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EVERGREY, Theories of Emptiness

EVERGREY, Theories of Emptiness
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Mediator de notation 4 pics de WTR LE WEBZINE DE TI RICKOU https://lewebzinedeti-rickou.com/

Label : Napalm Records

Sortie : 07 juin 2024

Est-il encore utile de présenter les Suédois d’EVERGREY après 30 ans de carrière et 14 albums ?  Eh oui, 14 albums studio quand même ! Pour ceux qui seraient passé à travers, on est dans du Metal Prog’ moderne, Heavy.

Ce « Theories of Emptiness » est un petit bijou. Heu, je viens de vous vendre la fin de ma chronique, oups ! D’entrée de jeu, je suis entrée dans leur univers, c’est puissant, mélodique, efficace et tout simplement beau.

Je suis déjà bien fan de ce groupe à la base, mais cet album c’est vraiment un must. Il est magique !! Que dire de plus, à part qu’on n’a qu’une seule envie c’est d’appuyer à nouveau sur la touche play pour se le réécouter en boucle. Je fonds sur ce « Theories of Emptiness » ! A découvrir d’urgence. Alors bien évidemment, je lui attribue 4 pics. Son seul défaut serait d’être trop court, lol !!

IVANHOE, Healed By The Sun

IVANHOE, Healed By The Sun
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Mediator de notation 3 pics de WTR LE WEBZINE DE TI RICKOU https://lewebzinedeti-rickou.com/

Label : Massacre Records

Sortie : 10 mai 2024

Vous aimez le Metal Orog’ ? Eh bien, cet album est fait pour vous ! Les Allemands  d’IVANHOE font dans le Metal Progressif et les fans de MARILLION et consorts vont être gâtés.

Cet album, c’est tout ce que j’aime dans le style : de belles mélodies, une superbe voix et ça déboîte sa mère-grand dans la choucroute. Ils nous prouvent là qu’on peut faire du Metal Prog’ avec un gros côté Metal et que ça matche.

En plus, ça joue grave et les morceaux sont très inspirés. Perso, j’adore la voix  du chanteur et je trouve que les musiciens sont tous aux taquets. Un album à découvrir. 12 titres plus un bonus track. Allez, je leur mets 3 pics !!!

SPIT RECKLESS @ Radar festival 2018

C’est le deuxième jour du Radar Fest et, après une super soirée la veille, je ne sais toujours pas si je me décide à bouger ou pas. Le matin même, ma femme me demande de faire une journée shopping. Je lui suggère : « Pourquoi pas à Genève ? Nous pourrions finir la soirée à la Villa Tachinni, pour voir le deuxième jour du festival ? » Et du coup, me voilà parti pour assister au deuxième jour du Radar. J’ai une femme au top !

Comment ça, c’est de la manipulation ? Même pas vrai ! Bon d’accord, un petit peu. Mais que ne ferais-je pas pour assister à un concert. Et puis, non seulement c’est gratuit, mais il y a aussi des groupes de qualité. Le problème, quand je suis en famille, c’est que souvent, j’arrive à la bourre.

VITAL BREATH @ Radar festival 2018

Du coup, le syndrome Ti-Rickou me rattrape, et je suis en retard pour assister au show complet de VITAL BREATH. Le temps qu’une place se libère à quasiment cent mètres de la Villa et qu’on nous mette un joli bracelet jaune fluo pour rentrer, les lyonnais en sont déjà à la fin de leur set ! Enfin pas totalement puisqu’il leur reste trois à quatre morceaux à jouer.

En tout cas, sur ce que j’entends, ils me font forte impression. Leur rock metal alternatif est séduisant. Beaucoup plus que ce que je n’avais vu au Metal Grésifest en 2016. Il faudra que je les revoie un jour, pour me faire une meilleure idée.

RASH @ Radar festival 2018

Le G.O. du Radar, prend la parole pour nous annoncer le prochain groupe.
« C’est un nouveau groupe » nous dit-il. « C’est des p’tits jeunes qui font des reprises de RASH PANZER »… Ah merde ! Un tribute band ! Je ne vais pas pouvoir chroniquer, moi !
Meuh non, c’était une blague ! En fait c’est le groupe mais ils ont raccourci le nom. Du coup, ils ne s’appellent plus RASH PANZER mais RASH. Ouf, j’ai eu peur !

Dans la bio du Radar, il était dit : « Nul besoin de les présenter, qui ne connaît pas le power rock band légendaire du bout du lac… »… Euh… ben moi, je connaissais, mais juste de nom. J’en avais entendu parler depuis pas mal d’années mais je n’avais jamais eu l’occasion d’écouter ce qu’ils faisaient. Pourtant, depuis 1979, date de leur création, dans un train de banlieue, j’aurais dû les voir en live ! 

Alors, pour moi, c’est une découverte. Et quelle découverte ! Je n’en crois pas mes oreilles. Moi qui, d’après le nom, m’attendais à un truc bourrin au possible (je vous rappelle que je n’avais jamais vu ni entendu le groupe – mauvaises langues !), j’en tombe des nues. C’est super bon, mélodique à souhaits, entraînant. Ma tête fait des mouvements de bas en haut, mes pieds tapent le sol sans que je puisse les contrôler, c’est totalement dément !!

Les morceaux parfois politiques « Uncle Sam Is Gone », ou simplement parlant rien qu’au titre « Naughty Woman », contribuent à faire remuer un Radar en pleine forme. Le son est aux petits oignons et cela rend bien dans le pit. Le public est tout acquis à la cause du parolier JAY GUERTCHAKOFF. Il faut expliquer que, même s’il est moins démonstratif que certains frontmen, il n’en est pas moins un excellent chanteur. J’adore le groove qui sort de sa voix rocailleuse.

RASH @ Radar festival 2018

Les riffs de JEROME PANIGONI et PASCAL TOSO à la guitare, sont hyper cools. La rythmique tenue par STEPHANE GAILLARD à la batterie et FRED GERNONIMO à la basse porte l’ensemble des autres musiciens. En bref, j’aime bien ce qu’ils font.

Tous les titres font mouche. « No Pain No Game », un nouveau titre, je crois, « Heavy Leaders » et son refrain qui te trotte dans la tête une fois qu’il est terminé, ou « The Last Ride » et son énorme solo de guitare. J’en aurais bien repris un peu mais ils doivent laisser la place aux autres groupes de ce soir. Ils finissent donc par « Dance to Death », un excellent morceau de leur dernier album en date.

Il est temps pour moi de passer au stand rafraîchissements… Ou pas, vu que je découvre que deux de mes copains de HEADLESS CROWN (Steph et Manu) sont là. Ils sont venus voir le groupe vedette de ce soir parce qu’il comporte en son sein le frère de leur nouveau batteur. Et nous voilà en pleine discussion sur leur prestation de la veille et sur leur future tournée dans les pays de l’Est. Mais ceci est une autre histoire.

RANDOM.PLAY @ Radar festival 2018

C’est au tour de RANDOM PLAY de monter sur les planches. L’an passé, je m’étais promis d’aller les revoir, étant donné que ce que j’en avais aperçu m’avait séduit. Je me place donc idéalement devant la scène, pour ne pas en rater une minute. Tiens, c’est bizarre, je ne reconnais pas la chanteuse. ISA est partie dans d’autres contrées et c’est JESS qui reprend le flambeau ? D’accord, je comprends mieux. Lol.

La première chose qui frappe par rapport à l’an passé, c’est le changement de look. JESS, la nouvelle frontwoman à un look dantesque, avec un petit côté gothique qui sert parfaitement la musique de RANDOM PLAY. Ce n’est pas Mr BONES, la mascotte du groupe, qui trône en laisse devant la batterie, qui dira le contraire ! Vous me direz aussi qu’il est compliqué pour un chien, d’autant plus squelettique, de parler.

L’attitude scénique de JESS est séductrice et sa bonne humeur fait plaisir à voir. C’est une sacrée chanteuse qui a une belle voix chaude et harmonieuse, ne partant pas dans le lyrique. Et c’est tant mieux pour moi, étant donné que je ne suis guère friand de ce genre de timbre haut perché.

Musicalement, RANDOM PLAY distille un rock puissant, original et mélodique. La section rythmique étonnante est toujours composée de DENIS, le frappeur déjanté, à la batterie et de BLAISE, aussi massif que le son qu’il tire de son instrument, à la basse. Les riffs c’est JEAN-LOUIS qui continue à s’en charger. En bref, rien de nouveau sous le soleil…  sauf la nouvelle chanteuse, évidemment.

RANDOM.PLAY @ Radar festival 2018

J’aime bien leurs compositions assez originales et sympathiques et leur univers intéressant. Le pied de micro de JESS (une épée avec un crâne à sa base) est super cool et donne un petit côté sombre au groupe. En plus, Mr BONES à un copain maintenant (même si ce n’est qu’une tête). Lol.

Le charisme de JESS remue encore une fois le Radar festival. Les spectateurs sont tout ouïes devant sa prestation. Les morceaux sont super bien faits et coulent de source. Le titre « Beer and Tears » fait plaisir aux leveurs de coudes et, pendant « Gone Wild », STEPHANE sort un os de mammouth et frappe ses fûts comme un damné, avant d’être rejoint par JESS qui s’y met aussi. C’est étonnant et marrant à la fois. Nous passons un super moment, avec un son toujours aux petits oignons. Les titres passent à une vitesse folle et le show s’achève sur le titre « One way to Hell ».

SPIT RECKLESS @ Radar festival 2018

Bon, c’est bien beau tout ça, mais il faut faire place au groupe vedette de la soirée : SPIT RECKLESS. Comme je ne connais le groupe ni d’Eve, ni d’Adam, je me renseigne auprès de mes copains. Ils me disent que c’est un groupe de rock tout récent formé à Genève en 2015. Il paraîtrait que c’est l’un des nouveaux groupes suisses à suivre.

Tiens ? C’est bizarre. Le devant de la scène s’est rempli de copines, qui jusqu’à présent, étaient plutôt en retrait. Dès l’arrivée des musiciens, je comprends mieux. Ils sont jeunes (à part peut-être le bassiste) et beaux gosses !

Les premiers accords de « Easy come easy go » joués, je me rends compte que ce n’est pas ma came. Mais alors pas du tout. C’est tout ce que je n’aime pas dans le rock moderne… Et en même temps, en voyant le nombre de musiciens des groupes précédents devant les planches, je me dis que cela doit être pas mal.

SPIT RECKLESS @ Radar festival 2018

Alors, je tends une oreille, puis l’autre. Et dès le troisième titre « Say », je ne peux plus me décrocher du devant de la scène ! Non pas que je ne puisse pas me retirer, mais il m’est impossible de résister à ces hits. Tous ces morceaux sont des tubes en puissance ! « Miracle » et son côté bluesy, les balades « Bloodstain » et « Cryin For The First Time » qui te prennent aux tripes, « You make me happy » l’incontournable hit qui ce soir va retourner la Villa, tous sont aussi excellents les uns que les autres !!

Du coup, je deviens complètement accro et, apparemment, je ne suis pas le seul ! Le nombre de spectateurs devant la scène a considérablement augmenté. Les fans sont aux taquets ! Ils reprennent en cœur tous les morceaux.

RUFIN, le second guitariste, est un riffeur de première et arpente la scène de long en large. La section rythmique n’est pas en reste, GIBS à la basse, et VG, le batteur, sont super carrés. Cela renforce la dynamique du groupe.

SPIT RECKLESS @ Radar festival 2018

SPIT RECKLESS vient de sortir leur premier album “Heat Maker” cette année et ils n’en ont quasiment plus à vendre. C’est dire l’engouement de la Suisse envers ce jeune groupe ! La bonne humeur de WALL, le guitariste chanteur à la voix sensible et écorchée et celle de ses musiciens est telle qu’on ne peut qu’accrocher. Leur plaisir de parcourir la scène, de remuer le public totalement acquis à sa cause, voilà ce qui fait qu’un groupe, au-delà de sa musique, fédère un public.

WALL n’est pas seulement guitariste, il est aussi harmoniciste. Et lorsqu’il pose sa guitare, pour prendre le micro et se diriger vers le public. Les copines sont aux anges.

La musique de SPIT RECKLESS se définit par des chansons hyper efficaces aux refrains mémorables dès la première écoute. Ces mélodies ne vous quittent plus. Ces hits rentrent dans votre crâne et poussent vers la sortie tous ceux que vous connaissiez pour prendre leur place, c’est phénoménal ! Ce groupe casse tout simplement la baraque.
Le combo délivre des précieuses pépites et n’offre aucun répit à un public conquis.

Moi qui n’aimais pas trop le style au début, j’avoue m’être fait entraîné sans pouvoir m’en sortir. J’ai adoré ! C’est tellement bien fait que tous leurs morceaux feraient un carton sur les radios. Bon, évidemment, il ne faut pas rêver, c’est beaucoup trop hard pour lesdites radios !! Et un peut-être un peu trop pop pour les métalleux aussi, il faut bien l‘avouer. En bref, ils sont entre deux eaux puisque leur univers est orné de blues, de hard, de pop et de punk. Mais cette formation a un potentiel énorme et des atouts puissants.

Nous avons même droit à un inédit du nom de « Growin Up ». Ce titre, est un nouveau tube en puissance. Le son en jette toujours autant et les morceaux sont frappants de mélodie pour s’incruster au plus profond de notre cortex cérébral. « Rock’n’roller coster » et « Last Action Hero »,  sonnent le glas des spectateurs qui en veulent encore. Du coup, le groupe, histoire d’achever son public, reprend son hymne « You Make Me Happy ». La foule n’est plus en délire, elle est incontrôlable ! Les copines, et les copains, deviennent fous, voire hystériques ! On se croirait à un concert de K POP ! C’est de la folie !

SPIT RECKLESS @ Radar festival 2018

Cette fois-ci, il est l’heure pour SPIT RECKLESS de rendre les armes. Mais pas sans un dernier morceau. Et c’est sur une cover de NEIL YOUNG, « Cryin in a free world », qui verra des membres de RANDOM PLAY investir la scène pour chanter le refrain en cœurs, que se termine ce set.

Lorsque le groupe termine son show, je regarde autour de moi et je contemple les bouches bées de mon entourage et du public. Tout le monde a l’air d’avoir été conquis par cet excellent groupe qui possède un sens de la mélodie impressionnant. Les musiciens ce soir, ont gagné leurs lettres de noblesse. Il est certain que nous en entendrons parler à l’avenir. Du coup, je n’ai qu’une hâte, retourner les voir en concert.

C’est donc sur ce super groupe qui a atomisé la Villa Tachinni, que se termine ce deuxième jour de festival. Vivement l’an prochain avec d’autres protagonistes !

SPIT RECKLESS @ Radar festival 2018

DGM @ le Rock’n’Eat Live – Lyon

Il y a des groupes que tu adores mais que tu n’arrives pas à voir en live, soit parce qu’ils passent dans un rayon trop éloigné, soit parce que, quand ils passent dans un périmètre accessible, tu es dans l’impossibilité d’aller les voir. C’est exactement ce qui m’est arrivé avec les italiens de DGM. Alors, même si mon agenda de concerts est bien blindé, là il est hors de question que je les loupe à nouveau !

En plus, il y a mes copains grenoblois d’AMON SETHIS qui jouent en première partie ainsi qu’un groupe que je ne connais absolument pas et que ça me fera l’occasion de découvrir.  Et, cerise sur le cake, ça se passe dans un endroit que j’aime et où je sais aller : le Rock’n’Eat Live !

Et c’est parti, direction Lyon ! Je pars en avance, pas de problème. Heu… sauf que l’itinéraire choisi par mon nouveau GPS me fait passer par un tunnel… fermé pour travaux ! Je dois avoir la même malédiction que mon copain JEEP MANGOVER sauf que moi ce n’est pas avec les trains ! La petite histoire me fait quand même perdre plus de trois quart d’heure. Comble de bonheur, quand je finis par arriver, je ne trouve pas de place, tout est blindé. Du coup, je tourne et je retourne à peu près le même temps. Là, je commence à flipper grave. Je ne suis même pas sûr d’arriver à temps pour AMON SETHIS. Je commence à regretter de ne pas être allé voir 58 SHOTS au Blogg, moi (heu… j’ai appris le lendemain que j’avais bien fait car malheureusement ils n’ont pas pu arriver jusqu’à Lyon. C’était décidément une soirée Scoubidou..)!

AMON SETHIS @ le Rock’n’Eat Live – Lyon

Bon, j’arrive quand même à me garer. Il y a un groupe sur scène, il est en train de terminer. Sauvé, ce n’est pas AMON SETHIS mais le premier groupe de la soirée ! Je suis un peu dégoûté mais au moins je n’ai pas raté AMON SETHIS.

AMON SETHIS commence le set, là sans flamme ; le Rock’n’Eat ne s’y prête pas. Pour ceux qui ne les ont jamais vu, leur entrée en scène traditionnelle se fait avec l’enflammage d’un pupitre.

Maintenant que je suis posé, je m’aperçois qu’il y a des trucs que je n’avais pas forcément suivi. Il y a eu du moov’ chez AMON SETHIS. Même si je connais le batteur derrière les fûts (salut Pierre !), ce n’est pas lui qui y joue d’habitude. Et en ce qui concerne le bassiste, soit il a vraiment changé soit ce n’est pas non plus le même. Ca fait tout drôle quand tu as l’habitude d’un line up car d’un coup tu n’as plus tes repères.

Heureusement, musicalement, il n’y a pas de changement. Tant mieux car j’adore vraiment les morceaux d’AMON SETHIS, leur univers spécial « Toutenkharton est mon copain ». Ca me fait quand même drôle de les voir sur une petite scène car pour la mise en scène et le jeu de scène, c’est moins pratique. Mais bien-sûr, ils se débrouillent avec l’espace et nous délivrent un set de qualité.  Je suis content de les avoir revus. Une dose d’AMON SETHIS, ça fait toujours du bien !

DGM @ le Rock’n’Eat Live – Lyon

Allez, le temps de papoter un peu avec les copains, le temps du changement de plateau et je rompt la malédiction, je vois DGM en live !

Je suis comme un gamin. C’est un truc de connaître et d’écouter des morceaux sur disque, c’est autre chose de les voir jouer en live ! Et je ne vais vraiment pas être déçu ! Je me rends compte qu’en live, ça joue encore plus que sur CD. Leurs morceaux sont vraiment terribles. Pour du rock prog’, ce n’est pas du tout chiant et ce n’est pas fait que pour les musiciens.

DGM en live, ça le fait vraiment ! On voit qu’ils prennent du plaisir à jouer devant un public… même si, malheureusement, le public aurait pu être un peu plus nombreux. Surtout pour un groupe de cette qualité ! 

Personnellement, je ne perds pas une miette du concert. J’observe le jeu des musiciens et j’admire la voix du chanteur. Effectivement, DGM ne fait pas dans l’esbroufe. Ils n’en ont pas besoin car la qualité est là.

Evidemment, quand tu es content et que tout va bien, tu n’as pas envie que ça se termine mais, comme je le dis souvent, tout a une fin sauf la banane qui en a deux.

Ils ne vont toutefois pas nous laisser partir comme ça. On finit à leur stand merch’ pour papoter un peu, prendre des photos… Bref, je peux faire ma groupie ! A un moment quand même, je m’aperçois qu’on n’est plus trop nombreux, qu’il est tard, et je me dis qu’il faut quand même que je me rentre.

Un grand merci au Rock’n’Eat Live d’avoir fait cette affiche et de m’avoir enfin permis de voir DGM !

DGM @ le Rock’n’Eat Live – Lyon

 

VITAL BREATH – Photo by Web O Zen Communication

Comme je n’avais pas pu leur faire l’interview lors de leur release party au Jack Jack, je n’allais pas laisser passer une nouvelle fois l’occasion de vous faire mieux découvrir les VITAL BREATH.

Intervieeeew !

Interview réalisée aux Arts dans l’R de Peronnas (Ain)