Report et Photos by Ti-Rickou

Tiens, ça fait un bon moment que je ne suis pas allé faire un tour au Brin de Zinc, moi. Je commence à être en manque. Et ça tombe bien car ce soir, il y a IRON BASTARDS qui y passe. Heu si chérie, on les a bien vus à Besançon mais il y a longtemps (note de ladite chérie : le 16 mars 2019, c’est sûr, c’est loin ! Pfff…), leur nouvel album n’était même pas sorti ! Ok, je suis un tout petit peu de mauvaise foi !!!

En tout cas, c’est parti direction Chambéry !!! J’arrive bien-sûr en… avance ! J’ai même le temps d’aller manger un bout au K7 juste à côté, trop cool ! Je m’aperçois juste maintenant que je n’ai même pas cité le nom des deux groupes qui doivent passer avant les strasbourgeois. Mea Culpa, pas bien. Donc, il y a MAMA’S GUN que je ne connais absolument pas et PARANOID CATS qui me parle.

Bon, on va bientôt être fixé, le BDZ a ouvert et MAMA’S GUN ouvre les hostilités. Déjà, c’est un trio. Ils sont fortement influencés 70, rock psyché, blues, hard, “HENDRIX est mon tonton et LED ZEPP sont mes parrains”.

C’est bien fait et c’est une bonne découverte, d’autant plus que les musicos assurent en live. Du coup, on ne s’ennuie pas du tout. Même mieux : mes cheveux bougent tous seuls, mes pieds battent la mesure.

Bref, c’est très bien ! Voilà une première partie qu’il ne fallait pas louper.

Allez, il est temps de faire une pause avant PARANOID CATS. Heu, je ne me rappelais pas que c’était juste un groupe composé uniquement par un bassiste et un batteur. C’est le bassiste qui chante. Heu… comment dire, là ?

On est dans du garage, grunge, punk qui envoie le bois. Les deux musiciens sont impressionnants  par leur débauche d’énergie. Le bassiste m’impressionne vraiment.

Après, au bout d’un moment les morceaux tournent malheureusement toujours un peu pareil et, à vrai dire, c’est un peu trop punkisant pour moi. En plus, même si c’est très bien fait, putain la guitare me manque !! Minimaliste d’accord, mais on ne vire pas le guitariste !

Allez, dernière pause et c’est le moment de retrouver les IRON BASTARDS. Le Brin de Zinc est déjà sous influence MOTORHEAD et l’esprit de LEMMY est là pour accueillir comme il se doit les trois fous furieux venus de Strasbourg exprès pour nous.

Et c’est parti à donf’ en mode ta grand-mère en short sur des skis. Allez hyper vitesse Mr Spock, sors le Jack et les amphèt’ ! Amis du fuckin’ rock ‘n’ roll, vous allez être servis. Les cheveux ont déjà décollé ! La cohésion et la puissance du power trio vous coiffe gratos. Ambiance de dingue au BDZ !!! Oui, LEMMY est mort mais grâce à IRON BASTARDS, il avoine encore ! Et les BASTARDS sont vraiment dans ça, pas de la copie mais du spirit.

Et putain, encore une fois ça fonctionne grave ! Les nouveaux morceaux, même s’ils ont des touches de STATUS QUO et consorts sont de purs brûlots de fuckin’ rock ‘n’ roll qui te bastonnent la tête pour te remettre le cerveau à l’endroit !!!

Et cette voix passée au papier de verre et au Jack !!! Allons bon, voilà grand-mère qui veut arrêter ! Vas-y, mamie, le sapin c’est bien ! Les freins c’est pour les lâches… et donc l’arrêt est brutal. Et oui le set est fini, sniff, trop triste !!

Bon allez, on papote un peu,  histoire de redescendre avant de reprendre la route  avec MOTORHEAD et IRON BASTARDS comme compagnons de route. Il faut quand même que je fasse gaffe à ne pas ramener une photo souvenir du voyage, quand même !!!!

Report et Photos by Ti-Rickou

Allez direction le Ninkasi Kao de Gerland. Je suis content de revoir les américains de SYMPHONY X, il y a trop longtemps que je ne les ai pas vus, moi !! Et ce soir, il y a du monde. C’est même full. Ils jouent à guichets fermés. Je suis bien content même si pour les photos c’est forcément plus compliqué.

Comme je suis large en temps, je prends le temps de bien me positionner pour la première partie, les anglais de SAVAGE MESSIAH. D’entrée de jeu, j’aime bien : bon look, bonne attitude. Ca pète bien sa mère-grand dans le Rhône. Leur heavy thrash est bien foutu, plus heavy que thrash. Parfait pour moi. C’est mélodique et puissant, frais. Nickel. Les morceaux passent super bien en live et les musicos communiquent avec le public. Parfait pour chauffer le Kao.

Allez, pause réhydratation obligatoire et papotage avec les copains que je croise.

Retour devant la scène pour l’arrivée de SYMPHONY X. Et c’est parti ! Les fans sont aux taquets, les musiciens se débrouillant pour être dans les premiers rangs pour ne rien louper de la technique de leurs musiciens préférés. Les bassistes ne quitteront pas MICHAEL LEPOND des yeux, les chanteurs/chanteuses, c’est RUSSELL ALLEN  qui sera le centre de leur intérêt et pour les guitaristes ou les fans de guitare, c’est bien-sûr MICHAEL ROMEO, guitariste de l’école YNGWIE MALMSTEEN, le héros du soir ! Pour les autres, c’est tout le groupe et les morceaux qui sont importants.

Et SYMPHONY X a des morceaux plus que béton ! Leur style prog’ métal malmsteennien est bigrement addictif et pas chiant pour un sou. Si, si !! La set list fait un passage sur les différents albums du groupe. Voyage intéressant dans leur discographie.

Malgré des problèmes de son au début – son qui s’est amélioré peu à peu – le groupe fait une fois de plus une grosse prestation mais comme vous devez vous en douter, je ne suis pas objectif sur certains groupes que j’adore. La set list m’a comblé, j’ai trouvé RUSSELL bien en voix et voir MICHAEL ROMEO en live, ce n’est forcément que du bonheur. En plus, ils clôturent le concert sur un des morceaux que j’adore : “The Odyssey” !

Alors bien-sûr heureux. Un grand merci à la prod’ pour cette date qui a comblé les amateurs de métal prog’ pas chiant !! Heu, petite question : quelqu’un aurait-t-il vu ma femme ? Elle a disparu dès le début du concert. Bizarre !!!

Report et Photos by Ti-Rickou

Alors là, vu les groupes à l’affiche, il est hors de question que j’arrive en retard ! Même le périf’ lyonnais qui vient de passer à 70 km/h ne me fera pas manquer le début du show des suédoises de THUNDERMOTHER, non mais !

Et je suis même un peu en avance. Heu, rien à voir avec le fait que le premier groupe est un groupe de filles et qu’elles sont suédoises de surcroît. Bon, tout le monde n’a pas ma chance. Le Kao est très clairsemé (il est un peu tôt certainement) pour l arrivée des filles sur scène. Mais pour le public présent ça va être d’entrée la grosse claque in the face.

Les THUNDERMOTHER attaquent d’entrée de jeu très fort avec leur hard-rock influencé par nos kangourous préférés (AIRBOURNE, bien-sûr !! lol). Leur musique fait taper du pied, bouger les cheveux. Bref, tout le monde est direct en mode headbanguing. Ultra Vitesse Mr Spock !!!!

En plus, visuellement, ça le fait grave. Elles bougent, vivent leurs morceaux, communiquent avec le public qui arrive petit à petit, juste à temps pour s’éclater avec elles.

Tiens, la bassiste à changer. Eh oui, depuis que je les ai vues au Rock ‘n’ Eat Live il y a quelque mois, il y a eu du changement. Bon, elle s’est parfaitement intégrée ; tellement bien d’ailleurs que j’ai des copains qui ont mis un moment à s’en rendre compte ! Mais ils l’ont très vite adoptée. Il faut dire qu’elle est très très bonne…. bassiste bien-sûr !!

Allez, les filles continuent à chauffer la salle et à se faire de nouveaux fans. A part un ou deux grognons qui trouvent que si ce n’était pas des filles sur scène, on trouverait ça moyen. Mais bon, ça on ne saura pas car ce sont bel et bien des filles !! Et moi, je ne boude pas mon plaisir car des groupes de filles, il n’y en a malheureusement pas beaucoup.

Si les THUNDERMOTHER n’ont pas inventé le hard-rock, elles le font très bien !! La preuve, je n’arrive pas à contrôler mes cheveux !!!!

Allez, petite pause et c’est au tour de AUDREY HORNE de monter sur scène. Je n’arrive pas à croire que j’ai la chance de les revoir après si peu de temps !!! Et là, en plus, c’est sur une grande scène avec un gros son. Yep !

Et c’est parti en mode les freins c’est pour les lâches ! Putain, ils attaquent très fort. Le public est cueilli à froid mais réagit comme un seul homme aux brûlots de AUDREY HORNE. D’entrée de set, je sais que ça va être dantesque. Le choix de la set list est super et l’énergie dégagée par le groupe met tout le monde d’accord. Ils bougent, sautent, descendent dans le public – comme les THUNDERMOTHER l’avaient fait un peu plus tôt, d’ailleurs.

TOSCHIE, le chanteur est toujours un putain de frontman et il le prouve au public du Kao qui est aux anges. Le groupe balance ses hits qui font des dégâts aux cervicales. Ils sont heureux. En plus, ce soir c’est leur dernière date. Ils quittent la tournée après Lyon (putain on a du bol grave !!) et donc c’est à fond les trottinettes électriques que les musicos terminent le set. Ouah, c’était juste énorme ! Quel set et quel putain de groupe !

Bon allez, dernière pause. Je n’aimerais pas être à la place des BACKYARD BABIES car AUDREY HORNE a placé la barre très haut.

Bon, on va voir ça tout de suite car même pas le temps de trop papoter avec les THUNDERMOTHER que c’est au tour des BACKYARD BABIES de venir nous asséner les esgourdes à grands coups de décibels !! Et vlam, ils attaquent eux-aussi bille en tête. Putain, ça part mega bien avec en entame un morceau sleaze à souhait. Et ça continue ! On a le BACKYARD des grands soirs sur scène. Attitude glam punk rockeur, set list qui arrache sa mère-grand de son bistro. Ils sont en mega grande forme et ça pulse grave.

Bon, ils ralentissent quand même un peu le rythme en milieu de set. Il y a même un petit acoustique mais c’est pour mieux repartir mon enfant ! Les morceaux du petit dernier en live ça pète son grand-père dans les traboules.

Dans le public, c’est du délire surtout sur “People like people like people like you” ou c’est presque de l’hystérie. Ca bouge grave dans la foule mais l’ambiance reste bon enfant.

Ouah ! Autant la dernière fois que je les avais vus en live – à l’Usine de Genève – j’avais trouver ça un peu mollasson autant là, rien à dire. Que du bonheur bien rock ‘n’ Roll.

Quelle mega soirée mes aïeux ! Trois groupes d’enfer dans un style cohérant. THUNDERMOTHER, la confirmation de tout le bien que je pense du groupe. BACKYARD BABIES, un grand retour en forme et en inspiration, Et AUDREY HORNE, tout simplement magique. Ils ont tout : les morceaux, le charisme, l’attitude. Comment ne pas craquer pour ce groupe ? C’est ma découverte des dix dernières années, tout simplement.

Quoi demander de plus à un concert ? Des photos avec les THUNDERMOTHER, bananes !! Bon, ça c’est encore fait ! Heu chérie, j’en ai fait aussi avec TOSCHIE ! Heu là, je crois que je l’ai énervée grave, vu que pour la seconde fois en quelques mois, elle n’a pas pu venir voir AUDREY HORNE, sniff !!!!

Un grand merci à l’organisateur pour cette mega soirée qui restera dans les annales !!!!

Report et Photos by Hi’ Twist

Petite balade dans une petite ville des alentours où nous séjournons. Rythme des plus cool, mince on est dimanche !

Et finalement au lieu des 14h50 de début du festival, c’est à 15h10 qu’on arrive pour voir les finlandais de KING COMPANY jouer le dernier titre de leur prestation, “Wheel of no return”.

Et c’est un autre groupe finlandais, LEVERAGE qui prend le relais avec son petit côté celtique, prog’ par moment. Que dire ? Un chanteur qui a du coffre mais aussi de la présence sur scène.

FORTUNE @ Frontiers Festival 2019 – Trezzo sull’Adda (It)

Le premier groupe attendu pour ce deuxième jour, c’est le cultissime FORTUNE. Les frères FORTUNE, anglais certes mais au look californien, arpentent la scène et démarrent avec “Thrill of tall” suivi de “Don’t say you love me”. On va avoir droit à un mix de leurs deux albums avec “Bad blood” et “Smoke from a gun” tirés de leur premier album (85).

Les meilleurs moments restent quand RICHARD est épaulé par LARRY GREEN au chant ; renfort qui donne plus de pêche au groupe. On découvre leur nouvel opus avec des titres comme “What a fool I’ve been”, “Shelter of the night”. Et c’est avec “Freedom road” que le groupe quitte la scène.

Constat : déjà à l’époque, le groupe n’avait pas décollé. Là, on se retrouve avec le même dilemme : groupe culte certes mais il manque toutefois la petite étincelle dans ce set bien propre.

KEEL @ Frontiers Festival 2019 – Trezzo sull’Adda (It)

La formation qui prend le relais va tout de suite nous mettre dans le bain en la présence des américains de KEEL. Ca démarre fort avec “United nations”, “Somebody’s waiting” tiré de l’album “Keel” (87). RON, ex-STEELER va nous faire voyager dans toute la carrière de KEEL et ce, depuis 1983 avec leurs sept albums.

Quel frontman ! Il harangue la foule et fait bouger toute une salle. Belle reprise de PATTI SMITH en un classique “Because the night”. Le tout dernier opus – déjà neuf ans – “Streets of rock’n’roll” n’est pas oublié avec “Looking for a good time” ! Et c’est encore avec un autre classique “Rock’n’roll outlaw” des australiens de ROSE TATTOO qu’ils vont mettre le feu.

KEEL @ Frontiers Festival 2019 – Trezzo sull’Adda (It)

Petit moment de communion avec le public. RON, assis sur un tabouret avec sa guitare acoustique, entouré de MARC FERRARI (guitare, ex-PANTERA), BRIAN JAY (guitare), GENO ARCE (basse) et DWAIN MILLER (batterie) nous interpréte “Tears of fire” qu’il enchaîne avec “The right to rock”. Beau moment de partage !

C’est avec un “You’re the victim (I’m the cime)” endiablé et après un bain de foule dans le public que KEEL quitte la scène. Pour moi ce show reste une belle surprise du festival.

BURNING RAIN @ Frontiers Festival 2019 – Trezzo sull’Adda (It)

Passage rapide à la terrasse pour me désaltérer et déjà BURNING RAIN investit la scène. Démarrage avec “Midnight train” au refrain accrocheur et un petit solo de guitare exécuté par le maître DOUG ALDRICH, suivi de “Revolution”, “Nasty humble”, esprit très 70’S/AEROSMITH.

Avec ces trois premiers titres, un gros son, BURNING RAIN va aborder “Face the music”, fraîchement paru parmi huit titres joués ce soir du nouvel opus.

BURNING RAIN @ Frontiers Festival 2019 – Trezzo sull’Adda (It)

KEITH St JOHN (ex-MONTROSE) au chant, occupe la scène avec son pied de micro personnalisé, à la manière d’un STEVEN TYLER, un côté très poseur, pour aller chercher DOUG. Et c’est avec “Lorelei”, “Hit and run” (très 70’s) et “Face the music”, à la voix , esprit et rythme très proche du serpent blanc, que le groupe quitte la scène.

J’ai un petit sentiment de frustration comme si je m’attendais à un show un peu plus percutant et endiablé.

WET @ Frontiers Festival 2019 – Trezzo sull’Adda (It)

Autre attente pour moi avec WET car après la prestation moyenne hier de JEFF SCOTT SOTO, j’avais espoir en cette formation. Ca sonne fort dès le premier titre. Quarto gagnant avec “Watch the fire”, “Burn”, “Kings on thunder road”, “Elegantly wasted”, les quatre premiers titres de leur dernier album “Earthrage”.

Le public est hyper réactif. Il faut dire qu’avec des titres comme “Watch the fire”, dans l’esprit d’un ECLIPSE et dont le refrain et les chœurs sont très fédérateurs, WET ne néglige pas son premier album. Album qui a déjà 10 ans d’âge ! Lors de “Brothers in arms”, enchaîné avec le superbe “Invincible”, ERIK MARTENSSEN, concentré sur sa guitare, se lâche un peu quand JEFF SCOTT SOTO vient le taquiner.

WET @ Frontiers Festival 2019 – Trezzo sull’Adda (It)

ROBERT SALL à la guitare est un peu statique. Il vient rejoindre ses compères lors de titres aussi accrocheurs que “Walk away”, “Learn to live again”, tiré de “Rise Up” (2013).

Et c’est avec un trio gagnant (toujours issu du premier album), “Come down like rain”, “If I fall” mais surtout “One love” avec son intro synthé, sa grosse rythmique et son refrain de ouf (bref, une tuerie !) que WET assène les dernières notes à un public conquis. Exit !

On voit des T-shirts JOURNEY se masser vers la scène et déjà l’excitation est à son comble. STEVE AUGERI se fait si rare en Europe ! JOURNEY c’est déjà loin pour moi et j’en garde le souvenir d’un super show en 2001 à Las Vegas (preuve à l’appui avec la captation de ce fameux concert en DVD).

STEVE AUGERI @ Frontiers Festival 2019 – Trezzo sull’Adda (It)

Les premières notes si reconnaissables de “Separate ways” retentissent. Que c’est bon ! On n’a pas le temps de récupérer que déjà “Stone in love” résonne. C’est un grand classique d’un album qui est un petit joyau “Escape” sorti en 81.

STEVE est heureux d’être là. Il nous parle de sa tournée avec le groupe TYKETTO et nous annonce le titre “Jamie” (95). J’étais un peu inquiet quant au son, surtout au niveau du micro de STEVE mais au troisième morceau, c’est corrigé. S’ensuivent “Lights” puis “Faith in the heartland” (2008) et “Higher places” (2001), de sa période dans JOURNEY. Le public jubile.

Retour dans les classiques : “Wheel in the sky”, le mélodieux “Faithfully”. Le groupe nous assène ensuite le hit planétaire “Don’t stop believin’”, remis au goût du jour en 2012 avec la B.O.F. « Rock of Ages ».

STEVE AUGERI ose aussi aborder la période “Evolution/Departure” (79/80) des débuts de The Voice (STEVE PERRY) avec “Lovin’, touchin’, squeezin’” et “Any way you want it” dont il se sort plus qu’honorablement.

STEVE AUGERI @ Frontiers Festival 2019 – Trezzo sull’Adda (It)

Retour dans la période du groupe TALL STORIES avec les superbes “Wild on the run” et “Sisters of mercy”, tirés de leur premier album. Après un petit cover de ROD STEWART, “Forever young”, le groupe quitte la scène. Et ce, pour mieux revenir quelques minutes après avec un medley d’enfer : “Be good to yourself” (de l’album “Raised on radio” de JOURNEY) enchaîné de deux classiques, le “Whote lotta love” de LED ZEPPELIN et le “Won’t get fooled again” des WHO.

Après ce final en apothéose, STEVE va mesurer sa popularité dans le public. En effet, après le show, il va gentiment poser avec les fans et leur dédicacer pochettes, vinyls… Et quand je vous dis qu’il a la classe, il va même déposer au stand de merchandising des photos dédicacées pour son public !! Respect.

En conclusion, je dirais que cette sixième édition du Frontiers Festival aura été un bon cru. Je dirais que c’est un peu comme pour les J.O., on attend certains et d’autres nous font de belles surprises. Rendez-vous l’année prochaine en avril pour la messe du hard mélodique annuelle à Trezzo !