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MOOSORROW 1

MOOSORROW

Bon, ce soir le pagan a lieu à Villeurbanne et plus exactement au CCO. Et le CCO, il y a un bail que je n’y ai pas mis les pieds, moi ! J’ai de méga bons souvenirs de concerts là-bas. Le seul truc qui m’embête, c’est bien sûr pour se garer car dans les alentours proches, c’est presque mission impossible. Mais j’ai prévu le coup et même en me galérant un peu, lorsque j’arrive il y a encore une bonne queue devant la porte. Etat d’urgence oblige, la fouille est bien effectuée.

Allez, je suis à l’intérieur et le premier groupe n’est pas encore sur scène. Je suis trop fort !!j ai même le temps de bien me placer pour vous prendre de belle photos ! Si, si, elles sont belles mes photos !

Bon ce soir, ça risque d’être coton. La salle affiche full et il n’y a pas de crash barrière.. mais bon, rock ‘n’ roll !!!

MOOSORROW entre sur scène. J’espère que ça va me plaire car les finlandais sont plus qu’une simple première partie, ils sont co-tête d’affiche. En clair, ils vont jouer longtemps !

MOOSORROW 2

MOOSORROW

Déjà, scéniquement, ça le fait. D’entrée de jeu, j’ai un bon feeling. Musicalement, on est dans du pagan dit black metal, mais en fait c’est plutôt du pagan doom et moi, ça m’arrange !

La voix n’est pas trop criarde, les morceaux sont cool. Après, on n’est évidemment pas dans du pagan festif mais c’est bien fait et intéressant. Du coup, je me laisse emporter. Bon d’accord, j’aime bien le côté doom dans le pagan.

En plus, l’ambiance st bon enfant, ça bouge pas mal mais tout en restant cool. Les musiciens nous emmènent dans leur monde et c’est cool.

Je n’ai pas vu le temps passer que déjà, le voyage est terminé. Et je ne me suis même pas enfui ! Heu, il faut dire que le son n’est vraiment pas fort non plus et que ça manquait un tantinet de puissance sonore.

KORPIKLAANI 1

KORPIKLAANI

Allez, petite pause avant que ce ne soit le tour de KORPIKLAANI. Tiens, c’est marrant d’ailleurs, la toute première fois que je les ai vus en live c’était ici, aub CCO… mais bon ça commence à faire un bail.

Bon, quand on parle des finlandais on voit leur… logo, bien sûr !!
Et c’est parti pour le pagan made in KORPIKLAANI, c’est-à-dire du pagan festif et joyeux.

Et le premier effet est de transformer le public en kangourou !! Eh oui, ils ont à peine commencé que le public se lâche complètement et fait la fête à la mode finlandaise !

C’est clair que les morceaux des copains sont de purs invites à faire la fête et à la bonne humeur ; de l’accordéon, du violon… et ce putain de rythme ! J’adore ce groupe car ils allient son traditionnel et métal dans une parfaite alchimie. Et ils n’oublient pas de s’amuser en jouant !

KORPIKLAANI 4

KORPIKLAANI

KORPIKLAANI 3

KORPIKLAANI

Leur set list est partagée entre anciens morceaux et morceaux plus récents mais de toute façon, c’est diablement efficace. C’est vraiment dur de tenir devant la scène, ça bouge vraiment. Comme d’hab’, me direz-vous… Ben non, encore plus que la dernière fois au Transbordeur avec SABATON.

En plus, là on a droit à un show complet… et bien sûr à un rappel ! Et devinez avec quoi ils vont clôturer ces dingues ?? Yes ! C’est avec « Beer, Beer, Beer » !!! Ce qui va donner lieu à une véritable hystérie collective.

Ouah ! C’est fini ! Je suis vidé mais bien sûr heureux.

KORPIKLAANI 6

KORPIKLAANI

KORPIKLAANI 5

KORPIKLAANI

Je vais avoir le temps de regarder leur stand merch car on ne peut sortir qu’au compte-gouttes. Des gens se sont fait tirer leur portable pendant le concert. Si, c’est malheureusement possible. Du coup la sécu fouille tout le monde. Mais pour moi pour l’instant, devant le stand merch j’ai un problème : les sweat sont méga beaux mais… à cinquante euros !!

La bonne nouvelle, c’est que les portables ont été retrouvés, la mauvaise c’est que les voleurs non.

Bilan de la soirée

Une agréable surprise avec MOOSORROW et une méga tarte en guise de confirmation avec KORPIKLAANI. C’est toujours aussi bon !! Ca fait du bien… sauf bien sûr aux cervicales !!

Allez, comme dirait KORPIKLAANI ; « Bière, bière, bière » !!

KORPIKLAANI 2

KORPIKLAANI

OVERKILL 3

OVERKILL

Report by SEB 747

Allo Seb ? Ouais c’est Ti-Rickou. On a bien aimé ton report sur SYMPHONY X, tu n’irais pas à OVERKILL par hasard pour nous faire un report ?

Un 1er avril ? Ce n’est pas une blague ?

Donc direction la banlieue de Villeurbanne, pour aller voir les pionniers du thrash new-yorkais ! Avec plus de trente-cinq ans de carrière à son actif, le groupe mené par l’emblématique frontman BOBBY « BLITZ » ELLSWORTH est venu enflammer la scène du CCO.

Avant toutes chose, afin de ne pas me faire rattraper par le syndrome Ti-Rickou, (vous savez : arriver à la bourre, rater la première partie, etc…), je décide de partir plutôt que prévu. Le concert commençant à 19h30, je me donne une bonne marge de 30 minutes. Et heureusement que je suis parti en avance parce qu’au bout d’une petite heure de route, un accident venant de surgir me ralentit ! « Ils ne peuvent pas le faire à un autre endroit ???? J’ai pas que ça à faire, moi ! Je risque de rater le premier groupe ! » Ouf, ça n’a pas trop duré !

ONE MACHINE 2

ONE MACHINE

Les thrasheurs du New-Jersey ont emmené dans leurs bagages un groupe pour moi, totalement inconnu, ONE MACHINE. Il a été engendré par le guitariste STEVE SMYTHE, fondateur de VICIOUS RUMORS qu’il quitta en 1999 pour rejoindre TESTAMENT jusqu’en 2004 puis NEVERMORE jusqu’en 2007. C’est vous dire le pédigrée du bonhomme !

Le temps de passer le bonjour, et on entend démarrer les grosses guitares. Je vais directement dans la salle, ONE MACHINE venant de commencer. Première impression, la place qui leur est allouée est vraiment restreinte, et il n’y a que des barbus sur scène. C’est ZZ TOP ?

ONE MACHINE 3

ONE MACHINE

Musicalement, c’est très thrash, mais relativement bien mélodique.

Le chanteur CHRIS HAWKINS enjambe tant qu’il peut la double grosse caisse, manquant régulièrement de se casser la figure. Mais ce n’est pas grave, il headbangue à tout va et en plus il vient régulièrement se placer sur le devant de la scène. Idéal pour les photos. Bon, la voix de Chris est un peu trop criarde à mon goût, mais lorsqu’il passe du côté mélodique de ses phrasés, ça passe tout de suite beaucoup mieux. A chaque début et fin de morceau, il s’essaie non sans mal au Français « Bonjour la France ! Ok ! Ça va bien ? Vive la France !».

Le batteur nous sortira aussi sa petite phrase un peu osée, ce qui fera bien marrer tout le monde.

ONE MACHINE 1

ONE MACHINE

Ne pouvant beaucoup se mouvoir, les cinq musiciens secouent régulièrement la tête. STEVE SMYTHE étant celui qui headbangue le plus, tout en nous assénant de riffs assassins. Quand on sait qu’il est atteint d’insuffisance rénale, il y a de quoi être admiratif. Ouah, ça c’est du thrash !

CHRIS HAWKINS demande aux gens du public de faire des circle pit, au grand plaisir de ces derniers qui s’exécutent… mais timidement.

Ça joue fort, très fort. Vite, très vite. Mais pas autant que ce qui va suivre.

Après avoir annoncé un morceau avant l’autre, au grand dam du bassiste totalement hilare sur scène, nous avons doit à quatre morceaux d’affilée et c’est fini. Bonne entrée en matière.

OVERKILL 5

OVERKILL

Les lumières s’éteignent, une intro démarre, et c’est parti ! OVERKILL débarque sur « Armorist », titre du dernier album en date « White Devil Armory ». D’entrée de jeu, le niveau sonore s’élève, sans parler du niveau musical. Non pas que ONE MACHINE ait été mauvais, mais OVERKILL, c’est la classe supérieure.

BOBBY OLDSWORTH attaque tambour battant, donnant des coups de poings à la foule omniprésente. Eh oui, il y en a qui tape dans la main, lui donne des coups de poings !!

S’ensuit « Rotten To The Core », titre qui date de 1984. Ça fait une paie, nous voilà plonger dans le bain. BOBBY s’efforce lui aussi de communiquer avec nous en Français. C’est cool de voir des américains parler dans la langue de Goethe, lol !!

OVERKILL 10

OVERKILL

DD VERNI, bassiste depuis le début, oscille comme un serpent et nous assomme de coups de basse. Qu’est-ce que c’est bon ! Le public se met à pogoter de plus en plus, notamment sur « Electric Rattlesnake » de 2012. Plus ça va et plus ça pogote. On a même droit à un stage diving d’un hurluberlu. Je suis surpris qu’il n’y en ait eu qu’un seul de toute la soirée.

RON LIPNIC, batteur du groupe depuis onze ans maintenant frappe ses fûts comme si ça vie en dépendait. On se demande comment fait la batterie pour tenir !

Bon sang, nous voilà de retour en 1988 avec « Hello from the gutter », puis trois titres d’affilée débarquent du premier LP « Hammerhead », « Feel the fire », « Blood and Iron ». La foule se déchaîne comme jamais. C’est plus tout jeune, mais ça dépote toujours autant.

La set list suit son court et OVERKILL enchaîne les titres avec pas moins de huit titres issus de leur cinquième album. BOBBY nous raconte qu’ils sont du New Jersey et que ce sont nos cousins d’Amérique. Marrant. Régulièrement, il s’éclipse derrière la sono pour débarquer comme un fou furieux sur son pied de micro.

Retour dans le passé. « Raise the Dead » débarque du premier album.
Arrive sans crier gare « Overkill », et nous revoilà plonger en 1984 pour la sortie de leur tout premier EP.

Les gratteux balancent des riffs de tueurs. DAVE LINSK shred comme un fou furieux et en champion de la grimace, DEREK « SKULL » TAILER s’amuse avec ses médiators, les lançant en l’air et les jetant à l’opposé des auditeurs qui attendent de les recevoir.

Ah, petit souci de son, on n’entend plus la guitare de SKULL. Pendant quasiment tout un morceau nous avons droit à une configuration à quatre. Pas désagréable, on entend mieux tous les instruments. Le jeu de scène est excellent, et les lights sont somptueux. Quelle soirée !

OVERKILL 12

OVERKILL

Ah, ça y est, le rappel débute et nous sommes en 1989 avec « Elimination », titre issu de « Years of Decay ». Bon ben on repassera pour des titres récents. Faut dire qu’avec plus de quinze albums derrière eux, ça doit être ardu de définir une setlist !

Comment ne pas finir un concert d’OVERKILL avec leur fameux hit « Fuck you ». La salle étant trop heureuse de montrer au groupe leur joli majeur tendu que celui-ci n’a pas hésité à nous montrer tout le long de leur set.

Une bonne baffe à travers les dents, que je recompte d’ailleurs à la fin du concert, histoire de voir si je les ai toujours. Faut dire que ça pogote pas mal dans les concerts de thrash.

OVERKILL 9

OVERKILL

 

SYMPHONY X 1

SYMPHONY X

Live Report by Seb 747

Choix cornélien ce soir, entre le M. FEST à Marnaz, et SYMPHONY X à Lyon. D’autant plus que pour ces derniers, c’est complet !

Mais SYMPHONY X, ça fait au moins quinze ans que je ne les ai pas vu et en plus, un bon pote a réussi à nous dégoter deux places ! Donc, direction Lyon, et plus précisément Villeurbanne au Centre Culturel Œcuménique (CCO pour faire simple). Ca tombe bien, la dernière fois où j’y avais mis les pieds remonte à pas mal de temps.

Avec trois groupes à l’affiche, je pars assez tôt puisqu’il faut qu’on y soit à l’ouverture. Mais, comme par hasard, le syndrome Ti-Rickou me rattrape : pluie d’enfer, bouchons partout, problème pour trouver la salle (je vous l’ai dit, ça fait longtemps que j’y ai pas mis les pieds !), problème pour se garer…

MYRATH 1-

MYRATH

Bon, je rate en beauté MELTED SPACE – « Ti-Tickou ! Sors de ce corps ! » – mais j’arrive pile-poil à temps pour MYRATH, ouf !
Premier constat, même si le CCO a été récemment rénové, c’est toujours aussi petit, on se croirait à La Tannerie (et revoilà encore Ti-Tickou !). Mais l’adage est bien connu : « c’est dans les petits pots qu’on trouve les meilleurs onguents » ou en terme métal : « c’est dans les petites salles qu’on trouve le gros son » !

La scène est plus large que profonde, idéale pour installer le matériel de SYMPHONY X, mais à contrario laisse peu de places pour MYRATH et de surcroît MELTED SPACE.

La batterie rangée sur le côté droit de la scène, le bassiste devant, essayant de se faire une place, le clavier en plein centre, le guitariste à gauche, il reste peu de place au chanteur ZAHER ZORGATTI pour évoluer. Peu importe, les Tunisiens n’en ont cure, ils assurent ! On est pris d’entrée de jeu dans leur prog’ métal mélodique à tendance orientale.

C’est sur le titre « Jasmin » qu’ils nous mettent directement dans le sujet, puis après l’enchaînement de « Storm of lies », ZAHER ZORGATTI nous interpelle… Et en Français, s’il vous plait !  Il nous parle de sa fierté d’ouvrir pour SYMPHONY X et remercie MELTED SPACE (oui, le groupe que j’ai raté !) d’avoir ouvert le show.

MYRATH 2

MYRATH

Puis après un « Freedom back » et un « Believer » de toute beauté, où l’on découvre l’étendue mélodique du coffre de ZAHER, c’est « Wide Shut » et « Nobody’s Lie » (dédicacé à un ami mourant) qui s’enchaînent pour terminer sur un « Merciless Time ». Quel set mes aïeux ! Ils se sont donnés à fond et quelle joie pour moi de les revoir ! Belle entrée en matière.

Le temps de se rapprocher un petit peu, de jouer des coudes pour se faire une place devant, malgré deux géants mastodontes qui culminent à pas moins de deux mètres, et le backdrop de SYMPHONY X se déroule. Tiens, ils sont en train d’installer deux masques sur la batterie, bizarre… C’est vrai que la pochette de « Nevermore », leur dernier album, représente deux masques en quinconce, alors pourquoi pas ?

SYMPHONY X 6

SYMPHONY X

Pas le temps de souffler que déjà l’intro « Overture » démarre. Et contrairement à ce que je pensais, ça ne bourre pas, mais faut pas rêver, ça ne va pas tarder. JASON RULLO fait résonner sa batterie et les trois MIKE débarquent les uns après les autres. C’est sur un « Nevermore » de folie que déboule, tel un sanglier furieux, un RUSSEL ALLEN, lunettes noires vissée sur le crâne, cheveux tirés en arrière, attachés en queue de cheval.

L’ouverture du bal commence. « Underworld » enchaîne sans temps mort. On sent qu’on a affaire à des musiciens qui ont de la bouteille. Normal, ça fait un peu plus de quinze ans qu’ils jouent tous ensemble, ces ricains !

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SYMPHONY X

Le son et les lights sont monstrueux.

Bon début de soirée en perspective. Et on continue par « Kiss of Fire » où la voix brute et forte de RUSSEL nous impressionne mais c’est sur la ballade « Without You » qu’il nous touche le plus par sa voix claire.

« C’est la première fois nous jouons autant de concerts sold out sur une tournée» nous dit RUSSEL. On veut bien le croire vu le nombre de personnes qui ont répondu présent à l’appel ce soir !

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SYMPHONY X

S’ensuit « Charon » un autre titre du dernier album. Puis sur « To Hell And Back », RUSSEL se tourne vers la batterie et se grime avec un des masques installés plus tôt. Masque noir et blanc sur le visage, il envoie du bois, comme on dit chez nous. Mélodique, mais toute en puissance maîtrisée, sa voix nous transporte.

Tiens mais que ce passe-t-il ? On nous a changé notre RUSSEL ? Non, il a juste lâché ses cheveux et mis le second masque. Rouge et noir celui-là. On passe du côté sombre de la force. Sa voix se fait plus ténébreuse. Génial ! RUSSEL est un vrai showman !

SYMPHONY X 4-

SYMPHONY X

Et encore un autre titre « d’Underworld » avec « In My Darkest Hour ». Ils ont décidé de nous faire tout le dernier ?

MICHAEL LEPOND, le bassiste depuis seize ans maintenant et MICHAEL PINELLA, le clavier des débuts, nous montrent qu’ils sont aussi en voix, avec des cœurs sublimes. JASON RULLO rend coup sur coup avec ses frappes de mule. Et MICHAEL ROMEO tout sourire, hyper content d’être là, nous prouve qu’il est un excellent guitariste, jouant souvent les yeux fermés, notamment sur un « Run with the Devil ».

Petit speech de RUSSEL juste avant « Swan Song », encore un titre du dernier album. On a même droit à un petit instrumental et à un petit clin d’œil à Star Wars.

SYMPHONY X 8

SYMPHONY X

Pour ce qui est des vieux titres, voilà que démarre « Death of Balance / Lacrymosa », titre de « V : the New Mythology » datant de 2000. Et là on, enchaîne avec deux titres que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaitre : « Out of the Ashes » et « Sea Of Lies », titres datant de 1996 issus de « The Divine Wings of Tragedy ». Trop fort les mecs ! Allez puiser aussi loin, je suis aux anges !!!

Et c’est déjà l’heure du rappel. « Symphonyx ! Symphonyx ! Symphonyx ! » chante le public. Putain, c’est que j’ai pas vu le temps passer moi !

Et boom, débarque « Set The World On Fire (The Lie Of Lies) », excellent titre de 2007 avec plus de cinq minutes au compteur, pour finir sur « Legend » un dernier morceau de leur album éponyme datant de l’année dernière.

SYMPHONY X 2

SYMPHONY X

Sniff, c’est déjà fini. Bon en sortant de la salle, on aperçoit les gars de MYRATH qui signent autographes sur autographes. C’est bien beau tout ça mais va falloir rentrer ; d’autant que la neige est annoncée… Bah, il suffit de mettre le « Nervermore » à fond, et on ne verra pas le temps passer !

Un grand merci à Sounds Like Hell Productions qui nous a permis d’assister à ce concert, malgré le fait que ce soit complet.