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GANAFOUL au Brin de Zinc

GANAFOUL @ le Brin de Zinc

En ce premier jour de Mars, il reste exactement 304 jours avant la fin de l’année. Alors forcément, il est plus que temps de faire des concerts. Ce soir, c’est de nouveau au Brin de Zinc de Barberaz, où mon copain de concert et votre serviteur, nous rendons. Mais quel groupe allons-nous voir ? Si vous avez fait l’impasse sur le titre de ce report, ce sont les Lyonnais de GANAFOUL, un groupe de Hard-Rock venu de Givors qui a connu ses heures de gloire entre 1978 et 1983. Personnellement, contrairement à mon copain Steve*74, et au rédac’ chef qui les as vus récemment, je ne connais que de nom. J’en ai entendu parler pendant des années, sans jamais avoir vraiment écouté. Alors, pour moi ce soir, ce sera une première !

Nous partons tranquillement, en duo, direction Barberaz pour une future soirée qui s’annonce très bonne malgré une petite bruine très persistante. A peine le temps de faire coucou à Thomas, le patron du BDZ,  que je me rends compte qu’une nouvelle fois, il y a foule ce soir. C’est une bonne chose pour un groupe qui s’appelle GANAFOUL, vous ne  trouvez pas ? Mdr. Ce soir, le public est plutôt vintage. Et, pour une fois, malgré mon demi-siècle bien tassé, j’ai l’impression d’être l’un des plus jeunes et mon copain Steve*74 n’est, pour une fois, pas un des plus anciens. Etonnant, non ?

GANAFOUL @ le Brin de Zinc

Constitué de JACK BON, EDOUARD “DOUDOU” GONZALES aux guitares, YVES « ROTACHE » ROTACHER, batteur et fondateur et LUC BLACKSTONE (bassiste des BUZZMEN), GANAFOUL – qui signifie « comme un fou » en patois givordin – propose un rock dur mâtiné de blues qu’ils ont baptisé le « sider-rock ». Tout un programme.

Le temps de papoter avec les copains, le temps passe et le Brin de Zinc se remplit de plus en plus. C’est hyper cool, je n’aurais pas pensé qu’autant de gens de cette génération soient venus de toute la région pour voir nos copains Givordins ! Bon après, étant donné la réputation du groupe, ce n’est pas étonnant. Je retrouve même des copains que je n’ai pas vus depuis une éternité. La première chose que je remarque c’est l’imposant kit de la batterie qui comporte deux gros tom basses, ce qui n’est pas vraiment courant. J’ai l’impression qu’il prend même toute la scène, laissant peu de place aux musiciens. Mais évidemment, ce n’est que mon sentiment et il est ce qu’il est…

Il est 21h10 quand les musiciens investissent la scène. Ils règlent une dernière fois leurs instruments et vont attaquer leur show. “Il y a du monde dans ce troc-là ?”, demande tout sourire JACK en se tournant devant le micro. “Tout le monde est là ? On est vieux, faut prendre soin des autres”, continue-t-il. “C’est bon ? Ok, c’est parti ! ”. Et le set commence avec le très bluesy “Free Tomorrow”.

Dès ce premier titre, me voilà embarquer dans le boogie rock des Givordins. Je suis surpris, m’attendant à un groupe de vieux croûtons impassibles, trop anciens pour se bouger, mais non, absolument pas. Ils prennent un plaisir fou à être sur scène et JACK adore plaisanter. Il se moque de ses musiciens qui prennent le temps de boire un coup (du Château la Pompe). Il faut dire que, dans le public, serrés les uns contre les autres, et sur scène il fait déjà très chaud.

“After All Those Days” continue sur sa lancée et ravit les fans qui n’hésitent pas à danser sur la musique des Lyonnais. “On va vous jouer “Roll On”, un titre sur le premier album. Ok pour Roll On ?”, demande JACK en se retournant vers ROTACHE et ses camarades. Pour la première fois, GANAFOUL fait participer le public en le faisant taper des mains. “Super ! Merci !”, nous dit JACK à la fin du morceau, visiblement heureux de jouer ce soir.

GANAFOUL @ le Brin de Zinc

Je remarque qu’un cahier qui semble contenir les paroles est posé sur le sol. Cependant, alors qu’on serait en droit de se demander comment un chanteur peut avoir besoin de se rappeler des textes qu’il a probablement écrits, je pense, après l’avoir bien observé, qu’il l’utilise plus comme un aide-mémoire, étant donné qu’il ne le regarde quasiment pas. Rappelez-vous tout de même que JACK a quand même quelques années au compteur.

Lorsque “Full spread ahead”, le morceau suivant est joué, le public se met à taper des mains spontanément. Il faut dire que le titre est super entraînant, sur fond de boogie rock. “Vous avez la pêche !”, nous dit JACK à la fin du morceau. “C’est le bon air des montagnes”, rigole-t-il. Et on continue l’aventure avec une nouvelle fois un morceau ultra boogie “Nothing mor”, en enchaînant sans temps mort sur “Let me burn”. Et là, je me rends compte que j’aurais aimé les avoir vus dans leur prime jeunesse. Non pas que je n’apprécie pas, bien au contraire, j’adore même. Le seul regret, c’est que j’aurais aussi aimé les voir avant. Mais que voulez-vous, j’étais trop jeune à l’époque !

“Vous passez un bon moment ?”, nous demande une fois de plus le chanteur en levant le pouce. “Celle-ci s’appelle Sometimes”. C’est une belle balade en mode blues qui, au fur et à mesure, accélère avec un refrain à tomber par terre “Go oh oh oh I’m on my way”.

ROTACHE tient le rythme avec son énorme set de batterie et reprend les chœurs avec son micro HF. Il se lève à chaque fin de titre et lui aussi est toujours souriant. LUC BLACKSTONE fait ronronner sa basse avec ses doigts, pendant que DOUDOU sort des riffs de folie, complétant la rythmique de JACK.

GANAFOUL prend du bon temps à jouer leur musique et ça se voit avec les sourires immenses qui se lisent sur les visages des musiciens. Les titres déboulent les uns derrière les autres dans le Brin de Zinc. « I’ve got it bad » est aussitôt suivi du très remuant “Far from town” qui voit les deux guitaristes se lancer dans un duel de guitare mémorable. Puis, c’est la première reprise de la soirée : “Breakin’ Down”. “Un petit blues de ROBERT JOHNSON  qu’on a réarrangé à la sauce GANAFOUL”, dixit JACK.

GANAFOUL @ le Brin de Zinc

Le sentiment que le groupe joue comme s’il devait jouer le dernier concert de sa vie ne me quitte plus. Moi qui, au départ, était sceptique, je suis carrément à fond. Ma tête bouge toute seule aux rythmes des musiciens et mes membres ne s’arrêtent pas non plus. C’est complètement fou. Je sens une grosse influence STATUS QUO, groupe qui était à son apogée lors la formation du groupe.

Et on persévère avec une seconde reprise, “I don’t wanna see your face again” de ANGEL CITY, un groupe australien que j’adore. Alors que le groupe demande de l’eau depuis tout à l’heure, celui-ci fait passer les bouteilles du public au bar et du bar au public. “Merci pour l’eau et pour la chaîne humaine”, nous dit JACK, une fois les gourdes remplies.

GANAFOUL @ le Brin de Zinc

“Live peace and rock ‘n’ roll” voit GANAFOUL faire chanter le refrain par le public. “Bon on peut chanter un truc plus cool ?”, demande JACK à ses musiciens. “Tryin so hard to play”, continue-t-il, “c’est un peu le “ride-on” de GANAFOUL”. Mais quel fabuleux titre ! Je comprends mieux l’affirmation du chanteur. “Low down insight, c’est plus rapide messieurs, accrochez-vous !”. Et de nouveau, on prend une bonne petite claque en travers du visage. “I’m a Backstreet boy” et “On a saturday night” font vibrer le public.

“Bon ben, on va y aller, dans un ou deux morceaux. Merci d’être venus, ça nous encourage”, annonce le chanteur. “J’en reconnais quelques-uns que je n’ai pas vus depuis 40 ans. C’est bien, vous n’avez pas changé.”, plaisante-t-il avant de présenter ses musiciens. C’est Luc qui se charge de présenter jack. “Vous en voulez une autre ?”, demande le chanteur guitariste. Le public répond par l’affirmative, forcément. “Z’avez pas de maison ?”, interpelle LUC BLACKSTONE en souriant. JACK reprend la parole alors qu’ils sont toujours sur scène “Bon, keskon fait ? On s’cass ? Bon ben, on va faire comme si on était partis et que vous nous avez rappelés”, rigole-t-il avant d’expliquer le dernier titre, “Zone Interdite” qui date du début du groupe avant qu’il n’intègre GANAFOUL.

“Bon ben, rentrez bien chez vous et achetez un petit disque avant de partir !”, nous dit JACK à la fin du morceau. Cependant, comme très souvent au Brin de Zinc, le public ne veut pas laisser partir le groupe. “Bon Ok, on vous en fait une dernière !”. Et c’est avec l’excellent “Saturday Night”, un titre très bien trouvé pour un samedi, que sans être descendu de scène, GANAFOUL plie le match. “Ça a été un plaisir de jouer pour vous. Merci !!”,  nous dit JACK, non sans ajouter une dernière petite blague. “Bon dimanche ! Demain, c’est la messe, on n’hésite pas.”.

Mais quelle baffe je viens de prendre ! J’avais une énorme appréhension avant ce concert, cependant, c’est bien connu, c’est dans les vieux pots qu’on fait la meilleure soupe. Une fois le set terminé, le groupe se balade dans le Brin de Zinc et discute avec les fans et leurs anciens copains, se remémorant avec nostalgie leurs aventures et les concerts passés. Ils nous remercient même chaleureusement d’être venus les voir. Après avoir bien papoté avec les membres, il est temps pour notre duo de rentrer chez nous en remerciant, nous aussi, le groupe pour leur prestation.

GANAFOUL est un grand groupe qu’il ne faut pas rater si vous aimez le boogie rock de la fin des années 70, début des années 80.

GANAFOUL @ le Brin de Zinc

Et, une fois de plus, un grand merci à Thomas pour ce concert !

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GANAFOUL au Parc Babouin Jaubert

Samedi 12 août 2023 à La Voulte sur Rhône (07)

GANAFOUL

J’avais vu que l’an dernier, il y avait des  affiches sympas pour ces « Kiosques à Musique ». Cette année, je suis dispo et donc je suis sur leur actu quand je vois que GANAFOUL va passer en concert ! Je parle bien du GANAFOUL – groupe de Lyon, de Givors pour être plus précis – qui a eu son heure de gloire dans les 70’s et qui évolue dans du rock, hard boogy en Français ou en Anglais.

GANAFOUL, je ne les ai jamais vus en live, même si j’ai eu l’occasion de rencontrer JACK BON, un de leurs membres, il y a une dizaine d’années. Mais bon, à cette époque, JACK jouait du blues et en acoustique… Au grand plaisir de ma chérie qui adore le blues, lol.

Donc direction l’Ardèche par les petites routes pour éviter les départs et retours de vacances. On arrive en avance et il n’y a pas beaucoup de monde encore sur place. Tiens, un Breton qui fait des galettes ! C’est bon, les galettes !! J’estime le temps avant le début du premier groupe… Cinq personnes devant nous, ça devrait le faire.

Ah oui, j’ai oublié de vous dire qu’il y a une première partie, MARCO TRIO, inconnu au bataillon. A première vue, c’est du rock français. Bon, je vais bientôt le savoir… enfin si le monsieur arrive à me faire mes galettes. C’est fait à la minute avec amour et beaucoup de beurre mais ça prend du temps, beaucoup de temps.

Du coup, je n’aurais pas ma galette légère (andouille, camembert – excellent pour avoir une haleine de chacal) avant le début du trio ; début que je suivrai en mangeant. Alors MARCO TRIO, c’est bien fait et ça joue. On est dans un mélange de THIEFAINE et de BIJOU, un peu de rock 60 et pas mal d’influences. Du coup, je finis vite de manger et je vais devant la scène pour prendre des photos. Le public est déjà pas mal présent et ça continue à arriver.

De près, le son est bon, et la formule trio basse/batterie/guitare chant est efficace. Je ne vais personnellement pas acheter leur CD mais pour ouvrir les hostilités, c’est plutôt bien et festif.

Pendant la pause, je regarde autour de moi, les remparts, les éclairages… Dans ce parc, la nuit, c’est trop cool. En plus, il fait encore très, très bon et, cerise sur le gâteau, il n’y a pas de moustiques.

GANAFOUL

Je suis donc aux taquets pour l’arrivée de GANAFOUL sur scène. Yes, il y a trois membres d’origine et putain, je ne vais pas être déçu ! Ils ne sont pas là par hasard. Contrairement à un certain BERNIE B., ils n’ont pas mis un bob et rappisé leurs morceaux, eux. Ils repartent en 70 hard-rock boogy à donf’ ! Que c’est bon !!

Alors, bien-sûr, on va avoir droit aux anciens morceaux, même très anciens, même ceux en Français mais ils nous jouent également des morceaux de leur nouvel album « Roll On », qui est ressorti récemment sur l’excellent label Bad Reputation. Et je dois le dire, ce mélange d’ancien, bah ça matche !

En plus, le groupe prend visiblement beaucoup de plaisir à jouer ensemble. Le bassiste s’est bien intégré, et JACK BON de son côté, a retrouvé la pêche.

Wouah, leur boogy hard à la STATUS QUO est mega efficace en live ! Entendre des morceaux que j’aime depuis tant d’années aussi bien joués, c’est trop bon. Je suis comme un gamin, je suis heureux. Voilà une reformation comme je les aime : on reprend les choses là où on les a laissées, avec le même état d’esprit. Ils ont l’air réellement heureux. Le public aussi d’ailleurs !

Les GANAFOUL nous font un mega rappel, réclamé à donf’ par la foule.

Sniff, c’est fini. Je suis content, je les ai enfin vus en live et je ne suis pas déçu. Je pense juste qu’à leur grande époque, ça devait être une pure tuerie, surtout dans une France qui écoutait CLAUDE FRANCOIS et MIREILLE MATHIEU !! Eh oui, car bien avant TRUST et TELEPHONE, GANAFOUL faisait du rock-hard en France.

Merci messieurs et content de vous retrouver.

JACK BON SLIM COMBO 1

JACK BON SLIM COMBO

Report de Steve *74

Ce soir, direction La Roche-sur-Foron pour un concert à la foire. Oui, celle où vous pouvez acheter le même jour un motoculteur, un canapé, un spa ou du fois gras du sud-ouest ! Le festival Guitares en Scène délocalise sa programmation pour une soirée spéciale avec le JACK BON SLIM COMBO comme invité.

Une bonne fée s’est penchée sur moi aujourd’hui car j’arrive à trouver de la place en moins de dix minutes, un exploit en soi. La chance me poursuit car à l’entrée, je rencontre le régisseur de Guitares en Scène et je n’ai plus qu’à le suivre pour arriver au lieu du concert. J’évite ainsi de galérer dans les différents halls à la recherche de la scène.

L’avantage d’une foire, c’est qu’aucun spectateur ce soir ne mourra de déshydratation car il y a des buvettes en nombre autour de nous ou pour ceux qui le désirent des stands de dégustations d’alcool en tous genres sont disséminés un peu partout !

JACK BON SLIM COMBO 2

JACK BON SLIM COMBO

Avant de débuter, un petit brin d’histoire s’impose pour ceux qui ne connaissent pas forcément JACK BON. Il fut, entre 1976 et 1981, le guitariste chanteur de GANAFOUL, groupe majeur pour moi et qui a bercé ma jeunesse au son de son hard-boogie rock dévastateur. Originaires de Givors, proche banlieue lyonnaise, ils sont considérés comme un groupe majeur de l’époque. Au summum de leur gloire, ils ont assuré la première partie d’ AC/DC à Aix-les-Bains en 1979. Oui, celui du temps de BON SCOTT, avec un concert mémorable pour tous les spectateurs présents ce jour là. Vous l’avez compris, GANAFOUL faisait partie de mes groupes fétiches à l’époque.

Séparés en 1981, la formation se reforme de façon ponctuelle dans les années 90 avant de disparaître des écrans radars définitivement. Alors trente-cinq ans après – oui, cela ne me rajeunit pas ! – avoir l’opportunité de réécouter sur scène JACK BON, cela ne se refuse surtout pas. C’est inespéré !!

Comme à la grande époque, c’est un power trio qui arrive. JACK tenant encore et toujours la guitare et le chant, LAURENT FALSO assure la batterie et CHRISTIAN MICHEL la basse. Les deux musiciens faisant aussi les chœurs.

JACK BON SLIM COMBO 8

JACK BON SLIM COMBO

Avec les années les gens s’assagissent et JACK n’échappe pas à la règle. Avec sa guitare sèche électrifiée, il nous distille un blues calme et apaisant… Il faut préciser que « Colors of blues », le dernier album du sieur sorti en 2015 est un CD de reprises blues jouées en acoustique. Mais heureusement pour moi, il n’y a pas que de la guitare sèche, la rythmique donnant une couleur un peu plus rentre-dedans à l’ensemble !

D’ailleurs, après quelques morceaux, JACK délaisse l’acoustique pour jouer en mode slide et là nous revenons vers des terrains de jeux aux sonorités plus habituelles pour moi et une partie du public qui commence à bouger un peu plus.

Plus la nuit tombe, plus l’intensité monte sur scène. JACK BON a maintenant empoigné une bonne vieille Gretsch et dorénavant il fait parler la poudre. Nous restons toujours dans le blues mais le côté rock a gagné du terrain. il est même mis en avant.

Le public plus nombreux qu’au début du show, approuve le changement de ton des musiciens. Le blues boogie de certains titres fait danser quelques spectateurs et taper du pied les autres.

Le répertoire tout au long de la soirée est fait de compos originales et de reprises d’EDDIE COCHRANE ou de BOB DYLAN pour n’en citer que deux.

Son but est aussi de transmettre son amour du blues aux auditeurs et l’on sent que notre homme a toujours la flamme et que sous ses doigts agiles les notes ne demandent qu’à exploser aux oreilles des spectateurs.

JACK BON SLIM COMBO 3

JACK BON SLIM COMBO

Et puis arrive le dernier morceau, celui que j’espérai depuis le début, celui que je n’ai pas écouté sur scène depuis tant d’années, j’ai nommé « Saturday night », un des morceaux phares de GANAFOUL à l’époque. Je regarde autour de moi et m’aperçois que tout ceux de mon âge ont le sourire aux lèvres et éprouvent à priori, le même plaisir que moi à écouter ce monument du hard français.

Avec le recul, on peut légitimement regretter que GANAFOUL se soit arrêté si vite. Ils avaient un potentiel énorme et auraient du concurrencer un peu plus longtemps les TRUST ou OCEAN à l’époque.

Je sais que les rééditions Cd des trois premiers albums ne sont pas facile à trouver, mais faites l’effort de les chercher, vous ne serez pas déçu.

Après avoir serré la main de Jack, c’est l’heure de rentrer à la maison avec le sentiment d’avoir passé une bonne soirée. De la joie mais aussi une petite pointe de nostalgie occupent mon esprit.

Vivement le prochain concert !

JACK BON SLIM COMBO 4

JACK BON SLIM COMBO

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TRUST

Trust

Album à posséder. Le Hard 80 français a un nom : TRUST. Des paroles engagées, du Hard qui percute.. « L »élite », « Police-milice ».. En plus cet album prépare au coup de masse du second.

TRUST

Répression

Avec « Antisocial » en tête, un album de légende est né. Un putain d’album en colère. Du Hard qui veut dire quelque chose, plus que de la musique, une part d’histoire ce TRUST-là !!

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TRUST

Europe et haines

TRUST est de retour ! Bon, l’ambiance est plus au Blues, mais c’est un vrai putain d’album.. peut être parce que moi aussi j’ai vieilli. Les paroles et la musique font mouche et sont encore dans ma tête des années après. Un CD obligatoire.. surtout en cas de blues !! Et comme ils disent : « Le temps efface tout, c’est dégueulasse ».

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SATAN JOKERS

Les fils du métal

Le premier SATAN JOKERS. Un must pour les paroles. « Quand les héros se meurent » est magnifique, « Le fouet » sur les rapports sado-maso vaut le détour. Bref, tout l’album est fabuleux. La voix de Pierre, la frappe de Renaud, leur univers est sans égal !

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SATAN JOKERS

Trop fou pour toi

Toujours en avance sur leur temps avec leur Hard à deux chanteurs, leurs méga belles mélodies, leurs textes branchés cul. Bref : à avoir !

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SORTILEGE

Sortilège

Le mini-L.P. avec bien sûr « Sortilège ». Un premier coup de maître qui n’a pas pris une ride.

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SORTILEGE

Métamorphose

La suite du mini-L.P. avec « Délire d’un fou », « D’ailleurs ».. Un album de Heavy à la française que j’écoute encore avec plaisir.

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H-BOMB

Coup de métal

6 titres qui frappent. Bon, il faut aimer la voix. La version AXE KILLER a 4 bonus en anglais ! Moi perso, ce disque-là, je l’ai retrouvé avec plaisir.

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GANAFOUL

T’as bien failli crever

GANAFOUL fait dans le Hard Rock avec des rythmiques qui frappent. Un Hard Rock quand même typé 70. Moi, j’aime bien leurs paroles.

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ADX

Exécution

Du Heavy avec des morceaux qui tabassent bien. Pourquoi cet album-là ? Eh bien, il y a « Vampire » et aussi « Caligula » avec son intro et son refrain. J’adore !

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VULCAIN

Rock ‘n’ roll secours

Qualifié de MOTORHEAD français à la sortie de cet album, car même schéma. On envoie le bois, avec « Ebony », « Le King », « Le fils de Lucifer »… VULCAIN, la machine à grosses baffes fonctionne bien. La touche française avec « La digue du cul » inoubliable. Un CD incontournable. « De Nantes à Montaigu, la digue, la digue… » !

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VULCAIN

Desperados

On est toujours dans la famille « les freins c’est pour les lâches », où « les petits frères de MOTORHEAD ». Donc si vous avez aimé « Rock ‘n’ Roll secours », « Desperados » est vraiment dans la même veine. Encore un CD que j’ai vite récupéré !!

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BLASPHEME

Blasphème

Dans la famille Hard français 80. Rien à jeter sur cet album. La musique, la voix de Marc, les paroles.. Bref « Jack l’éventreur », « Jehovah », « Magie noire », « Excalibur », des incontournables du Hard made in chez nous.

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BLASPHEME

Briser le silence

Un come back 30 ans après, ça donne quoi ? Un putain de CD. Pour la grande partie des morceaux, on est dans le prolongement du premier album. Pour le CD en totalité ? Un super CD de BLASPHEME avec « The crow », « Briser le silence ». Le temps s’est remis en place, il n’y a pas eu 30 ans d’absence. Des retours gagnants comme celui-là, il n’y en a malheureusement pas beaucoup !!

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STOCKS

Enregistré en public

Pour un coup d’essai, un coup gagnant. Enregistré son premier album en live avec un Hard Rock Sudiste chanté en Français, il fallait oser ! Bah, ça a très bien marché ! Les titres frappent juste, les paroles aussi. Bref, à avoir dans sa CDthèque !!

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WARNING

Warning (pochette noire)

Du Rock Hard en Français, des paroles un peu bizarres, mais en tout cas, moi j’aime bien leur univers.

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WARNING

Warning  (pochette rouge)

Dans la ligne du premier avec des titres un peu plus rentre-dedans comme « Commando » ou « Speed moi ». Si vous aimez le premier, le 2e est aussi pour vous.

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Le 3e et dernier WARNING. J’ai attendu comme un dingue qu’il soit enfin ré-édité. C’est chose faite. Certainement mon album préféré du groupe. Je chante encore « Le petit peuple ».

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DEMONTOOL

Soleil rouge

Dans un style BLASPHEME, SORTILEGE en version accélérée. Avec un chanteur qui est limite hurlage, souvent border, mais ça passe et perso j’apprécie ce CD gros son.

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IRMINSUL

Ainsi soit-il

J’ai pris et je prend toujours du plaisir avec ce disque. Du Metal à la sauce Heavy 80, très mélodique avec une voix claire. Les paroles sont sympas et se marient très bien avec la musique.

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MESSALINE

In cauda venenum

Des paroles délires et recherchées, un hard métal bien à eux, un chanteur possédé, des morceaux que j’adore comme le « Bûcher des vanités » ou encore « Souffler dans le cul de Lucifer » ; un tout qui fait de cet album un opus à posséder dans sa collection. Différent et original.

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HEAVEN’S COLT

Rien à foutre

Du Hard Boogie à la AC/DC, des paroles et de la musique pour se laver la tête et se niquer la nuque. Et ça marche sévère ! Du Hard Rock ‘n’ Roll Farmer made in France !!

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MALEDICTION

Esclave du vice

Dans un esprit BLASPHEME, SORTILEGE. De très belles mélodies, des morceaux qui percutent, un chanteur qui sait chanter… Un CD à posséder pour les amoureux du hard chanté en français !!!

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MANIGANCE

D’un autre sang

Du Metal mélodique avec chant en Français, ce n’est pas courant. Et dans ce style « D’un autre sang » a vraiment sa place !

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Du Metal parodique avec des paroles délire fait par de putains de musiciens. Un must dans le genre. Et la reconnaissance pour ULTRA VOMIT !

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Un groupe Français qui chante en Français et qui fait du Hard FM au début des années 80. Un album qui ne prend pas une ride. Le label Bad Reputation l’a ré-édité.

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Je me souvenais du groupe car il avait sorti son album en vinyle rouge, ce qui n’était pas courant à l’époque. Depuis que j’ai récupéré l’album en CD, je l’écoute très souvent. Du Hard Rock avec des paroles qui parlent de faits de société et aussi des délires. Très content de l’avoir récupéré, moi ! Pour fans de Hard Rock à la Trust.

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