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THE BELLRAYS au Brin de Zinc

THE BELLRAYS au Brin de Zinc
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Et c’est reparti pour le Brin de Zinc pour aller voir THE BELLRAYS. Ce soir, alors que leur pays est en plein marasme politique, nos copains Californiens ont posé leurs flight cases à Barberaz pour nous présenter leur petit nouveau « Heavy Steady Go » sorti très récemment. Mais avant de partir, il me faut rassasier la Titine qui fait la tête. « Je suis malheureuse, j’ai plus d’essence, mes pneus sont dégonflés…. ». Bon, une fois la dame regonflée à bloc, direction le Brin de Zinc.

L’avantage d’être un lundi soir, c’est que sur la route, il n’y a pas grand monde. Donc pas d’abrutis qui vous font des appels de phares alors que vous êtes en train de dépasser un camion parce qu’ils sont derrière vous et que vous vous traînez à 130 km heure sur l’autoroute.

Une fois arrivés sur le parking, je me rends compte qu’il est blindé. A tel point que c’est limite s’il ne faut pas faire la queue pour pouvoir se garer. Heureusement pour moi, un véhicule s’en va au moment où j’arrive. Cool. Devant la porte d’entrée, il faut montrer patte blanche. Cela faisait longtemps que ça ne m’était pas arrivé et ça veut dire que le concert est full. Trop bien ! Reste plus qu’à attendre l’arrivée de nos copains de Riverside.

En regardant le public de ce soir, je me rends compte qu’il n’y a pratiquement que des quinquagénaires, voire même des sexagénaires. Bon, il y a quand même quelques trentenaires, mais la moyenne d’âge se situe entre 45 et 60, voire 70 ans peut-être. Il semblerait que les spectateurs ne soient pas nés de la dernière pluie, ce qui semble logique, étant donné la longévité du groupe.

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Si vous ne connaissez pas les BELLRAYS, c’est un groupe de Garage Rock qui mélange le Punk, le Hard Rock et la Soul qui date de la fin des années 80.

Le concert est, comme je le soupçonnais, rempli à ras bord. Encore heureux que j’ai pu me placer bien devant. Je ne rencontre pas beaucoup de têtes connues, les copains ne sont pas tous venus. Ils ne savent pas ce qu’ils vont rater ! Mais bon, ça peut se comprendre étant donné que nous sommes un lundi soir et que le lendemain il faut retourner travailler.

En revanche, j’ai le sentiment que pour les lumières il va falloir s’accrocher, mais bon le concert n’a pas commencé, attendons. Tiens, comme si ça ne suffisait pas, et pour couronner le tout, la machine à fog fait son grand retour et en plus la clim’ est à fond. Le fond de l’air est frais, mais je ne m’inquiète pas trop car étant donné le monde ça ne devrait pas durer.

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20h55, le guitariste BOB VENNUM traverse le BDZ pour récupérer des trucs dans une belle valise rose posée à côté de son ampli puis repart au fond. Étrange… En observant la scène, je remarque, à part la valise, deux gros congas et un tambourin meini (tambourin sans la peau) sur l’ampli de guitare et une setlist froissée déjà posée au pied de la batterie. Nouvelle étrangeté que je vais comprendre plus tard dans la soirée.

L’impatience du public commence à se ressentir et ça bouillonne de plus en plus dans le BDZ qui devient ultra chaud, pendant que sont diffusées différentes musiques Punk à tendance Rock.

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21h14, les BELLRAYS au complet traversent le public pour monter sur scène. A peine installés, 30 secondes après avoir réglé leurs guitares, LISA KEKULA, l’impressionnante chanteuse demande : « Ready Guys ? » et d’un coup nous sommes embarqués dans le monde des BELLRAYS avec « C’mon ». C’est une LISA au top de sa forme qui, talons hauts, leggin’ noir et chemise rouge écarlate, est présente sur scène pour nous montrer de quel bois elle se chauffe. D’ailleurs, ça tombe bien, étant donné la fraîcheur extérieure. “Nous avons sorti un nouvel album qui s’appelle ‘Ready Steady Go” et nous allons vous en faire quelques morceaux “, dit-elle.

Treize ans que j’attendais ce moment ! C’est trop bon, d’autant plus que je ne les ai jamais vus d’aussi près. La section rythmique a changé depuis la dernière fois où j’ai eu l’occasion de les voir en live. A la basse, il y a NICO MILES qui ne tient pas en place, et CRAIG WATERS derrière les fûts qui jouait déjà sur les albums « Have a Little Faith » et « Hard, Sweet and Sticky » soit un sacré retour aux sources. “I Fall Down” et “Power to Burn” se suivent sans interruption avec une LISA agressive, dans le bon sens du terme, se baladant de droite à gauche de la scène, micro et tambourin en mains.

Ball of Confusion” et “Hard Drive” continuent de fasciner le public. BOB va au-devant de la scène pour ses solos pendant que, sous les frappes rapides et précises de CRAIG, NICO reprend les refrains avec beaucoup d’enthousiasme. LISA est hyper sérieuse et reste concentrée sur ses paroles, mais elle sourit quand même de temps en temps. Ouf ! Les talons sont moins hauts qu’il y a treize ans, et elle bouge moins qu’avant mais ça ne l’empêche pas d’haranguer le public. « It’s a Rock show, People », dit-elle quasiment à chaque fin de titres.

NICO a un sourire qui illumine son visage, en qui en dit long sur le plaisir qu’il prend à être sur scène à côté de telles stars. Pour ma part, je n’en reviens toujours pas de voir les BELLRAYS si proches. C’est très étrange, je n’ai pas l’habitude et c’est vraiment trop top.

Le brûlant et Bluesy « Snakes » tiré du récent LP « Ready Steady Go » fait monter la chaleur dans le Brin de Zinc. Lorsque LISA chante à tue-tête « I see snakes », j’ai l’impression de me retrouver au fin fond du désert et de faire face à un serpent à sonnette  quand elle secoue son tambourin.

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Les titres ne s’arrêtent pas de défiler continuant leur travail de sape sur un public aux anges : « California », « Pinball City », le lourd et puissant « Changing Colors », l’excellent « Living a Lie »… Pas de palabres inutiles, à part les « It’s a Rock Show, People. A Night Rock Show » de la chanteuse qui continue de regarder le public d’un regard menaçant lorsqu’elle ne défie pas les spectateurs du doigt. « Down of my Knees » et « One More Night » sont suivis par « Voodoo Train », le génial « Black Lightning » et « Startime ».

 Il est bientôt l’heure de terminer, du moins c’est ce que dit la setlist, avec « Revolution Get Down » qui était noté en premier, mais bon… LISA prend le devant de la scène, toujours aussi menaçante et revendicative. Le titre terminé, le groupe remercie le public et, comme à mon habitude, je récupère la setlist qui était au sol. Sauf qu’à priori, il ne fallait pas puisque LISA me reprend la setlist des mains. Oups, aurais-je été trop hâtif ?

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En tout cas les BELLRAYS n’en ont pas fini avec nous puisque nous avons droit à deux titres supplémentaires. « Merci », nous dit-elle en Français. « It’s not Monday, People. This is a Friday Night Rock show », continue-t-elle. Et voilà, le set se termine. Ah ben non, LISA a décidé de continuer avec « Power to Burn ». BOB tourne sur lui-même tout en tapant du pied et faisant du « Duck Walk », sous les martèlements de CRAIG, toujours aussi impressionnant, et les sons de basse de NICO, qui continue de bouger et de reprendre les refrains avec le smile.

D’un coup, LISA descend de la scène pour aller chanter au plus près du public. Le groupe ne s’arrête plus. C’est complètement dingue. « Come on people, Come on !! », nous dit LISA en remontant sur les planches.

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Après avoir présenté les musiciens qui l’accompagnent, elle demande au public de faire plus de bruit, et conclut « Merci beaucoup » dans un Français américanisé. « We are THE BELLRAYS, Best souvenir !! » et c’est fini. Une heure pas plus pas moins, et les BELLRAYS ont déjà fini. Certes, le concert était génial mais j’en aurais bien pris un peu plus. Et dire qu’aux États Unis, ils jouent régulièrement plus d’une heure et demie. Enfin bref.

A peine ont-ils fini que le groupe est déjà à son stand merch’ en train de signer et de vendre leurs T-Shirts et CDs. Malheureusement pour moi, les prix sont quelque peu prohibitifs pour mes poches. Nous quittons donc le Brin de Zinc sans petit bonus concert mais c’est avec le « Heavy Steady Go » en boucle dans la voiture que nous faisons le chemin du retour.

Encore un grand merci au Brin de Zinc et à Thomas pour cette soirée !

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DREAMCATCHER et DENVER au NEO

DREAMCATCHER et DENVER au NEO
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Le mois de novembre commence à peine que je retourne voir un concert, le jour de la Toussaint à l’Isle sur la Sorgue. Je viens de découvrir qu’il y a un pub là-bas, le Neo, qui outre le lancer de hache et le billard, propose des concerts. Et là, l’affiche m’attire comme un aimant, car je cours après une date jouable pour moi pour voir les Parisiens de DREAMCATCHER.

Donc en route pour le Neo ! Heu, pas évidente la petite route quand on ne la connait pas, surtout de nuit. Mais bon, comme le dit l’adage : « Quand on aime… ». En revanche, je me gare finger in the nose ! L’endroit est top, c’est super grand. En plus ce soir, il y a un foodtruck à l’extérieur. Dans le pub, une petite scène basse est installée et je constate qu’il y a déjà pas mal de monde. Il faut dire que DENVER, le groupe de première partie est un groupe local de compos.

Le temps de dire bonjour aux DREAMCATCHER et de manger un trop top burger maison (je vais pouvoir faire un guide des meilleurs burgers de concert, moi !) et c’est parti ! Le groupe devant moi est en formation basse, guitare, batterie et guitare solo/chant. DENVER est le groupe du guitariste-chanteur Ted DENVER qui a remonté le groupe avec de nouveaux membres. En effet, pour ceux qui ne les connaissaient pas, DENVER existait auparavant mais officiait sur Paris. Ce qui  remonte quand même à quelques années ! 

Musicalement, on est dans du Hard Rock, Heavy. C’est plutôt agréable. Ted a une belle voix et il chante avec un bon accent Anglais, ce qui n’est malheureusement pas le cas de tous ceux qui chantent dans cette langue. En plus, c’est un superbe guitariste et il est clair que c’est sur lui que repose le groupe. Le groupe communique bien dans une ambiance très familiale. D’ailleurs, petite anecdote, le chanteur arrête même le set une petite minute pour faire un coucou à sa famille en visioconférence. C’est assez inhabituel mais c’est sympa.  

DREAMCATCHER et DENVER au NEO
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Bon, petite pause. Au stand merch’, un CD m’attire (c’est bizarre, non ?). La pochette est sublime et sent à plein nez une production de Stan W. DECKER. Ce qui m’intrigue, c’est que ce n’est pas un album de DREAMCATCHER ni un album de DENVER (qui n’en a d’ailleurs pas). Thierry THUANE, le batteur de DREAMCATCHER m’éclaire à son sujet. Il s’agit d’AMETHSYTE PROJECT, un projet musical pour soutenir la recherche pour la lutte contre la maladie d’Alzheimer.

Plein de musiciens que je connais y ont participé dont Jo AMORE (KINGCROWN), Carine PINTO (MANIGANCE), Olivier COSTES (LOOKING FOR MEDUSA), etc, et bien-sûr les musiciens de DREAMCATCHER. Thierry m’explique qu’il est à l’initiative du projet, et j’avais raison pour la pochette, Stan W. DECKER a bel et bien participé à l’aventure. Du coup, comme c’est pour la bonne cause, je suis obligé de l’acheter, ce CD !

DREAMCATCHER et DENVER au NEO
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DREAMCATCHER au NEO

Allez, il est l’heure pour les DREAMCATCHER de monter sur scène. Et c’est parti ! Depuis le temps que je veux les voir, je suis aux taquets. Là c’est clair, tous les musicos, du batteur au guitariste ou au chanteur, sont des personnes qui ont joué dans des groupes depuis longtemps. C’est mega pro et chacun a un look à lui. Bref, on ne dirait pas qu’ils débarquent d’un bureau de Poste ! C’est peut-être un détail mais pour moi, c’est important car un concert, c’est bien-sûr la musique, mais c’est aussi le visuel et malheureusement, pas mal de groupes l’oublient.

Les DREAMCATCHER font le show même si la scène est petite. Chris GARREL a d’ailleurs trouvé une solution : quand il ne chante pas, il laisse la scène à ses copains et va dans la salle. Je suis fan de sa voix. Elle matche à donf’ avec les morceaux. Alors oui, c’est du Hard Rock classique. Et alors ? Moi j’aime et je m’en balance de l’innovation…  surtout si c’est pour mettre des grosses voix qui font peur ou ajouter un mec qui nique des vinyles sur une platine. Je suis content d’entendre leurs morceaux en live.

Le groupe nous fait un petit cover de MAIDEN en hommage à Paul DI ANNO. Après ce morceau, Chris appelle Ted DENVER pour qu’il les rejoigne – il a été leur guitariste pendant des années et a joué sur le premier album. Le public est mega content car il y a visiblement beaucoup de copains à lui dans la salle. Et on repart pour deux morceaux du premier album… malgré quelques petits problèmes de son pour Ted.

Et hop, pour prolonger ce moment, ils attaquent un petit cover de SAXON puis un cover pas prévu de JUDAS PRIEST. Attention quand même, trop de covers tue le cover ! Mais bon, ils sont heureux de jouer ensemble et font durer le moment.

DREAMCATCHER et DENVER au NEO
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DREAMCATCHER avec Ted DENVER au NEO

Allez, il est tard et j’ai quand même un peu de route à faire donc on the road again ! Cool, demain c’est dimanche. C’est tranquille le dimanche… Comment ça, j’ai un concert demain ? Oups, je crois que sur ce coup-là, ça ne va pas être possible (non, je n’ai pas aqua poney, je suis crevé !), et puis ANGRA, je les ai déjà vus pas mal de fois.

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DIE FOR MY SINS, Scream

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Label : ViciSolum Productions

Sortie : 22 novembre 2024

DIE FOR MY SINS, what is it ? Facile, c’est un groupe de Heavy Power Metal Italien composé de Fabio CALLUORI (guitare) et de son frère, Nicolas CALLUORI (batterie). Pour cet album, ils ont fait appel à Ralf SCHEEPERS (PRIMAL FEAR, ex-GAMMA RAY) et Ian PARRY (VENGEANCE, ELEGY) au chant.

Et alors, ils nous ont fait un album de Glam ? Mais bien-sûr, et la marmotte… Non, on est non seulement dans du Power Metal mais on est surtout dans le très haut du panier dans ce style ! Les morceaux sont top avec une grosse prod’ et la voix matche sévère.

Voilà le Power Metal que j’adore : ça bastonne sa mère-grand au pays de la pizza. J’adore ce « Scream ». A écouter très fort et sans modération. En plus, la pochette est superbe. Bref, cet album est une très bonne surprise. 4 pics.

STORACE, Crossfire

STORACE, Crossfire
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Label : Frontiers Music

Sortie : 22 novembre 2024 

Yes, Marc STORACE, chanteur du groupe suisse très connu KROKUS, nous sort un album solo sous le nom tout simple de STORACE. Ce petit bébé a pour nom « Crossfire ». Et je vous le donne en mille, on est dans quel style ? Du pur KROKUS, AC/DC évidemment ! Du Hard Rock qui te nique la nuque et qui fait headbanguer les kangourous. Le premier qui dit que ce n’est pas original, qu’il bouffe un koala !

J’adore la voix de Marc STORACE, j’adore le son de cet album avec ses morceaux qui te font taper du pied de manière incontrôlable. Alors oui, il a un peu triché en prenant des pointures pour l’accompagner pour la prod’. Mais il a bigrement bien fait car le résultat est trop top. C’est même meilleur que certains albums de KROKUS. Si, si !

OK, je suis mega fan de Hard Rock binaire à la AIRBOURNE, du Hard Rock qui sent le Blues et le bush. Toute la musique que j’aime vient de là, comme dirait quelqu’un. 12 morceaux à écouter à donf’, même le dernier, la superbe ballade « Only Love can Hurt like this ».

Voilà, j’ai tout dit ou presque. Foncez sur cet album, bande de petits graisseux, vous qui avez grandi avec Marc et son Hard Boogie. Alors tiens, 5 pics. Et candidat pour l’album de l’année !

KINGCROWN, Nova Atlantis

KINGCROWN, Nova Atlantis
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Label : Rockshots Records

Sortie : 22 novembre 2024

Yes, KINGCROWN, le groupe des frères AMORE (ex-NIGHTMARE) avec Joe au chant et David à la batterie est de retour avec « Nova Atlantis », leur nouvel album ! L’illustration de cover est magnifique et elle donne vraiment envie de découvrir le contenu.

Waouh, le son est énorme et les morceaux pulsent grave ! On entre directement dans leur univers et, comme toujours, la voix de Joe est magique, chaude, puissante. La partie rythmique est quant à elle très efficace et on a des putains de solos de guitare sur cet album. C’est du pur Power Metal comme je l’adore.

Ce « Nova Atlantis » est juste une putain de bombe, que ce soit au niveau de la prod’ ou au niveau des morceaux. KINGCROWN a frappé fort avec cet album produit par le célèbre Simone MULARONI de DGM). Le groupe a sorti le grand jeu avec des morceaux qui déboîtent les oreilles et des refrains qui ne demandent qu’à être repris en chœur.

Les fans de KINGCROWN vont être aux anges et pour ceux qui ne connaissent pas encore le groupe, c’est l’occasion parfaite de le faire. Pour moi, cet album montre clairement qu’ils ont franchi un palier de plus.

Allez, je me le remets à donf’ encore une fois ! C’est, en tout cas, un album à avoir dans sa collection et je lui attribue pour ma part 4 pics.