Monthly Archives: juin 2015

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58 SHOTS

Le truc cool à cette époque de l’année, c’est que les rassemblements de motos et plus précisément de Harley fleurissent comme des fleurs au printemps. Et non, ce n’est pas parce qu’il y a des concours de T-Shirts mouillés ou le striptease des copines que j’aime les rassemblements de Harley – bon… un petit peu quand même ! – mais parce que nos amis bikers ont en général bon goût en matière de musicos !

Le plus dur a été d’avoir l’info pour la programmation car comme la plupart du temps, les clubs communiquent plus sur le rassemblement en lui-même que sur la nature des groupes qu’ils font venir. Dès lors que j’ai appris que DEBORAH BONHAM était de la fête, il m’est devenu impossible de louper ça, d’autant plus que les 58 SHOTS, un groupe de Belfort que je voulais voir depuis longtemps sont également de la partie !

Donc direction Louhans, ses arcades et ce soir, son campement bikers ! C’est immense : des stands d’accessoires motos, d’équipements bikers, un disquaire, de la bouffe et bien sûr de la boisson. Et puis des tas de motards et bien sûr de motardes ! Le paradis d’un Ti-Rickou.

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58 SHOTS

Bon, j’arrive en avance (ben oui !) pour repérer la scène. Elle est balaise, j’aurais eu du mal à la louper ! Je vais donc faire un tour aux stands et j’en profite pour dire bonjour aux potes avant que 58 SHOTS n’attaque le show.

Vraiment content d’être là, moi, car dès le début tout est parfait : le son est bon et d’entrée de jeu les musicos attaquent fort avec un putain de morceau de classic-rock ou de hard 70 si vous préférez. 

Whaaa, 58 SHOTS j’adore !! En plus scéniquement, ça le fait. Les mecs envoient le bois et en plus ils sont vraiment au point sur scène. Et ça va continuer tout au long du set, les morceaux de leur CD passent vraiment très bien en live, les influences TEN YEARS AFTER, LYNYRD SKYNYRD et autres se mélangent et donnent vraiment un tout bien à eux.

C’est méga bien fait et le chanteur a une putain de voix taillée sur mesure. Bref, un pur bonheur. Je n’ai pas envie que ça s’arrête ! Mais bon c’est quand même fini.

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58 SHOTS

 

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58 SHOTS

Ou pas car en fait c’est juste une pause. Et pendant cette pause, devinez à quoi on a droit ? Non, pas un concours de T-Shirts mouillés, bande de pervers, juste un strip !!! Aïe non, pas la tête !!! Mais moi, je m’en désintéresse totalement et je vais même au bar. Si, c’est vrai ! Bon OK, j’avoue, c’est un mec qui fait le strip. Pour le plus grand bonheur des copines qui donnent de la voix ! Content d’être au bar, moi !!!

L’exercice artistique étant fini, les 58 SHOTS reviennent pour poursuivre leur concert avec leur morceaux rock-hard sudistes. Et re-putain, ça le fait toujours ! Leurs morceaux sont méga bons et les bougres sont vraiment excellents. En plus, les solos sont superbes. Non, je ne touche rien du groupe, c’est juste que je prends une bonne baffe comme je les aime !

BRESS POULOS

Allez moment d’émotion avec un morceau sur JOHNNY WINTER pour qui ils avaient assuré la première partie, quelques mois avant qu’il n’aille retrouver HENDRIX, JOHN BONHAM et JIM MORRISON dans d’autres cieux. Bon là, c’est vraiment fini et je n’ai qu’une envie, c’est de les revoir en live.

Entracte culturelle. Non, toujours pas de concours de T-Shirts mouillés mais retour à la case striptease et là, c’est une fille qui s’y colle. Bon, je voulais aller au bar mais la foule est trop compacte et je ne peux pas bouger de devant la scène. Aïe ! Si, c’est (un peu) vrai !
Du coup, malgré l’heure tardive et le fais qu’on soit en extérieur, il fait très chaud d’un coup !

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DEBORAH BONHAM

Allez, la copine a fini son effeuillage, le présentateur a fini à poil et c’est le moment que j attendais. DEBORAH BONHAM et les siens arrivent sur scène et c’est parti ! C’est sûr, ceux qui ne se sont pas déplacés ce soir vont le regretter car putain – heu oui, il faut que je me calme avec mes putains, mais là rien d’autre à dire – elle nous sort le grand jeu !

En plus de ses musicos habituels qui sont tous des pointures ayant joué avec des artistes comme PAUL RODGERS et consorts, je cite par exemple l’incontournable PETER BULLICK à la guitare, elle s’est accompagnée de JOE BURT, le bassiste de FREDDY MERCURY… Qui fut aussi le bassiste de BLACK SABBATH !

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DEBORAH BONHAM

 

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DEBORAH BONHAM

Tous ces braves gens vont nous jouer du blues, ou plutôt du blues-rock car les morceaux de DEBORAH, c’est ça : du blues hard country qu’elle interprète avec sa putain de voix et son énergie. Bref, une voix dans la lignée d’une JANIS JOPLIN. D’ailleurs, comme cette dernière, elle dégage une putain d’énergie sur scène. Rien de simulé, elle se donne à fond comme si c’était son dernier gig.

Ses morceaux puisent dans ses différents albums et elle alterne morceaux péchus et ballades sublimes. DEBORAH BONHAM, c’est aussi une vraie présence sur scène et elle emmène le public avec elle, d’autant plus qu’elle communique aussi en français !

Bref, un vrai bonheur qui sera marqué par la reprise d’un “Rock’n’Roll” de LED ZEPPELIN d’anthologie, clin d’œil à son frère JOHN BONHAM, batteur de ce groupe.

Rien ne manque ce soir. J’assiste à un méga concert avec des musiciens juste monstrueux.

Bon, c’est déjà fini. OK, il est presque 1 h du mat’ mais je suis encore chaud, moi !

Le truc méga cool pour finir, c’est que DEBORAH va venir faire des photos et signer des autographes. Trop adorable ! Mais qui est-ce que je vois arriver ? JOE BURT !!! Allez, un petit papotage pour parler de FREDDY, de BLACK SABBATH, comment mieux finir une soirée ?!!

Je rejoins ma voiture, mets le CD de 58 SHOTS à fond les ballons, et c’est parti. Juste à temps car le ciel en colère de la fin de concert craque et lâche ses larmes !

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DEBORAH BONHAM

 

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Pour que je me dirige sur Lyon à 17 h, en plein bordel, il me faut une grosse, très grosse motivation. Et une prestation live, même courte, de STEVE ESTATOF, ça en est une suffisante !

Donc direction Gorge de Loup et plus particulièrement le Campus René Cassin car STEVE doit s’y produire en faveur d’une association caritative “Le Blé de l’Espérance” qui oeuvre au profit des enfants hospitalisés.

ESTATOF le rockeur au grand cœur, n’a pas pu résister à venir chanter quelques morceaux, tout seul avec sa guitare. Le plus important, c’est de jouer. Il a prévu de nous interpréter d’anciens morceaux, des covers mais aussi quelques nouveaux morceaux qui apparaîtront sur son prochain album. Cet album tant attendu doit d’ailleurs sortir bientôt et vue la qualité des deux morceaux que j’ai écoutés, je suis assez pressé d’entendre le reste.

Quel plaisir de revoir STEVE, même tout seul sans ses frères… et même si je suis assis bien confortablement dans un fauteuil d’amphi.

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Je ne m’attendais en fait pas du tout à ça. Je pensais que ce serait un gros truc en extérieur avec une prestation acoustique. Là, on est plutôt en prestation chanteur avec une bande son. Mais bon STEVE a déjà donné dans ce genre d’exercice… Sauf que cette fois-ci, ce n’est pas pour la télé ! En tout cas, il en faudrait plus pour le déstabiliser. Encore une fois, il est méga à l’aise. Peu importe les conditions, il se donne à fond.

Heu, comment on fait une pause ?!! Ah ! Une petite pause buffet avec petits fours en open bar ?!!! Trop dur la vie de rocker ! Vive les concerts de charité !

Mais bon. On repart pour un STEVE survolté avec ou sans guitare pour trois morceaux. Putain, ça fait du bien de le revoir comme ça, heureux de faire du rock !

Et moi, j’hallucine : je vois STEVE sauter de la scène, courir à travers l’amphi, tout en jouant sa reprise en français du “Lithium” de NIRVANA ! Trop fort !!! Pas sûr que tous les gens présents s’attendaient à ça !

Allez, c’est fini. Ou pas. La chanteuse qui doit clôturer la soirée lui a proposé de faire un duo et bien sûr pas sur une reprise de SONY AND CHER mais sur le “Knocking on the Heaven Door”, version GUNS AND ROSES, of course !! En voilà une riche idée pour finir en beauté.

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Allez, un petit tour au bar avant la vente aux enchères – eh oui, c’est un concert de charité !

Et c’est votre serviteur qui remporte un joli T-Shirt dessiné et signé par STEVE ESTATOF himself. Quoi ? Non chérie, on s’est mal compris, ce n’était pas pour toi. Ce n’est pas parce que je l’ai acheté pour aider une bonne cause que je dois me le faire piquer mon T-shirt, non mais !! (Cf : Ti-Rickou en mode midinette) 

Et là, c’est vraiment fini.

Même si les conditions étaient très spéciales, ça m’a permis de voir ce que STEVE nous prépare pour son nouvel album et que les morceaux sont top. Au risque de me répéter, j’ai hâte d’entendre les autres ! L’autre méga bonne nouvelle, c’est que STEVE ESTATOF is back. Préparez-vous à la tornade du punk-rockeur au grand cœur !

Allez, il est maintenant 21 h, les lyonnais sont pour la plupart rentrés chez eux même si un certain nombre glande encore en terrasse, vue la chaleur. C’est beau une ville quand il n’y a pas d’autos !!!

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Et en cadeau, la set list !

– GARDE MOI
– I WANT TO GET US
– TAKE ME FOREVER
– TES ETATS D’AME
– LITHIUM
– APHONEM
– KNOCKIN’ ON THE HEAVEN DOOR (en duo avec Muriel Leone)

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JADED HEART

Rien de tel quand il fait chaud que d’aller faire un tour à la montagne ! ….Bon d’accord, à condition qu’il y ait un fest à proximité !!

Comme je galère un peu pour trouver la salle, je m’arrête pour demander mon chemin à deux métalleux, qui se révèlent (bien sûr !) être le chanteur et le guitariste de THE TREATMENT de retour de balade. Du coup, aucun doute : ils savent où ça va se jouer ce soir !… Euh, normalement !!

J’arrive devant la salle très en avance. Si, si ! Les portes ouvrent à ouvrent à 17 h et il est tout juste 16 h. Deux choix s’offrent à moi : soit allez voir la préparation d’une cartonnade réservée aux enfants, soit aller piquer une tête à la piscine découverte juste en face de la salle. Bien tentant le truc mais vu que je n’ai pas mon maillot de bain et que ce n’est pas une piscine naturiste, ça ne va pas être possible ! 

Donc, case prépa de cartonnade. Pour ceux qui ne connaissent pas, ça consiste à se fabriquer une armure, un casque et une arme en carton rigide, le but étant de se fritter à la fin tous ensemble. En bref, tu passes deux heures à faire un truc qui va être pulvérisé en quelques secondes ! Mais c’est méga cool et sur ce coup-là, ça occupe les mômes.

SACRED SEAL 1

SACRED SEAL

La salle ouvre les portes et c’est parti.

Le premier groupe ouvre les hostilités à l’heure prévue. C’est cool parce que qu’avec six groupes à l’affiche, il vaut mieux ne pas prendre de retard.

C’est SACRED SEAL, groupe oeuvrant dans du métal avec une chanteuse en costume oriental qui entre sur scène. Ca à l’air bien. Je dis que ça à l’air bien car le son est pourri de chez pourri, plus pourri c’est du moisi. Il n’y a que les aigüs qui ressortent. A tel point que je vais à la console pour le leur dire. Et là j’apprends qu’ils ont un peu cramé la sono, donc rien à faire. Je suis assez dégoûté pour les musicos qui préparaient cette scène depuis pas mal de temps et qui jouaient des morceaux de leur CD qui débarque bientôt !

Mais bon, ils n’y sont pour rien. Du coup, je vais rester sur ma faim. En tout cas, leur prestation m’a donner envie de les revoir en live et d’écouter leur CD. A revoir bientôt – le 05 septembre au Leym’ Fest par exemple – dans d’autres conditions, j’espère.

Le prochain groupe à monter sur scène est un groupe de covers de MAIDEN. Alors encore une fois, rien à voir avec la qualité des musiciens ni avec les morceaux choisis – surtout que ces cocos-là assurent vraiment et que le chanteur à une méga voix – mais perso, je ne comprends pas l’intérêt de cet exercice dans un fest où le but est de venir voir les groupes de compos qu’on aime ou de découvrir de nouveaux groupes.

RISING STEEL ENTREE

RISING STEEL

Bon, en tout cas le son s’améliore. C’est plutôt cool. Je profite du moment pour papoter dans l’herbe avec les mecs de THE TREATMENT et pour dire bonjour aux copains qui arrivent. C’est top, les gens viennent de Lyon, de St-Etienne, du sud aussi.. De loin quoi, et ce malgré la série de concerts d’AC/DC et la proximité en date du Hellfest.

Tout ce beau monde rentre pour voir les grenoblois de RISING STEEL monter sur scène. Avec eux, on est dans du heavy-métal old school fait par de vrais passionnés.

Et ça allume grave ton côté guerrier !

Leurs compos sont propices à te faire hurler à tue-tête et les musicos y vont à donf. Fabrice le chanteur, ne montre pas que quinze minutes plus tôt il était presque aphone. Un putain d’exploit ! Surtout qu’il a une méga voix qui colle parfaitement à la musique.

Bien sûr, les autres zicos ne sont pas en reste et nous offrent une grosse prestation devant un public bien présent et qui commence à être chaud.

Il faut dire que les titres du EP de RISING STEEL, ça déchire grave en live !! Heu, comment je parle le d’jeuns ?!!! Bon d’accord, je ne me lâche plus ! Mais bon, j’aime vraiment ce groupe et j’en aurais bien pris plus.

Heu, pas Fabrice qui a tout donné malgré ses problèmes de voix et qui doit être content que ce soit fini !

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CHEMICAL WEDDING

Petite pause bien méritée et retour dans la salle pour l’arrivée de CHEMICAL WEDDING.

Là, changement de décor : on est dans du classic-rock métal ou du heavy hard-rock avec des touches 70 et un peps métal. Si vous vous êtes perdus en route et que vous ne voyez pas du tout ce que je veux dire, eh ben il faut venir les voir en live, na !

Je suis vraiment client de leur musique. Le chanteur a une putain de voix et le guitariste balance des solos bien pensés.

Tous les musiciens tiennent bien la scène et on voit qu’ils ont l’habitude de l’exercice.

Encore une fois, vu le nombre de groupe à passer, la prestation va me paraître trop courte.

Enfin, ça permet de se rafraîchir – euh non, pas d’aller piquer une tête dans la piscine ! Pas le temps. Et puis elle est fermée ! Les salauds, ils n’ont pas fait nocturne pour le fest !!!!

Ca aurait pu être cool en after d’aller se baquer ! Bon, j’arrête le délire.

jaded heart entree

JADED HEART

Retour dans la salle qui est bien remplie. On est plus de 250 pour l’ arrivée de JADED HEART.

D’entrée de jeu, je sais que ça va être un grand moment.

Et whaou ! ça part à fond de train ! Les musicos maîtrisent le show et nous emmènent avec eux, avec leurs riffs et leurs refrains. Leurs morceaux hard heavy passent très bien en live et leurs morceaux plus lents sont de véritables petits bijoux.

Le public est aux taquets et il y a une ambiance assez incroyable.

Dans JADED HEART, il n’y a pas un musicien en-dessous des autres et tous se donnent à fond.

Et le chanteur, quelle voix !! Oui, un show de JADED, c’est terrible !

Et pour les mauvaises langues qui pensent que ce n’est plus pareil qu’avant, qu’il n’y a plus que le bassiste d’origine, que leur hard FM a disparu et qu’il ne fallait pas se déplacer, et ben là, c’est la grosse boulette car lorsque les lumières se rallument, j’ai encore le sourire-banane du mec qui a pris une grosse tarte de plaisir et qui en redemande !

Bon, retour à la case ré-hydratation bien méritée avant d’y retourner pour la dernière fois.

Je ne veux pas louper l’arrivée de THE TREATMENT et, après la grosse baffe qu’ils m’ont mis cet hiver au Château Rouge d’ Annemasse, je suis impatient de les revoir.

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THE TREATMENT

Mais dès le début, je comprends que ça ne va pas être pareil. Déjà visuellement car  deux des musiciens ne sont plus les mêmes : un des guitaristes et le chanteur. Le nouveau guitariste est le jeune frère de l’autre guitariste et en plus, c’est son premier live avec eux. Comme c’est aussi le premier concert du nouveau chanteur d’ailleurs !

Bon, le nouveau chanteur a une putain de voix et une bonne présence, pas de soucis là-dessus, mais bon il n’a pas le côté bad boy de l’ancien chanteur, ni son charisme. Oui, je sais que c’est son premier show, c’est moi qui vous l’ai dit, bananes ! Mais du coup, j’ai plus de mal à rentrer dans le live.

Pour ce qui est des autres musicos, ils n’ont rien changé à leurs habitudes et sur scène, ça déménage. Leurs morceaux hard-boogy sont toujours aussi efficaces et la voix du nouveau chanteur colle plutôt bien avec.

Alors attention, quand je dis que ce n’est forcément pas pareil, ça ne veut pas dire que ce ne soit pas bien parce que c’est loin d’être le cas. D’ailleurs ceux qui découvrent le groupe ce soir en prennent plein la tête et trouvent ça génial.

Ca doit être ça le truc : ce soir, c’est très bon mais à Annemasse, c’était carrément énorme. Bref, je retournerai volontiers les voir dans quelque temps, quand les nouveaux auront pris un peu de bouteille,  et je suis sûr que ça le refera à mort !

Avant de reprendre la route, je prends quand même le temps de papoter avec JADED HEART (même pas pu faire signer mes CDs : je les ais un peu oubliés !), de dire au revoir aux potes (entre autres Cyril du Rock Azylum deVoiron qui tenait un stand ce soir et Fabrice du Metallian Store de Grenoble qui en tenait un autre) et bien sûr à l’orga de cette 5e édition du METAL GRESIFEST.

J’adresse d’ailleurs un grand merci à toute l’équipe du METAL GRESIFEST et je leur dis à l’année prochaine parce qu’avec un prog’ de cette qualité, j’ai carrément envie de repiquer au truc, moi !

Long live rock’n’roll, les mecs !!!!

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THE TREATMENT