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Commentaires fermés sur NITROGODS, Valley of the Gods
Chronique By TI RICKOU
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NITROGODS – Valley of the Gods
Label : Massacre Records
Sortie : 25 octobre 2024
Yes, un nouveau CD des Allemands de NITROGODS, « Valley of the Gods » ! J’avoue que je suis fan, fan au point de me faire 3h de route pour aller les voir en live dans un bar. Et je n’ai pas regretté le déplacement car j’ai pris une grosse baffe, ce qui n’a fait que renforcer mon côté groupie… Donc dire que je suis aux taquets pour écouter ce nouvel album est un euphémisme ! A moins qu’ils n’aient fait une mauvaise blague, genre un album de Black, Death mes cou… en skis, j’ai une assez bonne idée de ce qui m’attend : du Fuckin’ Rock ’n’ Roll à te déboîter la nuque et te faire gagner un abonnement chez le kiné !
Re-yes, c’est bien ça ! Cet opus est du pur NITROGODS. Prenez une bonne dose de MOTORHEAD, une grosse rasade de ROSE TATOO, une larme de STATUS QUO, faîtes secouer le tout par le trio NITROGODS et vous avez la recette de ce « Valley of the Gods ».
Les NITROGODS viennent cash nous rappeler que le Fuckin’ Rock’n’Roll n’est pas mort et qu’ils continuent à le faire vivre. Et de quelle manière ! Ccet album est une tuerie ! C’est trop fort, je vois des kangourous headbanguer dans le bush avec LEMMY, FAST EDDY, ANIMAL TAYLOR, PETER WELLS et le copain Jack, of course car cet album donne vachement soif. Normal après avoir headbanguer comme ça !
Ah mince, c’est déjà fini… Qu’importe, je me le remets. Hyper vitesse, Mister Spock ! Ami lecteur, si tu n’aimes pas les voix rauques à la LEMMY, va jouer avec les koalas, cet album n’est pas fait pour toi. Dans le cas contraire, fonce sur ce « Valley of the Gods » et n’oublie de prendre RDV avec ton kiné juste avant, au cas où. 4 pics, forcément.
SYSTEM OF A DOWN est l’un des groupes de metal phare des années 2000. Serj TANKIAN, son chanteur, nous retrace sa vie, des rues du Beyrouth à la rockstar internationale.
Dans « Down With the System », il revient cette trajectoire ce qu’elle lui a appris sur ses origines arméniennes, sur la musique, sur l’art, sur l’activisme politique et sur lui-même bien-sûr. Ce livre est à la fois l’histoire d’un immigrant, celle de la naissance d’un activiste mais surtout un ode au
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Commentaires fermés sur RAKEL TRAXX, WHISKY OF BLOOD, MONKEY BIZNESS au Brin de Zinc
Vendredi11 octobre 2024 à Barberaz (73)–DEUX REPORTS POUR LE PRIX D’UN !!!
ACTE 1 :Report et Photos de STEVE*74
Dans la vie, il faut savoir casser les codes sinon une certaine monotonie s’installe. Par exemple dans les couples que la routine a tendance à détruire au bout de plusieurs années. Aussi, pour éviter cet écueil avec Seb 747, nous avons décidés de faire 2 reports sur ce concert et cerise sur le gâteau, pour le même prix !! (Pour info nous ne sommes pas en couple dans la vraie vie…LOL) . Alors chaussez vos bésicles pour la lecture.
La route pour aller au Brin de Zinc est gravée dans ma mémoire à force d’y aller. C’est un peu comme une deuxième maison pour moi. Si, à l’époque, E.T. réclamait « Maison », moi c’est un peu pareil, je réclame le BDZ lorsque je lis la programmation des concerts.
Le premier groupe de la soirée est MONKEY BIZNESS, un groupe grenoblois. C’est un groupe que j’ai déjà vu au même endroit il y a déjà un certain temps. Depuis, pas mal d’eau a coulé sous les ponts. Il a fallu remplacer le chanteur tragiquement disparu par MARINE en 2018. Pourtant aujourd’hui, c’est une toute nouvelle chanteuse qui officie derrière le micro. Pour EMILIE, c’est même son premier concert avec ses nouveaux compagnons de jeu. Le bassiste et le batteur sont, eux, des têtes connues.
MONKEY BIZNESS, c’est un mélange de Hard Rock qui puise ses influences dans les années 80.
Le répertoire de ce soir s’articule autour de leur CD sorti en 2012 et de leur EP sorti en 2008 avec, par exemple, le morceau « Elected ». Ce qui saute aux oreilles, c’est la voix d’EMILIE. Le chant est juste mais il manque, à mon avis, de puissance pour le genre proposé par le groupe. C’est dommage car la setlist se déroule bien avec ses compagnons de scène qui assurent musicalement. Je pense que le manque d’énergie est également dû au fait que les musiciens sont du genre statiques sur les planches du Brin de Zinc. A revoir dans quelques temps pour confirmer ou non mon jugement du soir.
WHISKY OF BLOOD au Brin de Zinc
Juste le temps de dire bonjour aux connaissances du soir, comme YVES CAMPION de NIGHTMARE, que déjà les WHISKY OF BLOOD arrivent sur scène. Il faut rattraper le temps perdu du début de soirée. PIERRE, le batteur des MONKEY BIZNESS est toujours là derrière ses fûts car il officie dans les 2 groupes. Il a juste troqué son T-Shirt des RAKEL TRAXX contre un autre plus neutre et pris le pseudo de KING OF RICQLES.
Je sais à quoi m’attendre avec ses 4 lascars !! Je viens de les voir et de les croiser il y a à peine une semaine à l’Ilyade de Seyssinet, en première partie de BLACKRAIN. Inutile de préciser qu’ils sont à fond et que le show ronfle comme une vieille marmite sur le feu depuis déjà un certain temps.
Pour ceux qui ne connaissent pas ces Grenoblois, ils pratiquent un Hard Rock ’n’ Roll influencé par les eighties et de temps en temps par le Punk. Il n’y a qu’à voir le look du guitariste et du bassiste pour constater que je ne me suis pas trompé.
WHISKY OF BLOOD au Brin de Zinc
Les WHISKY OF BLOOD viennent apporter la bonne parole aux spectateurs avec la promotion de leur dernier CD, « Diablesse of Revolution ». Ce troisième album vient de sortir le 27 septembre dernier. Comme beaucoup de groupes de cette période, ils ont adopté des surnoms : LORD WHISKY pour le guitariste chanteur, PHIL THE ANIMAL pour le guitariste, SWINDLER pour le bassiste et KING OF RICQLES pour le batteur. Tout un programme comme vous pouvez le constater !
Pour entamer les hostilités, quoi de mieux que « Nothing more », extrait de leur dernier opus ? Nous sommes partis pour transpirer pendant une petite heure avec des paroles qui parlent de bière, de sexe et de bien d’autres sujets dans la même veine.
WHISKY OF BLOOD au Brin de Zinc
Pour « Street ready », LORD WHISKY nous explique qu’on ne doit pas se faire emmerder dans la rue même si on n’est pas balèzes. Et ensuite, il nous assène que le rock tue…. Il nous fait un peu de promo pour la sortie prochaine d’une bière à leur nom. La classe, surtout quand on pense aux groupes prestigieux comme IRON MAIDEN, STATUS QUO, MOTORHEAD ou AC/DC qui ont ouvert la voie en ce domaine !
Pour terminer, le dernier titre, « Whisky of Blood » est dédié aux amis décédés. C’est aussi leur morceau phare et ils vont le faire durer pour permettre à quelques spectateurs et spectatrices de fouler sérieusement le plancher du BDZ.
RAKEL TRAXX au Brin de Zinc
Arrivent enfin les Marseillais de RAKEL TRAXX. C’est un groupe que j’ai déjà vu un certain nombre de fois, pour ne pas dire plus, mais aujourd’hui c’est spécial car il y a du changement dans la formation. Comme c’est déjà arrivé plusieurs fois dans le passé, le bassiste a changé. Le nouveau vient tout juste d’arriver et s’appelle EMI KELLEY. Mais le changement le plus notable est marqué par le départ de notre ami ZANTOLO, l’un des deux guitaristes, qui a dû, lui-aussi, délaisser ses vieux copains. Le petit nouveau se nomme KIKO PHASMINO. Et puisque je suis dans la présentation des musiciens, je poursuis avec SHANON DOLLZ au chant, LESTE à la batterie et SQUALL, le deuxième guitariste.
RAKEL TRAXX au Brin de Zinc
Depuis 2008, ils arpentent les scènes de France et de temps en temps les studios d’enregistrement. C’est d’ailleurs avec « Quicksand », extrait de leur premier album que le show démarre. On est tout de suite dans le bain avec ce Sleaze Rock entraînant qui donne envie de bouger. Le public venu nombreux est en accord avec moi et réserve un accueil chaleureux au groupe.
Alors que BLACKRAIN a progressivement délaissé les terres du Sleaze au profit d’un Hard Rock mélodique, les RAKEL TRAXX, eux, sont restés fidèles à leur style musical préféré. Et, personnellement, je m’en réjouis !! Ce soir, tout n’est pas si évident pour eux, avec le premier concert d’EMI. Ces changements de membres occasionnent de nombreuses répétitions pour intégrer les nouveaux venus et apprendre le répertoire. Malgré quelques petites imperfections, le show se déroule parfaitement. Les 2 nouveaux prennent a priori du plaisir, ce qui est important pour la suite.
RAKEL TRAXX au Brin de Zinc
Les titres défilent à la vitesse d’un TGV lancé à pleine vitesse. Le medley composé d’extraits de reprises de standards du genre, comme par exemple du MOTLEY CRUE, fait toujours sensation et permet une fois de plus au public de s’éclater et de chanter. Cyril, le manager du groupe et aussi la bassiste des WHISKY OF BLOOD fait son apparition sur scène et s’invite pour faire les chœurs, ce qui rajoute encore un peu de folie et booste le groupe qui n’en avait pas vraiment besoin !
« Give me your love » est le dernier titre annoncé ce soir. Et en parlant d’amour, on peut dire que ce sont plutôt eux qui donnent du plaisir aux spectateurs présents !!
RAKEL TRAXX au Brin de Zinc
Terminé ? Non, car il y a le traditionnel rappel avec un classique dans les classiques de notre musique, « Cum’ on feel the noize », écrit par le groupe SLADE et popularisé dans les années 80 par QUIET RIOT. Avec un tel morceau, le succès est assuré et clôture en beauté une belle soirée comme on les aime.
Il est déjà tard quand je quitte le Brin de Zinc, non sans avoir dit au revoir à mes amis Marseillais et Grenoblois. A bientôt les gars pour de nouvelles aventures !!
RAKEL TRAXX au Brin de Zinc
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ACTE 2 : Report et Photos By SEB 747
Voilà déjà deux semaines que je ne me suis pas rendu à un concert ! Alors ce soir, je ne vais pas goûter mon plaisir en allant, une fois encore, au Brin de Zinc de Barberaz. C’est à un match, non pas de foot mais bien de Hard Rock, entre Grenoble et Marseille auquel je vais assister. Nous pourrions penser que, comme les Grenoblois sont plus nombreux que les Marseillais, le match serait plié. Mais c’est sans compter sur nos copains de RAKEL TRAXX qui sont venus en conquérants ce soir. Ils sont accompagnés par les MONKEY BIZNESS et les WHISKY OF BLOOD qui, vous l’aurez deviné, sont des groupes Grenoblois.
C’est sous un soleil radieux que nous partons à trois sur la route, tranquillement sans se presser, histoire de profiter un peu de nos montagnes. Arrivés sur place, nous retrouvons mon copain de concert Steve*74 parti un peu plus tôt, après avoir facilement trouvé une place pour nous garer. Nous rencontrons les musiciens qui vont jouer ce soir et les copains venus assister, tout comme nous, à ce concert. Pour Steve et moi, certains de ces musiciens sont des connaissances que nous rencontrons souvent, ou que nous voyons régulièrement sur scène. Mais pour d’autres spectateurs, cela sera une première.
Assez de palabres, parlons concert, puisque c’est pour cela que vous lisez ce report, non ? Sinon, je peux aussi vous parler du beau temps, de la nourriture et tout ça… Qui a dit : “comme le rédac’ chef… » ? Bon d’accord, parlons musique !
MONKEY BIZNESS au Brin de Zinc
Ce sont les MONKEY BIZNESS qui commencent. Le quatuor est le seul, ce soir, a avoir en son sein une chanteuse. Il pratique un Hard Rock fort sympathique et très entraînant. C’est un quatuor composé de PIERRE, le batteur – accessoirement celui de WHISKY OF BLOOD aussi – DIDIER, le bassiste, qui lui aussi joue dans un autre groupe (URGENT), FRANCK, le guitariste et EMILIE au chant. L’ouverture du set démarre sur un cover de DANGER DANGER et en plus de l’époque de TED POLEY, le fameux “Monkey Business”. Que demander de plus ?
EMILIE fait son premier concert et semble un peu timide sur les premiers morceaux. Cependant, que ce soit « Falling to Pieces » ou « No Money Honey », nous passons un très bon moment en compagnie de ces titres mélodiques à souhait qui passent bien sur scène. Ce soir, nous avons même droit à deux exclusivités mondiales, comme nous l’expliquent PIERRE et EMILIE.
MONKEY BIZNESS au Brin de Zinc
Les musiciens assurent comme des malades et leur niveau technique m’impressionne, même si EMILIE est un peu trop statique pour moi. Cependant son chant est placé comme il se doit. De toute façon, je lui pardonne tout, c’est une Savoyarde (comment ça, je ne suis partial ?). Il faut quand même relativiser, étant donné que c’est son premier show avec le groupe et que, jouer avec de tels techniciens, doit mettre une sacrée pression.
En tout cas, j’aime bien son timbre de voix, et elle se lâche petit à petit, au fur et à mesure que le concert se déroule. Le stress qui semblait la posséder, s’efface au fur et à mesure du set, et les derniers titres que le groupe interprète chauffent le Brin de zinc comme il se doit.
WHISKY OF BLOOD au Brin de Zinc
Il est l’heure pour le second groupe grenoblois, les WHISKY OF BLOOD, d’arpenter la scène. L’avantage d’avoir un batteur qui joue dans deux groupes différents, c’est que le changement de batterie se fait rapidement. L’inconvénient, c’est pour le musicien de tenir deux sets d’affilée. J’attends de voir comment notre ami Pierre « KING OF RICQLES » va gérer.
WHISKY OF BLOOD au Brin de Zinc
Personnellement, j’adore ce groupe. Musicalement, ça groove, ça pulse et ça fait du bien. A peine le groupe installé sur scène que les freins sont lâchés avec « Nothing More » et un LORD WHISKY les bras en croix. Le chanteur guitariste est en pleine forme et harangue le public sous les riffs de PHIL THE ANIMAL, le ronflement de la basse de SWINDLER, le deuxième punk de la bande, et les frappes continues de KING OF RICQLES, qui malgré son set précédent, ne semble pas être en difficulté.
Dès “Sexy Woman With The Devil”, PHIL THE ANIMAL descend de scène pour jouer auprès du public, ce qu’il fera plusieurs fois le long du set. Le groupe est aux taquets et ne s’économise pas. Les morceaux les plus connus du groupe sont joués ce soir : “Show Me The Way” ou encore “Humanity Must Be Destroyed by Rock ‘n’ Roll” enflamment le public du BDZ qui est très bien rempli ce soir.
WHISKY OF BLOOD au Brin de Zinc
Les morceaux sont bons et dépotent grave. PHIL joue sur les genoux, se déplace de long en large sur la scène, tout comme SWINDLER qui va chanter les refrains dans le même micro que lui, pendant que LORD continue de tenir son public dans la main.
L’ambiance monte d’un cran lorsque celui-ci nous annonce le titre “Street Ready”. Le sourire du chanteur en dit long sur le plaisir qu’il prend ce soir, tout comme ses trois autres comparses. LORD WHISKY est tellement enthousiaste qu’il en casse même une corde. L’hymne incontournable qu’est le titre “Whisky of Blood” clôt le set intense de nos copains Grenoblois qui ont littéralement mis le feu au Brin de Zinc.
RAKEL TRAXX au Brin de Zinc
L’heure de Marseille est venue. Il était temps me direz-vous ! C’est qu’on a failli attendre. Ahh, les RAKEL… Comme ce n’est ni le premier, ni le dernier des reports consacrés à ce groupe, qu’est-ce que je pourrais vous dire ? Même leur malédiction du bassiste – qui une fois de plus a changé – est connue comme le loup blanc. Cependant, il y a un autre fait important : il y a un nouveau guitariste. ZANTOLO, ayant raccroché les gants après tant d’années de service au sein du groupe phocéen. C’est donc le baptême du feu pour KIKO PHASMINO, le nouveau et jeune guitariste et EMI KELLEY le bassiste. J’ai un peu d’appréhension, n’ayant pas eu encore l’occasion d’entendre les RAKEL nouvelle formule, mais en ayant discuté un peu avec SHANON avant le concert, je suis plutôt rassuré.
RAKEL TRAXX au Brin de Zinc
Après un petit “Quicksand” qui pose de suite les bases, c’est au tumultueux “Sexy Night” de continuer à secouer le Brin de Zinc alors que d’habitude nos copains Marseillais prennent le temps d’installer leur show, souvent en mode tranquille peinard (en mode marseillais, quoi). Ce soir, ils sont à fond. SHANON sur son pied de micro virevolte, pendant que SQUALL, l’historique guitariste se frotte au plus près du public sous les coups de butor de LESTE, l’autre membre historique des RAKEL.
Évidemment, vous vous demandez comment s’en sortent les petits nouveaux ? Eh bien, je dirais : à merveille. Certes, les automatismes qu’avaient SQUALL avec ZANTO sont un peu compliqués à retrouver sur scène, mais KIKO s’en sort très bien. Il fait même un peu le show en jouant avec la guitare derrière la tête. Son maquillage, un mélange d’ALICE COOPER et d’Orange mécanique (dixit EMI), est un peu kitsch mais il compense par son talent et son envie d’être sur scène. Quant à notre ami bassiste, malgré son poste en retrait à cause de l’étroitesse des planches, il tient bien la rythmique, même s’il est moins démonstratif que SWYLDE l’ancien quatre cordiste.
RAKEL TRAXX au Brin de Zinc
Les classiques des RAKEL TRAXX sont expédiés à une vitesse phénoménale. « 19 nights » est devenu un classique. Quant à « I Need You Honey » et « Wild Girls », ils sont devenus des incontournables.
L’heure du crime largement débordée, le groupe finit son set par la reprise du groupe britannique SLADE, popularisée par les américains de QUIET RIOT, « Cum’ On Feel The Noize ». Cette reprise verra SWINDLER et KING OF RICQLES de WHISKY OF BLOOD monter sur scène et reprendre les chœurs. « Thank You, Good Night, Stay Sleazy », conclut SHANON DOLLZ. Et c’est la fin.
Mais quelle baffe nous avons pris ce soir avec trois groupes venus démontrer leur détermination à nous secouer les tripes !
RAKEL TRAXX au Brin de Zinc
Les RAKEL TRAXX, descendus de scène, tapent la discut’ avec tous les copains restés tardivement dans le Brin de Zinc. Il est près d’une heure du matin lorsque nous prenons congé, non sans avoir dit à la prochaine à nos copains phocéens. Sur le chemin du retour, en écoutant en boucle le dernier album des WHISKY OF BLOOD et le dernier EP des RAKEL, une étrange lumière est apparue derrière moi et je me retrouve en direction de Chambéry au lieu de rentrer chez moi. J’ai été enlevé par les extraterrestres ou quoi ? Comment ? La lumière que j’ai vue est un flash de radar ? Vous êtes sûr ?
Un grand merci aux trois groupes de ce soir pour nous avoir fait passer une soirée… interminable ? Mais non, INOUBLIABLE !!
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Commentaires fermés sur MIDNIGHTMARES, Shadow People
Chronique By TI RICKOU
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MIDNIGHTMARES – Shadow People
Label : Gio Smet Records
Sortie : 21 octobre 2024
Tiens, MIDNIGHTMARES… je ne connais pas ce groupe. La pochette est un peu flippante quand même mais j’ai surtout peur que ce soit violent. La fiche promo m’annonce que c’est un groupe Belge avec un chanteur Mexicain et que c’est du Metal Symphonique Gothique. Je suis curieux de découvrir ça, moi.
Alors oui, il y a un côté bien gothique avec deux voix dont une voix féminine symphonique lyrique. Il y a bien le côté Metal mais il y a aussi un Monsieur qui prend une grosse voix qui fait peur. Je comprends le truc du contraste mais il est vraiment en colère par moment. Ceci dit, ça matche pas mal avec la voix lyrique.
Musicalement, ce n’est pas désagréable, les morceaux sont sympas, l’ambiance est cool et on rentre assez facilement dans leur univers. Plus les morceaux passent et moins la grosse voix me dérange. Bizarre, non ?
En conclusion, je dirais que c’est un mariage frites/tacos réussi, même si je n’écouterais pas forcément ce « Shadow People » tous les jours. Comment ma fille ? Toi, tu aimes bien. Je ne sais même pas pourquoi je ne suis pas étonné. Du coup, 3 pics !