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MYRATH à l’Undertown

Tiens, ça fait un petit bout de temps que je ne suis pas allé en Suisse pour un concert, moi ! Aussi, en cette fin de semaine, je prends la direction de Meyrin, pour aller voir MANIGANCE et les tunisiens de MYRATH. Il y a déjà deux ans déjà et quasiment jour pour jour, je les avais vus en première partie de SYMPHONY X et j’avais été plus que conquis. Sauf tempête ou temps apocalyptique, je ne pouvais pas manquer cette date, d’autant plus que les revoir en tête d’affiche me manquait depuis 2013. Et, cerise sur le gâteau, ils ont emmené leurs copains béarnais de MANIGANCE sur toutes leurs dates européennes. Si ce n’est pas cool ça !

Après avoir écumé toute l’Allemagne, être passés par l’Est de l’Europe et une date à Milan la veille, le groupe a décidé de venir jouer à Meyrin afin de continuer de savourer sa tournée appelée le « Shehili Tour ». Celle-ci voit MYRATH passer par le sud de la France, après avoir commencé au début du mois de mars par Paris et après avoir sillonné l’Espagne, finir à Nantes. Un mois bien rempli ! À la mi-avril, ils s’envoleront pour trois dates au Japon, en compagnie d’ORPHANED LAND et de DARKANE. Une belle tournée en perspective.

Récupérant mes acolytes de concert, histoire de ne pas faire le voyage tout seul et de remplir un peu plus l’Undertown, nous prenons la direction de Meyrin, tout près de l’aéroport de Genève.
Connaissant la route par cœur, et la salle aussi, je sais pertinemment que je vais trouver où me garer. C’est cool. Le parking est grand et c’est une aubaine de pouvoir ranger son char sans avoir à tourner deux heures autour du lieu – et de faire comme Ti Rickou, rater la première partie ! Le soleil, relativement absent toute cette semaine, a décidé de nous accompagner sur la route. Trop sympa ! Faudra penser à le remercier. Mdr.

C’est quoi ce souk ? Le parking est quasiment plein ! C’est du jamais vu. On va finir par rater MANIGANCE ! Bon, la voiture est garée, et nous partons vite en direction de la salle. A notre arrivée, mes inquiétudes quant-à la quantité de spectateurs présents ce soir s’avère fausse : la foule est nombreuse, c’est de bon augure. Je n’en reviens toujours pas, c’est bien la première fois où je dois faire la queue pour rentrer dans l’Undertown. Mais, ouf, la première partie n’a pas encore commencé.

MANIGANCE à l’Undertown

Le temps de retrouver les copains qui sont venus en masse voir nos amis tunisiens et béarnais, que MANIGANCE entre sur scène. Au cas où vous ne le sauriez pas, le groupe a changé de chanteur. DIDIER DELSAUX, le chanteur historique, après des soucis vocaux, a préféré ne pas s’engager sur la tournée. Il a été remplacé par CARINE PINTO. Cela me rappelle un certain groupe grenoblois qui a lui aussi changé pour une copine au chant.

Bon, ne dissertons pas plus, et revenons sur la musique. Ce soir, ils nous présentent leur dernier opus sorti au début de l’hiver intitulé : « Machine Nation ». Dès les premiers riffs de « Face contre terre », tiré de leur nouvel album, nous découvrons que le son des musiciens est très fort. La batterie est bien en place dans le mix de la salle et les guitares mordantes ainsi que la basse sont mises en avant.

MANIGANCE @ l’Undertown – 23 mars 2018

CARINE arrive sur scène et la différence de voix se fait entendre mais sans vraiment être un problème. Le seul souci, c’est qu’elle n’est quasiment pas audible à cause du mix. Mais le public reste sous le charme. Les chevelures se secouent et les nuques se déplacent de bas en haut, ce qui veut bien dire que les spectateurs apprécient la nouvelle mouture.

Les musiciens sont très motivés et bougent bien sur scène. Les lights sont plus que corrects pour une première partie. La charme et la prestance de CARINE séduisent un Undertown plein à craquer. Les riffs de FRANCOIS MERLE et BRUNO RAMOS, les deux guitaristes historiques (ou presque) se font piquants. PATRICK SORIA derrière ses fûts frappe comme un dément et on n’entend quasiment que lui. STEPHANE LACOUDE, le bassiste, bouge de partout, nous fait des poses et les infrasons qui sortent de sa basse nous assomment.

Moi, qui n’avait jamais eu l’occasion de les voir sur scène, je suis captivé. Les musiciens sont motivés comme jamais. BRUNO fait preuve d’une grande dextérité et se frotte souvent au public pour nous montrer ses penchants de shreddeur. CARINE n’est pas en reste non plus et tient bien son public. FRANCOIS, quant-à lui, reste un peu plus discret. Il est moins démonstratif, plus en retenue. STEPHANE, lui, n’hésite pas non plus à prendre le devant de la scène. Scéniquement, MANIGANCE, ça le fait !

Ce qu’il y a de bien avec MANIGANCE, pour ceux qui ne connaissent pas encore le groupe (il y en a ?), c’est que tous les morceaux sont interprétés dans la langue de Molière. Forcément, chanter en français dans la partie romande de la Suisse, ça fait son effet !

MANIGANCE @ l’Undertown – 23 mars 2018

« Mourir en héros », « Machination », « Volte-Face », voici quelques-uns des titres joués ce soir, et cerise sur le cake, tous les musiciens chantent les chœurs… Ce qui renforce la bonne impression que m’a fait le groupe.

MANIGANCE a jeté feu et flammes, sué sang et eaux, pour séduire un public qui n’en demandait pas tant. C’est avec le titre « Larmes de l’Univers », tiré de l’album « Récidive » sorti en 2011, que les musiciens quittent la scène sous les acclamations d’un public ravi d’avoir assisté à un show de bonne qualité. Très bon entame de concert, donc, même si l’on pourrait reprocher une voix trop en retrait dans le mix. Mais c’est juste pour râler un peu. Sinon, la prestation de MANIGANCE a fait ce qui devait être fait, à savoir : le job !

MYRATH @ l’Undertown – 23 mars 2018

Une demie-heure plus tard, les lumières s’éteignent. Le clavier ELYES BOUCHOUCHA s’est fait attendre. Il a eu un retard d’avion. Il aurait presque pu sauter en vol, puisque nous sommes très proches de l‘aéroport, mais il a préféré rester sage et venir en entier au concert ! Mdr.

La fosse s’est encore remplie et se faire une place devant la scène est compliqué. Dès que les lights se rallument, on voit une danseuse du ventre de dos. Elle se retourne sur les premières notes de « Born to Survive » tiré de l’album « Legacy » datant de 2016. Le charme opère de suite. Les musiciens sont tout sourire. Enfin, surtout ZAHER ZORGATI, le chanteur. Toujours autant en voix !

Les décors extra-musicaux sont somptueux. On se croirait dans une médina avec plein de métalleux autour. Trop classe !

Nos copains venu d’Ezzahra ne veulent pas se brûler les ailes et jouent sans complexe tous leurs classiques afin de conquérir d’entrée de jeu les spectateurs. « Storm Of Lies », un autre morceau de « Legacy » qui sera bien représenté ce soir avec huit titres sur les quinze joués, en fait partie.

MYRATH @ l’Undertown – 23 mars 2018

La danseuse du ventre revient nous charmer sur « Dance », un morceau totalement inédit. ANIS JOUINI, à la basse aussi ronflante qu’entêtante, se laisse charmer pendant que ZAHER nous démontre ses capacités vocales sous les coups de massue de MORGAN BERTHET. MALEK BEN ARBIA, derrière sa guitare et ses lunettes noires qui ne quitteront pas son visage, fait riffer sa gratte sous un déluge de nappes de claviers jouées par ELYES.

Comme le dit si bien l’expression : « Être joyeux empêche de devenir vieux » et c’est bien pour ça que le groupe nous envoie sa bonne humeur. C’est sympa comme attention ! Mdr. On se régale et les nombreux spectateurs aussi. Aucun reproche à faire, que ce soit au niveau du son, ou des lumières. Quasi parfait. Après deux titres de « Tales of the Sands » datant de 2011, c’est un autre morceau de leur dernier album en date que nous interprète nos amis tunisiens, « Get Your Freedom Back ». Il sera suivi par deux autres morceaux de « Legacy ».

MYRATH @ l’Undertown – 23 mars 2018

Méchant comme une teigne le groupe ne lâche pas prise une fois sa proie, en l’occurrence, le public, entre ses mains. C’est marrant, celui-ci n’a pas l’air de s’en plaindre. Il faut avouer que la prestation musicale est tout bonnement excellente. C’est l’olympe, nous prenons notre pied comme jamais !

ZAHER n’hésite pas, à plusieurs reprises, à tendre son micro au public. ANIS vient jouer à côté de MALEK et bouge de droite à gauche de la scène. « Sour Sigh », titre de « Tales of the Sands », succède à « Madness », seul titre de 2010. Les musiciens sont hyper professionnels et le sourire ne quitte pas leurs visages Tout le monde s’éclate sur scène. « The Unburnt » sort des enceintes de l’Undertown. Avec toujours cette perfection qui tient le public en haleine.

On sentait bien que les musiciens en avaient gardé sous le coude. Ils nous dégotent leur botte secrète en interprétant le titre « Tales Of The Sands » devant un parterre complètement acquis à sa cause et qui reprend le refrain en chœur. C’est la fin du set pour MYRATH, qui quitte la scène.

Les musiciens laissent la foule mijoter dans son jus pendant au moins cinq bonnes minutes avant de revenir pour nous interpréter « Jasmin » et « Believer », deux superbes titres issus de leur dernier album en date. Mais ne vous inquiétez pas, avec l’autre inédit, intitulé « No Holding Back », qu’ils jouent juste après, et celui du début de ce concert, leur futur opus ne devrait pas tarder à sortir ! Nos amis tunisiens finissent par nous achever sur « Beyond The stars » (Tales of the Sands 2011).

MYRATH @ l’Undertown – 23 mars 2018

Peu de temps après, la danseuse est déjà là à prendre des photos avec les spectateurs. Elle sera suivie de très près par les autres membres du groupe et de MANIGANCE aussi, ne cessant de serrer des mains et de prendre des photos avec les fans. Ce soir, MYRATH a vaincu les derniers sceptiques du groupe et conquis de nouveaux fans sans aucun doute !

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Live Report de STEVE 7.4

L’association Rock Brigade doit avoir comme devise le dicton populaire qui affirme que « l’appétit vient en mangeant ». Quatre jours après l’organisation de leur tout premier concert, ils remettent le couvert avec MANIGANCE et URGENT au Brin de Zinc de Chambéry.

Urgent 2

C’est le sympathique groupe grenoblois URGENT qui ouvre les hostilités ce soir avec « Root » un morceau de leur premier album. Le ton est donné, le répertoire sera du hard rock mélodique à tendance heavy.

Les morceaux sont assez typés 80’s avec de temps en temps des touches un peu plus actuelles. Ils peuvent aussi évoluer vers des titres plus speed comme « Twisted ». L’assise rythmique est sobre mais assure de bonnes bases aux deux guitaristes qui se répartissent équitablement les solos. Le chanteur chauffe le public avec une voix mélodique qui est plus dans un registre hard que heavy. Et comme à part un guitariste tout le monde, batteur compris, fait des chœurs, le chant y gagne en puissance.

Urgent 1

Le show est bien huilé car n’oublions pas qu’URGENT est une formation qui a de la bouteille, presque vingt-cinq ans de longévité. Durant toutes ces années seulement deux albums ont vu le jour, ce qui est peu…. Allez les gars un petit effort pour une nouvelle galette serait de bon ton. L’espoir est permis car ce soir le groupe va interpréter trois nouveaux titres.

YVAN le chanteur annonce un invité mystère, qui sera DIDIER de MANIGANCE, pour une reprise des PRETTY MAIDS « Red, hot and heavy » A priori DIDIER ne connait pas bien le morceau car il ne chante que sur les refrains, mais l’initiative est sympathique. C’est aussi un clin d’œil au passé et au titre honorifique que MANIGANCE a remporté aux trophées de Hard-Rock Magazine comme meilleur groupe français en 2003. En effet lors de cette cérémonie de remise des prix à La Locomotive de Paris, le groupe avait eu l’honneur de jouer « Future world » avec les musiciens de PRETTY MAIDS..

Urgent  & Didier 3

Le dernier morceau, pour la plus grande joie du public est encore une reprise, d’EUROPE cette fois…. Trois reprises sur dix titres, cela peut paraître beaucoup, alors on aime ou on n’aime pas le principe. Une bonne prestation qui laisse augurer des lendemains qui chantent.

Et maintenant, place à MANIGANCE. Pour ceux qui ne connaissent pas, la scène du Brin de Zinc n’est pas bien grande et caser six musiciens n’est pas chose facile surtout quand la batterie avec sa double grosse caisse squatte une bonne partie de la place. JEAN LAHARGUE, le clavier se retrouve coincé en fond de scène entre le mur, la batterie et les racks, il ne bougera pas de tout le concert. Heureusement qu’il ne pèse pas cent vingt kilos car sinon il ne pouvait jouer faute de place !!!

Manigance 1

Faire du métal chanté dans la langue de Molière à toujours été un sacerdoce. Encensé dans les années 80 avec TRUST et ensuite SORTILEGE, ADX, VULCAIN… le genre est par la suite retombé dans les oubliettes. Seuls quelques gardiens du temple ont continué à entretenir une flamme parfois vacillante.

Depuis 1997 et la démo « Signe de vie » les palois de MANIGANCE ont relevé le challenge et chantent eux aussi en français. Le débat sur le choix de la langue pose souvent question dans un contexte franco/français alors que par exemple nous écoutons RAMMSTEIN sans nous poser la question de savoir si l’anglais convient mieux que l’allemand.

Par contre comme le public pour une fois comprend les paroles, l’écriture des textes demande plus d’exigences et doit être plus travaillée, plus précise et laisser de côté les éternels clichés sexe, drogues, alcool et filles (n’est pas STEEL PANTHER qui veut). DIDIER se tire à merveilles de ces embûches avec des textes de qualité et évite les sujets racoleurs.

Manigance 3

C’est aussi un pari réussi car le groupe s’exporte, du moins par disques, à l’étranger en se classant dans les hits du Japon par exemple.

« Pur sang » en introduction, suivi de « Volte face » mettent tout de suite en avant le dernier album qui vient de sortir. Nous sommes en terre heavy power mélodique, qu’on se le dise.

Les morceaux s’enchaînent sans temps morts, ils sont longs et travaillés, faisant la part belle aux guitares avec de nombreux breaks et changements de rythmes. Tout au long du concert les guitares seront en avant, exit sur scène le côté prog’ de certains albums, le groupe est revenu à une musique plus directe, moins alambiquée, en un mot plus simple. Parfaite intégration  pour les deux petits nouveaux, le bassiste STEPHANE LACOUDE et le batteur GUILLAUME RODRIGUEZ qui a un jeu de batterie remarquable et remarqué par certains.

Le son c’est à noter est puissant mais reste très bon.

FRANCOIS et BRUNO, les deux guitaristes bougent bien et occupent très souvent le devant de la scène, un peu au détriment de DIDIER DELSAUX, le chanteur qui se retrouve parfois en retrait.

Manigance 4

« Les fleurs du mal » chanté avec seulement le clavier est à mon avis le seul moment un peu faible du concert. En étant du genre pénible, j’ai trouvé le chant un peu forcé avec une voix paraissant fatiguée, mais sur les autres morceaux cette faiblesse passagère ne se fera plus sentir.

Le décoiffant « Ultime Atome », remet tout de suite les pendules à l’heure. Sur ce morceau du dernier album le clavier, qui je vous le rappelle, ne peut toujours pas bouger, va chanter avec une voix death sur les refrains lorsque DIDIER lui tend le micro. Je vous rassure cela est très court et ce passage growl s’inscrit bien dans l’esprit du morceau. Ils n’ont pas viré leur cuti et changer de style, Ouf !!!

Pendant le rappel, «Dernier hommage» un vent de folie gagne le groupe, FRANCOIS MERLE descend de scène pour aller jouer à côté d’une des rares filles (est-ce vraiment un hasard ??? ) présentes ce soir dans la salle. Ensuite c’est au tour de DIDIER d’aller dire bonjour au public et plus précisément à YVAN, le chanteur d’URGENT qui manifestement est fan de MANIGANCE et le montre avec son T-Shirt. GUILLAUME, derrière sa batterie finit le morceau debout … Le clavier lui est toujours puni dans son coin !!!… et participe à la fête de loin….

Manigance 2

Une partie des fans chantent les refrains avec ferveur pour la plus grande joie des musiciens qui affichent des sourires de plaisir et de connivence avec le public.

Malgré un emploi du temps serré, les musiciens resteront dans la salle pour dédicacer photos, CDs et parler avec les fans.

Je finirais ce report comme je l’ai commencé, par un dicton que j’adresse à Rock Brigade « jamais deux sans trois ». Alors à quand le prochain concert ???

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Et pour finir deux vidéos de l’ami MANINROCK !!!

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TRUST

Trust

Album à posséder. Le Hard 80 français a un nom : TRUST. Des paroles engagées, du Hard qui percute.. « L »élite », « Police-milice ».. En plus cet album prépare au coup de masse du second.

TRUST

Répression

Avec « Antisocial » en tête, un album de légende est né. Un putain d’album en colère. Du Hard qui veut dire quelque chose, plus que de la musique, une part d’histoire ce TRUST-là !!

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TRUST

Europe et haines

TRUST est de retour ! Bon, l’ambiance est plus au Blues, mais c’est un vrai putain d’album.. peut être parce que moi aussi j’ai vieilli. Les paroles et la musique font mouche et sont encore dans ma tête des années après. Un CD obligatoire.. surtout en cas de blues !! Et comme ils disent : « Le temps efface tout, c’est dégueulasse ».

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SATAN JOKERS

Les fils du métal

Le premier SATAN JOKERS. Un must pour les paroles. « Quand les héros se meurent » est magnifique, « Le fouet » sur les rapports sado-maso vaut le détour. Bref, tout l’album est fabuleux. La voix de Pierre, la frappe de Renaud, leur univers est sans égal !

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SATAN JOKERS

Trop fou pour toi

Toujours en avance sur leur temps avec leur Hard à deux chanteurs, leurs méga belles mélodies, leurs textes branchés cul. Bref : à avoir !

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SORTILEGE

Sortilège

Le mini-L.P. avec bien sûr « Sortilège ». Un premier coup de maître qui n’a pas pris une ride.

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SORTILEGE

Métamorphose

La suite du mini-L.P. avec « Délire d’un fou », « D’ailleurs ».. Un album de Heavy à la française que j’écoute encore avec plaisir.

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H-BOMB

Coup de métal

6 titres qui frappent. Bon, il faut aimer la voix. La version AXE KILLER a 4 bonus en anglais ! Moi perso, ce disque-là, je l’ai retrouvé avec plaisir.

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GANAFOUL

T’as bien failli crever

GANAFOUL fait dans le Hard Rock avec des rythmiques qui frappent. Un Hard Rock quand même typé 70. Moi, j’aime bien leurs paroles.

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ADX

Exécution

Du Heavy avec des morceaux qui tabassent bien. Pourquoi cet album-là ? Eh bien, il y a « Vampire » et aussi « Caligula » avec son intro et son refrain. J’adore !

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VULCAIN

Rock ‘n’ roll secours

Qualifié de MOTORHEAD français à la sortie de cet album, car même schéma. On envoie le bois, avec « Ebony », « Le King », « Le fils de Lucifer »… VULCAIN, la machine à grosses baffes fonctionne bien. La touche française avec « La digue du cul » inoubliable. Un CD incontournable. « De Nantes à Montaigu, la digue, la digue… » !

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VULCAIN

Desperados

On est toujours dans la famille « les freins c’est pour les lâches », où « les petits frères de MOTORHEAD ». Donc si vous avez aimé « Rock ‘n’ Roll secours », « Desperados » est vraiment dans la même veine. Encore un CD que j’ai vite récupéré !!

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BLASPHEME

Blasphème

Dans la famille Hard français 80. Rien à jeter sur cet album. La musique, la voix de Marc, les paroles.. Bref « Jack l’éventreur », « Jehovah », « Magie noire », « Excalibur », des incontournables du Hard made in chez nous.

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BLASPHEME

Briser le silence

Un come back 30 ans après, ça donne quoi ? Un putain de CD. Pour la grande partie des morceaux, on est dans le prolongement du premier album. Pour le CD en totalité ? Un super CD de BLASPHEME avec « The crow », « Briser le silence ». Le temps s’est remis en place, il n’y a pas eu 30 ans d’absence. Des retours gagnants comme celui-là, il n’y en a malheureusement pas beaucoup !!

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STOCKS

Enregistré en public

Pour un coup d’essai, un coup gagnant. Enregistré son premier album en live avec un Hard Rock Sudiste chanté en Français, il fallait oser ! Bah, ça a très bien marché ! Les titres frappent juste, les paroles aussi. Bref, à avoir dans sa CDthèque !!

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WARNING

Warning (pochette noire)

Du Rock Hard en Français, des paroles un peu bizarres, mais en tout cas, moi j’aime bien leur univers.

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WARNING

Warning  (pochette rouge)

Dans la ligne du premier avec des titres un peu plus rentre-dedans comme « Commando » ou « Speed moi ». Si vous aimez le premier, le 2e est aussi pour vous.

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Le 3e et dernier WARNING. J’ai attendu comme un dingue qu’il soit enfin ré-édité. C’est chose faite. Certainement mon album préféré du groupe. Je chante encore « Le petit peuple ».

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DEMONTOOL

Soleil rouge

Dans un style BLASPHEME, SORTILEGE en version accélérée. Avec un chanteur qui est limite hurlage, souvent border, mais ça passe et perso j’apprécie ce CD gros son.

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IRMINSUL

Ainsi soit-il

J’ai pris et je prend toujours du plaisir avec ce disque. Du Metal à la sauce Heavy 80, très mélodique avec une voix claire. Les paroles sont sympas et se marient très bien avec la musique.

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MESSALINE

In cauda venenum

Des paroles délires et recherchées, un hard métal bien à eux, un chanteur possédé, des morceaux que j’adore comme le « Bûcher des vanités » ou encore « Souffler dans le cul de Lucifer » ; un tout qui fait de cet album un opus à posséder dans sa collection. Différent et original.

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HEAVEN’S COLT

Rien à foutre

Du Hard Boogie à la AC/DC, des paroles et de la musique pour se laver la tête et se niquer la nuque. Et ça marche sévère ! Du Hard Rock ‘n’ Roll Farmer made in France !!

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MALEDICTION

Esclave du vice

Dans un esprit BLASPHEME, SORTILEGE. De très belles mélodies, des morceaux qui percutent, un chanteur qui sait chanter… Un CD à posséder pour les amoureux du hard chanté en français !!!

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MANIGANCE

D’un autre sang

Du Metal mélodique avec chant en Français, ce n’est pas courant. Et dans ce style « D’un autre sang » a vraiment sa place !

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Du Metal parodique avec des paroles délire fait par de putains de musiciens. Un must dans le genre. Et la reconnaissance pour ULTRA VOMIT !

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Un groupe Français qui chante en Français et qui fait du Hard FM au début des années 80. Un album qui ne prend pas une ride. Le label Bad Reputation l’a ré-édité.

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Je me souvenais du groupe car il avait sorti son album en vinyle rouge, ce qui n’était pas courant à l’époque. Depuis que j’ai récupéré l’album en CD, je l’écoute très souvent. Du Hard Rock avec des paroles qui parlent de faits de société et aussi des délires. Très content de l’avoir récupéré, moi ! Pour fans de Hard Rock à la Trust.

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