Chroniques Metal – Février 2023

Label : Frontiers Music

Sortie : 10 février 2023

Yes, yes, yes, les Norvégiens de Wig Wam sont de retour avec un nouvel  album, « Out of the dark » et moi qui adore ce groupe, je suis toujours impatient de découvrir leurs nouvelles créations… Même si, quand même, je suis plus fan des premiers opus. Allez go, hyper espace Mister Spock !

Je flingue le suspect de suite, cet album est bon, que dis-je, mega bon ! Un superbe équilibre entre glam, hard-rock, rock classieux. Wig Wam a trouvé son équilibre et ça matche grave ! J’adore déjà cet album ! Il est là dans ma tête, les refrains me poussent à chanter en chœur, mes cheveux bougent tous seuls et j’ai un sourire  banane sur le visage. Putain, c’est trop  bon : « Oh, oh, oh, oh ! » !

En plus, le son est bon, la prod’ aussi. Ce « Out of the dark » est juste une bombe qui ne te lâche plus.

Allez, même joueur rejoue again. Qu’on se le dise, Wig Wam is back !!! Forcément, album coup de cœur et album du mois et puis c’est tout. Je le sens même bien en piste pour être mon album de l’année, rien que ça ! Vive la Norvège et vive Wig Wam !!

Label : Frontiers Music

Sortie : 17 février 2023

Les fans de hard-rock 80 et de MSG connaissent bien Robin McAuley, le chanteur Irlandais qui s’éclatait avec le guitariste Michael Schenker. Sa voix est reconnaissable, rauque et puissante.

Eh bien, il l’a gardée sa voix ! Et encore une fois, il le prouve sur cet album ! Il est encore là et bien en voix, contrairement à d’autres chanteurs de son  âge. Il n’y a pas à dire, McAuley assure !

Alors bien-sûr, cet album, même s’il est bien fait, ne va pas forcément me rester en tête très longtemps, il me manque un petit quelque chose dans les compos. Le seul vrai atout de cet album est de retrouver Robin et ça, c’est déjà pas mal. Bref, un album que je conseillerais à ses fans.

Chroniques Metal – Janvier 2023

Label : Indépendant

Sortie : 24 janvier 2023

Ce groupe-là, je n’en ai jamais entendu parler et, même en regardant la pochette, j’ai du mal à deviner le style. De plus, lorsque je regarde la liste de musiciens qui jouent en guests, j’ai encore plus de doutes car, le moins qu’on puisse dire, c’est qu’ils sont issus d’univers différent ! Les chansons ont été écrites par Glen Poland, d’accord. Et pour ces fameux invités, on a : Glen Drover (ex-Megadeth), Shawn Drover (ex-Megadeth), Tim Ripper Owens (ex-Judas Priest), Henning Basse (ex-Firewind), Rudy Sarzo (ex-Quiet Riot), James McDonough (Iced Earth), James LoMenzo (Megadeth), George Lynch (Lynch Mob), Eric Peterson (Testament)…

Allez, il est l’heure d’écouter cet album, ne serait-ce que pour savoir de quoi il retourne. Même pas peur !

Résultat des courses : on est dans du heavy musclé, mais du heavy et,  malgré les guets, on a un album homogène et cohérent. Glen Poland a géré d’une main de maître tout ce beau monde. Finalement cet album devrait plaire à tous les headbangers avec son heavy classique mais efficace et bien dans la veine « les 80’s sont mes copains », avec un son moderne.

Tiens, quand j’arrête le son, mes cheveux arrêtent de bouger tout seul, c’est magique !!

THE HU à Zürich

12 novembre 2022 à la Volkshaus de Zürick

Une fois de plus, me voici parti à “Dash les oies” pour un concert. Et je vais voir qui ? Un groupe qui depuis trois ans a le vent en poupe. Venant tout droit de Ulan Bator en Mongolie, c’est THE HU (prononcer HOU !). Et à quel endroit ? Eh bien, chez nos voisins helvétiques, au Volkshaus de Zürich. J’en vois déjà qui se gaussent : « Ouais, l’autre eh, dans deux jours, ils sont à Lyon. Il est con d’aller aussi loin ! ». Oui, je suis au courant, mais j’ai trop tardé pour acheter mes places et c’est complet. En plus, j’y vais en famille, parce que j’ai trois grands fans du groupe à la maison. Et puis, j’ai une petite préférence pour le public helvète, beaucoup plus discipliné que le public français.

Places en poche, nous partons en fin de matinée pour un périple de quatre heures. Pourquoi si tôt ? Eh bien, d’une, je ne connais pas le Volkshaus, je n’y ai jamais mis les pieds, et de deux, j’en profiterais pour visiter un peu. Malheureusement pour nous, un brouillard intense s’est invité sur le trajet et la route s’avère plus compliquée que prévu. Heureusement, nous sommes suffisamment en avance pour pouvoir fureter autour du site et visiter un peu le centre-ville, son lac, son opéra et sa zone piétonne, malgré la nuit tombante.

Histoire de ne pas trop me fouler la rate, j’arrive à me garer tout près du lieu de ce soir. Que demander de plus ? Un parking au tarif moins élevé ? Faut pas rêver non plus, nous sommes en Suisse et dans une des villes les plus chères d’Europe. Et l’une des plus sûres aussi. Zürich, c’est un peu comme Genève, mais en version allemande. Il n’est pas rare de croiser une voiture qui dépasse assurément le budget moyen annuel d’une commune rurale française !

Trêve de bavardages, parlons un peu du concert. Il est 19 heures lorsque nous rentrons dans cette superbe salle. La première chose qui me frappe, c’est le luxe de la maison du peuple (Volkshaus en Allemand). Construite il y a plus de cent ans, elle a vu beaucoup de monde depuis son tout premier spectacle en 1964. Des grands noms du heavy metal y ont posé leurs valises (AC/DC – à leurs débuts -, RAGE AGAINST THE MACHINE, PEARL JAM…), et c’est au tour de nos amis Mongols de s’y produire.

Je fais un tour au stand de merch’… puis en repart de suite étant donné les tarifs (peu élevés pour un salaire suisse, mais un peu trop pour ma bourse). Le début du concert étant annoncé pour 19h30, je me dis que ça va finir tôt (avec quatre heures de route pour rentrer, ce n’est pas pour me déplaire) et ce d’autant plus que j’ai eu beau chercher sur la toile, je n’ai pas vu de première partie. Mais en même temps, comment mettre une première partie avec un groupe pareil ?

Tiens, c’est étrange, il y a une table en plein milieu de la scène et une sorte de platine dessus. Ils ne vont pas nous mettre un DJ quand même ? Eh bien si. Nous voilà « pris en otage » comme me dira un voisin – en français, s’il vous plaît – derrière moi. C’est vrai qu’au début ça le fait, avec deux trois incontournables (« Roots » de SEPULTURA, « Killing in the Name » de RAGE AGAINST THE MACHINE, « Master of Puppets » de METALLICA…), mais au bout d’une demi-heure ça devient lassant. Si c’était pour écouter une radio métal, j’aurais pu rester dans la voiture. Heureusement, la torture n’a pas duré trop longtemps, puisque nous sommes libérés au bout de trois quarts d’heure. Ne vous méprenez pas, notre ami a fait le job, c’est-à-dire chauffer la salle, mais ce n’est pas pour moi. Et d’ailleurs, il me semble n’avoir pas été le seul, étant donné certains sifflets entendus au bout d’une demi-heure. Personnellement, un quart d’heure de moins, n’aurait pas été de trop. Mais pourquoi n’avoir pas mis une première partie !?

Enfin bref, passons…

THE HU @ Volkshaus de Zürich

Ce soir, nos amis Mongols sont en pleine tournée Black Thunder Tour qui les voit arpenter, depuis fin octobre, l’Europe entière (excepté l’extrême Est – ils se sont arrêtés en Pologne) après avoir écumé les USA cet été, juste avant la sortie de leur nouvel album.

En jetant un rapide coup d’œil derrière moi, je me rends compte que c’est complet. Même les balcons sont remplis. J’ai eu de la chance d’avoir des places !!

L’impatience du public se fait sentir. Les « HOU ! HOU ! HOU ! », cri de ralliement de The HU, scandés par la foule en version clapping, se font de plus en plus forts et réguliers. Il ne nous faut pas attendre trop longtemps puisqu’à 20h30 nos amis mongols s’installent sur scène et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’au vu de l’acclamation qu’ils reçoivent, ils sont plus qu’attendus !

Les huit membres du groupe ne mettent que très peu de temps à séduire le public zurichois. Dès le premier titre, « Shihi Hulu », tiré de leur dernier album en date, « Rumble of Thunder », le public s’enflamme. Les instruments traditionnels de leur pays sont mis en avant avec le violon « à tête de cheval » à deux cordes (morin khuur) – joués par ENKHASAIKHAN BATJARGAL (ENKUSH pour les intimes) dans son légendaire habit rouge, et GALBADRAKH TSENDBAATAR (GALA) tout de noir vêtu – et la guitare à deux cordes (Tovshuur) tenue par TEMUULEN NARANBAATAR (TEMKA).

La guitare électrique de JAMBALDORJ AYUSH (JAMBA) et la basse de NYAMDAVAA BYAMBAA (DAVAA) sont en retrait, ainsi qu’évidemment la batterie, tenue par ODBAYAR GANTUMUR (ODKO) et les percussions mongoles, tenues par UNUMUNKH MARALKHUU (ONO).

NYAMJANTSAN GALSANJAMTS (JAYA en plus court) est le chanteur principal. Il joue aussi de la flûte Tsuur. Il a une incroyable prestance, haranguant le public avec quelques mots d’anglais, mais surtout en Mongol lorsqu’il nous présente les morceaux. Ce qui est fou, c’est que même si l’on peut penser que très peu de personnes dans le public en comprennent un traître mot (moi le premier), le public répond aux sollicitations du chanteur avec ardeur.

Les profondes basses heavy metal se mêlent aux instruments traditionnels mongols dans les compositions de ce Hunnu rock (nouveau genre musical inventé par les musiciens – un dérivé du rock et des musiques ethniques traditionnelles mongoles qui fait référence aux peuples des Huns). Le public est à fond derrière le groupe. Une fan derrière moi semble connaître les paroles par cœur et une autre enjambe même la barrière de sécurité. Elle est vite remise à sa place par les vigiles suisses. J’avoue que je ne m’attendais pas à ça. Sont violents les fans de The HU. Mdr !!

Le Khöömii, un chant diphonique utilisé par les nomades de l’Altaï lors des cérémonies chamaniques, fait son effet en live. Ce sont les trois principaux chanteurs, JAYA, GALA et ENKUSH qui les interprètent. Les musiciens sortent des sons gutturaux (KARGYRAA un chant profond et SYGYT, chant plus aiguë, spécialité de Enkush), loin de leur micro et pourtant, on croirait qu’ils y sont collés. C’est incroyable la puissance qu’ils dégagent et la mélodie qu’ils obtiennent ! Un peu comme un GLENN HUGHES mais en version Mongol.

Tous les musiciens chantent en harmonie ; que ce soit GALA qui parle le plus Anglais, JAYA avec ses longs cheveux qui s’envolent avec le ventilo (digne d’une pub pour l’Oréal – parce que je le vaut bien. Mdr), et ENKUSH qui martyrise le plus son instrument. Lors des refrains, TEMKA l’un des quatre leaders et les autres musiciens, JAMBA et DAVAA, mais également ODKO et ONO s’y mettent aussi. Non seulement ça sonne hyper bien, mais en plus ça nous procure du plaisir. Il suffit de voir comment le public réagit pour se rendre compte que l’on vit un moment inoubliable.

Je suis abasourdi par la qualité sonore de la salle (avec un petit problème de son au début, déjà arrivé pendant la prestation du DJ mais vite réglé) et par les lights. Les Zurichois savent comment sublimer la musique de nos copains venus de Mongolie.

Que ce soit avec « Shireg Shireg » ou bien « The Great Chinggis Khan », deux morceaux de leur tout premier album, à chaque moment le public répond présent. Il y a une sorte de connexion qui se crée entre lui et le groupe, qui donne vraiment l’impression de jouer comme si c’était le concert le plus important de sa tournée. Leur musique, qui parle des valeurs traditionnelles, des vertus et de la sagesse de leurs ancêtres, voyage de cœur à cœur, d’esprit à esprit. Elle s’incruste dans votre crâne et votre corps pour ne plus en sortir.

Musicalement, vocalement, scéniquement, nous passons un agréable moment. Le dépaysement est total. Les morceaux de leur nouvel album, sorti quelques mois plus tôt, envoient carrément du lourd. « Bii Biyelgee », « Triangle », « Tatar Warrior » secouent un Volkshaus qui n’en demandait pas tant. « We missed you ! », harangue JAYA à la foule, bien aidé par GALA.

Le groupe a plaisir à jouer, cela se voit, cela se sent et bien sûr cela s’entend. Après le superbe titre « Yuve Yuve Yu », une chanson qui parle du respect de nos aînés et de la protection de la nature, et l’entrainant « Wolf Totem », le groupe décide d’en remettre une couche en nous jouant deux sublimes morceaux de leur dernier album : « Black Thunder » et « This Is Mongol ».

C’est sur cette véritable tuerie que The HU quitte la scène sous les ovations du public qui, évidemment, ne veut pas en rester là et scande les mêmes « HOU ! HOU ! HOU ! » que toute à l’heure.

Le groupe revient sur les planches au bout de cinq très longues minutes, histoire de faire bouillir un peu plus le public dans son jus. « Zürich ? You wan’t one more song ? nous demande JAYA, says : Hou ! One more song ! Hou ! One more song ! Hou ! One more song ! ». Il n’en faut pas plus pour que le public zurichois finisse de s’enflammer. D’autant plus sur la reprise de « Sad But True » des Fab Four (Metallica). Cover ? Oui, mais en Mongol, s’il vous plaît. C’est tellement bien fait qu’on à l’impression que ce sont les Mets qui l’ont interprétée sur un obscur import. Incroyable !

Ça y est, c’est définitivement fini, même si les quatre leaders reviennent une dernière fois pour saluer la foule.

THE HU @ Volkshaus de Zürich

Quel show mes aïeux ! Je n’en reviens toujours pas. Un meet & greet étant annoncé, nous ne sommes pas en mesure de voir les musiciens. En tous cas, c’est avec la banane que nous repartons dans notre contrée, après avoir payé 14 CHF de parking quand même (c’est le porte-monnaie qui fait la gueule. Lol), enrichis de belles expériences qui resteront avec nous pendant une éternité.

Si je n’avais qu’un seul conseil à vous donner, ce serait de ne surtout pas les ratez s’ils passent près de chez vous. Vous vivrez une expérience que vous ne serez pas prêts d’oublier, sauf si vous êtes réfractaires à ce genre de musique. Mais là, je ne peux rien faire pour vous !

BASTET, Live Report à l’Epicurial de Chambéry

Date du concert : 27 octobre 2022 – Report et Photos : STEVE*74

Ce soir, comme souvent, direction Chambéry mais cette fois pour un nouveau lieu, l’Epicurial, un bar situé dans le centre-ville pour voir et écouter un groupe italien, les BASTET.

Si un groupe a réussi son entrée dans le milieu du heavy-metal underground, nul doute que BASTET, originaire du nord de l’Italie, en est un très bon exemple. Vous ne les connaissez pas encore… alors voici un  bref aperçu du groupe. Signé par Steel Shark Records fin 2021 pour son premier album « Bastet », ce groupe a d’entrée montré tout son potentiel et sa faculté à nous sortir des titres qui, dès la première écoute, se retiennent et qui, pour beaucoup, peuvent être qualifié de « Hits » (Lights Out, Heavy Changes, Don’t Look Back, Beyond The Fight …).

BASTET, c’est plus de 40.000 vues sur la chaine Youtube NWOTHM avec que des commentaires positifs, 500 CDs sold out en 8 mois et une version vinyle qui en deux mois a vu se vendre 200 des 300 exemplaires tirés. Bref, avoir l’opportunité de voir ce groupe à Chambéry, même dans un bar, un soir de semaine était l’occasion de se faire un avis plus précis sur les qualités du groupe.

Un groupe qui apporte sa bonne humeur, son humilité et son professionnalisme (une balance faite en 10 minutes pour un son très bon au final), voici ce que j’apprends en arrivant sur place.

Avec le fameux quart d’heure savoyard de retard, les festivités du soir débutent. D’entrée on remarque NICOLETTA (NICO) la chanteuse, qui reste naturelle, spontanée et efficace ! Certes ne n’est pas ce que l’on appelle une chanteuse au sens  commercial du terme, mais elle possède cette rare qualité de rester dans son style de hard rocking girl » à la voix éraillée, toujours en rupture mais toujours juste et à la hauteur des compositions du début à la fin. BASTET est une déesse égyptienne qui  prend l’aspect d’une lionne guerrière, elle est à la fois douce et sauvage, c’est tout à fait l’image renvoyée par NICO ce soir.

L’autre membre qui dès le premier solo m’a marqué, c’est MIKE PETRONE, un niveau qui est digne des plus grands sans aucun doute ! Une dextérité et une aisance à en déconcerter plus d’un ! Mais attention, toujours de façon humble, naturelle et pleine de passion ! MIKE ne triche pas et ne joue pas un rôle, il vit le heavy-metal !  Je vous invite à vite regarder des vidéos du Festival de Vouziers où ils ont joué le samedi suivant ! Impressionnant ! Le patron de l’Epicurial a avoué après le concert que c’était le meilleur des guitaristes qu’il ait vu jouer en live ! Et il en a vu plus d’un ! Pour moi, c’est vraiment lui l’élément moteur de la formation, son leader !!

BASTET a joué 12 titres, 9 titres de son répertoire et trois reprises ; et pas n’importe lesquelles :  “Stand Up And Shout” (DIO), “Kickstart My Heart” (MOTLEY CRUE) et “Painkiller” (JUDAS PRIEST) !  Avec une mention particulière pour “Painkiller” qui a mis des frissons à toute la salle !!!!  Les soli étaient plus vrais que les originaux ! Ce MIKE est un vrai maestro de la guitare !!

Il faut saluer les autres membres sans qui le groupe ne serait rien. Le bassiste LEO BAYO,  le plus âgé du groupe, fort de son expérience a géré parfaitement la section rythmique avec ALESSANDRO,  le batteur de 24 ans, métronome déjà aguerri. Et je n’oublie pas le jeune guitariste rythmique LORENZO qui assure vraiment sans fausse note du début à la fin !  

Musicalement, on navigue sur ce soir dans les eaux d’un registre très heavy métal inspiré par les années 80 avec, c’est ce qui fait son charme, des petites incrustations de hard rock mélodique. C’est avec l’épique morceau « Beyond The Fight » que le show se termine.

Une soirée vraiment réussie pour un groupe en devenir et à découvrir. Pour cela (je fais un peu de pub ), vous pouvez commander un exemplaire du vinyle 8 titres auprès du label en écrivant sur steelsharkrecords@gmail.com

D’après mes sources, un second album est déjà dans les tuyaux et pourrait sortir fin 2023… si le planning est respecté. On l’attend avec impatience !

En conclusion, BASTET est un groupe à revoir pour savourer et confirmer un peu plus le potentiel affiché ce soir par mes nouveaux amis transalpins. Je peux retourner chez moi avec la satisfaction d’avoir assisté à l’éclosion d’une future grande formation de notre musique favorite.