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FURY AGE

Il y a des jours comme ça où choisir à quel concert on se rend est problématique car on a l’embarras du choix. Et le plus rageant c’est que le week-end d’après, il n’y en aura peut-être aucun ! Mais bon, il faut choisir car je n’ai toujours pas le pouvoir de me dédoubler. Donc, comme mes compères sont à Belley pour le concert des RAKEL TRAXX, je peux aller à Leyment pour le concert de soutien au Leym’Fest avec en point d’orgue la release party de l’album de FURY AGE.

Le truc cool, c’est que je sais où est la salle et qu’en plus on peut s’y garer facile. Du coup, j’arrive tranquillou en avance. Et bien-sûr, je tombe forcément sur des copains avec qui j’ai même le temps de papoter un peu… Et de m’arrêter sur le stand merch’ de FURY AGE pour regarder à quoi ressemble la pochette du CD. J’en profite pour leur caler une interview avec eux pour tout à l’heure. Et tout ça avant que CHRISTOPHE GINET – le programmateur du Leym’Fest – monte sur scène pour présenter les hostilités de ce soir.

THE MORRIGHANS

Allez, c’est parti avec les MORRIGHANS ! Pour les fidèles du webzine, ce nom doit vous parler parce que j’ai fait un report sur eux ainsi qu’un chronique de leur CD. Pour les autres, le groupe évolue dans un registre métal prog’, bien prog’. Il y a une fille au chant et une autre au clavier. Ils appliquent presque la parité homme/femme, lol !!

Bon, la dernière fois où je les ai vus, c’était de la pure découverte. Je ne connaissais pas du tout leurs morceaux. Maintenant je connais et je rentre donc encore plus facilement dans leur univers. En plus ce soir, la scène est grande et le son est très bon. Bref, des conditions idéales pour la musique de MORRIGHANS !

En plus, ils jouent sur les accessoires vestimentaires (capes, chapeaux pour les filles) ce qui ajoute une touche théâtrale à leur set. Moi, je ne suis pas déçu, bien au contraire. Ils nous offrent un très bon show et c’est une très bonne entrée en matière pour cette soirée.

Allez, chose promise, chose due (eh oui, je ne suis pas un homme politique !), je profite de la pause pour aller faire une interview pas piquée des hannetons aux FURY AGE.

CENSOR DODGE

Je suis de retour pile poil pour ma découverte live du soir, CENSOR DODGE. Alors là, vu que j’ai méga bossé mon sujet, c’est une plongée dans l’inconnu. Je ne sais pas du tout à quoi m’attendre. Heu, j’espère que ça va me plaire car si je ne connais pas leur musique, je viens de me rendre compte que je connais les musiciens qui la font ! Du coup, je pourrais bien être dans la daube moi si c’est du black grind à la « mords-moi le noeud » avec une grosse voix méchante !

Je vais être fixé tout de suite. Et c’est… roulement de tambour… du stoner. Mais du stoner pêchu ! Yes !! C’est méga bien fait. Le chanteur à la voix qu’il faut. Le reste du groupe est en parfaite adéquation. Les morceaux sont bons et ils ont une vraie présence scénique. Le chanteur est un vrai frontman en plus ! Ca bouge bien à Leyment ! Le public qui a répondu bien présent (une centaine de personnes) n’a pas fait le déplacement pour rien. Ca bouge, ça chante, ça charrie, bref une ambiance comme je les adore, rock’n’roll et familiale !!!

La musique et l’énergie de CENSOR DODGE est parfaite pour ça. Une bien bonne découverte que ce groupe. J’attends avec impatience qu’ils fassent un album et en attendant, je vais récupérer leur EP, moi !

FURY AGE

Bon, le dernier groupe de la soirée, FURY AGE, monte sur scène. Ce soir pour eux, ce n’est pas un simple concert car c’est la release de leur premier album ! Donc MARKUS FORTUNATO (bassiste de MZ, FORTUNATO et OBLIVION) et les siens déboulent sur scène, motrice à fond ! Ils sont visiblement très contents d’être là et de nous présenter leur nouveau né.

Et ils vont bien nous le présenter car ils vont nous jouer l’album en intégralité ce soir. Je ne vous donne pas tous les détails car je vais le chroniquer. On est dans du hard-rock comme on l’aime. Dans FURY AGE, tout le monde participe au show, de la batteuse aux guitaristes – et à MARKUS of course – tout le groupe fait corps et ça, c’est vachement agréable pour les oreilles et pour les yeux.

Ouah, quelle progression depuis la première fois où je les ai vus ! Bon en même temps, c’était leur deuxième concert…

Le concert passe à toute vitesse. Ah oui, un petit cover pour finir de… de RIOT ? Non, perdu ! D’ACCEPT. Cover qui fait chanter tout le monde à tue-tête. Et c’est fini.

FURY AGE

CHRISTOPHE GINET remonte sur scène, appelle les trois groupes à venir le rejoindre et nous donne rendez-vous en septembre pour la grande fête du Leym’Fest 2017 !

En tout cas, cet en-cas a un goût de reviens-y avec des groupes de qualité qui ne se prennent pas la tête et une ambiance méga conviviale.

Le temps de dire au revoir aux copains et il est temps de prendre la route. Mais je ne suis pas tout seul, j’ai le dernier FURY AGE et le CENSOR DODGE pour me tenir compagnie. Et en plus, j’avancerai sur les chroniques, elle est pas belle la vie ?!!

Un grand merci à AMM et son équipe de bénévoles ! Long live le Leym’Fest !!

FURY AGE

VESCERA en concert pour une date unique en France, même si Saint-Etienne ce n’est pas la porte à côté, ça ne se loupe pas !

Comment ça, ça ne vous parle pas ? Le monsieur a été chanteur de LOUDNESS (oui, les japonais !), chanteur de YNGWIE MALMSTEEN, de OBSESSION… Voilà pour le CV du Monsieur ! Donc moi, pas de doute et go to le pays des Verts et le Thunderbird Lounge (non, je n’ai pas de parts dedans, lol !!).

Malgré les embûches sur la route entre Givors et Saint-Chamond avec des passages sur une seule voie – comme si sur deux ce n’était pas assez compliqué – j’arrive malgré tout en avance.

Je n’ai pas loupé le groupe de première partie. Normal, il n’y en a pas !!! J’ai même le temps de papoter un peu avec James de sa programmation métal des jours et des mois à venir. Je me dis d’ailleurs que je prendrais bien pension là-bas moi ! Je papote aussi avec le driver italien du groupe qui m’apprend que les musiciens qui accompagnent VESCERA sont Italiens et qui me raconte leurs galères on the road. Eh vu ce que j’entends, c’est le Highway to Hell en quelque sorte !

Bon, c’est le moment de vérité. On descend dans la salle et c’est parti ! Ouah, il y a de nouvelles lumières et le son est méga bon ! En plus, ça part sur les chapeaux de roue dans le monde merveilleux du heavy heroic. Le groupe attaque par « Marshall law » qui nous met tout de suite dans le bain. Les musiciens italiens qui sont avec VESCERA ce soir assurent grave et VESCERA lui-même est en grande forme. Putain, quelle voix il a !! Et avec la set list qu’ils nous ont concoctée, on va avoir droit à un bon échantillon de son registre vocal.

Bien sûr, ils nous jouent des morceaux du petit dernier « Vescera » mais aussi des morceaux de OBSESSION, sans oublier du LOUDNESS et même un morceau de sa période MALMSTEEN. On est méga gâtés ce soir ! Et même si on est plutôt en configuration concert privé, on ne boude pas notre plaisir !

MICHAEL VESCERA, c’est un américain alors il joue pareil qu’il y ai trente personnes ou trois mille. C’est « à donf, les freins c’est pour les lâches » ! Moi, je bois du petit lait. Je découvre en live ses morceaux les plus récents et ils sont excellents. Le truc marrant, c’est que le morceau que j’ai le moins apprécié de la set list, c’est le morceau de MALMSTEEN.

C’est excellent… et évidement trop  court ! Mais bon, ils ont commencé à jouer tard et donc il est déjà mega tard.

Sauf que, pas question de partir sans récupérer un CD (pour continuer ce moment et rendre la route plus courte) et sans papoter un petit peu avec les musicos. Bon d’accord, et de prendre une photo avec MICHAEL VESCERA !!! C’est mon côté groupie mais je l’assume ! 

Allez, cette fois, il faut y aller… d’autant plus que demain ils jouent à Barcelone et que je viens de leur apprendre que pour y aller de Saint-Etienne, ce n’est pas seulement quatre heures de route. Eh oui !!

Merci à Elise et James de leur avoir permis de jouer en France et d’avoir calé cette date tardive !! Et de m’avoir permis de prendre une grosse baffe avec un chanteur monstrueux ! Encore un moment magique au Thunderbird Lounge qui, comme tout le monde le sait, est un des derniers refuges pour les groupes qui sont sur la route en Europe et qui veulent faire une étape en France !!!

Long live rock’n’roll et long live le Thunder !

WEDINGOTH 1

WEDINGOTH

Quelle bonne idée a eu l’Ecurie Neuvilloise de rallye en choisissant deux groupes de metal à mettre à l’affiche de leur soirée ! Ca va me donner l’occasion de revoir WEDINGOTH dans un set plus complet.

… Heu… Si j’arrive à trouver la salle et à me garer…

Yes ! Là j’ai été trop fort : je rentre dans la salle au moment où le groupe monte sur scène ! J’aurais voulu le faire que je n’y serais pas arrivé.

Bon, le son est bon et il  y a une centaine de personnes. Bref, de très bonnes conditions pour faire un bon concert.

J’apprécie le groupe. Leur metal à voix féminine passe superbement et les musiciens (et musiciennes) sont très à l’aise. Ils enchaînent les morceaux de leurs albums et nous jouent même des titres de leur prochain album à venir (album qui ne devrait pas trop tarder d’après ce que je sais). En tout cas, en live ça le fait. Bon, OK je ne suis pas objectif. Toujours est-il que je passe un méga bon moment, déconnecté du temps. J’en oublie même pour un moment que dehors il pleut grave !

Et je ne suis pas le seul à apprécier leur prestation car visiblement, le public présent est lui-aussi tombé sous le charme. Heu… sauf une copine pour qui la magie n’a toujours pas opéré- mais tout ceux qui on lu le report du précédent concert de WEDINGOTH sont en mesure de la reconnaître, c’est la même, si, si !! Elle est allergique aux voix féminines tendance lyrique, mais bon elle est courageuse. Elle aurait pu arriver en retard… Si, ça aussi c’est possible, j’en connais qui le font, lol !!

Enfin bref une très bonne prestation de WEDINGOTH qui confirme le bien que je pense de ce groupe. Vivement le nouvel album !

Bon, retour à la réalité. Pause changement de plateau. Et comme la pluie n’a pas arrêté de tomber, je reviens vite, très vite dans la salle en attendant l’arrivée de FORTUNATO. Heureusement, ça ne va pas être long.

FORTUNATO 6

FORTUNATO

Et c’est parti pour le metal à la mode FORTUNATO ! D’entrée de jeu, ils sont déchaînés. Bien sûr, on va avoir droit à des morceaux de leur petit dernier, des morceau de celui d’avant et à quelques petits covers, mais pas des morceaux joués habituellement. Même moi je me suis fait avoir quand ils ont demandé de trouver le titre et le groupe de 78 dont ils allaient faire un titre. Le groupe, je trouve facile vu qu’ils reprennent toujours « Warriors » de RIOT. Mais là, c’est loupé ! C’est « Sword of Tequila » ! Content Ti-Rickou. Ca c’est du cover intelligent. C’est un méga morceau qui donnera peut-être envie aux gens de découvrir ce putain de groupe.

Markus et les siens font le show. Je ne dirai jamais trop à quel point ce sont des putains de zicos. De Jimmy à la batterie, à Eliad et Stéphane à la guitare, sans parler de ce fou furieux de Markus qui maîtrise sa basse comme si c’était une guitare. Et tout ça, sans que ça tourne à la démo chiante.

Bref du bonheur en barre ! On ne veut pas que ça s’arrête et eux non plus d’ailleurs. Du coup, voilà la solution : ils vont faire une pause !

Cool, ça va nous permettre de nous rafraîchir les idées… surtout les fumeurs d’ailleurs car la zone fumeur n’est pas couverte. C’est marrant des hardos sous des parapluies !!

Bon allez, les copains sont de retour et sont déchaînés. Je me demande s’ils vont s’arrêter ! On va avoir droit à un superbe solo de basse de Markus, à la « Marseillaise » version FORTUNATO en mode HENDRIX et au cover que j’attendais tout à l’heure avec le « Warriors » de RIOT. Trop bon, deux RIOT dans une soirée ! En plus, j’adore leur version. On entend bien que ça vient du cœur et de leurs tripes et que le morceau n’est pas là pour meubler la setlist. Bref, c’est cool.

Ah, ce n’est pas fini ? Mais il est tard, vous savez ? Et puis, je vous rappelle messieurs que demain soir vous jouez à Saint-Etienne et que ça fait un peu de route quand même ! Même pas peur !

Et c’est donc dans la langue de Molière qu’ils continuent avec « Heavy Metal dans tes veines », un morceau composé avec Eric MARTELAT, le chanteur de MESSALINE. D’ailleurs, c’est bizarre, je m’attends à voir Eric monter sur scène pour faire le morceau avec eux car je l’ai toujours entendu dans cette config’. Eh bien non, il n’est pas là. Dommage. Mais bon, c’est vraiment un putain de morceau, hymne du hard-rock comme on l’aime.

Bon, là c’est fini. J’ai déjà ouvert la porte pour partir mais je reviens la seconde d’après car le groupe vient d’entamer un hommage à LEMMY avec un petit morceau de MOTORHEAD ! Là, c’est la cerise sur le cake pour cette superbe soirée, une soirée comme je les aime sous le signe du fun et des copains… et bien sûr du metal !

Le temps de dire au revoir aux copains et à la copine qui a retrouvé le sourire dès que FORTUNATO est monté sur scène… Bizarre !

Moi, je suis pressé de rentrer car c’est malin, mais j’ai comme une furieuse envie de m’écouter « Fire down Under » de RIOT à fond la caisse, moi !!!

Cà, c’est le second effet FORTUNATO !!

LIZZARD
LIZZARD

Mort de rire, direction Montcul ce soir. Non ! je ne déconne même pas ! Je viens de découvrir un festival, le Plan’R’Fest qui se déroule dans le Champ de Foire de Montcul. J’aurai voulu le faire exprès, je n’aurai pas fait mieux !!!

Le problème quand on se rend à un fest la première fois, surtout quand il est perdu en lointaine banlieue lyonnaise, c’est d’arriver à le trouver… Ce qui n’a pas été évident dans ce cas-là.

LIZZARD
LIZZARD

Et bien sûr, comme t’es garé un peu à perpette, même en faisant marcher tout le monde au pas de course, j’ai quand même réussi à rater le premier groupe LE REPARATEUR. Un peu dégoûté, car ce que j’ai entendu de loin avait l’air vachement bien. Bon, ils sont lyonnais, on essaiera de réparer ça plus tard, lol !

Je vais être encore un peu plus dégoûté car j’apprends qu’il va falloir patienter une bonne vingtaine de minutes avant le prochain groupe. Ils avaient pourtant prévu une scène secondaire, mais à première vue, ils ont eu un problème de groupe sur ce créneau.

Sinon le site est bien sympa. Grand pré bien aménagé. Avec même un espace pour les gamins sur le côté. Bon l’idée était bonne, l’état des jeux gonflables et le prix, un peu moins.

Les vingt minutes sont passées et un groupe dont je ne vais même pas chercher à savoir le nom et dont je ne comprends toujours pas la présence – même dans la catégorie pop – passe sur la scène principale. Passons.

Quand ils terminent, la petite scène annexe est investie. Je m’approche, et là Horreur ! Malheur ! Vade Retro, Satanas ! C’est bruyant, ça hurle et ce n’est pas bien fait du tout. Bon, d’un autre côté, ils sont sur la petite scène.. on ne leur en veut donc pas.

LIZZARD
LIZZARD

Pendant ce temps, je me décale vers la scène principale pour le groupe qui m’a fait me déplacer. Si vous suivez le webzine, vous savez déjà tout le bien qu’on pense de LIZZARD et je voulais vraiment les voir sur une grande scène.

Et putain, c’est trop top !! Ca change de la scène du Brin de Zinc. En plus, pour une fois, le ciel n’est pas en train de nous tomber sur la tête. Les lights sont beaux, le son est puissant mais pas inaudible. Bref, de très bonnes conditions pour recevoir la musique de nos copains.

LIZZARD
LIZZARD

Après une entrée en matière plutôt surprenante dans le choix du morceau, les morceaux de l’album s’enchaînent pour la plus grande joie de la centaine de personnes présentes (il paraît qu’il y avait plus de mille personnes hier et vue l’affiche, je n’arrive pas à comprendre pourquoi..). En tout cas, ils ont bien eu tort de ne pas être là aujourd’hui car le show de LIZZARD est franchement excellent.

Je ne vais pas en remettre une couche sur la capacité de Katy derrière les fûts (seul inconvénient, elle est cachée derrière et c’est coton pour la prendre en photo !). Matthieu, le guitariste et chanteur, ainsi que William, le bassiste complètent le trio. La voix est toujours efficace et se marie parfaitement à leur musique. Plus j’écoute leur musique et leur album et plus j’aime, moi !

Le show du coup va me paraître vraiment court. Mais bon, vous connaissez le refrain : « Tout a une fin sauf… ».

LIZZARD
LIZZARD
LIZZARD
LIZZARD
LIZZARD
LIZZARD

Allez, je rejoins le groupe au stand de merchandising. Là, je m’aperçois que je ne suis pas le seul à suivre les LIZZARD.  En effet, il y a des gens qui sont venus de Chambéry, de Dijon, de Bourg-en-Bresse et… de Lyon (!!) pour eux. Ca confirme que la mayonnaise est vraiment en train de prendre. Et vue la prestation de ce soir, c’est amplement mérité ! Le temps de récupérer une compilation (Klonosphère) sur laquelle ils ont un titre et le dernier groupe de la soirée monte sur la grande scène.

BIGBLAST
BIGBLAST

BIGBLAST avec leur hardcore mélodique – dans un style RISE AGAINST – avec une chanteuse et un chanteur prennent possession de la grande scène. Heu, bon c’est vrai, ça joue. On voit qu’ils ont l’habitude de faire de la scène. Musicalement, pas forcément ma tasse de thé. Pas que ce soit mal fait, mais j’ai du mal avec l’alternance de la voix claire de la chanteuse (fort jolie d’ailleurs – et je ne vous dirais pas si je parle de la  chanteuse ou de sa voix !) et la voix rappée du chanteur. Le tout avec une musique métal d’jeun’s !

Ca commence avec plein d’énergie pour s’essouffler rapidement. En plus, il est une heure du mat’. Bon, comme ça ne m’a pas franchement déplu,  je verrai pour essayer de les revoir une autre fois, dans d’autres conditions.

BIGBLAST
BIGBLAST

Je suis venu pour LIZZARD et LIZZARD ne m’a pas déçu. Sans déconner, c’est franchement un groupe qui m’a fait une très, très forte impression et musicale et scénique.. tant à Chambéry qu’ici. Un groupe qui grandit à chaque sortie et qui engrange de nouveaux fans en même temps. A voir et à revoir sans modération.

Le festival en lui-même : super site, belle scène. Y’a des moyens, y’a des possibilités. Ca serait bien si la programmation était un peu plus blindée l’année prochaine.. Ce qui serait sympa aussi, ce serait peut-être de trouver un autre moyen pour rentrer de l’argent que de facturer d’office le verre en plastique à 1 euro. Parce que même si tu n’as rien demandé, tu te retrouves quand même encombré toute la soirée par un putain de verre ! Et ça, perso, ça m’a gonflé !!!

Je salue quand même l’orga très bien faite (entre autres au niveau sécu et parkings) et pour tout dire, je suis prêt à revenir l’année prochaine, moi !!