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Commentaires fermés sur CARE OF NIGHT, Live at Sweden Rock Festival
Chronique By TI RICKOU
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CARE OF NIGHT – Live at Sweden Rock Festival
Label : Frontiers Music
Sortie : 28 mars 2025
Les fans de gros riffs, de grosses voix, c’est l’heure de votre séance d’aqua-poney ! En effet, même si ce que je chronique maintenant c’est un live, il est enregistré au Sweden Rock Fest. On est donc dans de l’AOR, du Hard FM classieux.
Je résume pour ceux qui connaissent ce groupe : aucun problème, la setlist est belle, on a un gros son et c’est mega bien mixé. Bref, à avoir dans sa collection. Pour ceux qui n’ont pas la chance de connaître CARE OF NIGHT mais qui adorent le style, foncez sur cet album et tombez amoureux de la voix chaude de Calle SCHONBERG et des morceaux sublimes.
Ce live se révèle finalement une bonne occasion de découvrir ce groupe et je lui octroie 4 pics, ce qui pour un live n’est pas courant.
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Commentaires fermés sur THE DEAD DAISIES, THE TREATMENT et BARN HOOKER à la Rayonne
Jeudi 13 mars 2025 à Villeurbanne (69)
C’est une première pour moi ce soir : direction La Rayonne à Villeurbanne pour un concert. On m’a dit que c’était une chouette salle, alors j’ai hâte de la découvrir. Déjà, premier bon point : c’est facile de se garer pas loin, ce qui est toujours un petit stress en moins. En plus, je retrouve mon pote photographe pour la soirée, donc ça promet d’être sympa.
Report : Ghis P-A – Photos : Jean-Yves CLUZE
Quand on arrive devant la salle à 18h45, il y a quelques personnes déjà présentes, mais on est quand même dans les premiers. L’occasion parfaite pour retrouver des connaissances et papoter concerts et souvenirs en attendant l’ouverture. Ça parle de groupes qu’on a vus, de ceux qu’on aimerait voir, des meilleures ambiances qu’on a connues. Bref, la discussion est lancée et le temps passe plutôt vite.
Seul hic : personne ne sait exactement à quelle heure les portes ouvrent. La grande question du soir ! Finalement, l’info tombe : ce sera à 19h30. Mais voilà, coup dur pour ceux qui attendent déjà sous une petite pluie : à 19h15, les organisateurs décident de mettre en place des barrières. Mauvaise idée ! Ça râle de tous les côtés. Après une demi-heure d’attente, il faut maintenant se décaler et essayer tant bien que mal de garder sa place. Franchement, ça aurait pu être plus simple…
THE DEAD DAISIES à la Rayonne
Heureusement, à 19h30, ça ouvre enfin ! On avance progressivement, contrôles rapides, et nous voilà enfin à l’intérieur. L’excitation monte : maintenant, place à la musique ! On fonce directement dans la salle. Comme toujours, mon objectif est clair : être au plus près de la scène. Je suis petite, donc si je veux voir quelque chose, c’est impératif ! Mon pote photographe est dans le même cas, puisqu’ici, il n’y a pas de zone réservée aux photographes. On doit se débrouiller pour bien se placer.
La salle se remplit doucement, vraiment doucement. Il y a encore pas mal d’espace quand, en pleine installation technique, DOUG ALDRICH débarque sur scène. Il est hyper cool, super friendly. Il serre des mains et prend quelques photos avec ceux du premier rang. Sympa ! Honnêtement, ça valait bien le coup de zapper la petite bière d’avant concert.
BARN HOOKER à la Rayonne
20h pile, la première partie attaque. BARN HOOKER. Jamais entendu parler, mais dès les premières, je suis captivée par la chanteuse. Elle a un charisme de fou, à la fois sauvage et sensuelle. Son attitude me fait penser à un mélange entre TINA TURNER et AMY WINEHOUSE, c’est dire !
Je découvre aussi que le groupe est lyonnais, et juste à côté de nous, il y a la maman de JOEY, la chanteuse. Elle est aussi cool que sa fille, à ce qu’il semble !
BARN HOOKER à la Rayonne
Musicalement, ça envoie du lourd : un Rock bien pêchu qui flirte avec le Blues et des teintes de Metal. Malgré une scène réduite à cause du matos des trois groupes de la soirée, ils s’en sortent avec brio et livrent une prestation intense. On en redemanderait bien… mais 30 minutes, ça passe trop vite.
C’est déjà la pause. La salle se remplit un peu plus et moi, je garde précieusement ma place au premier rang. Pas question de reculer maintenant.
THE TREATMENT à la Rayonne
La suite du programme, c’est THE TREATMENT. C’est un groupe anglais de Hard Rock que je n’ai jamais vu en live malgré ses 15 ans d’existence, six albums et des tournées aux côtés de monstres comme KISS ou MOTLEY CRUE. Clairement, ça donne envie !
Pile à l’heure, le groupe débarque sur scène. Et là, pas de doute, on est bien en terrain Hard Rock : cheveux longs, tatouages et gros son. Tout y est. Ça envoie direct ! Moi, je craque complètement sur les deux guitaristes. Non seulement ils assurent grave musicalement, mais en plus, ils savent poser, pour le plus grand plaisir des photographes… et du public.
THE TREATMENT à la Rayonne
Petit détail marrant : être collée à la scène, c’est génial, sauf quand le guitariste arrive sur scène avec les cheveux trempés. Résultat, je me prends quelques gouttes en plein visage. Bon, au moins, c’est toujours mieux que la sueur !
La musique donne une folle envie de bouger et de sauter, et ça commence à bien s’animer dans le public. C’est puissant, efficace, impossible de rester statique. On est tous embarqués dans le rythme, et ça pulse à fond.
THE TREATMENT à la Rayonne
45 minutes de show intense, neuf titres envoyés à pleine puissance. Seul petit bémol pour moi : les morceaux se ressemblent un peu, j’ai parfois du mal à les différencier. Mais niveau énergie, il n’y a aucun creux, ça ne ralentit jamais et on ne s’ennuie pas une seconde. Et puis, petit bonus sympa : les membres du groupe viennent filer un coup de main pour débarrasser la scène après leur set. Un bon moyen d’en profiter encore un peu avant la dernière ligne droite de la soirée !
Dix minutes passent, les lumières s’éteignent… fin de la pause ? Pas du tout. La musique ne reprendra qu’à 21h45 comme prévu. Mais là, aucun doute : on voit bien pour qui le public s’est déplacé !
THE DEAD DAISIES à la Rayonne
Les DEAD DAISIES entrent en scène. Ce super groupe composé de musiciens stars du Rock est attendu comme le Messie, et ils vont nous régaler pendant 1h30.
JOHN CORABI, ex-chanteur de MOTLEY CRUE, mène le show avec une énergie de feu. DOUG ALDRICH, toujours aussi classe et charismatique, balance ses solos avec une aisance hallucinante. Mais la vraie révélation pour moi, c’est le batteur. Dès les premiers coups, ça frappe fort voir même très fort, c’est ultra précis et son style est vraiment unique. Et pour cause : il s’agit de TOMMY CLUFETOS, ancien batteur de BLACK SABBATH. Tout s’explique ! Il nous gratifie d’un solo de plus de deux minutes trente qui laisse tout le monde scotché. Une vraie claque.
THE DEAD DAISIES à la Rayonne
Le show enchaîne les tubes repris en chœur par le public, avec en bonus plusieurs covers bien sentis. Mention spéciale à ce grand moment où chaque membre du groupe est présenté avec un medley de classiques allant de « Highway to Hell » à » Seven Nation Army », en passant par « Whole Lotta Love ». Épique !
Autre belle surprise : JOHN CORABI nous offre un moment plus calme avec un Blues acoustique, qui tranche parfaitement avec l’intensité du reste du set. Et pour finir, DAVID LOWY, le fondateur du groupe et habituellement plus discret, prend exceptionnellement le micro pour interpréter un titre. Un instant rare et franchement appréciable.
THE DEAD DAISIES à la Rayonne
Impossible de ne pas mentionner également MICHAEL DEVIN à la basse, plus en retrait niveau présence scénique, mais qui assure avec une précision impeccable.
Un set intense, varié et terriblement efficace. Une prestation à la hauteur des attentes même si on notera que la qualité du son est assez moyenne, seule note négative du show. Malgré tout la soirée se clôture en beauté avec une reprise des BEATLES, « helter skelter » !
Tout le timing de la soirée est respecté à la seconde près. A peine les derniers accords résonnent encore que nous sommes déjà dehors, prêts à enfin savourer une petite bière bien méritée et à partager nos impressions. Spoiler : elles sont excellentes !
Pendant ce temps, les membres de THE TREATMENT sont en pleine discussion avec les fans, enchaînant selfies et dédicaces. De notre côté, on refait le concert entre potes, on se repasse les moments marquants, les solos, le son.
Mais pas le temps de trop traîner. A peine vingt minutes plus tard, alors que nos oreilles bourdonnent encore, on est gentiment mais fermement invités à quitter les lieux. Un peu court à notre goût, mais qu’importe : on en a bien profité ! Merci Mediatone !
C’est à 21h que le premier groupe entre en scène. HARP, est un groupe originaire de Bastia qui s’est installé sur Marseille. Il nous délivre leur Thrash avec des riffs lourds teintés de Death avec des passages lents alternés de montées rapides qui amènent le public dans son ambiance.
Le premier morceau du set « Exil » donne le ton. La voix éraillée de ROMAIN donne de la texture aux morceaux. La noirceur des morceaux est palpable. L‘ambiance est mise pour cette ouverture de soirée et le public a répondu présent.
Report et Photos : ALAIN THE RED
Je les avais déjà vus au Distortion Fest 2 une première fois et j’avoue avoir été surpris par leur style. Cette soirée prouve le potentiel que peut avoir HARP. Un groupe à suivre de près…
Belle mise en bouche pour ce début de soirée. Pour info, leur album « The Distance Within » est sorti en février. C’est le deuxième EP du groupe qui montre une grosse évolution depuis « Volume One » leur premier album sorti en 2017.
Deuxième groupe à prendre possession de la scène, ce sont les perpignanais de BLIND WISDOM. Autre style totalement différent mais tout aussi excellent. Ouverture du set avec un nouveau morceau « Between Bright and Pitch Black ». Le jeu de B.W. délivre un Power Metal dans la lignée d’HELLOWEEN et de GAMMA RAY.
La complicité des membres s’en ressent dans leurs jeux, c’est toujours un plaisir d’assister à leur set.
Les rythmiques solides avec des refrains entraînants repris à l’unisson par tous les membres du groupe donnent une sacrée pêche aux morceaux. Le bassiste est déchainé et on a un batteur au top de sa forme ainsi que deux guitaristes survoltés. C’est ça BLIND WISDOM !
On attend avec impatience un nouvel album après cet avant-gout du nouveau single, « Between ».
Dernier set de la soirée avec ANTAGONISM, formation de Toulon fondée en 2016. On active le mode Thrash et c’est parti pour une démonstration de riffs tronçonneurs avec un bombardier derrière les fûts.
Je suis surpris par la déferlante sonore qu’impose le groupe, après les avoir vus en 2020 à l’Antre du Lion.
Le groupe a mûri et en impose de part ses compositions et sa présence sur scène.
Pas de répit ce soir. On ressent bien l’essence du Thrash des années 90 avec une certaine influence mustainienne. DYLAN SPEED HUNGER (DAVE MUSTAINE junior) n’hésite pas à descendre dans le public au cœur même du circle pit, ce qui met un point d’orgue à leur set. Troisième baffe de la soirée. Nos quatre larrons n’ont pas fait dans la dentelle ! Une valeur sûre et montante dans ce style sans artifices.
Retournement de la salle dans tous les sens du terme, la soirée a été plus que bouillante avec trois styles totalement différents. Un grand bravo à Victory Productions et à l’Altherax pour ce trio métallique qui a mis le feu ce soir !
Ce soir, je retourne au Brin de Zinc, mon antre favori, pour aller voir SUN en concert. Le groupe est déjà passé ici il y a deux ans (en avril 2023) et à l’époque, le concert avait été complet. Aujourd’hui en plus de son show, KAROLINE ROSE la chanteuse, vient en tant que marraine des 20 ans du BDZ. Fera-t-elle aussi bien cette fois-ci ?
Je tue le suspens tout de suite : oui, la salle est pleine et le concert affiche même complet depuis plusieurs jours. Pour le coup, je suis vraiment content d’avoir eu une accred’ ! Merci Thomas !
SUN au Brin de Zinc – Crédits Photos : Bérénice FLECHARD
A l’heure tapante, SUN fait son entrée dans le BDZ, séparant la foule comme Moïse la mer en deux. Son bassiste l’a précédé de quelques minutes et l’attend sur scène. Bon pour monter sur ladite scène, ce n’est pas évident du tout avec sa tenue, une robe de mariée blanche, un short blanc et des bottines blanches à lacets – un look goth mais en blanc, quoi ! Du coup, elle se plante devant la scène et apostrophe son bassiste pour qu’il l’aide à monter. On est tous morts de rire !
Pour ceux qui n’ont jamais entendu parler de SUN, c’est un trio en formule basse, batterie et guitare-chant, ce dernier poste étant tenu par une jeune artiste franco-allemande du nom de KAROLINE ROSE. En un mot comme en cent, SUN, c’est elle. Etant assez allergique aux étiquettes, elle a créé le Brutal Pop qui est – comme on peut s’en douter – un mélange de Pop et de Metal. Et on peut dire que sous ses airs angéliques, elle s’y connait en brutalité, ayant été chanteuse de Black Metal pendant quelques années.
SUN au Brin de Zinc – Crédits Photos : Bérénice FLECHARD
Pour la petite histoire, elle est arrivée en France à l’adolescence et c’est donc en français qu’elle s’adressera à nous toute la soirée. Elle démarre son show en nous expliquant qu’elle dédie le spectacle à Adrien, un gars qui avait acheté sa place de concert pour ce soir mais qui est mort entre temps et que la famille d’Adrien est présente ce soir. Emotion quand même dans le public.
Le show démarre et on peut dire qu’elle envoie le steak ! Sa voix est plutôt lisse, puis elle se dégrade, s’éraille. Et elle est juste, très juste ! Que ce soit en chant clair ou en chant saturé, elle cartonne ! Impossible de ne pas se faire prendre dans ses filets. En un seul titre, elle vous emmène dans son univers. C’est diabolique !
SUN au Brin de Zinc – Crédits Photos : Bérénice FLECHARD
Elle déroule son show avec des titres qui évoquent toute la puissance de l’amour, de la joie, du chagrin, voire même de la rage de vivre. A un moment, je reconnais « I Kill my Man », que j’ai en disque. Ca roule bien et j’accroche aux mélodies bien catchy. Tout le monde est d’ailleurs, comme moi, aux taquets. Le public est présent et vraiment présent pour elle.
Elle nous raconte des anecdotes de quand elle était petite. C’est sympa. Elle nous dit aussi qu’à l’époque, elle aimait bien BEYONCE et les DESTINY CHILD mais que dans le même temps, elle adorait MORBID ANGEL et ETERNALS. Sacré mélange ! Elle enchaîne du coup avec le « Survivor » de DESTINY CHILD à sa sauce, of course.
L’univers de SUN est assez coloré et comme le son est bon et que les lights le sont aussi, c’est cool. Elle joue trois-quart d’heure habillée en mariée et fait une pause. Elle nous revient vêtue de satin vert-bleu et, comme ses musiciens, elle porte une cape et une capuche. Dès que KAROLINE ROSE reprend, j’ai comme une impression bizarre : c’est comme si elle recommençait un nouveau set. Etrange comme sensation…
On a droit à une nouvelle reprise avec « I follow Rivers » de LYKKE LI et qui n’est autre qu’un des titres du film « La vie d’Adèle ».
SUN au Brin de Zinc – Crédits Photos : Bérénice FLECHARD
Vers la fin du set, KAROLINE ROSE change de guitare et en prend une avec un motif genre Hello Kitty ce qui me fait sourire. Elle nous parle de son premier album (à ce jour, elle n’a sorti que des EP dont un sous le nom de Caroline Rose après son passage à The Voice). Cet album nommé « Krystal Metal » est annoncé pour le 9 mai 2025.
Le trio va nous faire deux rappels pour un total de trois morceaux et, après 1h45, quasi 2 heures de show, SUN quitte la scène sous les applaudissements du public sonné de tant d’éclectisme musical.
SUN au Brin de Zinc – Crédits Photos : Bérénice FLECHARD
Après le concert, KAROLINE ROSE et son bassiste se dirige vers le stand merch‘ où je peux discuter un peu avec elle. C’est une personne vraiment très agréable. Elle s’attarde sur le stand prise par son envie de communiquer avec son public et c’est finalement le bassiste qui finissant pas en avoir marre, lui dit qu’il est temps de partir.
Pour ma part, j’ai passé une très bonne soirée. En plus, j’ai revu des amies que je n’avais pas revues depuis bien longtemps. Pour ceux qui auraient envie de voir ou de revoir SUN en concert, le Brin de Zinc nous offre une séance de rattrapage le 12 juin. Marquez la date dans vos agendas !
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Commentaires fermés sur GOTTHARD, Stereo Crush
Chronique By TI-RICKOU
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GOTTHARD – Stereo Crush
Label : Reigning Phoenix Music
Sortie : 21 mars 2025
En course pour le titre d’album de l’année
Attention fans de Hard Rock classieux, le groupe suisse GOTTHARD est de retour avec un nouvel album nommé : « Stereo Crush » !
Et on flingue le suspect directement : dès le premier morceau, il est évident que GOTTHARD is back. Et de quelle manière ! On est dans du pur GOTTHARD comme on l’aime avec des morceaux soutenus par une grosse rythmique. Ca te fait taper du pied et ça t’emmène en moins de temps qu’il faut pour le dire que pour le faire dans leur univers. Les morceaux sont bien dans la lignée des morceaux qu’on adore dans ce groupe.
Alors bien-sûr, Nic MAEDER n’est toujours pas Steve LEE, et ce n’est plus pareil. Ok, ça c’est acté. Mais ça ne veut pas dire pour autant que les GOTTHARD ne sont plus là ! Leo LEONI est toujours présent et le groupe est désormais bien ancré (et, une fois de plus, de quelle manière !). Même la reprise de « Drive my car » est bonne et gotthardesque à souhait.
Ceux qui me connaissent savent à quel point je suis fan de ce groupe et combien je suis aux taquets quand il y a un nouveau son d’eux à mettre dans mes oreilles. Et là, je suis comblé.
C’est à voir avec le temps mais ce « Stereo Crush » est peut-être l’album du groupe que je préfère depuis le décès de Steve LEE. C’est une vraie pépite ! J’ai hâte de découvrir ces morceaux en live car il y a des hits en puissance sur cette galette.
C’est la première fois que j’attribue 5 pics à plusieurs albums dans le même mois mais là c’est forcément 5 pics et bien évidement un album en course pour être l’album de l’année.
P.S. : le seul truc que je n’aime pas sur cet album, c’est sa pochette mais je leur pardonne car le contenu est trop bon !