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HEART LINE à l’Océanis

HEART LINE à l’Océanis
Crédits Photos : Olivier BOURDIN
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Ce concert fût vraiment une expédition pour moi ! En effet, ce jour-là, je devais traverser la France et je n’avais pas intégré le chassé/croisé des touristes aux sports d’hiver. Et déjà à 09h00, le long du lac d’Annecy, ça roulait au pas. De cette vision, il n’y avait qu’un pas et il fallait réagir. Direction le massif des Bauges pour contourner Annecy et redescendre sur Chambéry. Et là, blocage à l’entrée de l’autoroute, direction Lyon. Encore au pas, une heure de perdue. Puis entrée de Lyon : au pas et contournement. Une deuxième heure de ralentissement (et du perdu sur mon timing). Ca y est, ça repart mais à Bourges, ça recommence avec un accident et une nouvelle heure de perdue ! J’ai beau mettre le turbo pour rattraper le coup, mes trois heures de battement de sécurité sont balayées !!!

Yvan (le tôlier, guitariste, compositeur, producteur…) de l’Océanis m’avait dit que HEART LINE commençait le show à 20h15 pétantes et qu’il n’y avait pas de 1ère partie ! Sauf qu’à 20h30, je suis encore à plus de 100 bornes ! J’appuie un peu plus sur le champignon et me voilà à l’entrée de Lorient.

HEART LINE à l’Océanis
Crédits Photos : Olivier BOURDIN
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HEART LINE à l’Océanis

Le temps de poser mon sac, j’arrive enfin sur place et je finis par trouver une place sur le parking qui est bondé, tout comme les environs de la salle. Je rentre enfin à l’intérieur de l’Océanis et déjà j’entends « Don’t stop believin ‘ » d’un groupe que j’adule, JOURNEY – tout comme Neal SCHON, son frontman et guitariste ! Je sais que j’ai raté une partie du show mais savourons l’instant présent ! Je me faufile dans le pit en essayant de ne pas gêner un cameraman qui filme ce soir le show.

Je suis tout de suite dans le bain ! S’en suit le titre le plus Heavy du dernier album de HEART LINE « Falling heaven », j’ai nommé : « God has a plan ». Yvan GUILLEVIC nous délivre quelques riffs puissants (George LYNCH, sors de ce corps!).

Emmanuel CREIS, le chanteur, nous annonce une surprise. On voit alors débouler sur scène toute une chorale de Gospel, sous la direction d’Anne SORGUES (fidèle partenaire d’Yvan). Et là, je reconnais le « I want it all » de QUEEN, mélodique et puissant. Que du bonheur ! L’intro au synthé de Jorris GUILBAUD annonce le hit en puissance de FOREIGNER « I want to know what love is ». L’apport de cette chorale Gospel amène de la profondeur au titre ; un grand bravo à Anne.

Ne connaissant pas la set-list, c’est pour moi un vrai quizz musical et jubilatoire. Aux premières notes, je reconnais le « Beat it » de Michael JACKSON. Ah, ce titre et le solo de guitare d’Yvan VAN HALEN !!! Le public est aux anges. Moi je suis tout devant au premier rang et je le lis sur les visages.

Déjà le groupe quitte la scène et nous revient quelques minutes plus tard pour nous balancer l’intro synthé qui tue et que l’on reconnaît dès les premières notes : « The final countdown » d’EUROPE. Emmanuel est surprenant, tant son timbre de voix et sa façon de l’interpréter, sont raccords.

Retour sur les compos de HEART LINE groupe avec le titre « One night in paradise » tiré de leur 1er album « Back in the game » avant de quitter une nouvelle fois la scène. C’est un sans-faute que ce choix avec le rythmé « Maniac » de Michael SEMBELLO (titre phare du film « Flashdance ») Exit…Stage left…

 La salle est debout, ce qui présage un engouement certain du public pour les dates à venir. En tout cas, j’ai été conquis et je serai à nouveau présent pour leur prochaine date, le samedi 17 mai à Paris (au Backstage et avec PRISMA en 1ère partie).

HEART LINE à l’Océanis
Crédits Photos : Olivier BOURDIN
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HEART LINE à l’Océanis

Nota : mon retard m’a frustré des titres suivants : le « Separate ways » de JOURNEY, le « Runaway » de BON JOVI, le « Owner of a lonely heart » de YES, le « Burning heart » de SURVIVOR, le « No easy, no way out » de Robert TEPPER, enchainé avec le « Eye of the tiger » de SURVIVOR, le « Run to you » de Bryan ADAMS, le « Rock the night » d’EUROPE, le « Here I go again » de WHISTESNAKE enchaîné avec le « Urgent » de FOREIGNER, le « Hold the Line » de TOTO, le « Call of the wild » de HEART LINE, le « Jump » de VAN HALEN et le « Livin’ on a prayer » de BON JOVI.

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Rencontre avec YVAN GUILLEVIC de HEART LINE

Rencontre avec YVAN GUILLEVIC de HEART LINE
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YVAN GUILLEVIC de HEART LINE

Interview réalisée au Tour du Monde de Larmor Plage (Morbihan)

Yvan GUILLEVIC : le groupe a été monté pendant le Covid (fin 2020). J’ai proposé alors un morceau à Emmanuel CREYS (Chant) puis j’ai contacté Joris GUILBAUD  (claviers/chœurs) et aussi Dom BRAUD (basse). Et enfin, on a demandé à Walter FRANCOIS (batterie) s’il voulait bien nous rejoindre. J’ai écrit l’album « Back in the Game », composé avec Manu CREYS.

YVAN GUILLEVIC : Car me revoilà 30 ans en arrière, voire plus, dans ma culture musicale. On a ciblé des labels mélodiques (6 à 10 de par le monde) puis on a envoyé l’album au label allemand Pride and Joy Music ainsi qu’à deux labels français – j’attends toujours leur réponse !

Le premier album a été très bien reçu par les médias et de la part du public. Des dizaines et des dizaines de bons retours. A l’issue, on a fait une tournée avec quelques dates en France. Le concert à la Boule Noire de Paris a réuni 300 personnes. Quand le 2e album de HEART LINE, « Rock ‘n’ Roll Queen », est sorti en juin 2023, on a enchaîné avec de petites salles, le Backstage à Paris, le Vouziers Festival, un très bon concert à l’Océanis. (NDLR : vous pouvez lire ou relire le report de Steve *74 sur la date du Brin de Zinc ici). Je suis d’ailleurs assez fier car leur record de participation l’a été avec mon tribute EMPTY SPACES qui a réuni plus de 1000 personnes.

A ce moment-là, on n’avait pas à rougir car on était la 2e meilleure vente du label ! Puis on a sorti un EP en décembre 2023 « Original Seeds ». Limité à 500 exemplaires, il est déjà épuisé ! C’est un EP avec 5 covers des groupes : ALIEN, TOBRUK, VIRGWOLF, DAKOTA et AVIATOR. Là, on est en studio pour notre 3e album intitulé « Falling Heaven ». Je suis au mixage depuis septembre et on doit le rendre pour fin mai.

YVAN GUILLEVIC : Ecoute, on a été signé par un label allemand. 1er retour en Angleterre : « Vous êtes Français ?  Super cent le chanteur ! ». On a eu de super papiers en Australie, aux States, puis pour le 2e album, en Italie, en Allemagne, en  Slovénie… et on a même eu droit à des couvertures ! En France, à part les webzines et les fanzines, il a fallu attendre le 2e album pour que l’on daigne s’intéresser à nous. D’ailleurs, pour le 1er album, on a été « descendu » par Rock’ n’ Hard avec une note de 6/10. Nous n’avons pas reçu de soutien de la part des médias, nous n’avons pas été programmés sur les médias ++. Je suis déçu !

YVAN GUILLEVIC : On revient à Paris (au Backstage) avec en guest le groupe PRISMA d’Orléans (Hard US) en mai. Pas de festivals pour l’instant mais on est demandeur. Alors organisateurs, tourneurs… !

YVAN GUILLEVIC : Ecoute, on est des quarantenaires. Sauf moi car j’ai bien dépassé les 50. La raison est que j’ai envie de faire ce que je veux ! Breton d’origine, j’ai vécu en région parisienne (à Palaiseau). A 13 ans, deux albums vont changer ma vie : AC/DC « Back in black » et TRUST « Répression ». Suite à ça, je joue à fond de la guitare. A 16 ans (l’âge légal), je me barre en Bretagne pour m’adonner à ma passion. Pour info, j’ai dû prendre 5 cours de guitare dans ma vie ! Comme pour la guitare, je vais faire à fond dans le karaté puis dans le kickboxing, le krav maga et enfin le MMA.

YVAN GUILLEVIC de HEART LINE

YVAN GUILLEVIC : Oui en effet :

  • du Jazz Fusion avec MESSIER87 (1997),
  • KITCHEN FUNK. On est signé sur un label électro, chez EMI /Chrysalis (1999 /2002). On a fait plusieurs singles uniquement.
  • 60 FEELINGS, du Trip Hop (2004),
  • YGAS (Yvan GUILLEVIC et Anne SORGUES), du Blues/Jazz, de GARY MOORE à NINAN SIMONE. On a fait deux albums, les compos étaient de moi. (2011/2013)
  • Mais aussi PYG (2017/2019)
  • GROOVY THINEZ, du Blues Electro et EMPTY SPACES, un tribute à PINK FLOYD pendant 15 ans…

YVAN GUILLEVIC : oui en effet. C’est comme pour les répétitions, c’est compliqué car nous sommes disséminés dans toute la région. Il y a trois bretons. Le chanteur habite vers Redon (Ille et Vilaine), Walter, le batteur est de Dinan (Côtes d’Armor), moi, je suis autour de Lorient (Morbihan) et on a deux Charentais (le bassiste est à Niort, tandis que le claviériste est à Rochefort) !

YVAN GUILLEVIC : Non, plutôt un état des lieux en France ! Tu sais, je gravite dans ce milieu depuis plus de 30 ans, aussi j’y vois des choses pas trop normales ! Concernant internet, il faut savoir que si tu fais un million de streams, tu touches 1000 euros. Le streaming, c’est zéro ! Ca fait en moyenne 0,003 centimes d’euros selon les plateformes et c’est redistribué au label et aux musiciens, si tu es producteur. Concernant le merch’ : 10 à 50% est « ponctionné » sur les ventes, selon les salles ou les festivals ! Pas étonnant que certains groupes oublient leur remorque de merch’ !!!

YVAN GUILLEVIC : cela n’a aucun sens ! Je connais au moins 100 guitaristes meilleurs que moi. Bon, cela fait une mise en avant et c’est bon pour l’ego. Bien-sûr, ça fait plaisir et c’est bien entendu flatteur.

YVAN GUILLEVIC :

  • TOUCH : un classique de l’AOR, super album !
  • GLENN HUGHES : fan, tout ce qu’il touche est de l’or.
  • STAGE DOLLS : du vrai Hard Mélodique, de bons refrains.
  • HONEYMOON SUITE : très bon groupe mais je ne connais pas leur dernier.
  • HOUSE OF LORDS : super groupe, surtout sur les 2/3 premiers.
  • ROBIN GEORGE : super cool, sympa, vieux souvenirs mais le nom HEART LINE ne vient pas de là !
  • RICHIE KOTZEN : super guitariste, compositeur ; respect !
  • MYLES KENNEDY : très bon musicos mais ça ne me parle pas !
  • D.A.D. : « Sleeping my day away », j’adore !
  • KING OF MERCIA : connais pas ! (je lui explique que c’est un projet musical avec Steve OVERLAND, le chanteur de FM). Je vais écouter, j’aime beaucoup Steve OVERLAND avec FM.

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HEART LINE et BAPTISTE BRUN au Brin de Zinc

Lundi 04 septembre 2023 à Barberaz (73)

HEART LINE @ le Brin de Zinc

Deux jours après LOOKING FOR MEDUSA, me voici de nouveau sur la route pour aller une fois de plus au Brin de Zinc, la salle rock incontournable de la région !! Mon coéquipier habituel de sorties métalliques ayant déclaré pour une fois forfait, je fais la route en solitaire jusqu’à Barberaz.

J’arrive juste à l’heure et tout de suite une certaine inquiétude me taraude l’esprit car je trouve facilement de la place pour me garer. Je vais un peu plus tard m’apercevoir que j’avais malheureusement raison. Ce concert programmé un mardi soir n’a pas provoqué chez le public un grand enthousiasme et c’est devant un parterre relativement clairsemé que le concert va se dérouler.

Tout cela est bien joli mais je ne vous ai pas encore dit quel groupe j’allais écouter et regarder en live. HEART LINE, un groupe français que le rédacteur en chef du webzine m’a chaudement recommandé. Il m’a aussi encouragé à me déplacer sur cette date car je dois vous l’avouer, je ne connaissais pas encore cette formation.

BAPTISTE BRUN @ le Brin de Zinc

Ce soir, nous avons droit à une première partie et c’est BAPTISTE BRUN, un guitariste lyonnais, qui ouvre les hostilités de la soirée. J’ai bien dit un guitariste car il joue tout seul avec comme accompagnement un ordinateur pour les rythmiques. D’habitude, je ne suis pas très friand des artistes qui viennent de façon solitaire se produire avec seulement une guitare acoustique et le chant. Et aujourd’hui, avec du recul, je m’aperçois que je ne le suis pas vraiment plus avec cette nouvelle formule.

Musicien autodidacte, BAPTISTE BRUN a joué dans un groupe de métal prog’ et cela se sent tout de suite. Le set dure 30 minutes pendant lesquelles nous assistons à un long, très long solo de guitare (vous l’aviez, je pense, déjà deviné). Alors, c’est très bien fait, BAPTISTE fait preuve d’une grande maitrise de son instrument à 8 cordes, il mêle différentes influences musicales mais je pense qu’il faut soi même être guitariste pour apprécier cet univers musical. Pour info, si cela vous intéresse, il a sorti un Cd nommé « Origin ».

HEART LINE @ le Brin de Zinc

Inutile de préciser qu’il ne faut pas attendre très longtemps pour que je voie les musiciens de HEART LINE traverser la salle et monter sur scène. Et c’est parti pour un retour dans le passé ! Plus exactement dans les années 80 pour ceux qui ont eu la chance de vivre à cette période.

Car oui, ils pratiquent un style que l’on qualifie d’AOR. Et ils tiennent à cette dénomination. Pour eux, ce n’est surtout pas du hard FM !! Pourtant ce n’est pas très éloigné de l’AOR ni un genre très répandu en France …

HEART LINE @ le Brin de Zinc

Né en 2020 juste avant le confinement, le groupe a été fondé par YVAN GUILLEVIC, guitariste de son état. Il collabore ensuite avec son futur chanteur, EMMANUEL CREIS avec qui il compose un premier album. Restait plus qu’à embaucher le reste de la bande soit un clavier, un bassiste et un batteur.

Ils viennent pour la première fois dans notre région pour la promotion de leur deuxième disque. Ils ont la chance d’avoir signé sur un label allemand « Pride & Joy Music » qui est implanté à l’international. Pour la promo, c’est souvent nettement mieux.

Allez, il est temps de revenir à des choses moins abstraites et de parler un peu du concert du soir. Comme souvent lors d’une tournée, petite ou grande, le premier morceau joué est issu du dernier effort vinylique du groupe. Tout juste frais, il est sorti le 23 juin dernier. « I am the night » ouvre le show. Nous sommes tout de suite dans l’ambiance qui va régner pendant tout le set.

C’est la première date du minitour de septembre alors ils attaquent bille en tête. Ce mélange d’AOR et de rock classique fait tout de suite mouche auprès des heureux élus présents ce soir au BDZ. Pas le temps de respirer car ils enchainent avec « Hold on ».

HEART LINE @ le Brin de Zinc

DOMINIQUE, c’est la force tranquille. Avec sa basse à 5 cordes, il est imperturbable sous sa casquette. Il participe aussi en faisant les chœurs. Etant donné la taille de la scène, il cache JORIS, le clavier, installé entre la batterie et DOM. JORIS et WALTER, le batteur, font aussi des chœurs.

Musicalement, c’est parfait. Les musiciens sont bons et maitrisent parfaitement leurs instruments. C’est un rock classieux joué et proposé mais YVAN survole les débats avec un jeu de guitare qui attire tous les regards et toutes les oreillles. C’est particulièrement vrai sur la reprise de « Edge of the blade » de JOURNEY, un titre revisité à la sauce HEART LINE avec un long solo d’YVAN à la fin du morceau qui démontre, si besoin était, tout son talent. Une reprise qui lui a été demandé par son clavier ! BAPTISTE BRUN, posté sur le côté de la scène, n’en a pas raté une miette !

Le clavier pas trop envahissant. On l’entend bien mais il n’empiète pas sur la guitare. Un clavier comme je les aime dans les groupes de hard-rock. Tout en rythmique, en ambiance ou encore en intro pour créer l’atmosphère. De temps en temps, il est plus en avant mais jamais trop.

Avant JOURNEY, ils avaient interprété une autre reprise pour la plus grande joie d’un ami présent ce soir. Il s’agit de « Front line » du groupe AVIATOR, un groupe  avec un seul disque au sorti en 1986 au compteur. Je connaissais seulement de nom cette formation mais cela va changer car je vais très prochainement l’écouter d’une manière ou d’une autre.

HEART LINE @ le Brin de Zinc

Pour reposer un peu tout le monde, le prochain morceau sera une ballade, nous annonce EMMANUEL. Ce chanteur met en valeur la musique proposée par ses compagnons de route. Il distille savamment ses notes et vocalise comme un beau diable lorsque le besoin s’en fait sentir. Un bon meneur de meute qui harangue quand il le faut le public.

C’est déjà l’heure des rappels, mais pour les obtenir, ils ne descendent pas de scène, ils attendent sagement les oh ! oh ! oh ! du public. Et c’est reparti de plus belle avec « Call of the wild » avant qu’EMMANUEL ne prenne la parole pour présenter les musiciens, faire les traditionnels remerciements (il n’a oublié personne !!) et même demander des futurs concerts à ceux qui connaissent des endroits ou les bonnes personnes à contacter pour jouer.

HEART LINE @ le Brin de Zinc

« On fire » le bien nommé termine un  show imparable. Ce retour dans le passé m’a fait un bien fou et me donne envie de replonger dans la discographie un peu oubliée de ces groupes en grande majorité américains des années 80. Et surtout d’écouter les 2 albums d’HEART LINE !!

En résumé, HEART LINE rend joliment hommage à un genre qui a façonné tant de vies, de manière indélébile à travers ses notes, ses mélodies et ses tempos qu’ils soient enfiévrés ou plus lancinants ! Du très bon revival des années 80 joué à la sauce actuelle. Que demander de plus ?