Monthly Archives: septembre 2017

Pour ceux qui suivent le webzine, vous savez où je me rends ce premier samedi du mois de septembre. Pour les autres, je vais à Leyment (dans l’Ain) pour l’édition 2017 du désormais incontournable Leym’Fest.

Le grand avantage de faire tous les ans le même fest, c’est qu’on sait y aller et où se garer. Heu… sauf que cette année, je dois me garer plus loin que d’habitude. Et qu’il y a plein de gens devant la grille. Ca veut dire que : 1) ce n’est pas encore ouvert – Ti-Rickou est en avance, qu’on se le dise !! – et 2) qu’il va y avoir du monde. C’est cool vu le temps incertain… et le fait que même les warriors n’aiment pas quand ça mouille !! Bref, ce n’était pas gagné.

Le temps de commencer à dire bonjour aux copains devant la grille et on vient me dire que je peux rentrer (cool, le traitement V.I..P. !!). Du coup, ça me laisse du temps pour récupérer mon bracelet pass et de dire bonjour aux orgas ainsi qu’aux représentants des autres webzines et aux photographes.  Ce soir, le pit photographes va être bien fourni. C’est un signe que le fest grandit car lors des premières éditions, on était deux.

JEEP MONGOVER, le manager de ÖBLIVION, NOW OR NEVER, etc, me dit que le concert de ce soir sera filmé. Cool, le Leym’Fest immortalise ! Je rencontre aussi mon copain ABEL CABRITA (NOW OR NEVER, EXXCITE) avec qui je papote un peu. Tiens, il a un bracelet musicien… “Heu, tu joues avec qui ce soir ?”. “Ah, tu filmes le concert d’ÖBLIVION ?!”. Décidément cet ABEL, il peut tout faire !

Pendant ce temps, les portes ont été ouvertes et le public prend possession du site. Perso, je le trouve grandiose ce site, c’est une ancienne caserne. En plus, il est bien exploité : un disquaire (CHRISTIAN d’ADIPOCERE fait son retour !!), des stands de bijoux, etc. De l’autre côté de la scène, les stands merch’ des groupes et des stands pour la promotion des fest régionaux qui auront lieu bientôt (Grosses guitares, Rock in Grigny, Le Péage du Rock, Beast in Bresse, etc.). C’est ce que j’aime ici, ils ouvrent la porte aux copains et participent à la promotion d’autre évènements. Chapeau bas AMM, belle mentalité !

ALIEN ENCOUNTERS

Bon, ça bouge sur scène. C’est le signe que ça va commencer. Les gens présents s’approchent de la scène. Ca part fort ce Leym’Fest car les aliens débarquent dans l’Ain ! Heu non, je ne délire pas, c’est à ALIEN ENCOUNTERS que revient l’honneur d’ouvrir le bal.

Moi, je suis méga content de les revoir en live car depuis la dernière fois où je les ai vus, ils ont sorti un putain d’album et j’ai hâte de découvrir les morceaux en live. En plus, je suis curieux d’entendre comment ils ont transposé le son studio en live.

En tout cas, ils attaquent le set avec un plaisir de jouer qui est immédiatement communiqué au public. Les ALIENS ENCOUNTERS, en plus d’être des super-musicos savent faire participer le public. Leur setlist est bien-sûr un mélange entre anciens et nouveaux morceaux. Le son est bon, ce qui n’est pas évident sur un fest open air, et les nouveaux morceaux sont superbes en live.

Pas évident du tout de restituer ce genre de morceaux en live. Je suis aux anges. Les ALIENS ENCOUNTERS nous délivrent un très bon set. Ce qui est cool au Leym’Fest, c’est que même les premiers groupes qui passent bénéficient d’un bon temps de show. Et vu le niveau des groupes à l’affiche, il aurait été dommage de les faire jouer seulement vingt minutes ! Les ALIEN ENCOUNTERS repartent en ayant récupéré des fans. Dommage pour ceux qui les ont loupés !

Bon tour au bar obligé. Tiens, cette année, il y a un food truck en plus ! 

WEDINGOTH

Le temps passe vite et c’est encore un groupe que je connais et que j’aime bien, les WEDINGOTH, qui monte sur scène. Là, on passe dans du heavy prog’. Et c’est parti ! Eux aussi très fort ! Le son est aussi très bon. Ouah, sur une grande scène, ça le fait !

Il y a deux filles dans le groupe, une chanteuse et une bassiste. Ils sont pour la parité, moi aussi, c’est cool pour les photos ! Les musicos profitent de la grande scène pour bouger et la chanteuse l’exploite très bien. Je trouve qu’elle est de plus en plus à l’aise scéniquement. Vocalement j’adore, donc forcément, je ne suis pas impartial !

Les morceaux font mouche dans le public, l’ambiance est méga bonne. Les musiciens sont à fond les manettes, ils s’éclatent vraiment et ça se ressent dans la fosse. Deuxième groupe et deuxième baffe. 

Allez, il est l’heure pour moi de me restaurer avant le prochain groupe. Direction la tente pour les musicos, bénévoles et presse pour un poulet basquaise. Eh oui, chez AMM, ils nous chouchoutent ! Je mange avec des musiciens que je ne connais pas. Heu, comme HOLOPHONICS doit être en train de se préparer et que je connais les autres musicos, ce doit être les membres de BLAZING WAR MACHINE… Gagné ! Ils rigolent quand je leur dis que DAGOBA c’est trop extrême pour moi. Ils sont même morts de rire quand ils me disent que BLAZING WAR MACHINE, c’est vraiment plus brutal. Là, j’avoue que je blêmis.

HOLOPHONICS

Bon pas le temps de finir la papote ni de boire un café, les grenoblois d’HOLOPHONICS montent sur scène. Première découverte de la soirée pour moi. Alors, comment définir leur style ? On va dire du rock, metal moderne avec un relent de stoner sur quelques morceaux. C’est une bonne surprise. Vraiment sympa. La voix est superbe. Plus les morceaux passent et plus je craque sur elle.

Il y a deux ou trois morceaux que je trouve en plus excellents. Scéniquement, ça tient vraiment la route. On voit qu’ils ont l’habitude de la scène. Agréable surprise partagée par le public de plus en plus nombreux.

Trois groupes et rien à jeter. Tous d’un excellent niveau. Et ce n’est pas fini !

Allez, je vais me faire un café pour me réchauffer car il commence à faire frisquet. Petit papotage avec FRANKY COSTANZA. J’en profite car je ne pense pas être encore là quand il aura fini de jouer (je ne sais pas pourquoi, juste une impression, lol !!).

OBLIVION

Et c’est reparti. Retour vers la scène et retour en terrain connu car c’est au tour d’ÖBLIVION avec les frères JO et DAVID AMORE (ex-chanteur et ex-batteur de NIGHTMARE), STEPH RABILLOUD (URGENT et ex-NIGHTMARE lui aussi), MARKUS FORTUNATO (FORTUNATO, FURY AGE, ex-MZ) de monter sur scène. Que du beau monde !

Heu, je disais en terrain connu, oui car on va avoir droit sur une partie du set à un certain nombre de morceaux de leur ex-groupe NIGHTMARE. En revanche, l’autre partie est bien composée de leurs nouveaux morceaux. Leur CD devrait sortir prochainement et il y aura aussi un DVD live. DVD qu’ils tournent ce soir si vous vous rappelez bien. Eh oui ! Et comme ils sont filmés, ils sont forcément aux taquets. Comme d’habitude, vous me direz.

Tout ce petit monde bouge à donf, s’amuse avec les copains, prend des poses, se lâche. MARKUS qui pour une fois ne tire pas la langue (lol !) fait aussi le spectacle.  Même DAVID derrière sa batterie participe à ce que le public en prenne plein les yeux… comme les oreilles. Que dire de JOE AMORE ? Il est fantastique ! Moi, encore une fois, je suis fan de sa voix, de son timbre et de son attitude sur scène.

Les nouveaux morceaux sont bien-sûr dans la continuité du style et plaisent aux fans. J’ai vraiment hâte d’écouter leur album !… et de voir le DVD, of course ! Les trois cent cinquante personnes présentes n’ont plus froid, ça saute, ça bouge. Yes, trop trop bien ! Et évidement trop trop court. Mais bon, pas grave, on aura le DVD ! 

Whaou, quatre groupes, quatre baffes et toujours rien à redire !

BLAZING WAR MACHINE

Bon, dernière pause de la soirée. On se détend, on se prépare psychologiquement et on pense aux boules Quiès… Même pas peur, j’ai survécu à JINJER !!!

Allez, c’est parti ! Fumigènes, groupe maquillé. Je comprends pourquoi les photographes aiment les groupes extrêmes. En plus, ça bouge grave sur scène. Ca prend des attitudes différentes. Bref, il y a du visuel.

Musicalement, au début, ça va. C’est puissant, fort mais mélodique. Ou ça se corse pour moi, c’est quand la voix arrive, une voix qui passe du méga grave à l’hyper-aigu (pire que DANY de CRADLE OF FILTH ! ). Heu, je croyais que c’était une fille au chant, moi… Ah oui, c’est bien une fille mais si je ne la vois pas, je ne sais pas, moi !

Bon, c’était clair avant, je ne vais pas jouer les vierges effarouchées qui ont cherché le loup et qui crient quand elles le voient, mais ce n’est vraiment pas mon truc !!! Ca ne me touche pas et en plus, ça me stresse. Mais bon, il y en a qui aiment et qui apprécient. Les premiers rangs sont comme des dingues… surtout quand FRANKY COSTANZA prend le micro et fait faire un wall of death au public. Je me trompe peut-être mais si j’ai bonne mémoire, c’est le premier au Leym’Fest. Rien à dire sur les musiciens, ils se donnent à fond. Et que dire de FRANKY COSTANZA, impérial derrière ses futs ? A donf ! Quel putain de batteur ! Il est encore une fois à la hauteur d’une réputation qu’il est loin d’avoir usurpée !

J’ai vu mais là je craque. Ce dernier groupe, c’est des pains dans la tronche qu’il m’a mis ! Et même si c’est loin d’être mon truc, c’est encore un groupe de qualité encore sur cette prog’ sans failles.

En plus, je commence à avoir vraiment froid. En trois jours, on passe du bermuda/T-Shirt au sweat/blouson et je caille encore. C’est pas humain !

Je dis au revoir et je ne suis plus là ! Heu… c’était sans compter sur ma rencontre avec JOE AMORE qui me rappelle qu’on a une interview à faire… Je monte donc dans les loges pour une interview d’ÖBLIVION pas triste du tout à cette heure de ma soirée (interview que je fais avec un autre téléphone que le mien car la batterie a rendu l’âme… Vous la verrez donc si on me l’envoie… STEPH, si tu nous lis !).

Bon allez, j’ai dit au revoir à tous ceux que j’ai croisé, bénévoles, musicos, JEEP, CHRISTOPHE GINET à qui je redis un grand merci pour cette soirée et je (ne) suis (pas) parti car je rencontre BOOM le batteur de VITAL BREATH qui me parle de leur nouvel album et de leurs dates de concert. Là, il est vraiment très tôt le matin et je pars. Je croise des copains arrêtés sur le bord de la route avec des gens en bleu marine et je me dis que, de toute façon, même si je ne bois que du Coca Zéro, je ne serais pas rentrés plus tôt même si j’étais parti avant…

En conclusion, une superbe édition du Leym’Fest, le fest qui monte années après années et qui n’est plus petit. Merci à toute l’équipe d’AMM et à CHRISTOPHE GINET en particulier. 

Long live Leym’Fest et à l’année prochaine !!

JOHNNY GALLAGHER

Allez, la reprise des concerts comme chaque année se passe en Suisse, juste à côté de la frontière et pas loin de Genève.

Le vendredi, il y a le choix : l’Octopode Festival et sa soirée metal ou le Festiverbant. J’ai tellement hésité, moi, que j’ai réussi l’exploit de n’aller ni à l’un ni à l’autre ! Mais là, ce samedi, c’est sans hésitation que je prends la direction du Festiverbant !!

SONIC CRASH

Comme je sais y aller et où me garer, c’est simple d’arriver à l’heure, lol ! Bon, je suis en avance. Et devinez sur qui je tombe ? JOHNNY GALLAGHER qui vient faire son tour hors des backstages ! Petit papotage et premières photos du fest. Je le laisse quand même aller se préparer. Je continue ma balade et je constate que contrairement à l’an dernier, le disquaire est ouvert. La mauvaise nouvelle, c’est qu’il n’a pas pris de CD. Que des rondelles qui grattent ! C’est ma carte bleue qui est contente !!

Pas le temps de pleurer sur ma malchance que le premier groupe attaque. Ce sont les genevois de SONIC CRASH qui s’y collent. C’est un trio musicalement dur à définir : un morceau bien pop pour commencer, un morceau bien blues après, d’autres rock – voire lorgnant sur le hard-rock…

C’est bien fait mais ça sent la recherche de leur identité musicale propre. Hey, j’ai une idée ! Ils peuvent chercher dans le dos du chanteur, il y a un beau patch CINDERELLA !!

Comme d’hab’, le son est bon et la scène est grande. Les gens arrivent petit à petit. Il fait très chaud et il faut s’hydrater. Comme d’hab’ aussi, l’attente entre les groupes est réglée comme un coucou (suisse of course !) à trente minutes. Et trente minutes après, c’est au tour de nos copains et copine de BACK ROADS de monter sur scène.

BACK ROADS

Je suis impatient de les revoir. En effet, je ne les ai pas vus en live depuis la sortie de leur nouvel album et j’ai hâte de les entendre jouer leurs nouveaux titres…

Je vous le dis d’entrée, je ne vais pas être déçu ! Ils attaquent par deux nouveaux titres et, le moins qu’on puisse dire, c’est qu’en live, ça dépote sévère ! En plus, le son est très bon. Le public qui commence à être présent en nombre apprécie et rentre directement dans le set.

Le set continue par le titre éponyme du groupe : “Back Roads”. Ouah, quelle entame ! Les BACK ROADS sont déchaînés, ça joue et ça bouge. SYLVAINE DESCHAMPS-GARCIA, la chanteuse, se lâche complètement, elle est dans les morceaux vocalement et physiquement. Elle ressent vraiment les morceaux ! FABRICE DUTOUR et l’ensemble des musiciens (FRANCK MORTREUX à la basse, CHRISTOPHE OLIVERES en seconde guitare et NICOLAS AMMOLLO à la batterie) ne sont pas en reste.

Il y a une vraie communion entre eux qui se propage dans le public. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que ça fonctionne !  

Le reste de la setlist est, bien-sûr, un mélange entre les titres des deux albums. Ils finissent sur un cover du ALLMAN BROTHERS BAND.

Re-ouah, quel putain de concert ils nous ont fait là ! Sur cette superbe scène, BACK ROADS a été vraiment grand ! Ils ont pris une nouvelle dimension et avec le nouvel album, ils se sont vraiment trouvés !! A voir et à revoir sans modération !! SYLVAINE a une vraie putain de voix et elle a trouvé son équilibre, c’est carrément trop bon !

Allez hop, hydratation car il fait mega chaud. Papotage avec les copains, copines. Seb 747 qui a débarqué au début du show partage mon engouement pour BACK ROADS. Et non, je ne l’ai pas menacé !!

JOHNNY GALLAGHER

Bon, une demi-heure, ça passe vite quand on s’amuse donc c’est l’heure… pour ma femme d’aller faire un tour, lol et pour JOHNNY GALLAGHER de monter sur scène. Et tout de suite, c’est la fête !! Voir JOHNNY sur scène, ce n’est que du bonheur et de la joie de vivre en barre. Ce colosse, béret sur la tête a une conception du blues bien à lui, son blues est… festif (si, si !!). C’est tantôt blues-rock, tantôt teinté de reggae, tantôt empreint de ballades irlandaises.

JOHNNY fait comme toujours participer le public – très nombreux maintenant. Il le fait chanter et danser. Bref, un concert de JOHNNY, c’est dur à raconter parce qu’en fait, ça se vit ! Et ce n’est d’ailleurs pas pour rien que les différents fests de la région le mettent à l’affiche. Bon, c’est vrai, même lorsqu’il n’est pas sur l’affiche, il est aussi souvent là et se retrouve régulièrement à faire le beuf !!

Les musiciens de son groupe sont parfaits pour lui et lui permettent de s’exprimer au chant… mais bien sûr aussi avec sa guitare car JOHNNY GALLAGHER est un putain de gratteux, tout en feeling. Et ce soir, que ce soit sur ses propres morceaux ou sur des covers, il le prouve une nouvelle fois, et de quelle manière ! La preuve en est que même ma femme s’est rapprochée et a apprécié ! C’est vous dire s’il est fort !!!

Bon, même si le public en redemande, “House of the Rising Sun” sera le dernier morceau. Pas de rappel. Heu en même temps c’est normal vu qu’il remonte sur scène dans une demi-heure pour une jam en hommage à CHUCK BERRY ! Eh oui, il va enchaîner deux concerts !!

Mais pensez-vous que c’est pour ça qu’il va aller se reposer en loges ? Que nenni, on le retrouve quelques minutes après sur son stand merchandising en train de signer des disques et de faire des photos avec le sourire, sans oublier le petit mot gentil…

C’est la sécu qui vient le chercher pour remonter sur scène avec son groupe et des invités !! Et c’est reparti pour un tour. Frais comme un gardon, bien hydraté, JOHNNY nous revient avec un “Spirit of Chuck Berry”. Et, même s’il est très tard, le public est aux anges.

Bon, moi aussi, mais là il est vraiment très tard et donc je ne vais pas rester pour voir la jam avec FABRICE et SYLVAINE des BACK ROADS, sniff !!! Le son m’accompagne quand même jusqu’à la voiture et j’avoue que j’ai du mal à monter dedans. En tout cas, quel Monsieur ce JOHNNY !!!!

Quel fest ! Encore une fois, une superbe ambiance, une superbe programmation. Vive le Festiverbant et à l’année prochaine… avec le même temps !

Long live Festiverbant !!

JOHNNY GALLAGHER

 

Chroniques Metal : Septembre 2017

Label : Autoproduit

Sortie : 1er septembre 2017

Les suédois de Dynamite nous reviennent avec un nouveau CD !! Plein de hard-rock binaire, yes !!

Les kangourous du bush vont être heureux car ce “Big bang” va les faire headbanger comme des fous. Et eux, ils s’en tapent que ce ne soit pas novateur. Ce qui compte, c’est que c’est du bon hard boogy qui fait bouger et te donne envie de faire la fête en buvant des bières avec des potes.

Alors, si vous aimez AC/DC, Airbourne, Sideburn et consorts, cet album devrait vous faire oublier que c’est l’autonome car oui, c’est déjà l’été aux antipodes ! Dynamite = Big bang coup de coeur Ti- Rickou et approuvé par les kangourous !!!!

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Label : Frontiers Music

Sortie : 15 septembre 2017

Yes, un nouvel album de Steelheart, voilà ce que j’appelle une bonne nouvelle car j’adore ce groupe ! Heu… comment ça ne vous dit rien ? La B.O. du film Rock Star, c’est eux !! Eh oui. Et donc Ti-Rickou aux taquets pour écouter ce que donne ce petit dernier.

Et ? Ben je ne suis vraiment pas déçu, c’est du Steelheart pur jus multi-vitamines et même un peu bodybuildé avec un gros son et une grosse prod’. Des putains de morceaux, une putain de voix, une influence Led Zep énervé, ouah, cet album est une tuerie intégrale ! Aucun doute que les fans des anciens albums vont y adhérer. La ballade est sublime !! Quand-à ceux qui trouvaient le groupe trop FM, ils devraient changer d’avis.

Les Steelheart m’ont vraiment bluffé sur ce coup-là, un coup de maître mélodique et puissant. Et quel son !!… Et surtout, quelle voix ! Je fonds comme une midinette, moi !!! Méga coup de coeur, limite infarctus, of course !! Allez je me le ré-écoute une fois ou deux et je me re-mate “Rock Star” ! Heureusement qu’ils n’ont pas tourné comme le héros de ce film qui finit par faire du grunge, ils font trop bien du hard-rock !

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Label : Frontiers Music

Sortie : 15 septembre 2017

Vous aimez Mötley Crüe, Def Leppard et consorts, mais aussi Accept, Dio ? Eh bien, eux aussi !

Ils ont mélangé tout ça pour nous offrir 11 morceaux qui nous font ressortir nos moule-burnes et nos bracelets à clous ! Welcome back to the 80’s ! Cet album refait bouger les cheveux comme à la bonne époque, celle du Camping des Flots Bleus et de Gros Rougeot (Tonton Zézé, si tu nous lis…). Ils n’ont en plus pas oublier le sens de l’humour et de l’auto-dérision.

Un album qui fait faire une cure de rajeunissement de 30 ans, rien que ça !! Donc, évidement, coup de coeur obligatoire. Et je n’ai plus qu’une seule chose à dire : “Aperooooooooo” !

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Label : Frontiers Music

Sortie : 15 septembre 2017

Tiens, des nouveaux venus ! Et rien qu’à l’écoute de leur album, on peut en déduire qu’ils ont été bercés par Thin Lizzy, Black Sabbath et consorts.

C’est bien fait, bien produit. Les morceaux s’écoutent facilement et la voix est bien pour les morceaux. Un album qui ne révolutionne pas le style mais qu’on prend plaisir à découvrir et un groupe que, du coup, je vais suivre.

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Label : Frontiers Music

Sortie : 15 septembre 2017

La plaquette de présentation du groupe qui accompagne l’album dit que c’est un album pour les fans de Rival Sons, Bad Company, Whitesnake, Deep Purple et Led Zeppelin, rien que ça !!!

Et c’est vrai. On est en plein dans les 70’s. La voix fait vraiment penser à du Robert Plant grande époque, les morceaux sont aussi très hard 70. Bref, du hard-rock comme celui qui m’a fait aimé le hard. C’est teinté de blues, de Jack et d’une odeur d’herbe qui fait rire. On a des montées vocalistiques indécentes, des ambiances sonores qui font voyager. C’est méga bien fait, les morceaux sont méga bons et sans la prod’, on pourrait daté sans sourciller cet album des 70’s.

Alors, ressortez vos pattes d’eph’, ressortez vos bâtons d’encens et foncez sur cet album !!! Une grosse tarte dans la tronche. Même leurs ballades sont superbes. Et cette voix !!!…. Bien-sûr, c’est un album coup de coeur. Surtout au moment où mes héros des 70’s se raréfient ou se momifient. De la fraîcheur, ça fait un bien fou.

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Label : Frontiers Music

Sortie : 15 septembre 2017

Si on veut savoir qui joue dans le groupe, pas besoin de chercher : c’est écrit sur la pochette, sous le titre. Kee Marcello et Tommy Heart. Bref, le guitariste de Europe et le chanteur de Fair Warning. Donc, pas besoin d’être Madame Irma pour savoir qu’ils ne vont pas faire un album de black métal, et qu’on doit s’attendre à du hard-rock plutôt FM. La question à 100.000 euros est : “Est-ce que ça va être très FM, voire AOR ou plus hard-rock ?”. Voilà, mes réflexions touchent à leur fin et j’appuie sur play.

Et c’est gagné ! On est dans du hard-rock mélodique. Du hard classieux. Bon, un peu FM mais pas AOR. Heu… non chérie, ce n’est pas mou du genou de ma grand-mère ! C’est beau, bien produit, la voix est superbe, les morceaux sont beaux, parfaits pour tailler la route. Comment, je ne risque pas de faire des excès de vitesse ? Je ne te réponds même pas ! Les solos sont superbes, l’ambiance l’est tout autant. Un CD qui s’écoute tout seul.

Comment chérie, justement il faut que je l’écoute tout seul ?!! Bon, un CD qui va ravir les fans du genre. Pour les autres, un peu de douceur dans ce monde de brutes, ça vous fera du bien.

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Label : Mighty Music

Sortie : 15 septembre 2017

L’album de Vital Breath arrive ! Il se nomme “Angels of light”. La pochette est très belle – un angelot dans les nuages qui regarde la Terre – et déjà, on s’imagine le contenu. Bon, j’ai peu d’imagination en ce moment donc “play” direct !

En règle générale, on peut facilement décrire le genre musical d’un album : metal, heavy metal, metal alternatif, symphonique, prog’, metal moderne… Là, Vital Breath ne me facilite pas la tâche car c’est un peu tout ça avec une petite touche pop et un gros soupçon de metal moderne et alternatif. Avec même un petit soupçon de classique.

En clair, si vous aimez les étiquettes, les styles bien définis, il va falloir vous ouvrir et prendre le temps de bien écouter ce disque. Si vous faites ce pas, vous ne serez vraiment pas déçus car cet “Angels of light” est riche en mélodies, en riffs, en puissance, en subtilité, en surprises. Les morceaux sont différents à chaque fois mais ils s’emboîtent parfaitement pour faire un tout parfaitement homogène. En plus, musicalement, ça va loin (mais ce n’est pas chiant !!).

Les Vital Breath ont pris un vrai risque en proposant ce style de musique (surtout en France !!) avec plein d’ambiance différentes, de changements de rythme et un gros son. Bref, une approche moderne du style. Pas facile dans ce monde où, au bout de 20 secondes, on se fait une idée et où ce temps suffit pour savoir si on continue ou pas à écouter.

Eh bien les gars, il faut continuer car d’écoute en écoute, on découvre plein de détails. Ne pas s’arrêter sur deux titres qu’on n’aime pas car ce CD peut vraiment plaire à une grande palette de fans… ouverts musicalement. Pour ma part, après plusieurs écoutes, je suis tombé accro à cet “Angels of light” ! Il faut dire que j’ai craquer sur plusieurs morceaux dont “Inside devil” qui me reste dans la tête avec son refrain.

C’est évidement un album coup de coeur Ti-Rickou… Et pourtant, normalement les styles un peu fusion, ce n’est pas mon truc. Mais là, il faut le dire, c’est méga bon !

Une méga bonne surprise pour mettre du soleil dans cette rentrée brumeuse

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Label : Dooweet / Season of Mist

Sortie : 29 septembre 2017

Il est content Ti-Rickou, car ça y est, je l’ai enfin le dernier Highway !! Déjà, j’adore la pochette de ce “IV”, je la trouve sobre, fun et originale.

Maintenant, le contenu. Ca commence à la manière chant irlandais version hard qui met tout de suite tes cheveux en mode marche. Tu rentres dans leur univers sans te poser de question. Après, la machine à te niquer la nuque et à te faire chanter à tue-tête est en route ! 

Cet album est bourré de morceaux fun qui vont te rentrer dans la tête et ne plus en sortir. Highway nous fait du pur hard-rock ‘n’ roll avec plein d’influences allant de AC/DC à Guns ‘n’Roses, de Rose Tattoo au traditionnel chant irlandais à la T-Rex. Les Highway avec ce “IV” ont vraiment leur univers à eux, un univers hard fuckin’ rock’n’roll où on se sent bien. La neige fond, le soleil brille, on a la pêche et la banane.

Même si j’avoue que j’étais déjà bien fan d’eux avant, je craque pour cet album. J’adore cette variété de temps, cette fraîcheur des morceaux et cette voix chaude et puissante ! Rien à jeter sur cet album, c’est un pur bonheur. A découvrir d’urgence et à écouter très fort pour faire partager ce moment avec vos voisins. Le hard-rock français a trouvé avec les sétois de Highway, un nouveau fer de lance !!

C’est un énorme coup de coeur !! Ce “IV” a sa place d’office dans toute CDthèque hard-rock qui se respecte !! Long live Highway !!