maison », moi c’est un peu pareil, je réclame le BDZ lorsque je lis la programmation des concerts.
MONKEY BIZNESS au Brin de Zinc
Le premier groupe de la soirée est MONKEY BIZNESS, un groupe grenoblois. C’est un groupe que j’ai déjà vu au même endroit il y a déjà un certain temps. Depuis, pas mal d’eau a coulé sous les ponts. Il a fallu remplacer le chanteur tragiquement disparu par MARINE en 2018. Pourtant aujourd’hui, c’est une toute nouvelle chanteuse qui officie derrière le micro. Pour EMILIE, c’est même son premier concert avec ses nouveaux compagnons de jeu. Le bassiste et le batteur sont, eux, des têtes connues.
MONKEY BIZNESS, c’est un mélange de Hard Rock qui puise ses influences dans les années 80.
MONKEY BIZNESS au Brin de Zinc
Le répertoire de ce soir s’articule autour de leur CD sorti en 2012 et de leur EP sorti en 2008 avec, par exemple, le morceau « Elected ». Ce qui saute aux oreilles, c’est la voix d’EMILIE. Le chant est juste mais il manque, à mon avis, de puissance pour le genre proposé par le groupe. C’est dommage car la setlist se déroule bien avec ses compagnons de scène qui assurent musicalement. Je pense que le manque d’énergie est également dû au fait que les musiciens sont du genre statiques sur les planches du Brin de Zinc. A revoir dans quelques temps pour confirmer ou non mon jugement du soir.
WHISKY OF BLOOD au Brin de Zinc
Juste le temps de dire bonjour aux connaissances du soir, comme YVES CAMPION de NIGHTMARE, que déjà les WHISKY OF BLOOD arrivent sur scène. Il faut rattraper le temps perdu du début de soirée. PIERRE, le batteur des MONKEY BIZNESS est toujours là derrière ses fûts car il officie dans les 2 groupes. Il a juste troqué son T-Shirt des RAKEL TRAXX contre un autre plus neutre et pris le pseudo de KING OF RICQLES.
Je sais à quoi m’attendre avec ses 4 lascars !! Je viens de les voir et de les croiser il y a à peine une semaine à l’Ilyade de Seyssinet, en première partie de BLACKRAIN. Inutile de préciser qu’ils sont à fond et que le show ronfle comme une vieille marmite sur le feu depuis déjà un certain temps.
Pour ceux qui ne connaissent pas ces Grenoblois, ils pratiquent un Hard Rock ’n’ Roll influencé par les eighties et de temps en temps par le Punk. Il n’y a qu’à voir le look du guitariste et du bassiste pour constater que je ne me suis pas trompé.
WHISKY OF BLOOD au Brin de Zinc
Les WHISKY OF BLOOD viennent apporter la bonne parole aux spectateurs avec la promotion de leur dernier CD, « Diablesse of Revolution ». Ce troisième album vient de sortir le 27 septembre dernier. Comme beaucoup de groupes de cette période, ils ont adopté des surnoms : LORD WHISKY pour le guitariste chanteur, PHIL THE ANIMAL pour le guitariste, SWINDLER pour le bassiste et KING OF RICQLES pour le batteur. Tout un programme comme vous pouvez le constater !
Pour entamer les hostilités, quoi de mieux que « Nothing more », extrait de leur dernier opus ? Nous sommes partis pour transpirer pendant une petite heure avec des paroles qui parlent de bière, de sexe et de bien d’autres sujets dans la même veine.
WHISKY OF BLOOD au Brin de Zinc
Pour « Street ready », LORD WHISKY nous explique qu’on ne doit pas se faire emmerder dans la rue même si on n’est pas balèzes. Et ensuite, il nous assène que le rock tue…. Il nous fait un peu de promo pour la sortie prochaine d’une bière à leur nom. La classe, surtout quand on pense aux groupes prestigieux comme IRON MAIDEN, STATUS QUO, MOTORHEAD ou AC/DC qui ont ouvert la voie en ce domaine !
Pour terminer, le dernier titre, « Whisky of Blood » est dédié aux amis décédés. C’est aussi leur morceau phare et ils vont le faire durer pour permettre à quelques spectateurs et spectatrices de fouler sérieusement le plancher du BDZ.
RAKEL TRAXX au Brin de Zinc
Arrivent enfin les Marseillais de RAKEL TRAXX. C’est un groupe que j’ai déjà vu un certain nombre de fois, pour ne pas dire plus, mais aujourd’hui c’est spécial car il y a du changement dans la formation. Comme c’est déjà arrivé plusieurs fois dans le passé, le bassiste a changé. Le nouveau vient tout juste d’arriver et s’appelle EMI KELLEY. Mais le changement le plus notable est marqué par le départ de notre ami ZANTOLO, l’un des deux guitaristes, qui a dû, lui-aussi, délaisser ses vieux copains. Le petit nouveau se nomme KIKO PHASMINO. Et puisque je suis dans la présentation des musiciens, je poursuis avec SHANON DOLLZ au chant, LESTE à la batterie et SQUALL, le deuxième guitariste.
RAKEL TRAXX au Brin de Zinc
Depuis 2008, ils arpentent les scènes de France et de temps en temps les studios d’enregistrement. C’est d’ailleurs avec « Quicksand », extrait de leur premier album que le show démarre. On est tout de suite dans le bain avec ce Sleaze Rock entraînant qui donne envie de bouger. Le public venu nombreux est en accord avec moi et réserve un accueil chaleureux au groupe.
Alors que BLACKRAIN a progressivement délaissé les terres du Sleaze au profit d’un Hard Rock mélodique, les RAKEL TRAXX, eux, sont restés fidèles à leur style musical préféré. Et, personnellement, je m’en réjouis !! Ce soir, tout n’est pas si évident pour eux, avec le premier concert d’EMI. Ces changements de membres occasionnent de nombreuses répétitions pour intégrer les nouveaux venus et apprendre le répertoire. Malgré quelques petites imperfections, le show se déroule parfaitement. Les 2 nouveaux prennent a priori du plaisir, ce qui est important pour la suite.
RAKEL TRAXX au Brin de Zinc
Les titres défilent à la vitesse d’un TGV lancé à pleine vitesse. Le medley composé d’extraits de reprises de standards du genre, comme par exemple du MOTLEY CRUE, fait toujours sensation et permet une fois de plus au public de s’éclater et de chanter. Cyril, le manager du groupe et aussi la bassiste des WHISKY OF BLOOD fait son apparition sur scène et s’invite pour faire les chœurs, ce qui rajoute encore un peu de folie et booste le groupe qui n’en avait pas vraiment besoin !
« Give me your love » est le dernier titre annoncé ce soir. Et en parlant d’amour, on peut dire que ce sont plutôt eux qui donnent du plaisir aux spectateurs présents !!
RAKEL TRAXX au Brin de Zinc
Terminé ? Non, car il y a le traditionnel rappel avec un classique dans les classiques de notre musique, « Cum’ on feel the noize », écrit par le groupe SLADE et popularisé dans les années 80 par QUIET RIOT. Avec un tel morceau, le succès est assuré et clôture en beauté une belle soirée comme on les aime.
Il est déjà tard quand je quitte le Brin de Zinc, non sans avoir dit au revoir à mes amis Marseillais et Grenoblois. A bientôt les gars pour de nouvelles aventures !!
RAKEL TRAXX au Brin de Zinc
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ACTE 2 : Report et Photos By SEB 747
Voilà déjà deux semaines que je ne me suis pas rendu à un concert ! Alors ce soir, je ne vais pas goûter mon plaisir en allant, une fois encore, au Brin de Zinc de Barberaz. C’est à un match, non pas de foot mais bien de Hard Rock, entre Grenoble et Marseille auquel je vais assister. Nous pourrions penser que, comme les Grenoblois sont plus nombreux que les Marseillais, le match serait plié. Mais c’est sans compter sur nos copains de RAKEL TRAXX qui sont venus en conquérants ce soir. Ils sont accompagnés par les MONKEY BIZNESS et les WHISKY OF BLOOD qui, vous l’aurez deviné, sont des groupes Grenoblois.
C’est sous un soleil radieux que nous partons à trois sur la route, tranquillement sans se presser, histoire de profiter un peu de nos montagnes. Arrivés sur place, nous retrouvons mon copain de concert Steve*74 parti un peu plus tôt, après avoir facilement trouvé une place pour nous garer. Nous rencontrons les musiciens qui vont jouer ce soir et les copains venus assister, tout comme nous, à ce concert. Pour Steve et moi, certains de ces musiciens sont des connaissances que nous rencontrons souvent, ou que nous voyons régulièrement sur scène. Mais pour d’autres spectateurs, cela sera une première.
Assez de palabres, parlons concert, puisque c’est pour cela que vous lisez ce report, non ? Sinon, je peux aussi vous parler du beau temps, de la nourriture et tout ça… Qui a dit : “comme le rédac’ chef… » ? Bon d’accord, parlons musique !
MONKEY BIZNESS au Brin de Zinc
Ce sont les MONKEY BIZNESS qui commencent. Le quatuor est le seul, ce soir, a avoir en son sein une chanteuse. Il pratique un Hard Rock fort sympathique et très entraînant. C’est un quatuor composé de PIERRE, le batteur – accessoirement celui de WHISKY OF BLOOD aussi – DIDIER, le bassiste, qui lui aussi joue dans un autre groupe (URGENT), FRANCK, le guitariste et EMILIE au chant. L’ouverture du set démarre sur un cover de DANGER DANGER et en plus de l’époque de TED POLEY, le fameux “Monkey Business”. Que demander de plus ?
EMILIE fait son premier concert et semble un peu timide sur les premiers morceaux. Cependant, que ce soit « Falling to Pieces » ou « No Money Honey », nous passons un très bon moment en compagnie de ces titres mélodiques à souhait qui passent bien sur scène. Ce soir, nous avons même droit à deux exclusivités mondiales, comme nous l’expliquent PIERRE et EMILIE.
MONKEY BIZNESS au Brin de Zinc
Les musiciens assurent comme des malades et leur niveau technique m’impressionne, même si EMILIE est un peu trop statique pour moi. Cependant son chant est placé comme il se doit. De toute façon, je lui pardonne tout, c’est une Savoyarde (comment ça, je ne suis partial ?). Il faut quand même relativiser, étant donné que c’est son premier show avec le groupe et que, jouer avec de tels techniciens, doit mettre une sacrée pression.
En tout cas, j’aime bien son timbre de voix, et elle se lâche petit à petit, au fur et à mesure que le concert se déroule. Le stress qui semblait la posséder, s’efface au fur et à mesure du set, et les derniers titres que le groupe interprète chauffent le Brin de zinc comme il se doit.
WHISKY OF BLOOD au Brin de Zinc
Il est l’heure pour le second groupe grenoblois, les WHISKY OF BLOOD, d’arpenter la scène. L’avantage d’avoir un batteur qui joue dans deux groupes différents, c’est que le changement de batterie se fait rapidement. L’inconvénient, c’est pour le musicien de tenir deux sets d’affilée. J’attends de voir comment notre ami Pierre « KING OF RICQLES » va gérer.
WHISKY OF BLOOD au Brin de Zinc
Personnellement, j’adore ce groupe. Musicalement, ça groove, ça pulse et ça fait du bien. A peine le groupe installé sur scène que les freins sont lâchés avec « Nothing More » et un LORD WHISKY les bras en croix. Le chanteur guitariste est en pleine forme et harangue le public sous les riffs de PHIL THE ANIMAL, le ronflement de la basse de SWINDLER, le deuxième punk de la bande, et les frappes continues de KING OF RICQLES, qui malgré son set précédent, ne semble pas être en difficulté.
Dès “Sexy Woman With The Devil”, PHIL THE ANIMAL descend de scène pour jouer auprès du public, ce qu’il fera plusieurs fois le long du set. Le groupe est aux taquets et ne s’économise pas. Les morceaux les plus connus du groupe sont joués ce soir : “Show Me The Way” ou encore “Humanity Must Be Destroyed by Rock ‘n’ Roll” enflamment le public du BDZ qui est très bien rempli ce soir.
WHISKY OF BLOOD au Brin de Zinc
Les morceaux sont bons et dépotent grave. PHIL joue sur les genoux, se déplace de long en large sur la scène, tout comme SWINDLER qui va chanter les refrains dans le même micro que lui, pendant que LORD continue de tenir son public dans la main.
L’ambiance monte d’un cran lorsque celui-ci nous annonce le titre “Street Ready”. Le sourire du chanteur en dit long sur le plaisir qu’il prend ce soir, tout comme ses trois autres comparses. LORD WHISKY est tellement enthousiaste qu’il en casse même une corde. L’hymne incontournable qu’est le titre “Whisky of Blood” clôt le set intense de nos copains Grenoblois qui ont littéralement mis le feu au Brin de Zinc.
RAKEL TRAXX au Brin de Zinc
L’heure de Marseille est venue. Il était temps me direz-vous ! C’est qu’on a failli attendre. Ahh, les RAKEL… Comme ce n’est ni le premier, ni le dernier des reports consacrés à ce groupe, qu’est-ce que je pourrais vous dire ? Même leur malédiction du bassiste – qui une fois de plus a changé – est connue comme le loup blanc. Cependant, il y a un autre fait important : il y a un nouveau guitariste. ZANTOLO, ayant raccroché les gants après tant d’années de service au sein du groupe phocéen. C’est donc le baptême du feu pour KIKO PHASMINO, le nouveau et jeune guitariste et EMI KELLEY le bassiste. J’ai un peu d’appréhension, n’ayant pas eu encore l’occasion d’entendre les RAKEL nouvelle formule, mais en ayant discuté un peu avec SHANON avant le concert, je suis plutôt rassuré.
RAKEL TRAXX au Brin de Zinc
Après un petit “Quicksand” qui pose de suite les bases, c’est au tumultueux “Sexy Night” de continuer à secouer le Brin de Zinc alors que d’habitude nos copains Marseillais prennent le temps d’installer leur show, souvent en mode tranquille peinard (en mode marseillais, quoi). Ce soir, ils sont à fond. SHANON sur son pied de micro virevolte, pendant que SQUALL, l’historique guitariste se frotte au plus près du public sous les coups de butor de LESTE, l’autre membre historique des RAKEL.
Évidemment, vous vous demandez comment s’en sortent les petits nouveaux ? Eh bien, je dirais : à merveille. Certes, les automatismes qu’avaient SQUALL avec ZANTO sont un peu compliqués à retrouver sur scène, mais KIKO s’en sort très bien. Il fait même un peu le show en jouant avec la guitare derrière la tête. Son maquillage, un mélange d’ALICE COOPER et d’Orange mécanique (dixit EMI), est un peu kitsch mais il compense par son talent et son envie d’être sur scène. Quant à notre ami bassiste, malgré son poste en retrait à cause de l’étroitesse des planches, il tient bien la rythmique, même s’il est moins démonstratif que SWYLDE l’ancien quatre cordiste.
RAKEL TRAXX au Brin de Zinc
Les classiques des RAKEL TRAXX sont expédiés à une vitesse phénoménale. « 19 nights » est devenu un classique. Quant à « I Need You Honey » et « Wild Girls », ils sont devenus des incontournables.
L’heure du crime largement débordée, le groupe finit son set par la reprise du groupe britannique SLADE, popularisée par les américains de QUIET RIOT, « Cum’ On Feel The Noize ». Cette reprise verra SWINDLER et KING OF RICQLES de WHISKY OF BLOOD monter sur scène et reprendre les chœurs. « Thank You, Good Night, Stay Sleazy », conclut SHANON DOLLZ. Et c’est la fin.
Mais quelle baffe nous avons pris ce soir avec trois groupes venus démontrer leur détermination à nous secouer les tripes !
RAKEL TRAXX au Brin de Zinc
Les RAKEL TRAXX, descendus de scène, tapent la discut’ avec tous les copains restés tardivement dans le Brin de Zinc. Il est près d’une heure du matin lorsque nous prenons congé, non sans avoir dit à la prochaine à nos copains phocéens. Sur le chemin du retour, en écoutant en boucle le dernier album des WHISKY OF BLOOD et le dernier EP des RAKEL, une étrange lumière est apparue derrière moi et je me retrouve en direction de Chambéry au lieu de rentrer chez moi. J’ai été enlevé par les extraterrestres ou quoi ? Comment ? La lumière que j’ai vue est un flash de radar ? Vous êtes sûr ?
Un grand merci aux trois groupes de ce soir pour nous avoir fait passer une soirée… interminable ? Mais non, INOUBLIABLE !!