BLACKRAIN

Report by Seb 747

Ce soir, c’est dans la vallée de l’Arve, connue pour ses usines de décolletage que je me dirige. Plus précisément à l’Atelier de Cluses. Mais ce n’est pas pour de la mécanique de précision que je m’y rends, mais bien pour un concert. De quel genre me demanderiez-vous ? Eh bien, je dirais bien du glam-rock. Seulement, je me pose quelques questions, étant donné la première partie.

C’est une étrange affiche qui nous est proposé en cette soirée. En effet, les BLACKRAIN, le groupe vedette (vous vous en seriez douté), ont décidé d’emmener dans leurs bagages les DREAD UNION BLOOD. Étrange, car les styles musicaux des deux groupes sont carrément à l’opposé.

Mais bon, qu’à cela ne tienne, allons y !

Pour ceux qui suivent mes reports, j’avais déjà vu les DREAD UNION BLOOD au Panic Fest de Saint-Félix l‘an passé, et je savais déjà à quoi m’attendre. Alors, une semaine avant, je me suis préparé en écoutant en boucle les derniers AVATAR, histoire d’habituer mes oreilles à cette future déflagration sonore !

DREAD UNION BLOOD

Une fois arrivé sur place et m’être garé sans problème, je monte les escaliers en fer pour arriver tout en haut dans la salle. Ayant déjà vu des concerts là-bas, je suis content d’y retourner, d’autant plus que, comme dans mes souvenirs, la salle est de bonne taille et la scène est relativement grande pour que les groupes puissent évoluer sans gêne.

À peine le temps de dire bonjour aux copains, qu’une petite intro démarre et que les lumières s’éteignent. Elles resteront, d’ailleurs, quasiment tout le temps dans cet état durant le set des DREAD UNION BLOOD, alourdissant encore plus l’ambiance musicale.

Contrairement à ce que je craignais vu la différence de style avec BLACKRAIN, le public ne s’est pas enfui dès les premières notes. Je suis même surpris que la salle se soit aussi bien remplie. Bon, comme je le disais plus haut, déflagration sonore il y a !

DREAD UNION BLOOD

Musicalement, j’aime bien. La lourdeur de la musique est intéressante mais malheureusement, pour moi, le chant n’est pas du tout mon style. Comme l’a dit tout le long de leur set le chanteur : « Il y a les métalleux devant et les hard-rockeurs derrière ». Donc, je suis resté derrière, lol !

Ce qui est cool tout de même, c’est que tout le long de son set, celui-ci avait une pensée pour tous les gens, qui comme mes camarades et moi, n’apprécient guère leur genre musical. Mais il est vrai que dans le style, c’est bien fait et que ça plaît. Seulement pour moi, c’est trop violent, la voix est vraiment trop grave et il manque un chouïa de mélodies.

Bref, le set se termine au bout d’une heure sous une chape de plomb. Le public devant la scène a l’air ravi… et moi, beaucoup moins. Evidemment.

Repos obligatoire après cette explosion sonore et direction pause hydratation et ravitaillement.

BLACKRAIN

Le changement de scène est relativement rapide et en voyant toutes les copines qui se ruent devant la scène, je me dis que les BLACKRAIN ne vont pas tarder. Il est 22 h, lorsque les hauts-savoyards montent sur scène. Le groupe arrive conquérant devant une salle toute acquise à sa cause. Et en lisant l’expression de joie sur le visage des musiciens, je me rends compte qu’il n’y a pas que le public qui est content. Les BLACKRAIN sont venus jouer sur leurs terres et ça se voit !

Lumières sombres, premiers accords, et c’est parti pour plus d’une heure de rock‘n’roll. Dès que l’entame de « Eat you alive », suivi sans temps mort par « Back in town » déboule, l’ambiance s’échauffe. Les deux titres de leur récent album « Released » sont acclamés par le public. Quelle belle entame de concert !

« Rock’n’roll is dead » qui a précédé « Mind Control  » voit les spectateurs hurler leurs joies. Il est vrai que leur premier album « License to thrill » fait toujours des adeptes, malgré le nombre d’années qui séparent ce disque du dernier.

BLACKRAIN

La setlist se concentre sur leur dernier album mais les BLACKRAIN passent aussi en revue toute leur discographie. « Dead boy » est le premier titre de « Lethal dose of ». Il est immédiatement suivi par l’incontournable « Innocent Rosie ». Là, on ne tient plus le public ! Ça commence à pogoter de partout. L’atelier est en feu ! MAX dégote toujours des solos dont lui-seul à le secret et SWAN a toujours ce timbre inimitable. Nous voilà dans l’ambiance glam du soir ! Je kiffe !!

« Blast me up » continue de mettre le feu parmi les glameurs et les glameuses. Tout le monde est aux anges, l’ambiance est géniale.

Après ce déchaînement de gros son, c’est la superbe ballade « For your love » qui vient poindre le bout de son nez, histoire de calmer un peu le jeu. C’est vrai que ça commençait à devenir chaud bouillant devant !

BLACKRAIN

« Il est temps de vous offrir une petite surprise ! » nous dit SWAN avec un grand sourire envers son complice de toujours, MAX. Et le groupe quitte la scène. Seul au-devant de la scène, ledit guitariste nous entame son « One last prayer ». L’occasion pour chacun d’entre nous de découvrir ce que pourrait être la teneur de son futur album solo. Eh oui, MAX a lancé il y a quelques semaines un crowdfunding pour tenter l’aventure en solo. D’ailleurs, sur ce morceau, il est seul au monde avec sa guitare et charme littéralement toute la salle. 

Après une ovation du public, les BLACKRAIN remontent sur scène pour jouer deux morceaux de leur dernier album, « Electric blue » et « Killing me » sont exécutés à la perfection.

Vient ensuite le fameux titre dédié à une de leur fan « Jenny Jen ». Hurlements de joie des fans devant la scène. On ne les tient plus !
Le zénith est bientôt à son apogée car après « Run tiger run », c’est  » True girls are 16″ qui est donné en pâture au public en liesse. MATT, le bassiste, virevolte de partout faisant vrombir ses lignes de basses, sous les coups de marteau de FRANCK. L’osmose du groupe se ressent dans toute la salle. Quel concert !

BLACKRAIN

Après « Overloaded » et « Rock your city », SWAN nous interpelle :
« Est-ce que vous êtes prêts à chanter avec nous ? Vous n’avez jamais entendu ça ailleurs ! ». Et c’est sur le « Ho hey hey hey » de « It Begins » que l’assistance est amenée à donner de la voix. On atteint le dessus du panier avec ce morceau. C’est devenu un incontournable du groupe. Le public s’époumone, mais se plante, comme c’est souvent le cas à chaque fois que ce titre est interprété, mdr ! C’est vrai qu’il n’est pas facile d’approche tellement on est habitué à l’interpréter différemment.

Le concert est vraiment excellent, et le son est aux petits oignons pour le groupe.

« Pour finir, c’est une chanson triste que nous allons vous jouer », nous dit SWAN. « Mais nous on a voulu qu’elle soit joyeuse et rock‘n’roll ! ». C’est donc avec « Rock my funeral » que les BLACKRAIN concluent leur set. Quel morceau génial ! Ça pète dans tous les sens et il déménage tout sur son passage.

Le groupe devait terminer sur ce morceau mais SWAN ne veut pas s’arrêter en si bon chemin, et nous annonce : « Si vous faites du bruit, on revient pour vous faire un dernier morceau ». L’Atelier ne se fait pas prier et hurle comme jamais ! Les BLACKRAIN nous reviennent comme promis pour nous faire une petite reprise. « Ce titre rappelle un peu notre aventure ! », ce n’est donc pas un petit TWISTED SISTER, comme ils ont l’habitude de jouer, mais « It’s a long way to the top », le fameux titre d’AC/DC. C’est l’euphorie dans la salle ! Tout le monde se bouscule pour se jeter devant la scène. C’est du gros délire !

Ça y est, c’est fini. Les BLACKRAIN saluent la foule en remerciant le public d’être venu nombreux et font l’éternelle photo finish.

Tout le monde a le sourire aux lèvres, persuadés qu’on a assisté, encore une fois, à une belle prestation de BLACKRAIN. Et comme d’habitude, depuis qu’ils se sont séparés de leur ancien manager, les quatre compères nous retrouvent pour signer des autographes, prendre des photos et discuter du bon temps avec les fans présents.

Il se fait malheureusement tard et je dois songer à rentrer. Avant de partir, je vais saluer les musiciens. Bouh, c’est fini ! Pas grave, je les reverrai le 17 juin prochain pour la fête de la musique à Ayze, na !!

BLACKRAIN

BLAZE BAYLEY

Pas le temps de me remettre du concert de DYNAMITE à Lyon hier que ça continue ! Ce soir, c’est à Bourg-en-Bresse que ça se passe. D’abord chez ADIPOCERE où Christian et Sylvie organisent une séance de dédicace d’une heure. BLAZE BAYLEY s’y prête à l’exercice avec plaisir. Il signe les albums de MAIDEN qu’il a fait avec le groupe (of course !) et les albums de BLAZE BAYLEY (of course aussi !) avec le même plaisir. Il discute, accepte les photos avec le sourire, plaisante. Bref une très bonne intro pour ceux qui seront là pour le concert… et une consolation pour ceux qui malheureusement n’y seront pas.

Allez, il est temps de se diriger vers la Tannerie car l’ouverture des portes est prévue à 19h. Heu… il n’y a pas la queue pour rentrer. Les gens arrivent doucement par petits groupes de deux ou trois, parfois tout seul. Et pourtant, « mercredi c’est Tannerie ! ». Bon d’accord, mercredi c’est aussi le milieu de la semaine !

AMON SETHIS

Enfin bon, nous on est là pour le premier groupe, les grenoblois de AMON SETHIS et leur univers « le pharaon est mon copain ». Pour ceux qui suivent le webzine, la dernière fois que je les ai vus, c’était en première partie de MYRATH. Et bien, ils ont gardé la même intro et ils ont bien fait car ça tape très fort !! JULIEN arrive masqué et met le feu à un pupitre. Directement dans le feu de l’action !

Moi, je suis toujours fan. J’adore leur univers et leur vision du métal. En plus ce soir, le son est méga bon. Bref, que du bonheur ; bonheur partagé avec le public qui pour une grande part découvre le groupe. Et vu le nombre de gens qui vont acheter leur dernier CD après le set, AMON SETHIS a remporté haut la main la partie !

La pause sera courte car les deux groupes jouent sur la même batterie. Donc changement de plateau rapide !

Allez, les musiciens – bassiste et guitaristes – de dos avec un sweet BLAZE BAYLEY commencent à jouer et c’est parti ! BLAZE arrive et tout de suite le ton est donné : il va y allez à donf’ ! Les nouveaux morceaux sont top en live et côtoient les plus anciens.

BLAZE BAYLEY

Bon il n’oublie pas non plus quelques titres de la VIERGE DE FER mais ce n’est vraiment pas beaucoup. Trois morceaux de l’ère MAIDEN seulement. Normal, BLAZE BAYLEY, lui, ne fait pas dans le tribute band à l’instar de certains ex-chanteurs de groupes très connus qui passent leur vie à reprendre leurs anciens morceaux.

Les morceaux de BLAZE BAYLEY ont la part belle et ça le fait.

Les musicos qui forment le groupe sont les musiciens du groupe ABSOLA. Ils forment un groupe très soudé et comme ils tournent depuis pas mal d’années maintenant en soutien de BLAZE BAYLEY quand il tourne en Europe, ça fonctionne grave. On a KARL SCHRAMM à la basse, MARTIN McNEE à la batterie (putain de solo qu’il nous a fait !) et CHRIS APPELTON le guitariste. Ce dernier m’épate chaque fois que je le vois jouer. Non seulement, c’est un killer à la six cordes mais en plus il joue facile, décontracté, sans en rajouter… et avec le sourire.

BLAZE BAYLEY est impérial, comme toujours. J’adore sa voix puissante mais mélodique. Il chante avec son coeur… et il est énorme ! Il donne tout en live. Il ne joue pas, il est vraiment lui-même. On voit qu’il y a une véritable complicité avec les autres musiciens qui ne sont pas uniquement des faire-valoir mais bien un ensemble. Un groupe, tout simplement.

CHRIS APPLETON – POUR BLAZE BAYLEY

Et bien-sûr, le public le ressent et le leur rend bien.

Encore une fois, l’adage « les absents ont toujours tort » est justifié car ce soir BLAZE BAYLEY met tout le monde d’accords : il n’est pas seulement le chanteur qui a fait deux disques avec IRON MAIDEN. Il chantait avant et il chante après. Et c’est toujours aussi jouissif !

La tornade BLAZE ne faiblit pas. Jusqu’au bout c’est à un set et à une set list parfaite auxquels on aura eu droit ce soir.

Les musiciens ne prennent même pas le temps de se changer, ils vont directement au stand merchandising pour signer des autographes, faire des photos ou tout simplement parler avec les gens, parler avec les fans.

Une grande voix pour un grand monsieur.

Bon, moi j’en profite pour me prendre le dernier ABSOLVA dont je n’avais pas la version physique, et voilà c’est fini. On papote entre copains et on est tous unanimes, on a bien fait d’être là car c’était vraiment une soirée parfaite pour les fans de hard heavy.

DEDICACE BLAZE BAYLEY CHEZ ADIPOCERE

Dommage qu’il n’y ai pas eu plus de monde pour partager ça mais d’un autre côté, il vaut mieux une centaine de personnes qui sortent de la salle avec un sourire banane aux lèvres  et qui retourneront le voir dès que possible que cinq cents personnes qui sortent en se disant que le concert n’était vraiment pas bon, que le chanteur chantait faux, qu’il avait passé son temps à insulter ses musicos (musicos recrutés pour l’occasion) et qu’ils regrettaient d’être venus. Mais je m’égare. Heureusement, BLAZE BAYLEY est totalement à l’opposé d’un PAUL DI ANNO qui, lui, ne vit que sur son glorieux passif avec MAIDEN.

Qu’on se le dise, avec BLAZE BAYLEY, on vient pour voir un ancien de chez MAIDEN et on revient pour voir BLAZE BAYLEY et son groupe ! Long live BLAZE BAYLEY !! Long live ABSOLVA !!

Un grand merci à  la Tannerie pour nous avoir permis de vivre ça !!

DYNAMITE

Bon allez, direction Lyon, mais pour un lieu que je ne connais pas encore : le Hard-Rock Café. Hé oui, il y a un Hard-Rock Café à Lyon ! Pas depuis longtemps mais il y en a un. Et depuis son ouverture, je n’ai pas encore eu l’occasion d’y mettre les pieds – et les oreilles, of course – donc quand j’ai vu que les suédois de DYNAMITE allaient y jouer, impossible de résister !!

Bon, je sais où est le Hard-Rock Café et le parking n’est pas full. Yes, 20h tapantes, je suis arrivé ! Et en plus je ne suis pas à la bourre car un van sur lequel est écrit DYNAMITE s’arrête pile devant moi et qu’une bande de chevelus en sort.

Pile-poil dans les temps. La première partie, les suisses de SNURFU, n’ont pas commencé à jouer et je peux même papoter avec eux avant qu’ils montent sur scène.

La salle avec la scène est sympa, plein de souvenirs au mur (eh oui, on est dans un Hard-Rock Café !!), des objets ayant appartenu à des musiciens plus ou moins rock et bien-sûr des objets de musiciens métal : la guitare de SLAYER, les baguettes de IAN PAICE (heu, elles iraient bien avec ma peau de batterie signée elle-aussi par IAN !!)..

SNURFU

Bon allez, SNURFU attaque et déjà le son est méga bon !!! Les lights sont cool, bref ça commence bien. Les suisses attaquent fort, c’est méga bon. Ils ont une putain de présence en live.

Le chanteur a une méga voix et il emmène tout le monde avec lui.

Le public bien présent (mélange hétéroclite de touristes, de jeunes et un peu de fans des GUNS ou d’AC/DC, mais bizarrement pas les têtes que je croise habituellement en concert. Il y a beaucoup de filles aussi – on voit qu’on n’est pas dans un concert de métal extrême !! Ca saute, ça bouge, ça chante, c’est méga fun.

SNURFU

En revanche, pour vous dire le style musical de SNURFU, je suis vachement embêté. C’est un mélange de hard-rock, de métal moderne (sans la grosse voix. Là, c’est chanté), de stoner avec des pointes de blues… Bref, on va dire du rock et c’est vraiment très bien ! C’est varié tout en étant homogène et quand un morceau se termine l’autre commence différemment mais forment un tout auquel j’adhère. Bon, si vous ne captez rien, allez les écouter ! Quant-à moi, j’ai passé un très bon moment et j’ai découvert un groupe suisse de plus. Eh oui, pour ceux qui ne le savent pas, la Suisse c’est l’autre pays… du hard-rock !

Bon, petite pause qui me fait naviguer dans le Hard-Rock Café, les yeux sur les murs pour regarder à qui est le blouson, à qui est la guitare… Bref, pas pratique pour pas se vautrer ! Il est très bien fait ce Hard-Rock Café, moderne et lumineux, bien dans la norme de l’enseigne.

DYNAMITE

Je n’ai malheureusement pas le temps de faire un tour à la boutique ni de dévorer un monstrueux burger car les DYNAMITE arrivent sur scène. Je quitte le bar et MOTLEY CRUE (ça c’est du hard !!), je passe le sas et je rentre dans la salle avec la scène. Parfait, j’arrive juste pour le début des suédois !

Et là, tel un gang de motards arborant leurs couleurs dans le dos et leurs écussons sur le devant de leurs blousons, les DYNAMITE démarrent sur les chapeaux de roue. J’ai comme une onde qui me traverse le corps des orteils aux cheveux – cheveux qui bougent tout seuls sous l’effet Kiss Cool d’un hard-rock boogy qui te lave la tête et te nique la nuque. Bref, du fuckin’ rock’n’roll à la AC/DC, AIRBOURNE et consorts. Un mélange de morceaux énervés et de hard-rock binaire. C’est basique mais bigrement efficace… et à la sauce suédoise, s’il vous plaît !! Leurs morceaux sont purement excellents. Les musicos sont à fond et non seulement ça joue grave mais ils font le show et se donne à 200 pour cent !

Le chanteur a une putain de voix, le batteur et le bassiste font la paire, le guitariste est top… Que demander de plus ? Le public est chaud bouillant, ça chante, ça saute, ça s’éclate dans la bonne humeur. Très festif comme ambiance ! Pas de lourdingues bourrés qui slamment ou pogotent, c’est vraiment une ambiance magique. Je suis aux anges.

DYNAMITE

Le groupe nous plonge dans leurs deux albums et je découvre en live des morceaux qui font du bien à mes esgourdes. Je suis sous le charme, hors du temps.

« Quoi, c’est fini ? Noooon !! Allez, un rappel ! Heu non, une photo. Il faut croire que je suis trop gourmand quand il s’agit de mes cages à miel, moi !

Du coup, direction leur stand merch’ pour récupérer les CD de DYNAMITE. Heu… Il n’y en a plus du tout du premier album ! Dégoûté. Heureusement qu’il en reste du dernier !!

Un peu de papotage avec le groupe et voilà, c’est terminé pour ma première soirée au Hard-Rock Café de Lyon. En espérant qu’il y en ait beaucoup d’autres car des concerts dans ces conditions, c’est quand ils veulent ! Et puis, même sans ça, il y a des mégas putains de hamburgers et de sandwiches à venir dévorer, et en semaine c’est top parce que ça reste ouvert tard et qu’il n’y a pas la foule. Le bon plan !!

Allez, direction la voiture et DYNAMITE à donf pour la route, Oh yeah !!!

PS : heu, les copains, DYNAMITE c’était énorme et il y avait plein de filles. Vous étiez où ce soir ????

DYNAMITE

BENEATH MY SINS

Vu que j’ai eu un coup de foudre pour les BENATH MY SINS lors de leur concert à Lyon, je n’ai pas pu résister à leur proposer de faire une petite interview made in Ti-Rickou. En plus, comme ils sont originaires de Paris, je n’aurais peut-être pas eu l’occasion de leur en faire une pendant un petit bout de temps !

Et puis, vous me connaissez, j’ai toujours un faible pour les groupes à chanteuse !