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DIEMONDS

Bon, toute ma journée, ça a été : « Tu vas au concert ? « . « Oui, mais pas à METALLICA à Lyon ». « Et où tu vas alors, Qu’est-ce que tu vas voir ? ». « Je vais à Saint-Étienne au Thunderbird, voir une putain d’affiche de dingue : les canadiens de DIEMONDS et les suédois de SCREAMER. Eh oui, je vais louper METALLICA, car premièrement, je n’ai jamais été un grand fan (pas la tête !!), deuxièmement je les ai déjà vus plusieurs fois – et notamment à leurs débuts – troisièmement, la dernière fois c’était déjà à la Halle Tony Garnier et honnêtement le son n’était pas top et la scène circulaire tournante, je n’ai vraiment pas aimé (pas la tête again !!) et dernièrement, je préfère largement découvrir des groupes que j’aime et que je n’ai jamais vus que voir des  » légendes « que je n’aime pas plus que ça pour faire comme tout le monde (où comment se faire plein de potes !).

En plus, les groupes qui passent au Thunderbird aujourd’hui, c’est peut-être les groupes qui joueront à la Halle dans 30 ans.

Bon allez, direction Saint-Étienne. Une pensée pour les copains Porte de Gerland quand même, mais moi je maintiens mon cap. Tiens, il y a plein de monde devant le Thunder ! J’ai même du mal à entrer… Heu, ils n’ont pas le style de la soirée… Normal, ils ne viennent pas pour le concert mais pour boire un truc en flamme que leur sert Élise !! Pour ce qui est des hardos, on ne va vraiment pas être nombreux – en même temps, avec METALLICA d’un côté et un match de foot de l’autre, c’était prévisible ! – mais je m’en fous, j’ai déjà cinq copains qui sont venus. Donc, on va pouvoir papoter en attendant et suivre le PSG et les commentaires des potes qui sont à METALLICA sur les Facebook des uns et des autres.

SCREAMER

Allez, ça ne va plus tarder, la chaîne tombe, c’est le signal qu’il est temps de descendre dans la salle pour le début de SCREAMER. Let’s go ! Les SCREAMER sont classés comme un groupe de heavy metal mais c’est du heavy metal dans la grande tradition du NWOBHM qu’ils font. Et putain, ils le font méga bien ! Leurs compos sont très bonnes avec une setlist tirée de leurs albums, le chanteur a une putain de voix et les zicos sont à donf’.

Yes, on est retournés en 80, et ça fait du bien ! Le public présent s’éclate un max, les cheveux bougent, ça headbangue sec et on a de la place !! Le son n’est pas trop fort, nickel pour la salle.

Moi, je découvre le groupe mais déjà je me dis que je vais repartir avec un ou deux CD pour ma collection. On ne voit pas le temps passer, normal, c’est vraiment bien.

Retour à la lumière et attente pour le prochain groupe. PSG a gagné, METALLICA aussi à première vue. Bon, eux c’est plus facile, leurs fans sont des irréductibles !!

DIEMONDS

On redescend pour le dernier round, le groupe que je ne voulais absolument pas manquer. Venus du Canada pour prêcher la bonne parole du heavy sleaze, voilà les DIEMONDS !!!

Ca part à donf, les musiciens et la chanteuse attaquent leur set comme s’ils jouaient au Stade de France et que c’était blindé ! Malgré la taille de la scène, ils se donnent à 200 pour cent. Leurs morceaux, issus de leurs deux albums, sont des perles de sleaze metal. Un peu comme si MOTLEY CRUE, GUNS’N’ROSES, DEF LEPPARD avaient bu une potion heavy et copulé et que leur progéniture ait pour nom DIEMONDS ! Et que ce soit leur fille qui chante bien-sûr !

Putain, ça le fait vraiment ! Il y en a qui pensent que les chroniqueurs sont des Bisounours toujours à dire du bien, et bien ils auraient dû être là ! C’est méga jouissif ! Oui, ce qui compte pour moi, ce sont les morceaux, l’envie et les corones, la passion et beaucoup de rock ! Après, qu’il y ait une note ou deux de fausses, je m’en tamponne le coquillard !

Et là en plus, ce n’est pas le cas ! Le show nous transporte, on s’éclate, on chante, on danse. Et ce cover de « It’s no easy » des GUNS AND ROSES, quelle version, putain ! Une version passée à la râpe à fer. Trop bon ! Allez, encore un titre. Et oui, les DIEMONDS s’éclatent comme nous !

Mais bon, il est très tard et c’est fini. Quel concert mes copains !! Je ne regrette vraiment pas mon choix ! En plus, bien sûr, ce n’est pas vraiment terminé, on va faire des photos, signer des disques (comme c’est 7 euros la place et pas 90, ça laisse de la marge !!).

Bon, les deux groupes sont contents, super-adorables et dispos mais là, il est très tard et j’ai pas mal de route pour rentrer. Je dis au revoir aux copains, aux groupes, à Elise et James et c’est parti. Dans la voiture, je me mets le CD de DIEMONDS pour la route et je me dis que j’espère vraiment qu’ils reviendront jouer dans une grande salle, à l’instar de NIGHT DEMON qui a joué au Thunder et qui joue bientôt au Fil avec ACCEPT !

Un PS : James, long live rock’n’roll, my friend !!!

DIEMONDS

 

THE LAST VEGAS

Bon, je suis un peu dégoûté de ne pas avoir pu me rendre hier soir au Thunderbird Lounge pour le concert des LAST VEGAS car il y avait un brouillard à couper au couteau et qu’à vrai dire, j’étais méga crevé. Mais bon, quand on ne le sent pas, il vaut mieux s’écouter. « Comment chérie, c’est plus facile de renoncer quand on sait qu’il y a une autre possibilité ?!! ». Heu… pas faux.

Eh oui, parce que ce que je ne vous ai pas encore dit, c’est que les LAST VEGAS jouent ce soir à Besançon. Et même si c’est un peu plus loin pour moi que Saint-Étienne, en temps c’est kif kif. En plus, c’est un signe des dieux du hard-rock, il n’y a pas de fog. Le temps est clair et donc on the road again, direction Besançon et les Passagers du Zinc. Le truc cool, c’est que même s’il y a un bout de temps que je n’y ai pas mis les pieds, je sais où c’est et surtout je sais où me garer facilement. 

Donc évidement, j’arrive en… avance. Bon, là je ne pouvais pas trop jouer car il n’y a pas de groupe de première partie. Bien-sûr, je retrouve mes copains et copines du coin ou de Montbéliard – dont Rémy, le programmateur du Baracat’ qui vient malheureusement de faire sa soirée de fermeture… Cool, il y a tout plein de copains virtuels du forum « Hard-Rock 80 », et ils sont venus bien en force ce soir !!!  L’ambiance va être chaude. Obligé !

Bon, le bar a changé. Ce n’est plus un bar central mais sinon je suis comme un poisson dans l’eau et j’attends avec impatience le moment de rentrer dans la DS. Aïe, non chérie, la DS c’est la découpe d’une vieille Citroën DS qui marque l’entrée de la salle et te permet de passer au sous-sol !

En arrivant en bas, il y a le stand merch’ très bien achalandé : des CD, des T-Shirts, des peaux de batterie… et à des prix raisonnables !… Ce qui ne m’ aide pas à le rester moi, raisonnable !!

Bon, la salle se remplit bien, surtout pour un lundi car normalement le bar est fermé. Ils ont ouvert exceptionnellement pour l’occasion. Et ils ont bougrement bien fait car on est là et chauds comme la braise pour accueillir les LAST VEGAS !

Et putain, d’entrée de jeu, je ne regrette vraiment pas les bornes que j’ai du faire ! C’est la baffe direct ! Mon Dieu, que c’est bon ! Rien qu’avec le début du premier morceau, je ne suis physiquement plus là. Je suis dans leur univers, dans leur musique sleaze hard qui m’emporte. Heu non, je n’ai pas pris d’hallucinogènes. Ils ont une énorme présence scénique et malgré la taille de la scène, ils ont un tel charisme et une telle présence que c’est énorme. On comprend mieux qu’ils aient fait craquer NIKKI SIXX de MOTLEY CRUE – qui a produit un de leurs albums – ROB Z. – qui en a produit un aussi – qu’ils aient ouvert pour AC/DC, MOTLEY et BUCKCHERRY.

Leurs morceaux tirés de leurs différents albums sont des brûlots incandescents. Je fonds littéralement sur ceux tirés de « Bad Decisions ». Ouah, c’est irréel qu’ils jouent devant 60 personnes dans un café-concert ! Ces mecs, c’est de l’or en barre du niveau des GUNS ‘N’ ROSES, MOTLEY CRUE et consorts. On ne méritent pas, on est tout petits ! Ils sont en plus heureux d’être là, de jouer pour nous… Et nous on prend tout ça sans modération. Et on en redemande avec avidité.

Je ne sais pas combien de temps ils ont joué mais de toute façon ça a été trop court tellement c’était bon. Un putain de chanteur avec des putains de zicos. Pas de maillon faible, pas de temps mort. Même leur slow est magnifique et mériterait une heavy rotation sur MTV !

Si, je suis objectif ! Et les copains présents ce soir sont de mon avis : un méga concert fait par un méga groupe.

Bien-sûr, on les rejoint sur leur stand merch’ pour rapporter des souvenirs de ce moment, CD signés, T-Shirt, photos avec eux. Bref, on est bien et on refait le match. Et pour ceux qui sont tristes que le groupe ne passe pas dans une plus grande salle avec plus de public, je leur réponds qu’on a bigrement bien fait d’en profiter car la dernière fois que je suis venu ici, c’était pour voir un chanteur américain avec sa guitare sèche et on était moins nombreux que ce soir. Et ce chanteur, c’était JOHN CORABI ! Maintenant, si tu veux le voir, il faut aller au Transbordeur ou dans les plus grands fest’ du monde car avec les DEAD DAISIES, il cartonne grave !

Bon allez, c’est pas tout, il y a le retour à se farcir. Donc il est temps de dire au revoir aux potes. Je souhaite à Rémy de trouver un autre endroit pour faire passer des groupes… mais mon petit doigt me dit que ça pourrait ne pas être long ! 

Bon évidement, je vais rentrer avec « Bad Decisions », le monstrueux album de THE LAST VEGAS en boucle dans mon autoradio pour tenter de faire fondre le brouillard. Et ça a presque fonctionné… Presque !

Pour ce report, j’adresse une spéciale dédicace à Jocelyne, Rémy et tous les copains de « Hard-Rock 80 », James du Thunderbird et à tous ceux qui se bougent pour que vive notre musique.

Et bien-sûr, un special thanks à THE LAST VEGAS qui est vraiment un énorme band de rock !! On se revoit bientôt my friends (PS : Le Transbordeur, ça m’arrange !).

Long live rock ‘n’ roll !!!!

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WIZZÖ

WIZZO INTERVIEW
WIZZO

WIZZO, ce sont des parisiens élevés à la musique d’un bush australien qui se serait étendu jusque dans les rues de Los Angeles. Un groupe qui pourrait être un parfait croisement entre Airbourne et Guns’n’Roses.

Bref, avec WIZZO, j’ai appris comment faire sleazer des kangourous !!!

Donc une interview s’imposait !!

Interview réalisée le 19 février 2016 au Baracat.

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SLEEKSTAIN 7
SLEEKSTAIN

Les fêtes, c’est cool. On mange bien, on a des cadeaux mais en contrepartie tout à tendance à s’arrêter. Et quand je dis tout, c’est bien sûr aux concerts que je pense ! Il faut dire qu’après les deux derniers mois de folie de l’année 2015, j’ai trouvé ça… reposant. Enfin au début parce que là, il faut bien le dire : je suis en manque !!!

Donc je suis aux taquets pour cette fin de trêve des confiseurs. Heu… sauf que depuis deux jours le temps est contre moi : il neige ! Et bien sûr, l’affiche qui m’intéresse est sur Chambéry !

Bon, j’y vais ou pas ? Je regarde la météo et ça me paraît jouable. Et puis, c’est pas un peu de neige qui va me faire louper ma première date de l’année ! Rock’n’rooooll ! Direction le BDZ.

2016 commence fort : je suis en avance ! Si, si, c’est même dans mes résolutions pour l’année.

TORII
TORII

Donc je suis là pour le premier groupe, les régionaux de l’étape : TORII. Et c’est dans un BRIN DE ZINC bien rempli. Ca fait méga plaisir !

Avec TORII, on est dans du rock français. C’est bien fait, sans prise de tête, sans se prendre au sérieux, juste pour le plaisir de jouer et ça fonctionne bien. Bon, ce n’est le style que j’affectionne le plus, mais après c’est juste une question de goût. En tout cas, ils jouent leurs morceaux et ils les jouent bien ! 

Je vais consacrer la pause qui suit à regarder le ciel. Pas que j’ai peur qu’il me tombe sur la tête – bien que – mais je surveille l’arrivée de la neige. Et les premiers flocons arrivent en même temps que SLEEKSTAIN !!

SLEEKSTAIN 9
SLEEKSTAIN

Mais bien sûr, priorité aux copains qui bien sûr démarrent sur les chapeaux de roue devant un BDZ plein et chauffé à blanc. Donc d’entrée de jeu, ça le fait grave. Le public est à fond avec eux et leur sleaze heavy fait merveille. En plus, ils on choisi une setlist qui envoie le bois !! Pas de temps mort, leurs morceaux sont taillés pour le live.

C’est un concert un peu spécial pour les SLEEKSTAIN car d’une part, il n’avait plus jouer live depuis un certain temps et que d’autre part, c’est surtout la première date avec leur nouveau guitariste.

SLEEKSTAIN 5
SLEEKSTAIN

Guitariste qui pour son baptême du feu s’en sort plutôt bien.

De toute façon, les morceaux s’enchaînent à un rythme soutenu et le public s’éclate à fond. SLEEKSTAIN a les morceaux qu’il faut pour cartonner et la présence scénique de leur chanteur enfonce le clou.

Du coup, leur set passe vraiment vite. Vraiment trop, trop vite.

Allez, on a droit à un hommage à LEMMY avec un cover d’un petit MOTORHEAD à la sauce SLEEKSTAIN. Trop bien !

Voilà, c’est fini. Le temps de dire au revoir rapidement aux copains et je me casse car la neige est de retour. 

Mais bon, je suis méga content d’avoir pu faire mon premier concert de l’année avec SLEEKSTAIN et au Brin de Zinc, cet endroit que j’adore. Et en plus ça c’est fait dans un BDZ plein et avec l’ambiance des grands jours.

Décidément, 2016 commence sous de bons auspices ! Vivement le nouveau CD de SLEEKSTAIN !!

BACKYARD BABIES 1
BACKYARD BABIES

Incroyable, je suis en panne de chocolat ! Et où trouver du chocolat un 11 novembre à part… en Suisse, bien sûr !

Heu.. comment je vous prends un peu pour des jambons ? Non, non, c’est par hasard que je me retrouve à Genève devant l’Usine pour une soirée sous le signe de la Suède. D’accord, vous ne me croyez pas… Et vous avez bien raison !

Trêve de plaisanterie, quand j’arrive devant l’Usine, un doute m’envahit : il n’y a pas beaucoup de monde, donc soit c’est déjà ouvert, soit on ne va vraiment pas être serrés dedans. Heu… on doit plutôt être dans la deuxième option car quand la porte s’ouvre, on n’est franchement pas nombreux à entrer et l’impression se confirme de suite car l’Usine est en petite configuration.

JUNKSTARS 1
JUNKSTARS

Le temps que le premier groupe monte sur scène, il y a un peu plus de monde mais c’est devant un public toujours très clairsemé que les JUNKSTARS commencent à jouer.

Le trio est dans un style fuckin’ rock’n’roll qui réveille. C’est clair que ces gars-là, ce sont des vrais, des tatoués. Moi perso, j’aime énormément. C’est de la musique qui ne prend pas la tête, c’est énergique et ça passe comme une lettre à la Poste. Rien de tel pour débuter une soirée. Leurs morceaux sont vraiment sympas et du coup, on n’a même pas le temps de se rendre compte que ça a commencé que c’est déjà fini.

Allez, la pause permet d’aller jeter un coup d’oeil sur le stand merchandising du groupe où ils ont, bien sûr, le dernier CD en date et de beaux T-Shirts. Le seul problème, c’est que les prix sont en francs suisses. Et plutôt faits pour un pouvoir d’achat suisse !

HEAVY TIGER
HEAVY TIGER

C’est au tour du groupe suivant, les HEAVY TIGER de monter sur scène. On est dans la même configuration que le groupe d’avant, en trio.

Sauf que là, la grande différence c’est que ce sont des filles ! Alors déjà, premièrement, elles sont bonnes… musiciennes bien sûr ! Elles ont toutes la même tenue rouge avec le nom du groupe dans le dos un peu comme une équipe de baseball. Et musicalement, ça joue !

Après, leur style, on va dire du hard sleaze… c’est pas hargneux. Mais vu le jeune âge des demoiselles, il y a du potentiel car les morceaux sont sympas et que le petit manque de hargne est la seule chose qu’on puisse leur reprocher. Enfin, c’est parfait aussi pour ce début de soirée.

Retour à la case intermède où on oublie qu’on a soif quand on regarde le prix des consos car le change est fait à un pour un et que, bien évidement, je n’ai pas de francs suisses sur moi !

 

BACKYARD BABIES 2
BACKYARD BABIES

Allez, la sono se met à déverser « Welcome to the jungle » des GUNNERS, la lumière se met à bouger ; c’est le signe que les BACKYARD BABIES arrivent, Yeah !

D’entrée de jeu, c’est toujours méga bon. Ils sont tous là et ils ne sont pas venus pour refaire la tapisserie ! Ils ont toujours une présence incroyable sur scène. Ils ont même des marchepieds exprès pour pouvoir monter dessus et surmonter le public.

Les morceaux de leur dernier album qui paraissent plus soft sur CD, ça pète grave en live ! On va avoir droit au moment émotion, la ballade, mais même ça, c’est bon.

La salle s’est bien remplie et ils ont eu bien raison d’arriver car encore une fois, le show des BACKYARD BABIES, ça vaut vraiment le déplacement. Les premiers rangs s’éclatent comme des petits fous. On a une très bonne ambiance et en plus bon enfant. En clair, il n’y a pas de blaireaux qui prennent la tête.

Sinon pour la set list, on va avoir des morceaux issus de leurs différents albums et on ne va pas se gêner pour les reprendre avec eux ! Bon moi perso, je ne suis pas objectif, car j’adore vraiment les BACKYARD BABIES. Et encore une fois, je ne suis pas du tout déçu, bien au contraire. En plus ça faisait un bout de temps que je n’avais pas pris une dose de sleaze et mon Dieu que ça fait du bien !

Mais voilà, c’est fini.

Je prends le temps de passer à leur stand merch et j’avoue que j’hésite pas mal à savoir si je prends un frisbee à dix francs suisses où pas.

Les deux groupes précédents sont présents dans la salle pour dédicacer et prendre des photos. Les BACKYARD BABIES, eux, ont des CD déjà tout signés sur le stand. Mais comme il y avait un meet and greet juste avant, il ne fallait pas s’attendre à ce qu’ils viennent dans la salle… Sauf que le bassiste est quand même venu nous faire un petit coucou ! Pour le plus grand plaisir des copines !

Voilà, le périple en Suisse tire à sa fin. Il est plus de minuit et je vais quand même devoir trouver du chocolat… sinon je ne vais pas être crédible, moi !