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“Chez BlackRain, on n’est plus étonné que le groupe nous amène dans des situations complètement improbables… et les rencontres qui ont précédé la réalisation de cette dinguerie font partie de ces moments que jamais nous n’aurions cru vivre. Et pourtant !Nous voici réunis pour la vidéo du 4e single de notre nouvel album #untamed avec les acteurs du sitcom qui berçait notre enfance. Aux frontières de l’absurde, hors du temps, mélange, rencontre, dépassement, union de ces deux familles que la convention des genres voudrait incompatible. Nous avons tellement adoré ce délire que l’aventure ne s’arrêtera probablement pas là !!”BLACKRAIN
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Report et photos by Ti-Rickou
J’ai été mega dégouté de ne pas pouvoir faire le Rising Fest de Dijon cette année, de ne pas pouvoir aller faire la fête avec les copains mais j’ai quand même eu une compensation en pouvant voir les GIRLSCHOOL à Montpellier – grosse compensation quand on sait que malheureusement elles ont annulé au dernier moment leur participation au Rising.
Autre groupe que je voulais voir le vendredi soir : mes copains de BLACKRAIN. Et là, qu’est-ce que je découvre ? Qu’ils passent en tête d’affiche sur un metalfest, à Saint Privat en Ardèche ! Le temps de consulter Mappy et de voir que c’est à moins d’une heure de ma base, je me trouve un peu moins dépité du coup !
Allez, premier octobre. Tiens chérie, j’ai trouvé un endroit original pour notre anniversaire de mariage. Bon, je lui ai trop fait le plan, elle se doute de l’entourloupe. Mais comme elle adore BLACKRAIN, ça tombe bien. En revanche à la question, c’est quoi les autres groupes ?, vu qu’encore une fois j’ai bien bossé mon dossier, je réponds… « heu… ». De toute façon, premièrement, y’a BLACKRAIN, deuxièmement y’a BLACKRAIN, troisièmement il faut soutenir les initiatives locales et quatrièmement il n’y a pas de tribute bands, ce qui devient de plus en plus rare. Ah oui, je vous ai dit qu’il y a BLACKRAIN ?!!!
Bon, on trouve la salle sans problème et, mega surprise, elle est super bien : grande (700 personnes), cours intérieure avec un food truck (pas con, surtout si on veut manger). L’asso a fait une super déco dans la cour et la salle, tout a l’air prêt pour qu’on passe une très bonne soirée.

Alors, en regardant l’affiche, j’en déduis que le premier groupe est RODEO Z un groupe de punk rock. On va le savoir tout de suite vu que les hostilités commencent !
Heu non, ça ne colle pas, 1) ce n’est pas du punk, 2) ce n’est pas qu’en français. Renseignements pris, c’est INKY TERRA, groupe local ardéchois, qui vient de monter sur scène. Heu, comment dire ? C’est plutôt néo metal, rock neo metal. L’avantage, c’est que ça ne beugle pas. Ce n’est pas forcement ma tasse de thé mais ce n’est pas mal fait. Ils sont jeunes et motivés. Et surtout, ils ne me donnent pas envie de me sauver en courant – ce qui n’est déjà pas mal pour un premier groupe.
J’apprécie les qualités acoustiques de la salle, les lights. Mon impression première se confirme, la soirée va être sympa.

Petit tour au food truck pour essayer les tacos avant l’arrivée du prochain groupe qui, cette fois-ci, sera bien RODEO Z ! Alors eux, je connais. Pas depuis longtemps mais les voix du rock étant impénétrables, j’ai récupéré un de leur CD il y a une quinzaine de jours. Donc, je sais à quoi m’attendre.
Et je ne vais pas être déçu ! C’est bien du punk rock en français, pas prise de tête, tout dans la déconne et le fun. C’est un style que je n’écoute pas forcement chez moi mais que j’apprécie énormément en live car c’est festif.
La salle, qui s’est déjà bien remplie, réagit très bien à leur musique. Il faut dire que ce soir, le public est très bigarré. On a aussi bien des black ou death metalleux, des hard-rockers et des punks. Et tout ce petit monde cohabite très bien et n’a qu’une envie, c’est de s’éclater. Et ça, RODEO Z , leur en donne l’occasion.
Je pensais que je jetterai une oreille et que je partirai vite et non, je suis resté jusqu’à la fin de leur set. Comme quoi, j’aime vraiment le festif.

Bon là, pour le prochain groupe, le tempo va s’accélérer d’un cran. A priori SCIENCE OF DISORDER, c’est quand même un peu brutal. Les petits Suisses ne sont pas là pour manger du nougat ! En tout cas, je vais découvrir leur musique et j’aimerai bien que ça me plaise car ils sont très sympas. Je le sais vu qu’on a papoté un petit moment devant le food truck. Bon quand même, le fait que le chanteur soit chanteur d’un groupe qui a joué au Lion’s Metal Fest ne me rassure pas tellement…
Allez, de toute façon, on va être fixés de suite vu qu’ils montent sur scène. Ils commencent de dos devant la batterie. L’intro arrive. Musicalement, on est dans du stoner doom. Musclé mais du stoner doom. Le chanteur a une belle voix. Bien-sûr quand il ne fait pas sa grosse voix mais ça va, c’est supportable pour un petit Rickou.




En plus je suis vraiment surpris car musicalement ça le fait. On sent quand même qu’ils sont tirés entre du doom stoner et du « je fais du plus violent » mais bon là, moi j’apprécie. En plus, visuellement ça le fait aussi. Les musicos ont une vraie présence sur scène et ils maitrisent effectivement très bien le live.
Le public de plus en plus nombreux dans la salle rentre une nouvelle fois dans l’univers du groupe. Le son est toujours très bon, les lights assez pour faire de belles photos. Du coup le temps passe très vite.
Je suis très content. En plus, je viens d’apprendre que le prochain groupe à monter sur scène, ce n’est pas DEATHS AWAITS mais BLACKRAIN. Yes !

Allez, petit tour dehors. Séance hydratation, papotage. Je remarque que les T-Shirts et sweats BLACKRAIN (issus du dévalisage en règle de leur stand merch’) sont de plus en plus présents dans la salle. Le ton est déjà donné, BLACKRAIN est dans la place ! Allez, je vais me positionner car là, ça va être bien serré.
Et c’est parti pour le chant des Hauts-Savoyards. Etrange, je pensais qu’ils ne le mettaient que quand ils étaient chez eux… Mais au moins, ils montrent la couleur !
Comme des diables in the box, les BLACKRAIN attaquent directement par « Entamed ». La température de la salle a pris plusieurs degrés. D’entrée de jeu, on sait qu’on va avoir droit à un show énorme. En tout cas, on va déjà avoir droit à de nouveaux morceaux qui seront sur le futur album. Eh oui, on a de la chance, on a en exclu live plusieurs titres. Et il faut dire que ces morceaux déboitent leur mère-grand dans le Picodon !







En plus, ils se marient très bien avec les anciens morceaux qui, bien sûr, à l’instar d’un « Innocent Rosie », « Blast me up » ou un « Rock my funeral » ne sont pas oubliés. Ni d’ailleurs le cover de TWISTED SISTER « We’re not gonna take it » qui apparait désormais en milieu de set list et qui embrase comme à chaque fois la salle.
Mais c’est vrai que BLACKRAIN a pris de la bouteille, c’est maintenant une véritable machine de guerre, festive mais de guerre. Ils ont tous pris en maturité, que ce soit MATT, MAX 2, FRANCK ou SWANN. Ils sont vraiment en possession totale, que dis-je, en maîtrise totale de leur art. Le temps passe très très vite.



On ne va pas avoir droit à un faux rappel et directement après « Hellfire », ils remercient les organisateurs et nous annoncent qu’on va pouvoir tous chanter sur le dernier morceau que tout le monde connait vu qu’il s’agit de « It’s a long way » d’un petit groupe australien. Effectivement, on connait ! C’est une ambiance de dingue dans la salle, fan de BLACKRAIN ou pas, tout le monde veut chanter en chœur le refrain.
Waouh, quel finish, quel show et quelle tarte ! Putain que c’était bon. Ca faisait trop longtemps que je ne les avais pas vus en live ! Pour ma part, j’ai vraiment hâte d’écouter leur nouvel album.
Allez, on attend qu’ils arrivent au stand merch’ pour pouvoir papoter un peu avec eux.

Je suis tellement content de les retrouver que j’en avais presque oublié qu’il reste un groupe. Alors, vue la calligraphie du nom du groupe des DEATH AWAITS, je pense que ça va être très violent. Pas seulement un petit peu violent, très violent… Mais bon, même pas peur, je me dirige vers la scène.
Je suis dégouté mais j’avais raison. On va dire que là on est dans du death metal qui bastonne grave. Et je ne parle même pas de la voix ! Mais, rassurez-vous, je ne vais pas faire ma vierge effarouchée, sur ce genre de fest, on sait très bien qu’il y a des groupes plus violents que d’autres et ce n’est pas parce que personnellement je n’aime pas ce courant que le public présent n’adhère pas.

Et c’est vrai que dans la salle ça bouge énormément. Moi, je suis un peu embêté car non seulement ça joue vite, ça chante fort mais en plus, la lumière n’est pas géniale pour les photos. Sur ce coup-là, je vais avoir un coup de chance car l’orga est obligée d’interrompe 30 secondes le concert pour demander à des propriétaires de voitures gênantes de les bouger. Au moins, j’ai de la lumière et ça n’hurle plus, lol.
Au bout de quatre morceaux, je décide de laisser les afficionados du style se délecter pour aller retrouver les copains de BLACKRAIN et de EVE’S BITE venus en renfort. Le temps de leur dire au revoir ainsi qu’aux orgas et il est déjà plus d’une heure du mat. Il est plus que temps de reprendre la route.
En tout cas, ce METALOID METALFEST est vraiment une très bonne découverte et en plus la confirmation que l’on peut faire se déplacer les gens même dans une petite ville si l’affiche est attirante.
Un grand merci aux organisateurs qui sont vraiment très cools et que j’ai hâte de retrouver pour de nouvelles aventures.
Long live rock‘n’roll, my friends !

Report by Seb 747
En ce moment, le monde est en ébullition pour la Coupe du Monde de Foot. Et ce soir, eh bien moi je ne veux pas rester devant ma télé à regarder l’Espagne contre le Portugal. Comme ça fait un petit bout de temps que je n’ai pas posé un pied au Brin de Zinc de Barberaz, il est temps je remédie à ça… D’autant plus que ce ne sont que des copains qui jouent ce soir et que j’adore leurs styles. En effet, nos copains de la Yaute, émigrés depuis quelques temps en région parisienne, BLACKRAIN, sont descendus faire la fête à Barberaz. Dans leurs sillons, nous retrouvons leurs potes de BLACKBURST et ceux de SLEEKSTAIN dont on attend avec impatience le nouvel opus.
Comme d’habitude, je passe chercher mon compère Steve*74 pour faire la route avec moi, ce qui me permet de ne pas faire la route de retour seul, et puis il paraît qu’il faut être solidaire avec nos anciens !! Je suis trop gentiiiil moi !
Le voyage se passe comme prévu, vu que le trajet c’est « finger in the nose » pour nous. Le soleil qui se cachait derrière des nuages depuis le matin, a décidé de faire valoir ses droits et éclaire avec beaucoup de volonté notre périple. Arrivés sur place, c’est comme d’habitude : tous les copains dehors en train de siroter leurs bières, histoire de se rafraîchir avant de rentrer dans le vif du sujet, la tempête de décibels dans la torpeur du BdZ.
Les BLACKBURST ont la dure tâche de commencer ce concert. Et, comme il ne faut pas négliger les traditions, Savoie oblige, le groupe commence avec un quart d’heure de retard (le fameux quart d’heure savoyard), histoire sans doute que les retardataires ne ratent rien de ce concert qui s’avère de bonne augure.
Le temps que PHIL, le chanteur à la voix rocailleuse, appelle les spectateurs restés dehors à boire leurs bière, les premiers riffs de “Hell on Wheels”, la cover de FU MANCHU, font résonner le Brin de Zinc. Le groupe se la joue à la “va comme je t’pousse”, librement, sans contraintes et en enchaînant les titres qui font mal. Quelques covers sont au rendez-vous ce soir mais aussi, et surtout, des morceaux bien à eux et qui dépotent grave ! “The Chase” ou “Blackburst” pour ne citer qu’eux.
Tiens, j’aime bien la nouvelle coupe de CYRIL, le bassiste, qui arbore une jolie crête à l’iroquoise. Cela me rappelle une certaine jeunesse punk. Mais ceci est une autre histoire.
L’ambiance est au beau fixe et le sentiment que nous passons une bonne soirée s’intensifie de minute en minute. Les interactions de PHIL et CYRIL avec le public bien présent ce soir, résument bien ce début de soirée. En ce qui concerne le groupe BLACKBURST, on retrouve un groupe motivé et dont la complicité sur scène se bonifie avec le temps. De quoi faire plaisir !
CYRIL prend la parole pour nous rappeler la récente disparition d’un ami musicien et le show se termine sur un “Dr Rock” de MOTORHEAD qui démonte le short de ta grand-mère. Les murs du BdZ résonnent encore des bonnes vibrations de leur musique.
Petit tour à l’extérieur, histoire de se rafraîchir les idées, et ce sont les SLEEKSTAIN qui prennent place sur scène.
Ce soir, je reste sur mes gardes. Ayant vu le groupe un nombre incalculable de fois, je sais que le public va se déchaîner et que les amateurs de pogos vont s’en donner à cœur joie. Aussi, je prends mes précautions pour éviter les bousculades.
Telle une puce hyperactive sous caféine, CHARLIE, le chanteur (est-ce besoin de le préciser ?), arpente la scène. Il fait le show comme personne d’autre.
La température commence à monter. Comme on n’attrape pas les mouches avec du vinaigre, le groupe n’hésite pas à enchaîner les titres qui frappent de suite. “My Friend Jack”, “Hard Rain”, “Dead Til U Live”, que des morceaux qui te font déchaîner une foule. Même “Dickhead”, seul nouveau morceau joué ce soir, commence à devenir un incontournable.
Les covers (encore !) sont bien là. Cependant, en grand fan de leur musique que je suis, j’aurais préféré d’autres inédits (mais on ne peut satisfaire tout le monde). En tout cas, elles font toujours leur effet et force est de constater qu’elles remuent le public comme jamais.
VANS s’est fait pousser des bras depuis la dernière fois où je l’ai vu, sa frappe est hyper rapide et puissante. J’ai le sentiment qu’il frappe plus fort qu’avant. Ou c’est que mon ouïe s’améliore avec le temps, ou c’est que la « vieillerie » me frappe et que je deviens sénile. Lol.
Le groupe est ultra-motivé et ça se ressent. Il a bouffé de la vache enragée. Il démonte tout sur son passage, le public, comme la scène.
CHARLIE, en grand coutumier du fait, n’oublie pas sa réputation de tête brûlée et va faire joyeusement du crowdsurfing sur le public qui ne demandait que ça. Le sourire qui ne quitte pas son visage prouve, s’il en était encore besoin, qu’il prend toujours son pied en concert.
SLEEKSTAIN a joué comme à son habitude, à 200 %. Ils m’ont donné l’impression qu’un cheval fou, venant de se prendre, tout à coup, un violent coup d’éperon avait tout dévasté dans le Brin de Zinc. Certes, la prestation du groupe est souvent rock ‘n’ roll, et beaucoup plus agressive que par le passé, mais je l’avoue, moi, et à priori, une bonne partie du public, avons apprécié cette prestation !
Que d’énergie dépensée ce soir ! C’est de bonne augure pour nos copains de BLACKRAIN qui vont finir ce concert. Pause hydratation, discussions entre vieux copains des dernières aventures de tel ou tel groupe et il est déjà temps pour nos amis haut-savoyards de prendre part à la scène. Depuis quelques temps, le groupe fait un retour aux sources et passe régulièrement dans la région.
Comme à leur habitude, c’est sur le chant « La Liberté » ou « Chant des Allobroges », l’hymne savoyard que nous accueille BLACKRAIN, dos au public. Fiers de leurs origines, ils n’hésitent pas à les revendiquer.
SWAN arborant un bandana rouge dans les cheveux, a toujours ce charisme envoûtant, et ce ne sont pas les copines réunies devant la scène qui me diront le contraire. Lol.
Avec ses compos solides et addictives, BLACKRAIN fait mouche à chaque fois. Le public connait les morceaux par cœur et chante avec beaucoup de ferveur les refrains.
Le groupe se la joue fine en attaquant d’entrée de concert par les titres les plus populaires de son répertoire. “Back In Town” fait un tabac dans le Brin de Zinc. Le groupe revient sur les terres qui l’ont vu naître et ça fait plaisir. Non seulement au public, nombreux ce soir, mais aussi au groupe qui, pendant plusieurs années, avait été privé de concert chez lui. Le plaisir, non feint, de SWAN, MATT et MAX qui se lit sur leurs visages en est la preuve. Ce n’est pas FRANCK qui me contredira, lui qui se régale de voir ses camarades de jeu prendre autant de plaisir.
La set list est relativement la même que celle que j’avais vu à Cluses la dernière fois, et là aussi, c’est MATT qui chante sur la cover de TWISTED SISTER, “We’re Not Gonna Take It” qui met littéralement le feu au BdZ. Il y a même une reprise des RAMONES, le fameux “Blietzkrieg Bop” et ses “Hey ho, let’s go !”.
L’ambiance est surchauffée. Tout le monde pogote ou fait du crowdsurfing. Même CHARLIE, le Sleekstainien qui ne rate pas une miette de ce show, se laisse porter par le public.
Le groupe joue sur du velours, enchaînant tous les hits qui l’ont fait connaître et enfonce le clou avec le titre “True Girls are Sixteen” que le public reprend à gorge déployée. Quel hymne instantané qui remet sur pied les culs de jattes ! « True Girls ! True Girls ! True Girls are Sixteen ! » mélodie entêtante qui ne se détache pas de ma boite crânienne. Aaargh, qu’est-ce que je m’éclate !!
Le groupe fait des étincelles. Il met des étoiles dans les yeux des spectateurs. Tout le monde s’éclate et prend son pied. Les mélodies entêtantes de ses hits de tueurs font frémir le BdZ.
Toute bonne chose ayant une fin, c’est sur le “It’s a long way to the top” de qui vous savez que se finit ce show. Seulement, voilà, on en veut encore. « Vous en voulez encore ? » demande SWAN. « Mais nous, on a fini ! ». « D’accord, mais c’est toi qui chante alors ! ». Et c’est CEDRIC, un spectateur trop content qui monte sur scène reprendre le TWISTED SISTER sous les éclats de rire des BLACKRAIN et du public. Il est vite rejoint par CHARLIE qui vient l’épauler pour reprendre les couplets.
Quelle soirée nous avons passé. Un concert d’excellente facture avec trois groupes au top !!