Tagged: TEN YEARS AFTER

BLUES ROCK ET HARD N BLUES jusqu'à fin 70
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TEN YEARS AFTER

Recorded live

Waouh ! Quel putain d’album !! La guitare d’Alvin LEE, les morceaux Blues Rock
mortels.

Et bien sûr, il y a « I’m going Home » !!!!!

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Live cream

CLAPTON créa CREAM et le Blues Rock deviendra Hard Rock. Un putain de live ! Une tuerie cet album. Je craque pour cette version de « Rollin and Tumblin » ! 

Dieu a un nom sur Terre : c’est Eric CLAPTON à la guitare !

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Du blues-rock d’anthologie ce live. A avoir ab-so-lu-ment !

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JANIS JOPLIN

In concert

Un des rares disques qui me fait embuer les yeux. Une putain de chanteuse, une putain de voix. Elle chante en donnant tout comme si le seul truc qui compte c’est le morceau qu’elle interprète. 

Ce disque sent les tripes et l’alcool. Culte.

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JIMMY HENDRIX

Live at Woodstock

Ben voilà, c’est fait ! J’ai mis un HENDRIX dans une de mes listes. Mais pas n’importe lequel : l’enregistrement à Woodstock ! Du Blues Rock torturé, maltraité, joué sous acide.

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RORY GALLAGHER

Irish tour 74

Une véritable tuerie cet album live.  Un best of d’enfer du Monsieur. Bien sûr, un indispensable !

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SAVOY BROWN

Shake dowm

En Angleterre, on aime le Blues Rock, et on sait le faire.. avec la English Touch ! Des reprises de standards qui, du coup, tapent fort !

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WEST, BRUCE & LANG

Why dontcha

Ou quand le Blues Rock flirte méchamment avec le Hard Rock. Un grand album !

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CACTUS

Cactus

Du Blues Rock qui déménage grave avec Carmine APPICE à la batterie. Immanquable !

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CACTUS

Ot ‘n’ Sweaty

Une partie en live, l’autre en studio. Mais dans l’une comme dans l’autre des morceaux qui balancent grave !!

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JEFF BECK, TIM BOGERT, CARMINE APPICE

Same

Tim BOGERT et Carmine APPICE de CACTUS plus Jeff BECK, forcément ça fait un putain d’album de Blues Rock. Magnifique !!!

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BLUE CHER

Vingebus Eruptum

Il y a des gens qui, avec cette version de « Summertime Blues », leur attribue la  paternité du Hard Rock. En tout cas, ça date de 1967 et waouh, quel album ! Du Blues Rock sur-vitaminé et acide !!!

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J. GEILS BAND

Live full House

Du Rock Blues et Soul, mélange détonant qui fonctionne vraiment. Une vraie tuerie ce live.

Ce groupe est différent des autres avec sa touche soul. Moi, j’aime !

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LIVIN BLUES

Rocking at the tweed mil

Du vrai Blues Rock avec des reprises de Blues passées à la machine à baffes du Rock.
Méconnus mais vraiment trop bons.

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DIAS DE BLUES

Dias de blues

Du Blues Rock chanté en Espagnol, du Blues Rock made in Amérique du Sud. 

Magnifique et vraiment à posséder (Heu, pas facile à trouver quand même !).

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TRAPEZE

Live at the Boat Club 1975

Encore un live qui déménage. Encore un groupe méconnu à posséder !!

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FRANK MARINO & MAHOGANY RUSH

Whay’s Next

Du Blues Rock revu à la sauce Hard Rock avec un côté « HENDRIX est mon papa ». 

Vraiment intéressant ce CD.

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FOGHAT

Fool for the city

J’aime trop cet album pour être objectif. Hard Rock, Blues Rock, Sudiste, Boogie, il peut être partout, et il y sera chez lui.

Un CD monstrueux par la qualité de ses morceaux et de ses musiciens !!

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FOGHAT

Live

FOGHAT en live, c’est tout simplement monstrueux et ce n’est pas la version démentielle de « I just Want to Make Love to You » qui prouvera le contraire.

Un disque incontournable.

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TEN YEARS AFTER au 6Mic

Aller voir un groupe qui a 50 ou 40 ans de carrière, souvent sur écran géant avec des milliers de personnes, ce n’est pas ma priorité. En plus, je préfère rester sur mes souvenirs de la grande époque. Après, en ce qui concerne TEN YEARS AFTER, c’est un peu diffèrent. Il y a très longtemps, alors que je n’étais qu’un ado, en arrivant dans le sud pour les vacances, j’ai vu cette affiche de concert : TEN YEARS AFTER en live dans les arènes de la ville (arènes où je verrais TED NUGENT, JOHNNY WINTER, FOREIGNER, KANSAS, ROSE TATTOO, ZZ TOP, ETC.). J’ai été obligé de gruger un peu avec mes parents pour pouvoir y aller (eh ben oui, j’étais jeune et c’était dans la pinède !) mais bon, ça valait vraiment le coup. Là, ça a été la mega baffe intersidérale ! ALVIN LEE était éblouissant,  ainsi que tout le groupe. Putain, les mecs ont mis le feu à Woodstock quand même – et accessoirement à moi !

J’ai revu depuis TEN YEARS AFTER avec ALVIN LEE. Pas la même baffe mais toujours une très bonne prestation. Je les ai revus ensuite mais sans ALVIN LEE. Ben là, ce n’était plus du tout pareil (la voix, le style de guitare..). Bref, je me suis dit que là c’était la dernière fois, d’autant plus que j’ai eu la chance de revoir ALVIN LEE en live deux fois, toujours avec le même bonheur, et avec toujours le plaisir de réentendre des morceaux comme « I’m going home » en live.

Vous vous demandez certainement pourquoi je vous parle de tout ça ? Eh bien, depuis quelques temps, je n’ai que des remontées positives des presta du groupe et surtout de leur nouveau guitariste chanteur qui, parait-il,  vaut le détour.  Alors quand j’ai vu la date à Aix-en-Provence, en plus dans une salle que je ne connais pas, je me suis dit : why not ? En plus, le 6Mic est une salle à taille humaine (700 personnes).

Heureusement que ma charmante secrétaire m’a prévenu que je risquais d’être surpris par le bâtiment sinon je serais peut-être encore en train de  tourner ! C’est immense. La bonne nouvelle,  c’est qu’il y a un grand parking. La mauvaise, c’est que c’est full de chez full mais bon j’arrive à trouver une place juste devant la porte ! Alors oui, c’est très moderne avec des portiques de sécurité aux entrées. C’est comme un grand cinéma, il y a plusieurs salles et, bien entendu, j’ai commencé à me gourer de salle. Bon, vu le style, je m’en serais de toute façon rendu compte avant qu’on m’intercepte, lol ! Je fais le tour du complexe et je m’aperçois qu’il y a plein de  bars (j’en verrai 4 mais j’en ai peut-être loupé). La salle de mon concert de ce soir est la petite salle.

Je demande au bar s’il y a une première partie, on me dit que non. Je me préparais à aller manger un sandwich quand le tourneur de TEN YEARS AFTER me dit qu’il y a bien un groupe en 1er partie. C’est à priori un groupe local qui répond au doux nom de KARMA.

Du coup, c’est parti pour KARMA. Déjà, les musiciens qui sont sur scène, lumières très tamisées et qui attendent un truc, je ne sais pas pourquoi mais ça sent le hard psyché 70. Et j’ai bien-sûr, gagné ! Pas forcément le style qu’on s’attend à voir en première partie des TEN YEARS mais le groupe assure et au niveau visuel et au niveau musical. Je rentre assez facilement dans leur univers même si ce n’est pas bien sur mon style de prédilection. Surtout ce soir où je suis bien dans l’esprit boogie rock.

Mais bon, intéressant. Bonne (et courte) découverte car ils n’ont pas joué longtemps. En plus, je ne les ai pas croisés après leur show et il n’y avait pas de stand merch’ donc je n’ai pas plus de renseignements sur eux. A suivre.

TEN YEARS AFTER @ 6Mic / W.T.R.

Le temps de trouver un bar où il n’y a pas 10.000 personnes qui font la queue – c’est-à-dire dans le patio fumeur, patio mega impressionnant vu qu’on a l’impression d’être entouré de murs de montagnes – je me réhydrate avant de retourner dans la salle où je retrouve le public que Seb 747 avait quitté à Chambéry pour GANAFOUL il y a quelques jours. Je me sens tout rajeuni, moi !

Sur scène, chez les TEN YEARS AFTER, ce n’est pas forcément mieux. Il y a  deux catégories : RIC LEE le batteur, CHICK CHURCHILL le clavier et COLIN HODGKINSON le bassiste à qui la sécurité aurait pu dire : « Heu messieurs, c’est un concert de rock… ». Interpellation à laquelle ils auraient répondu : « Mais c’est nous, le concert de rock ! ». Mais bon respect total, le batteur et le clavier était de la partie à Woodstock. La deuxième catégorie, ben c’est MARCUS BONFANTI le guitariste chanteur, jeune et beau gosse comme dirait ma voisine de concert et lui, pas de doute, il était dans les couilles de son père pendant Woodstock !

Allez, on rigole mais c’est parti ! Et d’entrée, les trois assurent une partie rythmique impeccable. Et effectivement, le guitariste chanteur vaut vraiment le détour. OK, il fait le show pour quatre ! Il faut dire que le bassiste et le clavier sont bien statiques. En revanche, le public lui bouge vraiment. Ca s’éclate, ça chante, ça danse. La setlist est un mélange de titres très anciens, anciens et modernes.

Tiens, tout le monde sort de scène, sauf le guitariste et le batteur qui vient se positionner à côté de lui. On va avoir droit à trois morceaux acoustiques. C’est Steve*74 qui aurait été content ! Sans rigoler, c’est une bonne idée. Ca permet de redonner une autre vue à ces morceaux et ça permet de créer un autre contact avec le public.

Allez pour réveiller tout le monde, c’est reparti en électrique avec « Love like a man ». Tout le monde est aux taquets. L’ambiance monte au fur et à mesure que les morceaux connus arrivent. Le temps passe à toute vitesse pour atteindre le moment qu’on attend tous : une version de «  I’m going home » fabuleuse. Wouah ! Baffe de chez baffe !

Et c’est… fini. Ou pas. Ils font un rappel ! Qu’est-ce qu’ils vont faire un rappel après ce morceau intersidéral ? Mais bon tout le monde est content. Moi je me demande sur quoi ils vont bien pouvoir terminer. J’ai vite la réponse et c’est sur « Choo-Choo Mamma » qu’ils clôturent le set.

Je dois l’avouer, j’étais sceptique – et c’est un euphémisme – sur la capacité du groupe à me séduire encore mais j’avais largement tort. Une relecture de leurs morceaux intéressante et une découverte pour moi, c’est le guitariste chanteur, bien-sûr pas comparable à ALVIN LEE, mais qui matche vraiment avec les morceaux. Malgré la moyenne d’âge du groupe, leur envie de jouer et de communiquer avec le public est énorme. En plus, avant de terminer de jouer, ils nous ont annoncé qu’ils sortaient dédicacer leurs albums et prendre des photos avec les fans après le concert. Incroyable, les mecs ont près de 80 ans, ils font un concert et en plus ils prennent le temps de venir voir les gens. Et cela gratuitement ! Chapeau bas les mecs.

Alors bien-sûr, je vais faire gribouiller quelques albums – bref, je fais ma groupie comme dit ma femme ! Je papote un peu et je remercie Laurent de 106DB avant de reprendre la route.

I’m Going home Baby, I’m Going home !

Suite à l’annonce du décès d’Alvin Lee …

Hier soir, lorsque j’ai appris la nouvelle, j’ai eu comme beaucoup les boules grave. Je me suis rappelé la dernière fois où je l’avais vu sur scène et je me suis rappelé que, à l’époque, j’avais fait un report du concert que j’avais mis sur mon premier blog Myspace…

Malheureusement, il n’y a pas de photos… Mais bon, j’ai eu envie de vous refaire partager ce moment.

REVIEW FESTIVAL GUITARES EN SCENE – Soirée du 04/09/2009

« (…) Le speaker annonce l’arrivée du guitariste légendaire de Woodstock : Alvin Lee. 

« R&R music to the world », « Hear me calling »… je ferme les yeux, çà y est, moi je suis à Woodstock… les pieds dans la boue en moins.

Il a la même voix et son son de guitare… magique ! On a beau m’expliquer que les guitaristes qui remplacent les guitaristes de légende sont bons, rien à faire. C’est la différence entre l’interprète et le créateur.

Bon, je rouvre les yeux. C’est vrai qu’il a pas mal vieilli et oh ! le bassiste remplace sa basse par une contrebasse ! Mais bon, parfois je repars : « I’m gonna make it », un rappel, « Love like a man », et enfin « Going home ».

Je suis comme un gamin, je ne veux pas que çà s’arrête. Plus de 25 ans que j’avais escaladé la fenêtre de ma chambre pour aller le voir en concert !

Et toujours la même impression, je suis toujours le même gamin, « I’m going home, baby, I’m going home ».

La lumière se rallume, la messe est dite. Alors qu’il ne joue pas sous le nom de Ten Years After, on s’en tape. C’est Alvin Lee, mec !!!

Juste le temps de récupérer la set list. Evidemment, comme on n’est pas dans un rêve total, il ne viendra pas dans la foule pour signer. Dommage, j’en rêvais…

PS : Les différentes photos sont en ligne sur ma page myspace (celles de Patrick Rondat et celle de la set list d’Alvin Lee – les photos de celui-ci ayant été interdites de manière musclée) »

set list alvin lee

 

Voilà, je vous l’ai retransmis comme je l’avais fait. Cette soirée avait été magique… même si la suite avait été merdique puisque j’avais mis plus de cinq heures pour rentrer ! Du coup, ce retour avait un peu gâché mon souvenir. La mort d’ALVIN LEE m’en a fait revivre l’émotion.