W.T.R. / Le Webzine de Ti-Rickou

Heu, comment dire ? Le premier truc qui me vient à l’esprit en début d’écoute de cet album d’Hammered Satin, c’est qu’ils ont retrouvés des bandes son d’un groupe des années 70 et qu’ils les ont ré-éditées.

Pourquoi est-ce que je pense à ça ? Parce que musicalement on est dans du T. Rex, New York Dolls, Sweet ; du pur glam-rock 70. En poursuivant l’écoute, je retrouve dans ce « Glamorama » des touches d’Hanoi Rock, de The Darkness qui me prouve que Hammered Satin ne vient pas du passé mais qu’ils ont su s’en inspirer pour nous pondre un putain d’album de glam-rock à la sauce 2015. C’est purement trop bon !

Comment, c’est parce que je suis vieux ? Pas du tout ! C’est juste parce que j’ai bon goût et qu’un album de cette qualité dans ce genre, ça faisait mathusalem que je n’en avais pas écouté ! Bon d’accord, je suis un peu vieux, mais mes oreilles sont toujours affûtées et savent reconnaître un putain d’album quand elles en entendent ! Et ce « Glamorama » en est un. Incontestablement.

Voilà, vous pouvez repiquer les plate-boots et le rouge-à-lèvres de votre mère et ressortir les paillettes ! Bien sûr, méga coup de cœur pour cet Ovni-là !!!

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Quand je reçois l’album d’un groupe que je ne connais pas du tout, je commence à lire la fiche qui l’accompagne. Bon, le producteur est Erik Matersson (Eclipse, Wet) : déjà un bon point. En plus, il est précisé que ce disque devrait plaire au fans de Danger Danger, Motley Crue, Treat et Crazy Lixx. Rien que ça !!

Après, je matte la pochette. Whaooo ! Très belle, la blonde !! Soit c’est une copine du groupe, soit c’est la chanteuse… Si c’est elle qui chante, et qu’elle a une voix à la hauteur de sa plastique….

Allez ! Plus de temps à perdre : play !!!! Et je ne vais pas être déçu. Du hard sleaze FM avec chanteuse. Gros son, grosse prod’. Des morceaux inspirés, des riffs puissants, des refrains entêtants. J’adore la voix !!

Un album qui s’écoute d’une traite et qu’on se remet de suite. Heu… comment ma chérie ? Je n’aurai pas le droit d’interviewer la chanteuse ??!! Coup de cœur obligatoire.

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Bon, encore un groupe qui ne me rajeunit pas ! Je les ai découverts il y a fort longtemps avec l’album « Breaker » et je me rappelle encore de l’énorme baffe qu’a été la première écoute !

Après, j’avoue que j’ai lâché après le départ de U.D.O et que je n’ai commencé à m’y ré-intéressé qu’avec le « Blood of the nations » – qui était très bien – suivi de l’excellent « Stalingrad ». Donc, c’est avec impatience que j’attendais le petit dernier.

Et sur ce coup-là, je ne vais pas être déçu ! Cet album est dans la ligne des deux albums précédents avec des morceaux qui restent encore plus en tête, des refrains qu’on peut hurlé à tue-tête et… des belles ballades.

L’inspiration était vraiment là et ce « Blind rage » est en tout point une réussite.
Ils nous rappellent qu’ils sont toujours présents, et de quelle manière !!

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En provenance du Canada, les Striker nous déboulent dessus avec un CD de heavy-métal qui devrait plaire aux amoureux de la Vierge de Fer car c’est bien le nom de Maiden qui me vient à l’eprit quant à l’influence et la voix.

Et ce n’est pas un reproche car ce « City of Gold » est très bien fait. En plus, le chanteur a vraiment une méga voix ! Les morceaux sont bien construits et inspirés, les solos de guitares sont bien présents et les refrains se retiennent.

Un CD parfait de heavy à la sauce 80… version revue 2014 ! Non chérie,  je n’ai pas de torticolis, je headbang !!

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Oyé, oyé, fans d’Asia et fans d’AOR prog’ méga bien fait ! Ils nous reviennent avec un live CD et DVD.

Et le résultat vaut vraiment l’achat, ne serait-ce que par la qualité de la set list, issue de Phœnix et de Oméga. Le son, enregistré le 24 julliet 2010 au High Voltage Festival de Londres, est terrible.

Voilà un achat à faire pour une rentrée en douceur..  après un festival de black métal. Hit of the moment, of course !! Un peu de douceur dans ce monde de brutes. 

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Ace Frehley, ex guitariste de Kiss, nous revient avec un nouvel opus. Et alors ? Et alors ?

Alors, on est dans du hard-rock, rock-hard très kissien des début. Et on pense parfois à du Alice Cooper pour l’ambiance.

Bien sûr, les refrains rentrent tout de suite dans tête à toi, les solos de guitare ne sont pas oubliés et les ballades non plus. Le monsieur a gardé sa voix intacte. A part cela… Ah oui, un cover de « The joker » du Steve Miller Band. Assez convenu. Bien sûr, Ace Frehley clôture sur un instrumental.

Tout ça donne un CD plutôt sympa qui devrait plutôt plaire aux fans du monsieur.

Pour ma part, je regrette qu’il ne soit pas plus mordant, plus agressif. Bon,  je ne lui demande pas de faire du thrash ! Il ne faut pas déconner non plus ! .. Mais un ou deux morceaux plus pêchus, moi je les aurais appréciés ! Comment je chipote !!

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Avant d’embarquer, je ressors mon bandana à têtes de mort et mon sabre en plastique, je remplis un tonnelet de rhum, et voilà je suis prêt pour rejoindre Alestorm et leur folk métal pirate. Direction leur nouvel opus « Sunset on the golden age ».

Et d’entrée, on est dans le bain ! Un mélange d’instruments folk, de refrains à faire boire, de gros riffs dans une ambiance festive. Même quand on se bat à Carthagène !

Alestorm a parfaitement réussi son coup. Les morceaux sont parfaits pour en découdre dans les salles du monde entier et faire des dégâts dans nos festivals. « Drink », « Mead from hell », « Surf squid warfare », « Quest for ships » sont de pures tueries.

Voilà, le voyage dans Pirate des Caraïbes version folk métal touche à sa fin. Retour sur la terre ferme et ses tavernes avant de re-embarquer pour de nouvelles aventures. Maintenant, c’est à vous d’embarquer avec Alestorm dans cette nouvelle aventure et peut-être que, comme moi, vous croiserez Jack Sparo !! Et tout ça, sans risque le mal de mer !

Avec ce fantastique « Sunset on the golden age », coup dans le cœur !!

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Après plusieurs écoutes, ce que je peux dire, c’est qu’ ils ont beaucoup écouté Black Sabbath et Ozzy, les Order of Israfel ! Et en plus, qu’ils ont su en prendre l’essence !

Le résultat est un album de doom à ambiance bien lourde, pesante et malsaine avec des morceaux qui intègrent les changements de rythme et des solos, le tout soutenu par un putain de chanteur !

Bref, un groupe qui a réussi là un super album ! Esprit d’Ozzy ne sort pas de là !! C’est bon, je peux éteindre les bougies et rallumer la lumière…

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Alors là, on est dans du blues-rock influencé par Clapton, Hendrix fait par un guitariste qui a joué avec Jeff Healey, Jimmy Barnes, etc..

Et ça donne un CD vraiment boosté au blues-rock sous acides qui ravira les nostalgiques des 70’s. Même le son est vintage !!

Une bien bonne découverte pour moi ! 

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Allez ! Hammerfall est de retour… et son power métal aussi bien sûr ! Les suédois n’ont rien perdu de leur savoir-faire car, dès les premières notes, la transformation s’opère : je deviens un elfe qui s’en va pour vivre plein d’aventures ponctuées de voyages dans des contrées sauvages et enneigées, de combats épiques, de soirées dans des tavernes mal famées à la poursuite de la quête ultime.

Portés par des chœurs puissants, par une voix envoûtante, par des mélodies qui alternent puissance et mélodie et des solos tout aussi efficaces, les onze titres alternent morceaux rapides et morceaux plus lents –  eh oui, il faut bien que les guerriers se reposent !!!

D’ailleurs, la musique vient de s’arrêter et mes oreilles ont repris une taille normales, mes vêtements en peaux de bête ont disparu…. Heu, pourquoi j’ai un T-shirt Hammerfall ??!!

Alors oui, ce « (R)évolution » ne révolutionne pas le genre mais ce n’est de toute façon pas ce que je leur demandais ! Je souhaitais un album de power métal inspiré qui me sorte de notre monde pendant que je l’écoutais, et Hammerfall l’a réalisé.

Bon, j’ai récupéré des points de vie en me nourrissant, je peux rejouer. Play again !!! Comment chérie ? Si j’embrasse la princesse, je vais perdre l’ensemble de mes points de vie  d’un seul coup ?!

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X-Drive a dans ses rangs le bassiste James Lorenzo (David Lee Roth, Ozzy, Black Label Society, etc..). Ca plus la pochette, deux bonnes raisons d’appuyer très vite sur la touche play.

Bon, on tue le suspect. On est dans du putain de hard FM bluesy classieux alternant habilement morceaux pêchus et ballades. Tout ça avec un putain de chanteur et des morceaux qui tuent les mouches grave !!!

Un CD pour fans du serpent blanc et consorts.
Heu.. non chérie, je ne choisis pas les CD parce qu’ils ont des nanas sur la pochette !

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Les Karma to Burn et leur stoner instrumental sont de retour et, comme à leur habitude, les titres des morceaux sont des chiffres.

Les morceaux sont basés sur des riffs puissants et bien lourds qui vous prennent aux tripes et vous font bouger les cheveux.

Après, ce n’est pas un CD qui va faire avancer le schmilblique ; si vous aimiez Karma to Burn avant, vous allez aimer cet album et si vous n’aimiez pas avant, ne l’achetez pas.

Quant-à moi, j’adore ce groupe, leur ambiance malsaine, leur style bien à eux. Donc ce « Twenty three » a de beaux jours devant lui dans ma platine !

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Bon, Paul Gilbert est de retour dans ses oeuvres solo. Amis de la six-cordes, vous ne serez encore pas déçus.

Rien que le cover de « Back in the Saddle » version instrumentale of course ! vaut le déplacement.  La patte de Paul est énorme là-dessus.

Un très bon cru que cet album avec un blues en clôture. Un CD à mettre plein pot dans le lecteur CD pour tailler la route.. ou pour accompagner les images du Paris-Dakar !!

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Allez ! On ressort les armures, les boucliers et les lances et on se prépare à aller combattre les dragons !! A coup de power métal rapide !

Alors, pas de grosses surprises à attendre : la double caisse est très présente, les solos de guitare avec montées et descentes de manche sont bien sûr présents, la voix est ,elle aussi, toujours bien présente et efficace. Les morceaux sont bien construits et agréables à écouter. Voilà.

Ce « Maximum overload » n’est pas un mauvais CD, loin de là, mais moi j’ai de plus en plus de mal à voir les dragons.

Peut-être, tout simplement, que la magie a de plus en plus de mal a opérer sur moi !

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Bon, pour se remettre d’un été pourri, les amateurs d’AOR , vont être servis en écoutant ce « All the Way ». Du AOR bien fait et hyper agréable.

12 titres pour une rentrée toute en douceur. Comment trop en douceur ? Adorateurs de Satan, Vade rétro Satanas !

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Nous venant de Norvège, les Lonely Kamel nous amènent leur hard-rock stoner psyché à la sauce 70.

Gros son pour des morceaux bigrement efficaces avec, bien sûr, des changements de rythme, des envolées vocales et des harmoniques saturées.

Une bien bonne surprise que ce « Ville de merde » !!
Allez, je range mon pantalon pattes d’eff’ et j’éteins l’encens sinon je vais me faire engueuler !! 

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Est-ce bien nécessaire de présenter Bernie Marsden ? Guitariste, entre autres, de Babe Ruth, Alaska et bien sûr Whitesnake sur des albums fabuleux de hard-blues. Il a quitté Whitesnake après « Saints & sinners ». Bref, notre homme a une discographie longue comme mon bras, qui pourtant est bien long  (heu… je parle de mon bras !). 

Je m’égare. Revenons à Bernie Marsden  et à son nouveau bébé « Shine ».

On est dans la continuité de ce qu’il fait depuis des années : du  blues, du blues-rock hard-blues avec l’ombre du Serpent blanc planant au-dessus.

Et c’est encore plus vrai dans cet album car David Coverdale himself chante sur un morceau. Mais ce n’est pas le seul invité. Joe Bonamasse est lui-aussi présent sur un morceau.

Qu’il y ait des invités prestigieux ou pas, cet album est un vrai bonheur avec une alternance de morceaux pêchus, de morceaux boogy, de blues et de belles ballades.

Bref, un grand album pour un grand monsieur trop souvent sous-estimé.

Et putain ! « Trouble » avec Coverdale, je suis comme un dingue !! Je retourne aux années où Whitesnake tournait avec un petit groupe australien du nom d’AC/DC !

Enfin vous l’avez compris : méga coup de cœur.
Allez, replay again !!

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Heu.. Définir la musique de cet « Overhaul »  ça va être coton. Pour simplifier, c’est du métal prog. psyché planant avec une touche death pour la voix.

Alors bien sûr, les morceaux changent de rythme, on passe du tempo lent à un tempo rapide voire agressif. Et plouf ! Beau solo mélodique ! Et poum ! Un riff bien lourd et une grosse voix pas gentille.

Au final 6 morceaux à découvrir car originaux et bien faits.

De plus, la pochette est sublime. 

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Le groupe palois  de heavy prog. métal est de retour. Allez ! Pas de mystère : on est dans du pur Manigance, du heavy-métal avec un côté prog. chanté en français.

Toujours bien fait avec des textes en français… même sur le titre anglais de… allez tiens, je vous laisse deviner de quel groupe il s’agit !

Volte Face est un bon CD de Manigance avec des morceaux forts comme « Parjure » dont on a envie de crier le refrain à tue-tête (je me suis fais encore des copains avec mes voisins, moi !!). Mais je le trouve malgré tout un poil plus faible que « Ange ou démon » ou « L’ombre et la lumière ». Mais bon, laissons le temps et les écoutes nous dire si c’est vraiment le cas.

En tout cas, ce qui est sûr, c’est qu’un CD de heavy-metal en français de ce niveau, on ne crache pas dessus. Non mais !!

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