Tagged: OBLIVION

ÖBLIVÏON @ Poul’Hard de Bresse 2018

Après le Leym’Fest il y a quelques semaines, c’est le tour de l’édition 2018 des Poul’Hard de Bresse. C’est un autre petit festival incontournable de la rentrée et j’essaie de ne pas louper. En plus, je sais où c’est et je m’y gare fastoche.

Euh René, ça fait longtemps que tu n’avais pas rigolé… J’arrive malheureusement en retard pour le premier groupe. RENEGAT MARGINAL, les locaux, oeuvrent à priori plutôt dans un style hardcore. Trop triste, moi !

SALHEM @ Poul’Hard de Bresse 2018

La bonne nouvelle, c’est que je suis forcément aux taquets pour l’arrivée de SALHEM sur scène ; un SALHEM remanié pour l’occasion avec l’incontournable bassiste MARKUS FORTUNATO en remplacement VIP.

Et d’entrée de jeu, la présence de MARKUS, ça apporte. Déjà scéniquement, c’est clair. En plus, le son est très bon aujourd’hui. La voix de TITI COLLET passe parfaitement et je ne sais pas si c’est lié à ce que MARKUS apporte, mais je trouve que les morceaux sonnent mieux.

La cover de LAVILLIERS, efficacement exécutée, réveille tout le monde. Les morceaux du dernier album sont aussi très efficaces en live. SALHEM joue à domicile, ils sont donc comme en famille. Et dans le cas présent, la famille a vite adopté le nouveau bassiste !

Allez, petite pause. Crêpe or not crêpe ?

SILVERTRAIN @ Poul’Hard de Bresse 2018

Je garde la crêpe pour plus tard car c’est maintenant l’heure de retrouver SILVERTRAIN sur scène. Là aussi, il y a eu du changement et pas seulement le bassiste ! En effet, c’est tout le groupe, à part PHIL YBORRA le leader historique, qui a changé.

Dans ces cas-là, il y a toujours un truc bizarre qui se produit : on voit les choses à travers le prisme de la comparaison, et notamment  avec le dernier live auquel on a assisté.

C’est sûr que visuellement le bassiste et le guitariste d’avant couraient partout et avaient une excellente prestation scénique. Les nouveaux venus sont peut-être un peu moins flamboyants mais en tout cas, ils sont très en place et ils sont eux-aussi à l’aise sur scène.

SILVERTRAIN @ Poul’Hard de Bresse 2018

La surprise vient de la set list qui, en opposition à la set list des concerts passés, fait la part belle aux anciens albums du groupe… et fait l’impasse sur le dernier album ! Moi, évidement, je suis super content d’entendre en live des morceaux que j’adore depuis longtemps.

En plus, les petits nouveaux du groupe ont vraiment intégré et compris l’esprit de SILVERTRAIN.

PHIL est heureux comme une mouche sur un verre de bière. Le public présent devant la scène apprécie la prestation de ce SILVERTRAIN sur-boosté et sur-motivé. Ils nous prouvent encore une fois que, malgré les aléas de la vie d’un groupe, SILVERTRAIN est non seulement là, mais qu’il est bien là… Et qu’en plus, il est décidé à nous accompagner pendant encore de nombreuses années ! Message à ceux qui n’aimaient pas le line up précédent, j’ai une nouvelle les gars : SILVERTRAIN is back !

BACK ROADS @ Poul’Hard de Bresse 2018

Re-petit entracte avant de retrouver les copains de BACK ROADS. Je suis content car, comme ça fait un petit moment que je n’ai pas pris ma dose de hard blues des familles, ça me manquait.

SYLVAINE DESCHAMPS-GARCIA la chanteuse, FABRICE DUTOUR et CHRISTOPHE OLIVERES les guitaristes, ainsi que FRANCK MORTREUX à la basse sont aux taquets.

Les BACK ROADS ont eux-aussi vécu un changement de line up, leur batteur ne pouvant plus faire partie du groupe pour cause de départ à l’autre bout du monde (bonne route à lui !). Ca va me faire drôle car je les ai toujours connu avec la même formation. Le nouveau batteur a un jeu de batterie différent et il s’est bien adapté. Et en plus ce soir, c’est son baptême du feu.

BACK ROADS @ Poul’Hard de Bresse 2018

Le changement ne perturbe pas nos copains. Moi, de toute façon, je suis fan. J’adore leurs jeux de guitares, leurs solos et bien-sûr la voix de SYLVAINE, rauque et parfaite pour les morceaux. Je n’ai qu’une hâte, c’est qu’il nous sortent bientôt un nouvel opus car les BACK ROADS, c’est vraiment du lourd. Et, il faut le dire, c’est aussi un des rares groupes français dans cette catégorie.

Voilà les festivals que j’aime, moi : des groupes que j’aime et dans des styles que j’aime ! En clair, j’aime bien l’ouverture mais quand ça reste groupé !

ÖBLIVÏON @ Poul’Hard de Bresse 2018

Allez, pour terminer la soirée ce n’est rien de moins que ÖBLIVÏON qui prend la scène d’assaut ! Pour les extra-terrestres du metal, ÖBLIVÏON c’est JO et DAVID AMORE, STEPHANE RABILLOUD (tous ex-NIGHTMARE), MARKUS FORTUNATO (EX MZ, FORTUNATO, etc, etc – même moi j’ai du mal à suivre !) et FLORIAN LAGOUTTE. On n’a donc effectivement pas à faire à des lapins de cinq semaines.

Pour ceux qui ne connaissent absolument pas OBLIVION, on va dire qu’il y a une base NIGHTMARE présente et une touche heavy. Et bien-sûr, un petit côté DIO. Voilà. Après, allez écouter !

Comme d’habitude, on va avoir droit à une set list composée des morceaux de leur (pour l’instant) unique album et des morceaux de NIGHTMARE. Ca donne une set list très efficace.

ÖBLIVÏON @ Poul’Hard de Bresse 2018

ÖBLIVÏON @ Poul’Hard de Bresse 2018

Scéniquement, ÖBLIVÏON, ça le fait. MARKUS, bien qu’il en soit à son deuxième set de la soirée, est frais comme un gardon. STEPHANE et FLORIAN ne sont pas non plus en reste au niveau scénique.

JO, lui, est comme à son habitude impérial. Après, avec les chanteurs, c’est toujours pareil, il y a les gens qui aiment leur voix et ceux qui y sont réfractaires. Moi je fais partie de ceux qui adorent la voix de JO, même si – et c’est mon petit bémol de la soirée – le son est fort et la voix un peu trop aiguë. Mais bon c’est pour chipoter car ÖBLIVÏON a encore une fois rempli sa mission. Et de quelle manière !!

ÖBLIVÏON @ Poul’Hard de Bresse 2018

Le public, malheureusement un peu restreint cette année, en a pour son argent. Je trouve pour ma part que cette édition 2018 des Poul’Hard de Bresse est vraiment très réussie ! En tout cas, vu le nombre de sourires banane aux stands merch’ des différents groupes, les copains présents ne sont pas prêt de l’oublier ! 

C’est le genre de fest où j’ai toujours du mal à partir car – non, je ne suis pas bavard ! – j’ai toujours des copains avec qui j’aime papoter et des groupes que j’ai du mal à quitter.

SYLVAINE, on continuera notre conversation la prochaine fois, lol !!

ÖBLIVÏON @ Poul’Hard de Bresse 2018

 

 

 

Report by Seb 747

Ce Samedi soir, je suis de retour au Bouffon de la Taverne de Genève. Et pour assister à quoi ? Eh bien, le Bouffon reçoit le tremplin du Festival Guitare en Scène qui se déroulera en juillet au Stade des Burgondes de St Julien en Genevois. Et l’affiche va me permettre de découvrir de nouveaux groupes. Au nombre de trois, ceux-ci sont : MELATONIN, ÖBLIVÏON (avec les frères AMORE, ex-NIGHTMARE) et AM-PM.

Comme il est compliqué de se garer à proximité de la salle, qui se situe en plein centre-ville et juxtapose l’opéra de Plainpalais, j’essaie de partir relativement tôt, mais quelques impondérables me font démarrer plus tard que prévu.

ÖBLIVÏON

La route, comme d’habitude, se passe à merveille, cependant, il m’est quasiment impossible de trouver où me garer étant donné l’heure tardive. Je pense de plus en plus que le syndrome Ti-Rickou va me rattraper ce soir ! Au bout d’un bon quart d’heure, je trouve enfin une place et je coure vers le Bouffon en souhaitant que l’horloge suisse ait du retard.

Le peu de monde devant la taverne m’inquiète un peu, d’autant plus que je suis largement à la bourre. Cela veut donc dire deux choses : soit ils ont commencé sans moi (les vilains !), soit il n’y a pas grand monde. Je rentre dans le bar et croise, entre autres, JO AMORE et RICKY MARX le guitariste de NOW OR NEVER et ex-PRETTY MAIDS aussi. Euh, ne me dites pas qu’ÖBLIVÏON a déjà joué ! A première vue, ça n’a pas l’air, ouf !!

Une fois descendu dans l’antre du Bouffon, la présentation du concept est en cours. Je n’ai donc rien raté. Et à priori, il y a quand même du monde. Je suis quand même étonné qu’ils commencent avec une heure de retard par rapport à l’horaire annoncé. Pour des suisses c’est surprenant, quand on connait leur sens de la ponctualité. Mais ça m’arrange bien quand même ! En fait, je suis persuadé qu’ils m’ont attendu ! lol. L’un n’empêchant pas l’autre, je l’avoue volontiers, si je suis ici ce soir c’est pour découvrir sur scène ÖBLIVÏON. Aimant bien JO AMORE au chant dans NOW OR NEVER et n’ayant jamais eu l’occasion de le voir en live avec cet autre groupe, j’ai hâte de le découvrir.

MELATONIN

Mais auparavant, il y a MELATONIN. Ce groupe lyonnais, composé de quatre membres, est très atmosphérique. La musique que joue ces gars-là me surprend de prime abord, puis me séduit. Mais rapidement, me lasse un peu. Ce n’est pas que ce soit mauvais, musicalement, ça le fait, cependant, c’est un peu trop éthéré pour moi. Le chanteur guitariste a une belle voix cristalline avec des petites intonations à la JIM MORRISSON, la rythmique est sympa, mais, pour moi, il me manque un côté plus hard. Il n’y a pas de bassiste, remplacé par un séquenceur. C’est peut-être à cause de çà que je suis déconcerté. En plus, le peu de lumières, tirant essentiellement sur le blanc et le bleu, et la machine à fog qui fait son entrée, mis bout à bout, tout cela à tendance à rendre l’atmosphère quelque peu irrespirable.

Donc, dès le troisième morceau, je remonte de l‘antre du Bouffon, histoire de m’aérer un peu et de satisfaire ma soif. Je préfère finalement regarder sur l’écran situé à l’intérieur du bar la suite de ce show qui a l’air de séduire du monde.

ÖBLIVÏON

A force de discuter avec les copains, voilà que j’en oublie ce pour quoi je suis venu : ÖBLIVÏON. Encore un report sur ce groupe, me diriez-vous ! Et vous auriez entièrement raison, sauf que contrairement à mon rédac chef vénéré (un peu de lèche ne fait de mal à personne, lol), je ne les ai pas vu maintes fois. Je vire ma cuti ce soir. Et perso, je ne suis pas déçu du voyage. MARKUS FORTUNATO à la basse, STEFF RABILLOUD et FLORIAN LAGOUTTE aux guitares, JO et DAVID AMORE, respectivement au chant et à la batterie, tout ce beau monde forme un groupe homogène.

L’ambiance qui règne dans l’antre du Bouffon est bouillonnante. Les spectateurs, revenus en masse, ne tiennent pas en place. Dès l’entame de “Evil Spell”, on sent un JO remonté (oui, comme un coucou suisse). Et, pince sans rire, il annonce d’entrée de jeu, que c’est ÖBLVÏON qui va gagner le tremplin de ce soir. Évidemment, un grand fou rire emplit le Bouffon.

Les lights sont, comme précédemment, bleus, et pour les photos ce n’est pas top mais ils s’amélioreront au fur et à mesure du show. Et puis, ce n’est pas ce qui va empêcher ÖBLIVÏON de démarrer sur les chapeaux de roue. Les morceaux dépotent le dentier de ta grand-mère et redonne le sens de la marche à ton grand-père. Il pourrait même se mettre à headbanguer comme dans sa prime jeunesse ! C’est dire si les titres sont bien !

ÖBLIVÏON

La voix de JO est parfaite pour le style pratiqué et les musiciens, ultra motivés, démontent une taverne qui n’en peut plus. DAVID, régulièrement debout derrière ses fûts, fait raisonner le Bouffon. Quant au jeu de MARKUS, il m’épate. Avec sa basse à six cordes et reprenant régulièrement les chœurs, il fait le show ce soir. J’ai l’impression qu’il a autant de doigts à sa main droite qu’il a de cordes à son instrument tellement il joue vite. Et bien en plus. C’est impressionnant. Florian, à première vue le plus jeune de la bande, n’hésite pas à descendre de scène pour donner des médiators à des copines qu’il a repérées un peu plus tôt, tout en nous concoctant des riffs assassins. STEFF, quant-à lui, est bien ancré sur ses appuis et motive bien le public et ses partenaires. JO n’est pas en reste et fait remuer un public tout acquis à sa cause.

ÖBLIVÏON

La machine à fog fait son grand retour et on ne voit plus à deux mètres. Pour preuve, je suis collé à la scène et j’ai du mal à distinguer qui que ce soit. Heureusement que JO se frotte régulièrement à ses fans. D’ailleurs il me semble reconnaitre RICKY et même RONZO, le batteur de NOW OR NEVER et de ROADFEVER. L’étouffante chaleur du Bouffon n’empêche pas un JO de haranguer la foule et de plaisanter entre chaque morceau.

La bonne ambiance sur scène reflète l’atmosphère de la salle ce soir. Les musiciens sont surmotivés et, malgré la chaleur régnant dans la Taverne, ils font le show… même si quelques petits larsens viennent le perturber. Le prompteur, situé sur le côté gauche de la scène, voit défiler les titres et les paroles des chansons. C’est cool, çà permet de pouvoir reprendre les refrains sans trop se tromper. 

Mais, toute bonne chose ayant une fin, il est temps pour ÖBLIVÏON de finir le concert. Les musiciens saluent comme il se doit le public, et JO nous donne rendez-vous à Guitare en Scène, puisque de toute façon, ce seront eux les gagnants. C’est lui qui le dit ! Mdr.

AM PM, le dernier groupe venu du coin, est connoté death sur l‘affiche. Remarque, s’appeler AM-PM pour un groupe de death, c’est bizarre. C’est peut-être histoire de ne pas faire fuir tout de suite les spectateurs ! Cependant, l’heure tardive (il n’est pas loin de l’heure du crime – oui, oui, minuit) ne me permet pas d’assister à leur prestation. Et puis, le côté growl et “je m’arrache les cordes vocales”, ce n’est pas pour moi, désolé.

ÖBLIVÏON

Bilan de la soirée 

Si vous voulez assister à un concert au Bouffon, partez tôt, si vous voulez avoir une chance de trouver une place pas trop loin pour vous garer. Et surtout, n’oubliez pas de prendre des baskets, c’est plus facile quand il vous faut marcher des kilomètres.

Pour en revenir au concert, MELATONIN c’était sympa, manquait juste un côté hard pour moi. J’ai assisté à une belle prestation d’ÖBLIVÏON et je ne manquerai pas de retourner les voir si l’occasion se présente.

ÖBLIVÏON @ le Jack Jack de Bron

Oui Steve*74, je vais à la release party de ÖBLIVÏON, oui je les ai vus il n’y a pas longtemps ! Mais de un, c’est la soirée officielle de la sortie de leur premier album “Resilience”, de deux il y a SATAN JOKERS que j’aime bien moi et ARCHANGE et de trois c’est mega cool de revoir ÖBLIVÏON. J’ai vraiment aimé leur concert aux Arts dans l’R de Peronnas et cerise sur le gâteau, le Jack Jack, je sais y aller, on peut s’y garer mega facilement. En plus, je n’aime pas du tout CHAKA PONK. Pffft, je ne suis plus là, je suis déjà parti ! 

Et hop, garé à deux pas, à l’heure et même en avance ! Les SATAN JOKERS sont même encore à leur hôtel, c’est pour dire ! Je suis trop bon sur ce coup-là.

ARCHANGE @ le Jack Jack de Bron

Allez, c’est ARCHANGE qui commence. Depuis la dernière fois où je les ai vus en live, il y a eu du changement dans le line up : changement de guitariste (PACO PEIRO) et de bassiste. Et c’est MARKUS FORTUNATO qui est à la basse !

Dès le début, ce line up là fonctionne. D’abord scéniquement et bien-sûr musicalement. J’aime toujours la voix du chanteur et leurs compos. Et là, ça pète vraiment ! Je ne suis pas le seul à le penser car le public est visiblement conquis.

Bon, comme d’habitude quand on aime, le temps paraît court, trop court.

ÖBLIVÏON @ le Jack Jack de Bron

Cette soirée commence très bien ! Le temps de papoter avec les copains, de faire de la pub pour le Metal Thunder Jackets (21 avril au CCO avec TYGERS OF PAN TANG !) et c’est reparti pour SATAN JOK… Heu non, c’est ÖBLIVÏON !

Bien que ce soit leur soirée de realese, ils laissent SATAN JOKERS finir. Du coup MARKUS et DAVID (respectivement bassiste et batteur dans ÖBLIVÏON et dans ARCHANGE ) auraient pu rester sur scène. Ils enchaînent leur second set d’affilée ! Chapeau les gars !!

C’est mega cool de les revoir en live si vite car moi j’aime vraiment leur album, et sur scène c’est trop bon… Même si ce soir les Dieux du hard-rock ne sont pas avec eux pour les protéger des problèmes techniques. Mais bon, en vieux briscards du live, ils en ont connu d’autres et ça ne les empêchent pas d’y aller à donf’, genre les freins c’est pour les lâches.

Un show très énergique, aussi bon sur le plan visuel que musical. Je n’en remets pas une couche sur la voix de JOE AMORE et de son travail sur cet album. Ah oui, je viens de le faire ? Désolé, c’est plus fort que moi, j’adore tellement son timbre de voix !

Dans ÖBLIVÏON, la section rythmique, c’est du solide. A ne pas croire qu’ils ont déjà fait un autre set juste avant. Wouah ! 

Là, c’est pareil, c’est trop court. Tout le mode est content. On se retrouve au merch’ pour papoter et je profite du changement de plateau pour allez faire une interview d’ARCHANGE.

SATAN JOKERS @ le Jack Jack de Bron

Bon, je suis raccord. SATAN JOKERS commence juste quand je redescends. La dernière fois où je les ai vus en live, c’était au Beast in Bresse à l’automne dernier.

Bien sûr, pas de changement de line up. RENAUD HANTSON a trouver la formule gagnante pour SATAN JOKERS et ça tient. Et c’est cool car SATAN JOKERS avec AUREL à la batterie et PASCAL MULOT à la basse a une putain de section rythmique. ZURITA à la guitare est lui aussi bien en place.

Alors évidement ça roule tout seul. Surtout avec, comme ce soir, une set list qui fait la part belle aux anciens morceaux. Moi, je suis toujours heureux de les ré-entendre, même si là, je trouve RENAUD un peu en-dessous des autres fois. Il a l’air fatigué, c’est moins pêchu. Il me donnera l’explication après et c’est clair qu’en ayant dormi seulement une heure et demie, il a de quoi être naze !

Bien-sûr, ils nous feront la promo du petit dernier. Reprise de certains morceaux en symphonique.

SATAN JOKERS @ le Jack Jack de Bron

Allez, ça tire à sa fin. Content de les avoir revus, content que ÖBLIVÏON ait fait une release de cette qualité, avec pour les accompagner ARCHANGE et SATAN JOKERS. Bien coll. En plus, j’ai vu plein d ecopains ce soir !

Un grand merci à Jeep Moncorger et ÖBLIVÏON pour cette soirée. Avec les belles dates qui leur arrivent, je risque de les revoir bientôt !!

ÖBLIVÏON

Cette fois-ci c’est dans la boîte ! ÖBLIVÏON a eu la gentillesse de m’accorder une interview entre les balances et leur concert aux Arts dans l’R. 
Je suis vraiment content d’avoir pu la faire car si un groupe était attendu avant la sortie de leur album, c’est bien eux ! 

Interview réalisée aux Arts dans l’R de Péronnas (Ain)

 

 

Incoming search terms:

  • florian lagoutte