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NO ONE IS INNOCENT

Alors que certains sont en Italie pour le Frontiers Festival, que d’autres sont en route pour voir ECLIPSE en Allemagne (report à venir), moi je vais moins loin. Ma destination est Villeurbanne et le Transbordeur pour une soirée qui unit punk, rock et métal. Si, si, c’est vrai !!

Et en plus, j’ai hâte. Hâte de revoir les NO ONE IS INNOCENT et hâte de voir ULTRA VOMIT avec les morceaux de leur nouveau bébé “Panzer surprise” qui est sortie hier !!!

Bon, j’ai du bol, je suis dans l’une des dernières voitures à pouvoir se garer sur le parking. A 18h !! Le parking est full, ce qui veut dire qu’il va y avoir du people. Ouverture des portes rapide et effectivement, il y la foule des grands jours pour cette affiche.

LE REPARATEUR

Je suis prêt pour l’arrivée du REPARATEUR sur scène. J’avais bien aimé ce groupe composé d’un batteur et d’un guitariste chanteur lorsque je les avais vus en live. Et là, je ne vais pas être déçu. C’est énergique et ça fonctionne. Leur set est plein d’humour, leur musique est très efficace.

Ils vont nous donner un set très apprécié par le public de service de plus en plus présent.

Allez, c’est la pause… et la queue pour manger un méga hamburger au Food Truck posé dans la zone fumeur. Heu, j’ai cru que je n’allais pas y arriver !

Bon, engloutissage rapide du sandwich et retour pour le début de ULTRA VOMIT. L’écran géant nous met dans l’ambiance de leur nouveau CD en présentant le groupe comme des personnages de cartoon… mais un cartoon où Warner Bross aurait copulé avec Tex Avery un soir de beuverie extrême !

ULTRA VOMIT

Allez, c’est parti pour du métal disjoncté et carrément barré humour de potaches. Et ils le font à merveille ! Musicalement, ils jouent grave. Les morceaux sont variés (et non avariés !), les styles métal, hard, thrash, heavy, moderne et indus sont représentés, les paroles sont méga délires. En plus, le groupe est à donf’ dans le show. Ils maîtrisent grave l’humour et l’auto-dérision.

Leurs morceaux te mettent une putain de patate et te collent une banane sur les lèvres. Ils font participer un max le public à cette fête (public très, très nombreux. Le Transbo est blindé). Un bon nombre de spectateurs est venu pour eux. Ils connaissent les paroles par coeur, même ceux de l’album sorti hier !! Ils se prêtent avec avidité aux jeux du chanteur. “Allez, tous le signe du métal, les doigts en l’air !!”. Ils font même monter un spectateur avec un masque de panda sur scène avec eux.

Bref, la salle bouge, saute, chante les nouveaux morceaux comme les anciens avec le même entrain. Ils font même un circle pit sur ‘La Ch’nille” ! Moi, je suis en plein délire comme devant un dessin animé qui aurait une bande son métal. Je me régale de leurs paroles et je manque de me faire pipi dessus de rire. Ouah, par les temps qui courent, un concert d’ULTRA VOMIT, c’est un anti-dépresseur puissant qui devrait être remboursé par la Sécu. Putain de prestation !!

Bon allez, j’ai besoin d’air frais, moi ! La zone fumeur est blindée de chez blindée. Il y a du monde partout. Le stand merch’ d’ULTRA VOMIT est pris d’assaut. Ils sont dévalisés de leur dernier album et quand j’arrive, ils ont déjà tout vendu ! Tu m’étonnes !!

Retour dans la salle. Je suis méga content qu’il y ai un crash barrier, moi, car j’ai dans l’idée que ça va bouger très très fort ! Tiens, plein de gens montent sur scène… C’est l’équipe de Mediatone ! ERIC prend le micro pour nous dire que Mediatone fête cette année ses vingt ans et que c’est la fête (et ça se voit !!) et qu’ils sont heureux de voir TAGADA JONES ce soir – qu’ils ont fait jouer il y a bien longtemps – pour cet événement.

TAGADA JONES

Allez, le temps que les gens descendent de scène ou se posent sur les côtés car si la salle est blindée, les loges sont aussi bien remplies par les copains des groupes et de Mediatone !

Ce soir, un vent de folie festive plane sur le Transbo.

Et c’est parti ! TAGADA JONES attaque et la piscine est ouverte !!!Pour ceux qui ne comprendraient pas, la piscine c’est la foule sur laquelle certains se laissent porter par la vague. Ca bouge grave ! Le public est chaud bouillant et rentre dans leur musique comme un seul homme… ou femme !!

TAGADA, ça envoie le bois et en plus le son est méga fort. Les paroles sont engagées. Les musicos sont déchaînés et ça bouge aussi méga grave sur scène !

TAGADA, ça envoie le bois et en plus le son est méga fort. Les paroles sont engagées. Les musicos sont déchaînés et ça bouge aussi méga grave sur scène !

Heu moi, même si j’apprécie les parole et l’énergie, j’ai toujours du mal avec eux. Trop punk pour moi probablement. Et putain, le son est vraiment méga fort ! Donc soit ils jouent fort, soit je suis trop vieux !… Non ? Bon, ils jouent fort, alors !!!

Conclusion, je n’accroche toujours pas à TAGADA JONES mais c’est juste une question de goût. En tout cas, repli stratégique en zone fumeur pour suivre la fin du set. On entend bien de dehors !!!

Petit tour au stand merch’. Il y a toujours autant de monde sur celui d’ULTRA VOMIT et ça achète à tout va de beaux T-shirts bien funny !!

NO ONE IS INNOCENT

Retour dans la salle pour le dernier groupe de la soirée. La salle n’a pas désempli et est chauffée à blanc, prête à exploser pour les riffs et paroles de NO ONE IS INNOCENT. L’écran géant affiche la pochette de “Propaganda”.

Et c’est parti ! Ils débarquent comme des boulets de canon sur scène. Ils attaquent fort avec “Djihad propaganda”.

Bien-sûr, KEMAR, le chanteur annonce la couleur : “On est les NO ONE IS INNOCENT et on fait du rock !”. Il bouge partout, saute, il a une énergie de barge ! Les autres ne sont pas en reste non plus. Ouah, quel début de set, ça dépote ! En plus, leurs textes engagés prennent une toute autre dimension entre les deux tours de cette présidentielle. Pour ceux qui ne connaissent pas le groupe, ils sont bien bien à gauche, anti-raciste et anti-faff, dans le même esprit que TRUST… en plus métal.

Les gens dans le public sont comme des dingues, mais ça reste bon enfant. Les titres s’enchaînent et le tout dégage une putain d’énergie. Le chanteur s’offre une baignade dans le public qui le ramène jusqu’aux barrières pour qu’il remonte sur scène. J’ai même failli prendre ses pieds dans la tronche, moi ! Dangereux de prendre des photos, lol !!

L’ambiance monte d’un cran quand le public reprend en choeur un couplet qui dit que la jeunesse emmerde le Front National. La ferveur est telle que lorsque le morceau est fini, le public reprend a capella le couplet – ou le slogan, selon les points de vue – majeur tendu bien haut. Vu de la scène, c’est impressionnant. 

Allez, c’est reparti. Les morceaux s’enchaînent jusqu’à ce que KAMAR explique qu’ils ont une tradition de ne pas finir les concerts tout seuls. Ca veut dire “Les copains, montez sur scène !!”. Il a d’ailleurs à peine le temps de le dire que le public se précipite pour le faire… jusqu’à ce que la sécurité dise stop. Les musiciens des autres qui ont été aussi appelés se joignent à la fête et comme d’hab’, c’est un gros bordel sur scène et les NO ONE kiffent grave. Le public aussi. Trop top !

Bon allez, tout le monde redescent, sauf le groupe bien-sûr. On est presque vers la fin. “Charlie” retentit. J’adore ce morceau en live, il me file des frissons, des larmes, bref de l’émotion. Le groupe y met tout ça dedans : leurs tripes, leur colère. Comme le faisait TRUST en d’autres temps – du temps où BERNIE ne venait pas sur scène un bob sur la tête pour chanter en dilettante mais qu’il le faisait avec ses couilles !). Bref, du rock revendicatif. En plus, ils font le morceau avec les TAGADA JONES qui sont venus les rejoindre sur scène avec eux.

NO ONE IS INNOCENT

Allez c’est fini. Waouh, quelle baffe ! Et quel groupe ! En live, c’est terrible. Putain de concert, j’ai bien fait d’être là, moi !!

Un énorme merci à Mediatone et un bon anniversaire des 20 ans les copains, en espérant que l’on puisse refaire ce type de soirée au plus vite !

OCTOPODELorsque notre Ti-Rickou national m’explique qu’il ne peut pas faire deux festivals en même temps le même soir, je me dévoue pour l’aider à y parvenir. Pendant qu’il est à Bardonnex pour faire un report sur le Festiverbant moi, je me dirige non loin de là en direction de l’aéroport de Genève. Non pas que je doive prendre l’avion (ce qui pourrait expliquer l’impossibilité du rédac’ chef de faire deux concerts le même soir) mais le site est tout proche. D’ailleurs en y repensant, je me demande comment il ne peut pas faire les deux…

C’est en plein air, mais sous chapiteau – on ne sait jamais avec la météo capricieuse – que se déroule le festival.

Bon, comme les groupes de départ ne sont pas ma cup of tea, je préfère me déplacer pour voir l’un des derniers groupes de ce soir, j’ai nommé SONATA ARCTICA. En plus, comme le festival est entièrement gratuit, je prends mon temps. Et comme l’hiver pourrait bien revenir plus vite que prévu, j’en profite pour faire une petite cure de soleil, moi !

TAGADA JONES 1C’est donc avec deux potes que je fais ce court trajet vers notre pays voisin : la Suisse.  Après avoir tourné autour du site pendant une petite demi-heure (syndrôme Ti-Rickou quand tu nous tiens) nous arrivons pile poil à la fin du set de TAGADA JONES. Trop fort les mecs !

Pour résumer un peu la musique que font les TAGADA, voici une petite recette toute simple. Prenez un peu de punk du BERURIER NOIR, la partie métal de LOFOFORA, mélanger avec du NO ONE IS INNOCENT, sans oublier une pincée de MASS HYSTERIA et vous obtiendrez un résultat très TAGADA JONES. En bref, bourrin punk rentre-dedans sans concession. Et en français, s’il vous plait ! 

C’est dans une ambiance de feu que j’assiste à cette fin de concert. Les pogos sont de partout dans la foule immense (normal, c’est gratuit). Les slam et les stage-diving sont de mises et le public en redemande. La sécurité est légèrement débordée, mais tout se fait dans une ambiance bon enfant.

Moi, j’ai apprécié le côté rentre-dedans, mais pas trop le côté “bourrin, je râle tout le temps et j’emm.. la société” ! En revanche, les stage-diving dans une foule nombreuse et confinée, c’est vraiment impressionnant. Les photographes s’en donnent à cœur joie… Tout comme les pratiquants partant du fond de la scène pour se jeter en courant dans le public. Seul petit souci : les spectateurs qui n’avaient pas prévu de les réceptionner ont peut-être un peu moins aimé, lol !!

HATEFUL MONDAY 2Fin de ce set intense, et direction la scène Neptune pour aller voir les HATEFUL MONDAY. Ce groupe genevois fait dans le punk-rock mélodique à la BLINK 182, GREEN DAY, SUM 41, etc. Le début du set se fait devant une foule clairsemée. REVEREND SEB, le bassiste chanteur, le fait remarquer et demande au public de se rapprocher. CHARLY COUGAR, qui assure la guitare et les chœurs, est déjà à fond, le chapeau vissé sur la tête pendant que son compère arbore une jolie tête verte.

Le style pratiqué est sympathique et IGOR GONZOLA – je pourrais dire que ça ne s’invente pas mais si, justement ! – le batteur fait mouche à chaque coup de cymbales et de caisse claire.

Ils ont beaucoup d’énergie à revendre, et un humour pince sans rire : « Venez nous voir, on fait du LED ZEPPELIN » dira REVEREND SEB en voyant un spectateur portant un T-shirt du groupe.

Oui mais voilà. Les titres s’enchaînent et malheureusement… se ressemblent ! On a du mal à entendre un morceau qui se détache du lot. Donc du coup, je m’éloigne de la scène et je prend du recul. Mais même de loin, je n’arrive toujours pas à accrocher. Dommage, l’énergie et la volonté du groupe mériteraient d’être mieux exploitées même si la voix du chanteur laisse parfois à désirer.

Mais bon, le public s’en fout. Les gens sont assurément là pour s’amuser et je remarque bien que le petit chapiteau s’est rempli. Et puis je chipote un peu, c’est quand même du punk auquel nous avons droit ! 

L’ambiance est toujours bon enfant, mais je préfère me diriger vers la grande scène, histoire de me placer correctement pour les photos. Je constate que la foule est déjà relativement imposante et que les premiers rangs sont envahis. Pourtant le set des HATEFUL MONDAY n’est pas encore fini !? Il va y avoir foule pour celui de nos amis venus du froid ! 

SONATA ARCTICA 3Les lumières s’éteignent alors que la nuit se fait de plus en plus noire et la foule se masse de plus en plus nombreuse.

Après l’arrivée de TOMMY PORTIMMO derrière sa batterie, d’HENRIK KLINGENBERG et ses claviers, ce sont PASI KAUPPINEN, le bassiste, et ELIAS VILJANEN, le guitariste, qui montent sur scène. Les premières notes de “The Wolves die Young” retentissent et TONY KAKKO, le chanteur barbu, apparaît en sweat-shirt blanc. Surprenant sous cette chaleur écrasante. Aurait-il un peu froid ? Venant d’un lapon, c’est bizarre ! 

Enfin bref, revenons à la musique. De power-métal mélodique à leur début, ils sont devenus de plus en plus progressif au fil du temps. Et pour moi, c’est là où le bât blesse : je ne suis absolument pas fan de rock progressif. Cependant, je me décide à rester attentif tant bien que mal à leur musique. D’autant plus qu’à côté de moi, un fan absolu, torse nu (hurluberlu ?), hurle comme un putois sur tous les couplets avec une voix de castra. Et ce, à chaque morceau ! Je rigole sous cape, pendant qu’un copine supporte comme elle le peut la gentille odeur qui se dégage de sous ses bras. Epique !

Passé cet inconvénient, je me concentre sur la musique mais décidément non, elle ne m’attire pas. Non pas que ce soit véritablement mauvais, c’est même plutôt le contraire. PASI fait des grimaces et harangue la foule, ELIAS nous sort des solos impressionnants, TOMMY frappe ses fûts comme si sa vie en dépendait, HENRIK nous noie sous des nappes de claviers et TONY fait nous montre toute l’étendue de ses timbres vocaux. C’est qu’il a un sacré gosier le bonhomme !

Le problème, c’est que c’est mou du genou. On a l’impression que tout est organisé autour du chant et du coup, les instruments ne sont que peu mis en avant. En plus, comme ils ont décidés de nous jouer tous les titres les plus mélodiques de leur carrière, la mayonnaise ne prend pas. D’autant que même s’il est en voix, TONY n’a pas l’air très motivé et donne parfois l’impression d’être ailleurs.

“Replica” arrive, repris en chœur par la foule en pleine euphorie. C’est impressionnant. Tellement même que ça oblige TONY à s’asseoir sur la scène pour écouter. Bon, en même temps, c’est peut-être parce qu’il est fatigué, lol !

Oui mais voilà, on n’arrive pas à prendre l’avion malgré l’aéroport tout proche. Les titres qui s’ensuivent n’arrivent pas à me faire prendre au jeu, contrairement au public qui lui est à fond. Je me laisse envelopper dans une douce litanie et j’ai l’impression que Morphée va venir me chercher.

C’est donc au bout du 9e morceau “Kingdom for a Heart” que je décide de partir, SONATA m’ayant achevé avec sa trop paisible sonate arctique. Dommage, vraiment dommage. Bah, la prochaine fois, j’enverrai Ti-Rickou à ma place et je lui piquerai la sienne, non mais !

Pour finir, je pense que si la programmation avait été mieux ciblée, j’aurais peut-être accroché. Ou alors, c’est les TAGADA JONES qui m’ont tellement impressionné que je n’ai pas pu apprécier SONATA ARCTICA à sa juste valeur.

Petit conseil pour les programmateurs de l’an prochain : essayez de viser des groupes ayant sensiblement le même style. Pas forcément exactement le même, mais passer de TAGADA JONES à SONATA ARCTICA n’est pas forcément une sinécure. Ce n’est évidemment que mon avis mais le contraste de ce soir était vraiment trop important pour moi.

Steve 747

TAGADA 7

TAGADA JONES

 

ABBEL CHEMOUL

ABBEL CHEMOUL

Allez, un petit tour à la Tannerie de Bourg-en-Bresse. Le parking me donne d’entrée une indication : je ne vais pas être tout seul !

La file d’attente devant la porte me le confirme… comme elle me confirme que je ne suis pas à la bourre (ça commence bien pour mes résolutions 2016 !) et que je vais pouvoir voir le groupe de première partie. Super !

ABBEL CHEMOUL, du metal hardcore local. Bon, c’est clair, les musicos sont heureux de jouer. Le chanteur a du tomber dans un bain hardcore quand il était petit, il est à fond et ne fait pas semblant. En plus, il a une putain de présence scénique ! Musicalement, c’est bien fait. Après, c’est quand même du hardcore et franchement ce n’est toujours pas ma pinte de houblon. Rien à faire, je n’y arrive pas, ça me stresse.

Oulà ! Ca commence à bouger pas mal dans la salle ! Un petit repli vers le bar m’est nécessaire. La pause ne va pas être trop longue car le set d’ABBEL CHEMOUL se révèle court et le changement de plateau rapide !

 

TAGADA 6

TAGADA JONES

Et c’est dans une Tannerie bien remplie – plus de 400 personnes – que TAGADA JONES monte sur scène. D’entrée de jeu, le public qui n’attendait que ça se lâche. Ca bouge ! Il y a une putain d’ambiance et en plus le chanteur en rajoute en disant que ce soir c’est la dernière date de la tournée et qu’ils sont contents que ce soit ici.

Mais, même s’ils sont en fin de tournée, les TAGADA JONES vont se donner à fond. Je savais que TAGADA JONES était un groupe qui dépotait en live, mais putain ce n’est rien de le dire !

Sur scène, les zicos y vont à fond. Et j’apprécie de voir que leurs morceaux sonnent encore plus metal en live. Et ça donne vraiment ! Putain, j’ai bien fait d’être là, moi !

Je suis obligé de battre en retrait car devant ça devient du grand n’importe nawak ; il y en a qui prennent la scène pour le plongeoir de la piscine et la foule pour les bassins. Sans compter ceux qui se lâchent en oubliant que tout le monde n’est pas forcément dans leur délire. Mais bon, au fond on est très bien aussi ! Et on n’a pas à se méfier de prendre un gus sur la tronche. Je suis décidément trop vieux pour ces conneries.

Allez, c’est fini. Je suis venu, j’ai vu et je suis happy car vraiment TAGADA JONES m’a mis une bonne baffe comme je les aime.

Allez tiens, maintenant je vais rentrer me boire ma tisane (lol !). Bien méritée !