W.T.R. / Le Webzine de Ti-Rickou

Fans de Powerwolf, sortez la monnaie car voilà de quoi vous ravir ! Le pouvoir du loup va vous combler avec des bonus plein la gueule… La magie du heavy metal teuton.

Pour les autres, une bonne façon de faire connaissance avec ce groupe et leur heavy metal entraînant.

Allez faîtes péter les étrennes et chantez avec les loups !!

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Attention, ne vous fiez pas au label ! American Rebel Soul n’est pas dans la lignée de ce que propose normalement Perris Rercords (glam/mélodique hard-rock). Avec ce groupe, on est dans du classic rock-hard sudisant, du rock-hard aux accents du sud.

Et c’est méga trop bon ! Ils nous font un hard blues qui réchauffe le coeur et l’âme. Putain, ça faisait très longtemps que je n’avais pas écouter un album aussi bon dans ce style !

Remettez votre chapeau et foncez vous le procurer ! Oh yeah !!!! Coup de coeur spécial sud !

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Les suisses de Gotthard nous reviennent avec un nouveau CD du nom de « Silver ». Déjà 6 ans que Steve Lee est malheureusement mort… et c’est déjà le troisième album avec Nic Maeder au chant. Alors maintenant, je pense qu’on peut juger ce « Silver » par rapport à ce qu’est devenu Gotthard sans Steve.

Cet album est purement dans la continuité de « Bang » avec des morceaux qui ont une putain de patate (en live, ça doit déchirer !!), des morceaux plus soft et bien-sûr de belles – voire de magnifiques -ballades. Je ne fais pas partie des grognons grincheux qui vont dire que c’est trop mou, trop FM. Non, c’est du pur Gotthard, le Gotthard qu’on aime !!

Ils ont trouvé une voix et un son qui les rend unique. Le groupe fait ce qu’il sait et aime faire, et c’est très bien comme ça. Heu, comment ça, je ne suis pas impartial sur ce coup ? Eh bien, je m’en tamponne le coquillard grave ! J’aime Gotthard et j’aime ce « Silver ». Basta !

Ah si, j’oubliais, c’est un coup de coeur évidement. Et s’il y en a qui n’aiment pas – surtout s’ils ont la version japonaise avec plein de bonus – je vous en débarrasse volontiers !

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l y a bien lontemps, dans un temps que les moins de 30 ans ne peuvent pas connaître, un groupe de heavy metal parisien en avance sur son temps me fit passer une audition comme chanteur. Ils faisaient du heavy thrash black metal et ils voulaient que je chante comme le chanteur de Grave Digger… Après leur avoir demander « grave quoi »?, ils m’ont passer une cassette (et oui le truc qui s’emmêlait et qui avait un son tout pourri). Et voilà comment j’ai découvert, début 80, ce combo allemand !

Plus de 30 ans après, ils sont encore là et si moi je ne suis toujours pas chanteur (j’ai vite très vite arrêté, je ne supporte pas les fausses notes même quand c’est moi qui les fait…), eux ils sortent un nouveau CD.

Ce nouvel opus s’appelle « Healed by metal » et, oh surprise, on est dans du heavy heroïc speed metal festif. Bon en clair, tu es pris dans un mixer mais tu as envie de headbanguer et tu ne veux pas que ça s’arrête car tu es en train de chanter à plein poumons ! Ce petit nouveau est parfaitement raccord avec les autres albums, des refrains qui te rentrent en tête et des putains de riffs.

I’m happy, 2017 commence fort mais bien ! Oui chérie, c’est couillu mais mélodique et non seulement j’aime bien mais en plus j’ai un coup de coeur pour cet album. Long live heavy metal !!!

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Quand un groupe qui a une bonne notoriété se sépare, il n’est pas rare que ça donne une partie qui continue sous le non du groupe et une partie qui joue sous son nom en rajoutant le nom du groupe. C’est exactement ce que fait Jack Russell. L’ex-chanteur de Great White, accompagné par Tony Montana, nous revient avec un nouvel album, « He saw it comin’ ».

D’entrée, la pochette donne vachement envie. On s’attend à du pur hard blues à la Great White.

Et ? On a un album très orienté radio FM. Attention, pas mauvais mais très écoutable avec sa grand-mère. De belles ballades, des morceaux très soft. Pas de morceaux bien blues-hard hargneux.

A part ça, Jack a bien-sûr toujours sa putain de voix très à part.

Mais franchement, l’album est bien trop varié pour moi… Il y a même des morceaux à consonances rastas rocket et ska ! Si, si, « Don’t let me go », par exemple. Sur d’autres titres, en revanche, on lorgne vers du Alice Cooper, comme « Blame it on the night ».

Bref, on est bien loin des premiers Great White qu’on adore. Vraiment dommage.

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Pour leur cinquième album, Jim Peterik et les siens ont soigné la pochette. Elle est superbe avec son lion ailé surmonté d’une ballerine. La force… l’élégance… Est-ce qu’on va retrouver ça dans l’album ?

Allez? on bute le suspect direct, sans préliminaires. Ce « Fearless » est une petite merveille de rock FM, AOR.

Le son est méga bon, les morceaux sont superbes, la voix est magnifique. Un album pour les nostalgiques de Foreigner, Saga et consorts avec de belles mélodies et des solos réglés comme un coucou suisse..

Et cette voix ! Je suis sous le charme. Plus je ré-écoute ce « Fearless », et plus je l’aime. Heu comment, chérie ? C’est tout mou, mon truc ?!! Heu… j’espère que tu parles bien du CD !! Vade retro, c’est loin d’être tout mou et il y a énormément de pêche. Mais effectivement, si vous êtes fan de gros riffs et de grosses voix, passez votre chemin. Pas de ça ici. Un peu de douceur dans ce monde de brutes, ça ne peut pas faire de mal !!

En tout cas, moi, c’est un méga coup de coeur pour cet album et ce groupe !!! L’année commence plutôt bien.

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Putain, la pochette est magnifique, très difficilement descriptible mais magnifique ! Pour ce 7e album, les XANDRIA ont frappé fort ! On n’a qu’une envie, c’est de découvrir le contenu de ce « Theater of
Dimensions ».

Pour ceux qui débarquent, on est dans du métal symphonique avec chanteuse, mais du métal symphonique signé sur Napalm, ce qui veut dire qu’on est dans du couillu.

C’est un album de métal symphonique qui déchire sa mère, c’est puissant, mélodique et très métal. Les morceaux sont magnifiques, les chœurs sont somptueux et apportent de la puissance et les mélodies sont sublimes. La voix de Dianne Van Giersbergen est magnifique en plus ! Yes, voilà tout ce que j’aime dans ce style !

Il y a même du folklore irlandais mais ça reste un album symphonique métal ou la notion de métal n’est pas là pour faire la belle.

L’album est très homogène et forme vraiment un tout. Une grande tarte dans ma tête à moi. Je mets donc forcément à cet album un énorme coup de coeur ! Un CD à écouter même si vous avez des a priori sur le style. Bon, si vous êtes allergiques aux chanteuses style lyrique, vous êtes quand même dispensés !

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The Murder of my Sweet est un groupe suédois avec une chanteuse. Leur particularité, c’est de faire de la musique cinématographique (si, si, ça existe !). Ils se sont inspirés de partitions de films et de scénarios et le résultat est – on va dire – du métal symphonique.

C’est méga bien fait et puissant. En plus, la voix de la chanteuse est superbe et les morceaux sont sublimes.

Après, évidement, il ne faut pas être allergique au style. Moi perso, j’accroche bien. J’aimerais bien les voir en live, d’ailleurs. Heu, ce n’est pas forcément un message non subliminal pour les tourneurs… quoique, vu le succès des Nightwish et consorts dans notre beau pays, ils ont une place à prendre.

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En ce début d’année, le Père Noël nous a gâté car il a mis dans sa hotte le quatrième album de Stephen Pearcy, le chanteur et fondateur du groupe Ratt. Ce nouveau bébé s’appelle « Smash » et rien qu’en regardant la pochette (un diable en perfecto avec une masse), on a hâte de l’écouter.

Et qui l’écoutera aura bien raison ! Ce ‘Smash » est une tuerie. Du hard-rock comme on l’aime qui te fait bouger les cheveux sans bouger la tête. Evidemment, la patte de Ratt est présente… Et heureusement, car j’adore.

Ce « Smash » là, c’est direct dans ta face. En plus, Stephen a fait appel à Beau Hill pour le produire, le même Beau Hill qui a produit… les premiers Ratt. Bon, il a aussi produit tout plein d’albums mythiques et sur ce coup-là, il a encore fait fort.

Bref, ce CD est indispensable pour bien commencer l’année. Il nous fait même oublier que dehors il neige. Evidemment, c’est un coup de coeur… à la limite de l’infarctus pour moi !

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Youpi, Krokus les vétérans suisses sortent un nouvel album ! Heu… c’est des covers… Et pas des covers de morceaux inconnus… Et pas des covers à leur sauce.

Bref, on a droit à des morceaux méga connus de Black Sabbath, Led Zeppelin, des Rolling Stones et consorts fais dans l’esprit des originaux. Et en plus, ils nous ressortent des morceaux qu’ils jouent depuis des années !

En clair, je veux bien aimer Krokus mais là, ce « Big Rocks », le seul intérêt que je lui trouve, c’est que ça leur donnera l’occasion de faire une tournée. Quitte à écouter un album de covers, je préfère le CD qu’avait sorti Axxis avec des reprises de titres disco en version hard. Au moins, ça apportait quelque chose. Là, c’est vraiment un album pour fans ultimes de Krokus et pour les fans de tribute bands qui aiment écouter des morceaux qu’ils connaissent déjà !

Bon,  je suis dépité !! Comme avec un pétard mouillé, moi…

Bon allez, je file me ré-écouter le Gotthard pour me consoler !!! Au moins ça reste Suisse. Tiens, je me mangerais bien une fondue, moi !

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En plein milieu de cette période de merde totale, de temps pourri de chez pourri, de cette grisaille et de ce grand froid, soudain, comme une lumière à la sortie d’un tunnel, une lueur d’espoir jaillit : les Sticky Boys sont de retour avec un nouvel opus !!

Calling the devil : la pochette est sobre mais délirante, ça part bien.

Et je ne vais pas être déçu par la galette : on a là du pur Sticky Boys comme on l’aime, du rock’n’roll barré, disjoncté, boogie, punk, hard bref du Sticky what ??? Du Sticky Boys bien sûr ! Du rock’n’roll fait avec envie, avec le coeur et avec beaucoup de fun et d’humour.

C’est sans prise de tête et fait selon leurs envies : tantôt punkisant, tantôt boogysant, tantôt calme. Ce qui n’empêche pas que dans le le morceau d’après, ils t’arrachent la tête à gros coups de riffs avec un morceau que n’aurait pas renier Lemmy ! Tout ça porte bel et bien la patte Sticky Boys.

Pour ceux qui les connaissent, ce « Calling the devil » est dans la ligne des deux autres, tout en étant plus varié et plus mature.

En clair, c’est une putain de bombe à vous niquer les cervicales ! Une tuerie intégrale ! Même mes voisins sont comme des dingues, ils tapent sur les murs comme des possédés !

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Comme j’ai découvert récemment les Morrighans en live, leur nom devrait parler à ceux qui suivent les reports du webzine. Ce CD est donc la version studio des morceaux que j’ai entendu ce soir-là.

Donc, pas de surprise. On est dans du rock prog’ tendance métal avec une chanteuse. La prod’ est bonne et les morceaux ressortent vraiment du coup. C’est beau, méga bien fait et moi, ça me détends. Mais attention, ce n’est pas pour autant mou du genou du genre à t’endormir. C’est relaxant juste ce qu’il faut.

Il y a même un morceau que je trouve très beau chanté en francais (eh oui !).

Une bien belle carte de visite pour ce groupe à découvrir pour ceux qui sont ouverts musicalement et qui recherchent un peu d’originalité. N’hésitez pas, le piano ça peut être beau… s’il y a une grosse basse et une guitare avec ! En plus, j’aime bien cette voix dont le phrasé se module selon les morceaux.

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