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THUNDERMOTHER, COBRA SPELL et VULVARINE AU MARCHE GARE

REPORT
THUNDERMOTHER, COBRA SPELL et VULVARINE AU MARCHE GARE
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Yes, les copines suédoises de THUNDERMOTHER sont de retour en live à Lyon ! Je suis comme un dingue surtout qu’elles sont accompagnées des COBRA SPELL et de VULVARINE. Ca tombe bien, je suis un grand fan de COBRA SPELL et j’ai une grosse baffe avec le dernier album à venir en mars de VULVARINE. En plus, les festivités se passent dans une salle dans laquelle je ne suis pas allé depuis mega longtemps : le Marché Gare. Seul bémol, le concert à afficher sold out depuis pas mal de temps et un sold out au Marché Gare, ça veut dire qu’on va être très, très serrés. Mais bon, même pas peur Ti-Rickou !

L’avantage du Marché Gare c’est qu’il est situé juste à l’entrée sud de Lyon donc on ne se tape que cinq minutes de bouchons. Euh, depuis le temps que je ne suis pas venu, le quartier n’a pas changé, il s’est métamorphosé. Adieu les places devant la salle, adieu les petits immeubles en face. Le bon plan c’est qu’il y a un immense parking juste en face de la salle. Le mauvais plan c’est que c’est payant.

Je savais que la salle avait changé de physionomie mais c’est surtout l’entrée en bas qui a vraiment changé. Pour le haut, hormis les peintures, je n’ai pas vu de gros changement et surtout, ils n’ont pas poussé les murs de la salle. J’ai eu beau me dépêcher de monter, m’empêcher de papoter avec les copains, copines que je croisais, il y a déjà énormément de monde dans la salle. Après, il y en a qui vont s’étonner que mes photos ne sont pas super (n’est-ce pas chérie ?)…

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Je n’ai pas le temps de me poser plus de questions métaphysiques car je suis arrivé juste à temps pour le début de VULVARINE qui comme vous vous en doutes est un groupes de filles. Ce soir, c’est soirée Girl Power. Je suis mega content de les découvrir en live et j’adore aller voir un groupe quand leur dernier album est très bon.

Visuellement, eh bien c’est agréable (chérie pas la tête !). En plus, la batteuse a des baguettes lumineuses à la Cozy POWELL.

Bon j’ai une copine qui a trouvé que c’était un mélange sympa des BANGLES et des RUNAWAYS. Pas totalement faux mais pas totalement vrai non plus. Je botte en touche. Nous les garçons, on n’est pas comme ça, on ne regarde pas le physique, on écoute que la musique (j’en vois qui se marre, vous allez finir par me faire avoir des ennuis…).

Revenons à la musique. On est dans du Rock Hard, c’est frais, c’est bien fait, les nanas s’éclatent et sont heureuses d’être là. Elles nous font découvrir qu’elles ont pris des cours de français à l’école.

J’adore leurs anciens morceaux et je suis aux taquets pour les nouveaux et surtout pour la reprise de « Cheri, Cheri Lady » des MODERN TALKING. Je m’attendais presque à voir arriver Filippa NASSIL pour se faire le bœuf avec elles. Si vous vous demandez pourquoi, allez voir la chro de l’album. Mais à quoi ça sert que Ti-Rickou se décarcasse ?!

En tout cas, les VULVARINE nous ont offert un set bien exécuté. C’est une très bonne découverte en live… qui va forcément me coûter du pognon car hors de question que je reparte sans au moins un album !

Un peu de papotage avec les copains, copines pendant la pause avant que les filles arrivent à leur stand merch’. Je suis quand même un peu étonné ce soir, en premier lieu de ne pas voir plus de têtes connues dans la salle et surtout de voir la salle remplie de gens qui n’ont pas forcément le profil pour ce genre de soirée (comme quoi…). Je suis également surpris qu’il y ait autant de monde ce soir alors que la première fois que les THUNDERMOTHER ont joué au Rock ‘n’ Eat, il y avait même pas 70 personnes. Tant mieux pour elles et tant mieux pour les organisatrices.

Allez, ça va repartir. J’en ai marre d’avoir toujours raison. On n’en est qu’au deuxième groupe et la salle est archi bondée et on se croirait dans un sauna. Pour les photos, ça se corse encore plus, d’autant plus que le public n’est pas forcément réceptif à laisser passer les gentils photographes.  

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En tout cas, c’est parti pour COBRA SPELL et pour la distribution de baffes. Alors désolée pour les copines qui trouvent juste que c’est un peu vulgaire dans l’attitude et le look, moi personnellement je ne trouve ça absolument pas vulgaire. Comment, vous ne portez pas un body simili cuir avec des bas résilles tous les jours, vous ? Pour moi, c’est juste sexy.

Tiens, c’est qui celle qui a des moustaches ? Bien-sûr, vous l’avez compris, c’est l’intrus de la soirée, c’est le seul musicien de la soirée. J’ai quand même un peu l’impression qu’au niveau du look, il sort tout droit de SPINAL TAP.

On va quand même parler musique sinon ma chérie va faire la gueule… Pas de surprise, on est dans du pur COBRA SPELL avec des morceaux Heavy qui démontent sa mère-grand dans les traboules. Ils y vont en mode « les freins, c’est pour les lâches » même si au démarrage il y a un problème technique avec le micro de la chanteuse. Mon public bizarre est assez amorphe pendant le set sauf quand les musiciennes les encouragent à crier. Et là, ça fonctionne.   

Il fait de plus en plus chaud dans la salle. Je n’ai pas parlé du son qui, là, est bon, ce qui n’était pas forcément bien le cas sur le premier groupe. Par contre, no comment sur les lumières et les fumigènes.

La set list est mega efficace et la chanteuse a une voix puissante comme je les aime mais je me replis jusqu’à la porte pour pouvoir respirer un peu. Tiens, il y a les VULVARINE qui sont à leur stand merch’… Allez hop, petit saut rapide. Récupération CD faite, signatures faites. Retour pour la fin du set des COBRA SPELL sans me faire happer par les copains, copines qui eux-aussi, ont préféré rejoindre la porte pour respirer.

Les COBRA SPELL ont réussi leur set. Tout le monde est un petit peu fatigué et surtout en sueur. Les gens se précipitent pour trouver le bar et c’est là que Ti-Rickou malin en profite pour re-rentrer dans la salle et surtout se caler devant la scène. L’entracte est toujours un très bon moment pour se positionner.

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Mon attente, un poil longue, va être récompensée, elles arrivent sur scène, les THUNDERMOTHER ! Elles attaquent bille en tête par un « Can you feel it » qui met tout le monde d’accord. La chanteuse monte sur un bloc posé sur le devant de la scène pour surplomber le public.

Alors évidement, par rapport aux fois où je les ai vues en live, il y a eu énormément de changements dans le line up. Bien sûr, Filippa NASSIL, la guitariste, est toujours là, mais c’est elle le leader du groupe. Je ne suis pas surpris vu que je le savais, mais bon, ça me fait un peu bizarre.

Visuellement, c’est toujours aussi efficace et musicalement aussi. Alors oui, les nouveaux morceaux sont plus policés et moins typés AC/DC qu’avant mais en live, ça le fait. La setlist est bien équilibrée entre anciens et nouveaux morceaux. On va avoir droit à un « Don’t believe a word », un cover de THIN LIZZY. Elles n’ont pas mégottées sur la setlist vu qu’il y a une vingtaine de morceaux. Ce soir, elles nous ont gâtés.

A un moment donné la chanteuse sort de la salle pour réapparaitre au fond, au milieu du public. Scéniquement aussi, elles sont en putain de forme.

Comme avec les deux groupes précédents, je décide de suivre la fin du set de l’extérieur où je retrouve les mêmes copains, copines que les autres fois.

Tiens, les filles de COBRA SPELL sont dans le coin. J’en profite pour aller faire mes emplettes et quelques selfies avec elles. Je retourne dans la salle pour la fin du set. Je trouve cette prestation plus carré que les autres fois mais du coup, un peu moins fun et Rock ‘n’ Roll. C’est peut-être dû au fait que j’ai trop chaud et que, du coup, j’ai un peu de mal à rentrer totalement dans le set. Mais bon, les THUNDERMOTHER, ça me plait toujours autant.

C’est fini. J’ai un peu de temps devant moi pour papoter un peu avec les potes – dont le petit malin qui a oublié de nous dire que demain c’était son anniversaire (bien vu Jean-Michel, j’avais soif !). J’en croise aussi quelques-uns que je n’avais pas vu depuis Mathusalem . J’ai, pour ma part, passé une très bonne soirée et je suis content d’avoir retrouvé le Marché Gare. Bon, il est tard, on a tous faim et là, la priorité c’est de trouver un truc ouvert à Lyon, à plus de 23h, pour manger.

Encore un grand merci aux SOUNDS LIKE HELL pour avoir programmé cette affiche.       

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BANDEAU WTR LE WEBZINE DE TI RICKOU https://lewebzinedeti-rickou.com/

By Ti-Rickou

Le concert des Vampires d’Helsinski vient de se terminer. Bien-sûr, j’ai récupéré la set list du concert et j’ai même acheté une très belle litho (non Matthias, tu ne l’auras pas !). Maintenant mon objectif est de me faire dédicacer tout ça.

C’est clair, ils ne viendront pas signer, on va essayer un plan B. Je demande au responsable de la sécurité s’il peut aller me faire signer la litho et la set list par le groupe. Gentiment, il me les prend et part avec. Il est de retour quelques minutes après en me disant qu’ils ont tous les cheveux longs et qu’ils ne les connaît pas du tout, puis il me dit de le suivre.

On va vers les loges, il frappe, ouvre la porte et me fait rentrer. Heu, là je les découvre cool, en slip, en train de boire et de fumer. Et sur le coup, j’ai les boules de les déranger. Je leur dis que je ne reste pas, que je m’excuse et je me dirige vers la porte. Là, ils me disent de rester, qu’il n’y a pas de problème. Ils prennent la litho et me la signe.

Au moment où j’allais leur passer la set list, ils se mettent à me poser plein de questions sur la France, Johnny Halliday, notre cuisine, etc. Le temps passe à une vitesse subsonique et je suis surpris quand le responsable de la sécurité revient me voir et me demande de sortir. Du coup, je ne pense même plus penser à faire signer ma set list, ni à prendre des photos avec eux. Mais bon, sur le moment, le plus important, c’était de passer un moment (magique) avec eux.

Cette petite histoire est dédiée à un responsable de sécu adorable qui était un mec en or. RIP Christian.

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MONSTER TRUCK

« Votre mission, si vous l’acceptez Ti-Rickou, c’est de vous rendre au Marché Gare à Lyon pour assister au concert de deux groupes dont vous avez adoré l’album et que vous n’avez jamais vus en live : MONSTER TRUCK et BUFFALO SUMMER ».

Yes, of course ! Mission acceptée !!! Promis, j’arrive à l’heure et je ne vais même pas louper le début. Allez tiens, je vais même me laisser une marge d’une demie heure. Donc, tranquille.

Heu… ou pas car c’était sans compter sur les fameux bouchons lyonnais (non, pas ceux où on mange trop bien !).. Même un jeudi, c’est surréaliste.

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BUFFALO SUMMER

Et donc, c’est avec un bon quart d’heure de retard que j’arrive devant la salle. Je suis dégoûté ! Je fonce dans les escaliers et… Ils n’ont pas commencé !!!! J’ai même un quart d’heure d’avance ! Yes, les Dieux du hard-rock sont avec moi ! J’ai réussi ma mission. J’ai même le temps de dire bonjour aux copains et de me positionner pour les photos. Je suis excité comme une pucelle avant sa découverte du loup, moi.

En fait, je suis pas mal impatient et un peu anxieux. Et si ce n’était pas bien ?

Ma réflexion profonde va être de très courte durée car les BUFFALO SUMMER commencent à jouer. Et là, putain, ça part fort ! Ils nous choppent à froid avec leurs morceaux de classic-rock 70 qui fait des ravages sur nos cervicales.

Le son est méga bon. Les musicos ont une énorme présence sur scène et le chanteur est un méga frontman. En plus, il a la même voix en live que sur CD. Le guitariste et le bassiste ne sont pas en reste, ça joue grave ! Et je n’oublie pas le batteur.

Que dire de leur setlist ? Elle est juste parfaite pour nous conduire au nirvana. Les morceaux de leur dernier CD sont encore mieux en live et putain que c’est bon !

« Down to the river » me fait taper du pied et me met des frissons partout.

Je suis comme un dingue ! On a droit à un méga set. Je ne vois pas le temps passer. Malheureusement, ils ne vont pas jouer longtemps… C’était court mais méchamment bon !

Allez, une petite pause. J’ai le temps d’aller rejoindre les BUFFALO SUMMER à leur stand merch’ pour papoter un peu avec eux, histoire de poursuivre le moment magique qu’ils m’ont fait vivre. En plus, ils sont adorables.

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MONSTER TRUCK

Je finis par les quitter car MONSTER TRUCK arrive. Et d’entrée de jeu, la grosse tournée de baffes continue ! Bon, MONSTER TRUCK c’est un peu plus couillu, plus sudiste. Toujours rock-hard 70 mais version sudiste en fait. Ils ont en renfort un clavier.

Tout comme BUFFALO SUMMER, leurs morceaux en live sont des putains de tueries qui te font headbanguer et hurler de plaisir. Les musicos ont un énorme charisme et une présence scénique énorme !

Le public en grand nombre ce soir (plutôt viril le public. Ce soir, il n’a pas beaucoup de copines) est aux anges. C’est méga bon et ça joue grave. Tous leurs morceaux font mouche dans nos oreilles. Mon Dieu, « Old train » en live, quel bonheur !

Il fait chaud dans la salle mais je m’en tape, je suis trop heureux.

Heu… comment ça, c’est fini ?!! Dans tes rêves ! On en reveut du c’est bon dans nos oreilles ! Un rappel, yes !!!! Cogne batterie, riffe guitare, chante chanteur. C’est trop, trop bon.

Wha, les lumières se rallument et je suis comme un boxeur qui a fait onze rounds. Et qui a gagné, sonné mais heureux.

Quelle soirée de dingue ! Deux groupes de folie au top de leur art. Et dire qu’il y en a qui ont loupé ça !! Eh oui, ce soir il fallait être là pour le vivre. C’était E-NOR-ME !!!!

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MONSTER TRUCK

Allez, je prends le temps de la décompression pour dire au revoir aux potes… Et les potes en question sont dans le même état que moi : vidés mais un sourire banane aux lèvres.

Un méga moment que cette soirée revival 70 moderne. Un énorme merci à BASE PRODUCTIONS et à Roger pour nous avoir permis de la vivre.

Long live rock’n’roll in Lyon !!!

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Bon, direction la Capitale des Gaules, Lyon, et plus précisément le Marché Gare. Heu, j’ai du mal à me retrouver, les Halles ont été démolies et le quartier entier a été remodelé… Non, je ne suis pas perdu, juste désorienté !! Bon, la patinoire est toujours là.. Maintenant deux ou trois tours du pâté de maisons et j’arrive enfin à me garer.

Comment ça, ça sent le « j’ai raté la première partie » ? Pas faux. Mais l’important, c’est que je sois là pour le début de FREAK KITCHEN, et là pari réussi !!

Et c’est parti ! Sous les « goody, goody » du public bien présent ce soir, MATTIAS, CHRISTER, BJORN montent sur scène et le show commence. Les FREAK KITCHEN en live, c’est carrément le délire, et musical et visuel. MATTIAS nous balance une série de speachs. Euh, il n’a pas du être prévenu que les français et l’anglais ça fait trois  ! D’autant plus qu’il nous les sort en version accélérée ! En clair, il n’y a plus grand monde qui suit !

Mais bon, on comprend l’essentiel et l’essentiel c’est de délirer avec eux ! Il faut dire que leurs morceaux s’y prêtent un max ! On va bien sûr avoir droit à des morceaux issus de leurs différents albums avec entre autre un « Goody, goody » très attendu par tout le monde.

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FREAK KITCHEN, en plus d’être un groupe de putains de musiciens, c’est aussi un groupe de vrais clowns qui délirent grave. Ce soir, le délire c’est que MATTIAS va se mettre à la batterie et BJORN à la guitare. Heu, le le truc c’est que BJORN est pieds nus et que ses deux copains n’ont pas arrêté de cracher sur scène !.. Heureusement, il n’a pas du le voir !!

En tout cas, ils nous prouvent qu’il ont plusieurs cordes à leurs arcs ou… plusieurs baguettes !!!

Bref. Chacun reprend sa place et c’est reparti pour du pur FREAK KITCHEN ! Des morceaux qui groovent, qui rappent presque, qui fleurent bon le métal et qui permettent à MATTIAS de nous prouver encore une fois qu’on peut être un putain de guitariste et ne pas être chiant ni se la péter « musique prise de choux », accessible uniquement aux musiciens. Chez nos fous furieux, rien de tel : du fun et du plaisir à jouer.

Bon, on arrive à bientôt deux heures de set et malheureusement, c’est fini. On a tous le sourire-banane aux lèvres, le genre d’expression qu’il n y a qu’un concert de FREAK KITCHEN qui puisse te le donner.

Ils vont vite venir nous rejoindre au stand merchandising pour se prêter avec humour aux photos et aux dédicaces. Le petit plus qui termine cette soirée à merveille.

Le temps de dire au revoir aux copains et il est temps d’aller voir s’il n’y a pas de « madames qui attendent le bus » assises sur ma voiture, car si le quartier a changé de look, le reste n’a pas bougé !

Goody, goody les gens !

Bon c’est malin maintenant, je parle le FREAK KITCHEN couramment !!

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Allez, c’est reparti pour un petit tour à Lyon ! Mais cette fois-ci, direction le Marché Gare, ses petites rues sympas, ses gentilles dames qui attendent le bus.. Pas très pratique pour se garer ce truc d’ailleurs : dès que tu t’arrêtes pour faire un créneau, t’as une nana pendue à ta fenêtre !!

Donc si j’ai un petit peu loupé le début de nos copains de HOLY CROSS, ce n’est pas de ma faute !!!

Holy cross

Holy cross

Bon, ça va, j’en ai pas trop raté. Et puis, vous allez me dire que HOLY CROSS ça ne devrait plus être une surprise pour moi. Que neni, brave gens ! Car ce soir le bassiste a beaucoup changé, je ne le reconnais pas. C’est normal, ce n’est plus le même !!

A part ça, à chaque sortie, HOLY CROSS gagne toujours en présence. Leur musique et leur jeu de scène ont même réussi à faire oublier qu’ils sont stéphanois aux lyonnais ! C’est peu dire quand on connaît les rapports entre les deux villes ! Comme quoi le hard-rock peut réconcilier les gens !

Et ça marche vraiment. HOLY CROSS se fait des nouveaux fans. Leur nouveau bassiste s’est très bien intégré. Une très bonne entame de soirée pour chauffer la salle.. Heu, même si il fait déjà méga chaud dans cette salle. Si ça continue, on va finir par cuire !

Bon, petite pause buvette avant l’arrivée de FREEDOM CALL, histoire de parler des nombreux concerts à venir et c’est déjà reparti !

Et de quelle manière ! Car FREEDOM CALL du début à la fin du concert, c’est énorme. Leurs morceaux en live sont des hymnes monstrueux. Les musicos ont toujours une énorme banane sur le visage et profitent de tous les moments possibles pour faire participer le public. Et vu leurs morceaux métal joyeux, ça fonctionne au quart de tour !

Les musiciens sont en plus dans un grand soir. Toujours heureux de jouer à Lyon pour un public qui, une fois n’est pas coutume, s’éclate à fond les ballons. FREEDOM CALL, le seul groupe de métal à arriver à faire faire les kangourous au public lyonnais ? Lol !

FREEDOM CALL

FREEDOM CALL

Leur set list est effectivement composée de purs brûlots qui font mouche à tous les coups. Le batteur est un pur phénomène. Le chanteur on n’en parle même pas, c’est juste un putain de frontman ! Le show est purement une tuerie.

Plus d’1h40 de concert pour le plus grand bonheur des fans présents qui vont avoir mal aux genoux à force de sauter dans tous les sens. Ca va leur changer de l’habitude de se niquer la nuque !!

Pour le final, on a bien sûr le salut du groupe au public. Truc cool, ça permet de voir le batteur de très près ! Et là encore une fois, preuve de leur méga gentillesse, ils font monter sur scène deux gamines pour faire des photos avec eux. Voilà, le genre de truc pas calculé, juste sympa pour faire plaisir et se faire plaisir !

Mais bon, comme aurait dit ma grand-mère, tout a une fin sauf le concombre qui en a deux (T’es peut-être un peu lubrique là, mamie !)!

Fini, ou pas car bien sûr, quelques minutes après le concert, ils étaient présents avec le public pour faire des photos, des bises aux filles (au grand bonheur de la gagnante du concours), signer leurs disques et les cartes postales gratuites avec la même joie et le même plaisir. Pas besoin de dire que leurs T-Shirts sont toujours magnifiques et que leur stand de merchandising a été dévalisé à la vitesse d’un dragon en plein vol !  

Au risque de me répéter, FREEDOM CALL est vraiment le groupe qu’il faut aller voir en live. Et encore ce soir, c’était vraiment un grand moment magique pour tous les fans de métal épique et joyeux. FREEDOM CALL sur scène est vraiment, pour moi, le groupe que je ne louperais pour rien au monde !

Voilà, là c’est bien fini. Les fans sortent le sourire jusqu’en haut des oreilles et moi je dois faire descendre de mon capot une jeune dame qui a trouvé plus facile d’attendre le bus assise sur mon capot !! Voilà, je suis dans ma voiture et je vais enfin pouvoir hurler à tue-tête : FREEDOM CAAAAALLL !!! (Dis-moi merci chérie, j’aurais pu le faire en rentrant à la maison.. à deux heures du mat’ !!!)   

 

P.S : le moment remerciements est venu.. Un méga méga merci à Base Productions de continuer à nous faire passer des groupes qui nous procurent vraiment des moments rares.